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Twitter autrement: Jour 7 1/2

Bon, sans même m’en rendre compte cette fois, j’ai sauté une autre journée. Honte à moi.

 

Ce sera donc un autre double-épisode, aujourd’hui.

 

Le premier commence par : En haut de Gilmour…

 

C’est connu, puisque j’en parle tout le temps et que cela m’obsède depuis longtemps : j’aime le vélo. J’aime aussi le ski, le jogging, la raquette… Mais le vélo, j’en mange. J’ai travaillé dans des boutiques pendant 7 ans, d’abord comme mécano –j’étais pourri- puis comme vendeur, et ensuite gérant –j’étais correct.

 

Voilà pour l’histoire.

 

Reste que j’ai passé l’hiver à m’entraîner en salle, à jogger dans la neige, tout ça pour ce moment de l’année, promesse de délices cyclistes, mais aussi de douleurs plus ou moins exquises, de réelle souffrance parfois. Je ne roule pas que pour le plaisir, mais aussi par défi, pour repousser certaines limites.

 

Et j’aime la poésie de l’effort autant que celle des cartes-postales cyclistes.

 

Dans ce registre, et pour survivre à l’hiver, j’ai lu ce livre par bribes, en dosant pour qu’il m’en reste tout au long de l’hiver. On y parle autant du ravissement de rouler que de l’admiration pour les champions ou encore de l’amour sincère que l’on voue parfois à la mécanique. Avec les chroniques et le bouquin du Tour de Foglia, c’est ce que j’ai lu de mieux sur le cyclisme.

 

Autrement, mon abonnement à la revue Bike complète mon assortiment nécessaire de pornographie cycliste.

 

À plus tard aujourd’hui pour un autre tweet.