Ouais.
Avec toutes mes excuses à Félix Leclerc pour cet emprunt, disons, «boiteux», George W. aura dû beaucoup voyager pour recevoir une paire de souliers de journaliste par la tête!
De manière plus superficielle – et désolée pour l'anglicisme -, voilà ce que Bush jr. récolte pour avoir gouverné huit ans «avec un pied dans la bouche» enfoncé, j'ajouterais, jusqu'au genoux…
Mais sur une note plus sérieuse, le président américain avait raison, en bout de piste, de trouver tout cela plutôt drôle, quitte à aligner les blagues plates, les unes derrière les autres, après avoir eu le réflexe de se baisser juste à temps pour éviter que les souliers en question ne lui fracassent le visage. On aurait presque dit un remake de Pierre Trudeau à la Saint-Jean de 1968…
Et il avait raison, le Bush, de bien en rire parce qu'en y pensant bien, c'est quoi, deux souliers de pointure 10 par la tête en échange de ses propres mains recouvertes de cinq années et demi de sang irakien et américain coulé, ainsi dire, pour rien?
Ce que je trouve le plus étonnant dans cette histoire c’est de voir avec quelle facilité, avec quelle habileté et avec quel calme George W. a esquivé les deux chaussures. Je ne suis pas un spécialiste en ce domaine mais à prime abord cette adresse de Georges W. semble défier toute loi naturelle. Il m’apparaît parfaitement évident que le président sortant a de nombreuses années de pratique pour esquiver tout ce qui peut lui être lancé par la tête.
Je ne suis pas convaincu qu’un artiste professionnel du Cirque du Soleil s’en serait tiré aussi facilement. Ce n’est vraiment pas aussi évident qu’on pourrait le croire à prime abord de pouvoir éviter une chaussure lancée à si courte distance, avec une telle vitesse et une telle précision, surtout que l’aérodynamisme douteux d’un soulier voyageant à cette vitesse peut facilement le faire dévier de sa trajectoire à quelques reprises. Éviter un premier soulier tournoyant comme un boomerang avec un tel calme est un art en soi. Se soustraire avec le sourire d’un second lancer rapide relève carrément de l’exploit. Un frappeur au baseball ne serait probablement pas parvenu à éviter d’être atteint par au moins l’un des deux tirs. Et pourtant ils se retrouvent fréquemment dans ce genre de situation. C’est vous dire! Je crois que seul un très habile gardien de but de la Ligue Nationale de Hockey pourrait faire aussi bien. Je suis certain que George W. Bush pratiquait régulièrement un programme complet de feintes de toutes sortes. Ça doit faire partie de l’entraînement de base d’un président américain.
Je ne sais pas si c’est plausible ce que je dis là mais il me semble que ce serait parfaitement logique. Ça doit être un peu comme pour apprendre à éviter de se faire décapiter par les pales d’un hélicoptère ou éviter d’être humilié par une tarte à la crème, avec ou sans fer à cheval dedans. Ce n’est pas inné ces habiletés à éviter tout ce qui guette un président américain aussi peu aimé.
Je me demande si le journaliste-artilleur responsable avait longuement prémédité son geste. On aura peut-être la réponse dans les prochains jours s’il s’avérait que les deux souliers en question contenaient ou pas, beaucoup de lest.
Je fais le pari qu’on finira bientôt par exiger que tous les journalistes laissent leurs chaussures à la porte des salles où se déroulent des cérémonies auxquelles participent les chefs d’État. Maintenant qu’un journaliste a montré l’exemple il se pourrait bien qu’à la prochaine occasion un personnage contesté ait à affronter un tir groupé et ainsi avoir à éviter une centaine de paires de chaussures s’abattant en quelques secondes dans sa direction. Imaginez une pluie de chaussures lestées, ferrées, cloutées et, dans de nombreux cas, munies de talons aiguilles. Sans compter que ces chaussures peuvent être chargées de poivre de cayenne, de poudre à éternuer, d’antrax, de petites fioles de nitroglycérine, de déchets radioactifs ou autres produits dangereux.
Et que penser des chapeaux, des crayons, des micros, des magnétophones, des bijoux et autres objets qui peuvent servir de projectiles? Le métier de journaliste risque de devenir très très compliqué.
😉
Se servir de souliers pour faire un point datent de bien longtemps
Remember Krouchev a l ONU
Les deux ont toujours eu la mauvaise habitude de se mettre BOTH Feet in their Mouth.
Serve them right,
Louise, reading you knock my shoes off…
– Catboudrias
Je me souviens…
http://fr.youtube.com/watch?v=L6BZFz4wh5g
Kebeca Liberata !
Sylvie R. Tremblay
Jeanne du Lys
C’est au cul qu’il aurait dû recevoir cette marque d’appréciation. Manque de pot.
