RIME : Nicolas Asselin arrêté au Maroc
La partie de Mais où se cache Carmen Sandiego? de Nicolas Asselin, ex président du RIME actuellement recherché pour avoir potentiellement fraudé bon nombre de municipalités, artistes, techniciens et autres individus impliqués dans son projet de tournées, serait déjà terminée alors que la salle de nouvelles de NRJ et CIMT rapportent que l’homme d’affaires aurait été arrêté au Maroc… pour une autre affaire de fraude.
Le propriétaire d’un hôtel de luxe du Maroc aurait porté plainte contre Asselin. Ce dernier aurait tenté d’obtenir une chambre gratuite dans l’établissement – « en échange de visibilité », en fait – en se faisant passer pour un journaliste du Chicago Tribune. On imagine ici que l’hôtelier a tout simplement googlé « Nicolas Asselin » et « Chicago Tribune » en considérant l’offre et s’est vite rendu compte qu’on tentait de l’escroquer.
Si c’est le cas, la très sérieuse salle des nouvelles du Voir a également tenté l’expérience et après une recherche de moins d’une seconde, Google ne révèle que six résultats : deux sites annonçant son arrestation et d’autres qui n’ont aucun rapport avec un journaliste nommé Nicolas Asselin qui travaillerait pour l’institution.
En attendant la suite des événements, voici un reportage de CIMT à ce sujet…
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Hmm.. Personnellement, je ne crois pas qu’il ait utilisé son vrai nom et donc que cette histoire de googeler Nicolas Asselin ne tient pas. Pour le reste, j’espère que c’est vrai!
G.
Bonjour M. Gourde. C’était davantage une petite blague pour détendre l’atmosphère qu’une véritable recherche, mais je prends en note votre commentaire. J’ai d’ailleurs changé la formulation afin de démontrer davantage toute la fantaisie derrière mon «enquête».
Bonjour Mr Péloquin, Ah! je comprends mieux, merci pour cette réponse rapide! Je n’étais pas choqué non plus ;)
G.
Changer de nom en pays étranger demande une bonne dose de préparation. Le passeport étant le seul papier valable pour bouger.
c’est la raison pour laquelle Asselin devait se dissimuler derrière l’identité d’un correspondant américain pour la proposition d’échange marchandises, il lui suffisait ensuite de se présenter à l’hotel comme le journaliste francophone mandaté avec son passeport canadien, a ce moment la, la réception ne pensait plus a vérifier sur le web et hop, le tour etait joué..