Jenny Siler nous propose ici un thriller qui distrait, mais sans révolutionner le genre. Une femme a perdu la mémoire après une tentative de meurtre au cours de laquelle une balle a effleuré sa boite crânienne et où un morceau a endommagé le siège de la mémoire. Elle est recueillie par des religieuses, en Bourgogne. Puis, après plusieurs mois passés là, la femme voit les soeurs être toutes assassinées pendant la nuit. Pour tenter d’en savoir plus sur son passé, elle ne dispose que d’un billet de ferry vers Alger et de quelques gribouillis sur le billet en question. À partir de là débute une chasse à l’identité qui lui fera côtoyer, dans divers pays, des agents de la CIA, des groupes musulmans et un mystérieux Allemand qui semble en connaître beaucoup à son sujet et qui voudrait bien mettre la main sur un mystérieux objet qu’aurait déjà possédé la femme et dont elle ignore maintenant tout!
Oui, il y a quelques moments intéressants dans ce livre. Mais, une fois la lecture terminée, on se dit qu’on n’a pas tellement été remué. L’intrigue n’est pas très poussée et même si elle offre quelques rebondissements, ils ne sont pas d’une très grande amplitude, ce qui fait qu’on ne développe pas tellement d’intérêt pour la chose.
Au moins on retiendra un livre qui, malgré ses 400 pages, se lit assez rapidement. Aussi, vers les deux tiers du livre, on a l’impression que l’action s’accélère un peu, donnant un regain de vigueur à une histoire qui, sommes toutes, semblait plutôt banale jusque là. Malheureusement, c’est trop peu pour dire de ce livre qu’il sort des sentiers battus. En fait, c’est un thriller tout ce qu’il y a de plus classique. C’est parfait pour le métro!
Jenny Siler nous propose ici un thriller qui distrait, mais sans révolutionner le genre. Une femme a perdu la mémoire après une tentative de meurtre au cours de laquelle une balle a effleuré sa boite crânienne et où un morceau a endommagé le siège de la mémoire. Elle est recueillie par des religieuses, en Bourgogne. Puis, après plusieurs mois passés là, la femme voit les soeurs être toutes assassinées pendant la nuit. Pour tenter d’en savoir plus sur son passé, elle ne dispose que d’un billet de ferry vers Alger et de quelques gribouillis sur le billet en question. À partir de là débute une chasse à l’identité qui lui fera côtoyer, dans divers pays, des agents de la CIA, des groupes musulmans et un mystérieux Allemand qui semble en connaître beaucoup à son sujet et qui voudrait bien mettre la main sur un mystérieux objet qu’aurait déjà possédé la femme et dont elle ignore maintenant tout!
Oui, il y a quelques moments intéressants dans ce livre. Mais, une fois la lecture terminée, on se dit qu’on n’a pas tellement été remué. L’intrigue n’est pas très poussée et même si elle offre quelques rebondissements, ils ne sont pas d’une très grande amplitude, ce qui fait qu’on ne développe pas tellement d’intérêt pour la chose.
Au moins on retiendra un livre qui, malgré ses 400 pages, se lit assez rapidement. Aussi, vers les deux tiers du livre, on a l’impression que l’action s’accélère un peu, donnant un regain de vigueur à une histoire qui, sommes toutes, semblait plutôt banale jusque là. Malheureusement, c’est trop peu pour dire de ce livre qu’il sort des sentiers battus. En fait, c’est un thriller tout ce qu’il y a de plus classique. C’est parfait pour le métro!