Cet audacieux prétend avoir été mal informé au sujet de l’Irak. Il nous prend toujours pour des imbéciles. Remarquez, prendre l’électorat américain pour des cruches, passe encore, ils l’ont réélu malgré la preuve des mensonges fortement diffusée dans tous les USA avant la deuxième élection. Mais c’est pas grave, il est tellement sympathique, ce George, n’est-il pas. Il est responsable de la mort de milliers de soldats américains, sans parler des centaines de milliers d’Irakiens, mais qu’importe. Questionner son autorité, questionner son jugement est antipratiotique. Ça ne se fait pas. Quel peuple dangereux et inconscient.
Comme disait Napoléon : » Dieu! protégez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge. »
Il n’y a pas que le militaire qui est dangereux chez nos » amis » d’en bas. Il y a leur amour désordonné de l’argent et du pouvoir qu’il confère.
Où allons-nous? Où allons-nous? grand dieu.
Il y a des gens q
Pour le même genre de crime Saddam Hussein a été exécuté , Ben Laden est obligé de se cacher et Bush lui reçoit un soulier !
Y a du monde chanceux hein !!!!!!
Mr Asselin.!!! .quand la statue de Sadam a été écrasé la premiere chose que les irakiens ont fait a été de la piédiner !!(francais??) parce que les pieds sont la partie du corps la plus sale pour un arabe et ils ent servent pour prouver leur horror de quelque chose.
Si vous lui aviez lancé un soulier a Mister Sadam..vous seriez mort en 5 minutes ou moins .
I rest my case !!!!
Bush est chanceux une paire de souliers pour 100,000 morts et il ne comparaîtra pas devant le tribunal pour ces crimes. Vive la démocratie made in É.-U.. il faut savoir rire et j’espère que ce n’était pas une paire de souliers neufs.
Merci Mme Teasdale de nous remettre sur la piste. En effet, lors de la mise ne scène orchestrée par les Américains, il y avait quelques dizaines de collaborateurs qui donnaient des coups de sandales à Sadam statufié. Ce geste est maintenant compris. A l’époque, je trouvais ça plutôt singulier, mais maintenant, j’ai tout saisi.
Merci encore.
Inch Allah!
Le journaliste lanceur de chaussures a été passé à tabac par les services de sécurité du Premier ministre irakien.
D’après le Nouvel observateur et le frère du journaliste, il aurait un bras cassé, des côtes cassées et une jambe assez mal amochée. Le visage aurait aussi changé d’apparence. Ah! Où est Sadam quand on en a besoin?
Sadam torturait et assassinait. Les amis des Américains ne sont pas réfractaires à cette approche. Humm!
Dans la même veine, Dick Cheyney aurait à nouveau défendu l’usage de la torture pour faire parler les terroristes gardés à Guantanamo et ailleurs. Un vrai fachiste dans l’âme celui-là.
Je me demande quel approche punitive il réserve aux financiers qui ont mis l’Amérique et l’Europe à genoux par leur cupidité. Ces derniers ont mieux réussi que tous les terroristes réunis depuis les derniers trente ans.
Qu’est-ce que je disais déjà? Protégez-nous de nos amis… Ils sont en effet beaucoup plus dangereux parce que plus près, déjà dans la place. Les autorités gardent leurs frontières comme des malades, mais le loup est déjà dans la bergerie. Tordant.
Quels cons.
On a tendance a surestimer le role de Bush dans l’appareil d’etat americain. W Bush, comme Reagan (ou une improbable Palin), est plus une mascotte que l’on presente au public qu’un chef d’etat plus conventionel.
Traduire la mascotte qu’est W Bush devant des tribunaux est necessaire par principe mais si on inclus pas les Cheney et compagnie ca serait plutot symbolique, comme mettre un drapeau ou un aigle(pygargue à tête blanche) en prison.
@ Rick Deckard
Parfaitement d’accord avec vos propos.
Mais je dirais même plus, ce n’est pas en réservant à des politiciens élus démocratiquement le même sort que les populations asservies réservent à leur dictateurs déchus qu’on sortira TOUS gagnants de ce type de résultats déplorables.
Et je ne parle même pas de l’impact que cela pourrait avoir sur une démocratie qui, de plus en plus, manque de moyens ou de volonté politique afin de défendre justement et adéquatement ses principes sur la scène mondiale sans constament ce contredire par le biais de son exploitation économique de tous les pays en voie de développement ou en voie d’émergence.
Le lancer du soulier est symbolique, soit.
Mais il faut VOIR qui et quoi lance le soulier à la démocratie.
C’est un JOURNALISTE (moyen de contestation intellectuel) d’origine égyptienne (lieu de contestation d’un pays représentant une autre civilisation millénaire) qui lance un soulier (objet de contestation offensant) à un pouvoir impérial (s’exprimant par la bouche d’un idiot déchu) dans une situation de passation des pouvoirs.
