Culture Club

Super lekker mooi weer op de fiets!

Traduction (plutôt libre): Il fait tellement super beau à vélo!

Je savais bien qu’un jour, j’aurais l’occasion de «plugger» mon néerlandais du dimanche pour vous impressionner! J’ai ramené ça d’un voyage, en souvenir. Comme d’autres rapportent un aimant pour le réfrigérateur. Ou du sable, ou un caillou.

Des petits mots que je collectionne dans ma tête, et qui me rappellent à quel point j’adore quitter mes pantoufles pour vagabonder à travers le monde à la découverte de cultures différentes.

Vous êtes de ceux qui préfèrent le cocooning? Vous avez le droit, et je ne vous juge pas. Bon, peut-être juste un tout petit peu! Mais si vous imaginez que dépasser les frontières de votre tout-inclus quatre étoiles à Cancun, c’est wild en titi, et que vous pensez que les Français puent (come on!), que les Arabes sont automatiquement membres d’Al-Qaïda et que les Africains ont tous la peau noire… Eh ben là, je vous juge beaucoup (en fait, je pense que je vous jugeais déjà à «Cancun»).

Vous êtes plus pauvre que Job lui-même. Votre chien a mangé votre passeport. Vous êtes un éternel aérodromophobe et votre prescription d’Ativan est échue… Toutes les raisons sont bonnes pour ne pas voyager. Mais lorsque c’est le pays qui vient à vous, y a pas d’excuses valables pour ne pas le visiter!

M’entendez-vous venir de loin avec mes gros sabots? Un beau jeu de mots à la sauce hollandaise pour vous parler de l’événement Passeport pour… les Pays-Bas.

Durant tout le mois de mars, la Corporation culturelle de Shawinigan sort ses moulins à vent, ses tulipes et ses vélos pour vous faire découvrir les hauts (et les bas?) de ce pays dont le quart du territoire est situé sous le niveau de la mer. Gastronomie, cinéma, arts visuels, fleuristerie, littérature, ateliers; c’est l’occasion ou jamais de vous intéresser à la contrée de la reine Beatrix sans quitter votre bon vieux fuseau horaire!

Et pour moi, ce sera peut-être une belle façon d’étoffer mon vocabulaire néerlandais, qui se limite pas mal au titre de cette chronique et à Vrolijk Pasen. Et comme «Joyeuses Pâques» se case assez difficilement dans une conversation…

Voir aussi mon article à ce sujet: Canots et canaux