Et après on s’étonne que le « moment historique » soit éclipsé par ce geste ?
Allons, un peu de sérieux, ici. Deux secondes.
C’est tout à fait logique puisque la pré-histoire envoie un message à l’histoire en ce moment.
En d’autres termes, la mondialisation actuelle est en train de faire renaître les civilisations les plus anciennes : l’Empire du milieu, le défunt royaume des Indes, l’empire Ottoman, les Babyloniens, les puissances enfouies sous le sable de l’Égypte Antique… et tout ça, comme par « hasard » au moment où le berceau de la civilisation Gréco-Romaine (et par conséquent Occidentale) brûle et se déchire dans des manifestations monstres qui vont éclipser dans l’Histoire Mai 68.
Prenez un peu de recul.
Abandonnez un peu votre calendrier grégorien, svp.
Il y avait des géants qui règnaient sur le monde avant les américains, les Anglais, les Français, les Espagnols, les Grecs, les Germains, les Italiens et les Tsars également.
Sachez, mes amis, qu’au Sud de l’Équateur et dans le Moyen Orient, l’an zéro ne vaut rien et ne veut plus rien dire également.
Bienvenue dans le XXIe siècles.
Le siècle des civilisations qui renaissent… et qui commencent à bouger toutes en même temps, dans un monde devenu trop petit pour eux.
bonne chance !
George W. Bush est au mieux plutôt « ordinaire » et au pire un parfait imbécile. De nombreux membres de son administration étaient au mieux des faucons et au pire de vrais cons. De là à hisser George W. Bush au rang des Hitler, des Staline, des Pol Pot, des Saddam Hussein et autres tyrans ou despotes de ce monde il y a tout de même un pas. Le fait est que depuis le début de la guerre contre l’Irak (ou plutôt contre Saddam Hussein et son régime) il y a quotidiennement beaucoup moins de victimes qu’en temps de « paix » sous Saddam Hussein. Et la plupart des victimes actuelles sont le résultat d’actes terroristes plutôt de d’actes de guerre perpétrés par les troupes américaines. Suite aux attentats du 11 septembre les américains ne pouvaient pas rester les bras croisés face à un État voyou qui quasi quotidiennement essayait de monter le monde arabe au grand complet contre les américains. Les américains ne pouvaient pas demeurer indifférents face à un dictateur, un tyran et un génocidaire qui menaçait constamment de rayer Israël et les États-Unis de la carte planétaire.
Que les armes de destruction massive aient été réelles ou pas le fait demeure que l’Irak n’a jamais réellement collaborer à en démontrer ou pas l’existence. Avec ou sans ces armes Saddam Hussein était une menace réelle face à la paix dans cette région du monde. Saddam Hussein et son entourage étaient de toute façon des armes de destruction massive. On peut questionner les méthodes américaines pour arriver à débarrasser la planète d’une menace réelle mais on ne peut mettre en doute l’utilité de la chose.
On va certainement m’accuser d’être pro-américain, ce qui n’est pas nécessairement le cas. On peut ne pas être contre les américains sans pour autant endosser tout ce que les américains font. Ils sont capables du pire et du meilleur et c’est là le lot de toutes les grandes puissances. On n’est pas nécessairement avec ou contre les américains comme le proclamait George W. Bush. Il y a cependant beaucoup pire comme ami ou voisin. Les États-Unis ne sont pas le démon sanguinaire et le vampire assoiffé de pétrole que certains essaient de nous faire croire. Le Canada est un très vaste pays immensément riche en toutes sortes de richesses naturelles, y compris en pétrole et nous faisons l’envie d’une grande partie du monde. Si les américains étaient des tyrans, des despotes et des gros méchants comme certains semblent le croire ou s’ils n’avaient que le centième des ambitions et de la cruauté d’un Saddam Hussein, il y a belle lurette que le Canada appartiendrait aux États-Unis. Vous ne pensez certainement pas sérieusement que si le Canada est encore indépendant c’est grâce à sa « puissante » armée? Nous sommes une chenille face au mastodonte américain et c’est probablement grâce à la présence de notre puissant voisin si nous ne sommes pas russes et si nous n’avons pas la moitié du monde qui nous font la guerre pour s’emparer de nos richesses. Si nous avions la Corée du Nord, l’Iran ou l’Irak comme voisin nous ne serions plus des voisins depuis un bon moment mais plutôt une région de ces pays. Si nous avions un pays pauvre comme voisin, nous serions encore plus pauvre que ce voisin. Je supporte mal les Elvis Gratton qui perçoivent les américains comme des Dieux mais je supporte encore plus difficilement les Elvis Hussein qui perçoivent les américains comme des démons.
Je crois que la modération et la nuance sont disparus du discours de certains de nos compatriotes quand George W. Bush est devenu président du pays voisin, comme si la stupidité était contagieuse.
La paire de chaussures destinée à George W. Bush était certainement largement méritée mais de là à dire que le monde tournerait mieux sans les américains il y a un très grand pas à franchir, avec ou sans souliers.
Bonjour M. Mitriou.
Vou vous présentez comme n’étant pas forcément l’ami des Américains. Ayant dit cela, ils peuvent dormir sur leurs deux oreilles. Des pas amis comme vous ils en désirent à la tonne.
Si les Américains sont si » aimables » avec nous, c’est qu’ils savent qu’ils n’ont rien à craindre de notre part. Leur dernière incursion armée chez nous date de la guerre de 1812. Nous l’avons perdue, mais ça n’a pas compté. L’Angleterre et les USA ont fait la paix à Londres et les USA ne sont pas revenus pour l’assaut final. Vous allez rire.
Les Américains, à chaque visite, retournaient coucher chez-eux, à l’automne, et revenaient, l’année d’en suite, tard au printemps, en disant ou en étions-nous déjà? Ah! oui. Nous avions conquis jusqu’ici l’an dernier, maintenant, si on remettait ça? Et ils progressaient encore plus. C’était l’armée voulue par Jefferson. Une armée d’amateurs chargée de défendre le territoire. Pas fameux pour les invasions. Cette leçon ne fut pas perdue par les Américains assoiffés de conquêtes, continentale pour commencer, planétaire pour finir. Nous en sommes rendu là. C’est pourquoi, dans leur constitution, le droit de posséder des armes a été inscrit. Pas pour s’entretuer, mais bien pour former une milice pour défendre le territoire contre l’envahisseur. Jefferson était contre la formation d’une armée de professionels précisément pour éviter les débordements que nous vivons depuis que le Congrès a décidé de créer une armée pour aller défendre les intétrêts américains à l’étranger. Jefferson avait bien compris les leçons de l’Histoire et il ne voulait pas que les USA répètent les même crimes que les grandes nations de son époque et celles des époques précédentes avaient commis contre les petits peuples.
Bref, les Américains sont des envahiseurs, des impérialistes, et ils n’ont pas besoin de nous envahir car ils ont l’Aléna qui nous livre pieds et poings liés avec toutes nos richesses naturelles. Pour le moment, c’est le pétrole, demain ce sera l’eau, et gare à nous si on leur dit : » Touche pas à mon eau « . Non, ils n’everont pas les Marines. Ils vont tout simplement demander à un successeur de M. Harper de faire le sale boulot et d’ouvrir les vannes.
Vous souvenez-vous que M. Harper a interdit, cet été, à notre Michaëlle nationale d’aller prononcer un discours au Tribunal pénal international. Elle avait pourtant été invité personnellement par le Président de ce tribunal, si je ne m’abuse. Elle avait accepté avec empressement et grande joie. Peu de jour avant le départ ont lui a dit : » Pas de ça Lisette. » Tu n’iras pas dire des méchancetés sur les Américains, le Canada et nos amis dictateurs qui font passer les intérêts de leurs nations après les nôtres. Et MIchaëlle défit ses valises. Elle est peut-être le chef de l’état, mais elle n’est pas le patron. Ah, ça non!
Tout ça pour dire, M. Mitriou, que les Américains n’ont pas besoin d’envahir pour contrôler. Un simple coup-d’état, (CIA) une bonne poignée de dollars lors d’élections apparemment démocratiques et le tour est joué.
En Italie, les Américains ont dépensés des millions de dollars plus quelques assassinats bien placés et les communistes n’ont jamais été élus, comme par hasard. La Démocratie chrétienne n’était pas très chrétienne. Les Américains non plus.
Je ne veux pas abuser de la patience de nos amis lecteurs et débatteurs, mais je pourrais continuer pendant des heures, sans exagérer. Basta!
J’aime Noam Chomsky et Woody Allen, je ne suis donc pas antiaméricain. CQFD.
Cordialement.
Eh oui Mitriou, tu as raison, tu es bien pro-americain
« I helped make Mexico, especially Tampico, safe for American oil interests in 1914. I helped make Haiti and Cuba a decent place for the National City Bank boys to collect revenues in. I helped in the raping of half a dozen Central American republics for the benefits of Wall Street. The record of racketeering is long. I helped purify Nicaragua for the international banking house of Brown Brothers in 1909-1912 (where have I heard that name before?). I brought light to the Dominican Republic for American sugar interests in 1916. In China I helped to see to it that Standard Oil went its way unmolested. »
– Major General Smedley Butler
L’armee americaine envahie et tue des civils par millier pour Wall Street depuis au moins un sciecle. La lecture de « War is a Racket » devrait etre obligatoire dans toutes les ecoles.
La CIA a supporter des coups d’etat contre des gouvernements elu comme Allende au Chili pour le compte de Chase Bank et Mossadeq en Iran parce qu’il a nationalise le petrole et les ont remplace par des boureaux Dictateurs(Pinochet, Shah). Resultat; Torture, repression, meurtres.
Ils ont supporte et entrainne des milices d’assassins dans le School of the Americas qui ont massacres homme, femme, enfants et pretes en Amerique du Sud.
On fait des milions de mort au vietnam-laos-cambodge.
Meme les etats membre de l’Otan ne sont pas a l’abri, ils ont tues des europeens dans des attentats terroristes qui etaient attribue aux communistes sous Gladio en Italie. Ont intereferer dans de nombreuses elections, mis en oeuvre un coup d’etat contre le gouvernment socialiste en Grece instaurant une dictature militaire.
La CIA a supporte Saddam des ses debut, les EU ont fourni le materiel pour produire les armes chimiques utilise contre les Kurdes (bien que les Britaniques etait les premiers a avoir utilise des armes chimique pour massacre des civiles kurdes avec la benediction de Churchill) et ont incite Saddam a faire la guerre contre l’Iran.
La CIA a utilise des fonds Saoudiens pour que l’ISI du Pakistan(une succursale de la CIA) fonde des madrassa pour endoctriner des extremistes Islamique, les entrainer, les arme pour attaquer le gouvernement d’Afghanistan supporte alors par les Russes. A l’epoque les femmes avait le droit de conduire et etaient en nombre egale a l’ecole, avant que les extremistes supporte par la CIA dont Osama Bin Laben(Saoudien dont la famille a des liens etroit avec la famille royale et la famille Bush dont le Patriarch etait directeur de la CIA) ne vienne foutre le bordel.
Les Talibans etait les tis namis des EUs, mais ils ont pas ecoute UNOCAL et leur proposition de crosseurs et on decide d’opter pour un consortium mene par une Petroliere d’Argentine Bridas, ils ont signe une entente de pipeline avec le Turkmenistan et le Pakistan puis Tada! maintenant ceux etaient recu avec le tapis rouge au state department sont rendu l’ennemi numero 1 et ont leur sacre un missile sur la tete pour qu’il reconsidere. Le deploiement de l’armee US/UK pour l’invasion de l’Afghanistan a lieu AVANT le 11 sept(mais apres la debacle des negos de pipeline et la chute de production d’Opium). Les EU envahissent et mettent en place Karzai un conseiller chez UNOCAL et un ambassadeur americain qui travaillait pour UNOCAL? En parlant d’armee et de petroliere, tu sais que le National Security Advisor d’OBama est un General de l’Arme sur le conseil d’administration de Chevron?
Et l’irak, tu as vu la poignee de main entre Rumsfeld et Saddam n’est-ce pas? Eh oui, les EU supportait Saddam meme apres qu’il aie utilise des armes chimique contre les Kurdes, armes chimique redu possible grace a la complicite des EU et Europe(note qu’il n’as pas ete le premier a massacrer des villages kurdes avec des armes chimiques, les britaniques s’en sont donne a coeur joie avec la benediction de Churchil avant la 2e guerre mondiale). Lorsqu’un dictateur chou-chou des EU deviens trop independant ou genant, un peut de propagande et il devient soudainement le pire dictateur en ville. L’histoire des Incubateur avant la 1ere guerre du golf? Pure fabrication. Armes de destruction massives pour justifier la 2e? Pure Propagande. Ecoute les temoignages des « Winter Soldiers », des mercenaires et des soldats qui tirent dans des familles iraquenne pour ‘le fun’, ont leur remets des ‘drop weapons’ au cas ou ils tue des civiles inocents et sans armes afin de mettre des armes a cote des cadaves.
Et c’est la pointe de l’Iceberg
Bref une paire de Soulier c’est bien peu
En passant il y a bien sur plein de chose chouette a propos des EU, mais c’est pas comme si elle sont discimulees, alors que les temoignages des Winter Soldiers, les attaques contre les democraties(Gladio, Operation AJAX, etc) et les guerres justifier avec des mensonges et de la peur, cest assez rare qu’on en parles dans les medias, d’ou l’importance de les mettre en lumiere.
J’imagine qu’un pays qui a de la colonne vertébrale peut survivre sans la bénédiction des amerloques… Les cubains le font depuis plus de 50 ans, évidemment on peut contester le régime Castro, mais je préfère encore voir une nation qui se tient debout qu’un grand pays démocratique comme le nôtre qui s’affale et participe aux visées colonialistes de l’empire étasuniens décadent.
Poser l’hypothèse que le monde tournerais mieux sans l’interventionisme des amerloques est inutile car c’est tout ce que nous connaissons, mais je demeure rébarbatif à l’idée qu’une nation se sente à ce point bénie de Dieu au point de propager sa culture à la pointe du fusil sur le reste de la planète.
À moins de détester viscéralement les américains je vois qu’il n’y a pas de salut possible pour un « pas ami » comme moi sur ce blogue. Mais ça je le savais déjà. Je me demande bien alors pourquoi pour être conséquent avec son anti-américanisme indélébile le bon peuple ne monte pas aux barricades pour réclamer de nos autorités une guerre immédiate et finale contre ce peuple de Belzébuth qui est notre voisin. Et tant qu’à faire exterminons tous les peuples occidentaux qui ont un passé colonialiste ou impérialiste. On pourrait néanmoins commencer par arrêter de vendre nos produits aux démons du sud, cesser de les lire, de regarder leur cinéma et leur télé, cesser d’écouter leur musique, se départir de tout ce qui de près ou de loin découle de leur savoir et de leur technologie. Cessons de les copier. Défaisons-nous de tout ce que leur culture a imprégné en nous. Tournons-nous vers les bons Talibans et tous les Saints Terroristes de ce monde, adoptons leur mode de vie, sacrifions comme eux notre vie en la mettant au service de ce Saint Grand Absolu.
J’ai déjà détesté les amerloques au point de militer dans les mouvements ouvriers marxistes-léninistes et autres groupuscules révolutionnaires. J’ai paradé avec le drapeau soviétique au moment où les gros méchants étaient les russes. Et je vous fais grâce de tout le reste. Je ne suis pas né d’hier et je ne suis pas aveugle non plus. Je suis amplement instruit pour savoir tout ce que vous me racontez et encore plus. J’ai cependant appris à réfléchir et à faire la part des choses. Toutes les grandes puissances ont du sang sur les mains. Les moyennes et les petites aussi. Le monde n’est pas encore un paradis. Le problème c’est qu’on ne peut pas s’extraire de la planète. On doit forcément composer avec toutes les autres nations et toutes les autres cultures qui partagent la même planète que nous. La seule chose qu’il nous reste c’est d’apprendre à vivre avec tous les démons qui nous entourent en essayant de choisir nos alliés, les moins pires, parce qu’à moins d’être des anges on ne peut pas être pour tout ou contre tout. Je peux très bien comprendre le problème palestinien, le problème cubain, le problème irakien, le problème afghan ou autre sans pour autant accepter le fait que des illuminés se font exploser en tuant des dizaines de victimes innocentes pour imposer leur divinité absurde au reste de la planète. Il y a simplement en ce monde des individus un peu plus fréquentables que d’autres. Il y a également une ignorance crasse de la menace réelle et potentielle que représente un individu qui ne sait pas faire la part des choses, qui ne sait pas réfléchir librement et qui se laisse entraîner dans toutes sortes de haines irréfléchies, qu’elles se nourrissent de préjugés, de parti pris non nuancé, de croyances culturelles ou religieuses de toutes sortes.
Et oui les américains ne sont pas tous des anges mais ce n’est pas que cela qu’il est nécessaire de regarder. Il faut regarder tous ceux qui ne sont pas américains et comparer. Je n’aime pas du tout George W. Bush mais si on m’oblige à aller prendre une bière avec un chef d’État il y en a plusieurs que j’éviterais bien avant George. Il y en a beaucoup de bien plus menaçants et de bien plus inquiétants. J’ai déjà dit que George aurait amplement mérité d’être atteint par les deux souliers lancés dans sa direction. Il y a par contre la moitié du monde qui mériterait un pire sort pour leur replacer les idées. Quand on voit des Talibans ou autres hurluberlus se permettent de régenter la vie d’autrui dans ses moindres petits détails, je suis davantage offusqué par ces injustices que par tous ceux qui subissent les foudres américaines parce qu’ils l’ont bien cherché.
J’ai vu comme tout le monde les américains soutenir Saddam Hussein au temps où on pouvait encore le croire fréquentable. Mais les américains ont mis un terme à toute relation avec cet individu quand il a commencé à démontrer des signes de dangerosité à l’endroit de presque tout le reste de l’humanité. Il y avait belle lurette que les américains avaient cesser de fournir le monstre de Bagdad en armes de toutes sortes pendant que d’autres pays occidentaux continuaient à armer jusqu’aux dents le tyran, tout en le considérant comme une véritable menace, souvent même à leur endroit.
Je m’arrête parce qu’il le faut bien et surtout parce que j’ai horreur de prêcher dans le désert, à des convertis et à des inconvertissables.
Evidemment, M. Mitriou, de tous les impérialistes abjectes, un pléonasme, les Américains sont les moins sanguinaires, directement. Ils ont fréquemment fait faire le sale boulot par personnes interposées. Ils sont intelligents.
Les Américains que nous dénonçons apartiennent à Corporate America, les 200 familles qui contrôlent les USA et une bonne partie de la planète. Tous les Américains ne sont pas des monstres, certes non, mais l’indifférence de la majorité permet les agissements de cette minorité contrôlante et possédante.
Nous sommes comme tous les animaux grégaires : il y a un chef pour le troupeau et le reste suit, ou gare à nos fesses. Il y a bien le christianisme, comme philosophie, mais c’est tellement difficile d’application, n’est-ce pas.
Ne nous abandonnez pas, M. Mitriou. Défendez vos causes sur ce forum où la liberté d’expression, si rare ailleurs, nous permet de ventiller.
Cordialement.
@ Serge Gingras
Les causes que je défends principalement sont peu nombreuses et plutôt simples.
1. La liberté
2. La démocratie
3. La souveraineté du Québec
4. Une plus grande justice sociale
5. L’exclusion de l’exclusion
6. La nuance
7. L’abolition de la généralisation
Toutes des choses que les Talibans et les dictateurs piétinent sans retenue. Alors je ne suis pas triste lorsqu’ils sont mis hors d’état de nuire. Et il semblerait, comme c’est souvent le cas, que peu de nations osent encore se lever pour défendre ces valeurs. Je conviens cependant que la question de la souveraineté du Québec ne regarde que les québécois.
Peu importe ce qu’ils font ou ce qu’ils ne font pas, les américains sont toujours blâmés.
Exemple:
Une nation minoritaire fait l’objet d’un génocide dans son pays. Les américains interviennent pour mettre un terme au massacre. On les traite alors d’impérialistes qui s’ingèrent dans les affaires internes d’un pays souverain.
Une nation minoritaire fait l’objet d’un génocide dans son pays. Les américains n’interviennent pas pour mettre un terme au massacre. On les blâme de leur inaction et on les prie avec insistance d’intervenir pour mettre fin au massacre.
Les américains sont toujours perdants sur tous les tableaux.
Le plus ironique c’est que toutes les critiques qu’on peut adressées aux américains, des américains les ont déjà adressées aux autres américains. Il n’y a pas de meilleurs critiques des américains que d’autres américains. Et le fait que les « critiqueux » puissent se promener librement sur la rue sans risquer d’être décapité à tout moment est certainement un bon endroit où vivre.
M. Mitriou,
Je partage évidemment vos objectifs 1 à 7. Qui ne le ferait. Pour ce qui est des Américains, quel sujet intarissable, c’est une question d’éclairairage. Vous préférez voir le positif dans cette société, il y en a, je préfère concentrer mes critiques sur leurs crimes, aussi bien à l’intérieur de leurs frontières qu’à l’extérieur, et là, on a le choix.
Aux USA, il y a la propagande, pour consommation interne et externe, et il y a la réalité, que l’on préfère ne pas percevoir, que l’on préfère taire. Vous avez tout à fait raison de dire qu’à l’intérieur même des USA il y a des critiques très sévères de la société et de ses dirigeants. Les critiques peuvent japper, la caravane continue son petit bonhomme de chemin. Le sysytème est tellement bien ancré que ce n’est pas une petite brise de gens honnêtes et éclairés qui va le déraciner.
Prenez comme exemple le dernier scandale financier. Ce M. avait été dénoncé à plusieurs reprises, soupçons, mais aucun des enquêteurs n’a été en mesure de le coincer. Si on l’avait perçu comme terroriste musulman, on aurait remué ciel et terre pour le coincer. Et pourtant, ce M. a causé beacoup plus de domages économiques et financiers que les gens du 11 septembre. Ses victimes se trouvent aux USA, en Europe et en Asie, par milliers. On est loin du 11 septembre, spectaculaire, mais limité. Une claque en pleine face.
Enfin, tout est relatif. Votre éclairage se défend très bien, sans discussion. Le nôtre, les cririques, se défend admirablement bien itou. C’est le verre à moitié plein, ou vide.
Soyons d’accord pour ne pas être d’accord.
Cordialement.
@ Serge Gingras
C’est évident qu’on peut reprocher énormément de choses aux américains. Ils agissent tellement, souvent trop, qu’ils prêtent nécessairement le flanc à la critique. Et quoi que vous en pensiez je suis parfaitement capable de critiquer les américains pour tout ce qu’ils font de condamnable. Contrairement à ce que vous affirmez les critiques qui jappent contre les États-Unis, souvent des américains en premier lieu, réussissent très souvent à stopper la caravane quand celle-ci est sur la mauvaise voie.
Ce n’est pas tellement ceux qui critiquent perpétuellement les américains qui m’agacent. Ce travail de critique doit être fait. Ce qui m’énerve cependant au plus haut point ce sont ceux qui critiquent perpétuellement les américains mais qui sont muets comme des muets quand vient le temps de critiquer également tout ce qui n’est pas américain et qui pourtant mériterait d’être critiqué avec autant sinon plus de véhémence qu’on le fait pour les américains.
C’est bien beau de condamner les américains pour leur intervention musclée en Irak mais il est rare qu’on entende dire que l’Irak, ou ses autorités, a un peu beaucoup couru après ses malheurs. Qu’on dise que Georges W. Bush a du sang sur les mains ne me trouble pas beaucoup. Qu’on ne mentionne toutefois pas immédiatement après que Saddam Hussein était un véritable boucher pataugeant dans le sang, c’est une manifestation évidente de mauvaise foi.
Je trouve par ailleurs que vos valeurs sont peut-être pour le moins disons nébuleuses. Êtes-vous en train d’essayer de me faire croire que les 50 milliards de beaux dollars perdus par ceux qui se sont fait flouer par Bernard Madoff constitue un crime plus odieux qu’un acte de guerre perpétré contre les américains au coeur même de leur territoire, un crime qui a fait 3000 victimes et qui visait à en faire beaucoup plus. Croyez-moi, les américains auraient volontiers déboursé 50 milliards de $ pour éviter ce désastre. Ils ont déjà dépensé 1000 milliards de $ pour tenter de mettre la main au collet des responsables de cette ignominie. Et l’opération est loin d’être terminée et augmente presque quotidiennement le coût en victimes militaires du côté américain. Quant aux terroristes leur sort me laisse plutôt indifférent. Si on ne les tue pas ce sont eux-mêmes qui se tueront dans des attentats-suicides dans lesquels ils tenteront d’entraîner le plus de victimes possibles dans la mort. Les tuer constitue donc un acte préventif de légitime défense. Bien sûr on peut encore une fois critiquer les méthodes américaines en Afghanistan mais ce qui m’inquiète c’est le silence quasi total entourant le comportement des Talibans et des troupes de Ben Laden. On tente pratiquement de les présenter comme des héros combattant le méchant George. Que pouvaient donc faire les autorités américaines au lendemain du 11 septembre 2001 pour satisfaire ceux qui les critiquent depuis toujours? Croiser les doigts, toucher du bois et espérer que ces situations ne se reproduisent plus? Peu importe la réaction américaine, ceux qui les critiquent depuis toujours auraient trouver d’autres raisons de continuer à les critiquer.
Bernard Madoff est un individu, un fraudeur, un criminel et non pas une nation. Il paiera pour son crime, soyez sans crainte. La justice suivra son cours. Je ne vois pas comment on peut comparer ou rapprocher un crime commis par une crapule et un acte de guerre dirigé contre toute une nation. Les gens qui sont les malheureuses victimes de la fraude commise par Madoff sont également, en bonne partie, les grandes victimes de leur propre gourmandise financière, de leur avide cupidité et de leur naïveté devant des rendements potentiels beaucoup trop élevés pour être vrais. C’est dommage qu’ils aient perdus beaucoup d’argent mais ils ont couru un peu après. Contrairement aux victimes du 11 septembre ils leur reste quand même la vie, sans blessures et une santé qui devrait être comparable à celle qu’ils avaient avant de découvrir qu’ils venaient de perdre une fortune, s’ils ne sont pas trop affectés par leur radinerie et leur pingrerie. D’ailleurs les gens avaricieux, susceptibles d’être trop affectés par une perte financière importante, ne sont pas ceux qui courent les plus grands risques en investissant leur bas de laine dans des placements à hauts rendements et donc à hauts risques. Les victimes de Madoff ont encore la vie et la santé et ce n’est pas rien. Ils ne se suicideront pas parce qu’ils ont perdu un peu d’argent, à moins qu’ils soient maladivement radins.
Votre réaction face aux victimes de Madoff me fait penser à la réaction de nombreuses personnes face aux américains qui ont perdus leurs maisons dans l’affaire des hypothèques à hauts risques. Certes il n’y a rien d’amusant dans le fait de voir quelqu’un, même un américain, perdre sa maison. Néanmoins la réalité c’est que ceux qui ont perdu leur maison dans cette affaire ont perdu une maison qu’ils n’auraient normalement pas dû avoir, une maison qu’ils n’auraient pas eu si des imbéciles n’avaient pas inventé un système de prêts qui ne tenait pas debout. Les grands perdants dans cette affaire ce sont les banques, les propriétaires des maisons n’ayant finalement pas à payer les maisons qui ont été reprises par les institutions financières. Les gens n’ont donc perdu qu’un rêve qu’ils ont réalisé un certain temps mais qui ne pouvait logiquement pas durer bien longtemps. Et ces victimes, encore une fois, ont été en grande partie victimes de leurs propres rêves, de leur naïveté et de leur ambition démesurée par rapport à leurs moyens.
J’ai trouvé un nouveau jeu amusant sur Internet.
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