Un lecteur nous dit en avoir marre du Québec actuel et entend secouer les puces de ses concitoyens. Viva la revolución? : Vivre en ville : Lettre ouverte aux autres humains
Le réalisateur indépendant Denis McCready nous dit en avoir marre du Québec actuel et entend secouer les puces de ses concitoyens. Viva la revolución?
Je ne veux pas vous faire rire, ni vous faire pleurer. Je ne vous connais pas individuellement, mais je vous aime collectivement, pour l’instant. Il peut m’arriver de ne pas vous dire bonjour, mais je me lève chaque matin en pensant à vous, mais surtout à vos enfants, à leur avenir, à notre coin de pays.
Ce texte pourrait ressembler à un caprice d’intellectuel, je le vois plutôt comme un texte prérévolutionnaire, un appel à considérer l’insurrection. Si vous êtes confortables dans votre vie actuelle, je suis venu vous parler dans le casque.
C’est qui ce gars-là pour venir nous donner sa petite opinion du monde? Brève présentation.
Je suis presque né sur l’asphalte en 1968. Pas sur le trottoir directement comme Édith Piaf, mais presque. J’ai grandi sur l’asphalte et le ciment des trottoirs du Plateau-Mont-Royal. Pendant un temps, je considérais ce périmètre qui allait du parc La Fontaine au parc Laurier et de De Lorimier à Saint-Denis comme mon territoire. Mon pays. Habité par mon peuple. Avaient droit de cité ceux qui, comme moi, avaient laissé la peau de leurs genoux sur les trottoirs, une sorte de citoyenneté du sang. On avait saigné sur le même trottoir, on avait eu mal dans le même lieu, on était des frères. Mes voisins de la classe ouvrière étaient aussi mes concitoyens; les visages de l’époque étaient un univers où s’exprimait la géographie de la pauvreté. Notre langage n’avait pas encore été émasculé par les apôtres de la rectitude mentale. J’aimais regarder l’univers en dehors de mon quartier défiler par la fenêtre de la grosse familiale de mon père quand nous faisions un tour de char. On appelait ça un char. Comme chez les Romains. Un monstre d’acier avec des roues immenses. Huit cylindres. Tout allait bien au Proche-Orient. Avec Sesame Street, Fan Fan Dédé, Sol et Gobelet, Fanfreluche, Cousteau et la Mutuelle d’Omaha, j’ai appréhendé le reste du monde en noir et blanc à la télévision. Puis est arrivé un étrange magazine que je ne comprenais pas parce que c’était en anglais: National Geographic. Heureusement, il y avait les photos couleur. Je devais avoir 4 ou 5 ans la première fois que j’ai ouvert ça. C’est là que j’ai rencontré des hommes et des femmes de tous les pays du monde. Tous différents, tous humains. Une grande famille dans un village sur le point de devenir global.
Je suis un citadin, comme d’autres sont des hommes des bois. Ça ne m’empêche pas de penser que la ville moderne du 20e siècle est devenue un endroit absurde où vivre, un lieu qui peut être cruel et qui facilite le contrôle des populations, le contrôle des individus et de leur pensée. Chaque jour, on nous dit quoi penser, quoi acheter, comment vivre et surtout on nous dit de ne pas changer le monde. Il faut donc réinventer la ville ou la détruire. Et pour ça, j’ai besoin de vous.
Une ville, c’est captivant, mais rappelons-nous que nous pouvons devenir captifs. Je comprends ceux qui veulent se sauver la fin de semaine. C’est une question de santé mentale. Notre proximité est dangereuse quand elle nous contraint comme une cage autour d’un rat. Henri Laborit, dans le film Mon oncle d’Amérique d’Alain Resnais, expose les résultats de ses recherches avec des rats. Le chercheur français a enfermé deux rats dans la même cage. Quand il ne se passe rien, ils sont tout à fait «civils» l’un avec l’autre, mais dès qu’on passe un courant électrique dans le plancher, ils s’attaquent l’un à l’autre. Dès que le courant s’arrête, ils arrêtent de se battre. Les rats répondent à l’agression immatérielle en attaquant automatiquement ce qu’ils présument être la source de l’agression: l’autre. Ce test ne laisse aucune séquelle sur les deux rats. Ensuite, Henri Laborit a répété l’expérience avec un seul rat dans la même cage. Le rat n’a pas d’autre rat à attaquer. Il sursaute, souffre, subit cette agression sans aucun exutoire physique. Laborit découvre que s’il fait subir ce traitement au rat régulièrement, l’animal développe un cancer, et Laborit théorise qu’un corps qui subit une agression sans se décharger finit par s’attaquer à lui-même. Ça ne veut pas dire que vous devez vous battre avec l’humain le plus proche dès que vous êtes de mauvaise humeur! Ou violenter votre chien ou des pigeons, SVP. Non. Mais rappelez-vous que pendant que vous êtes occupé à vous «battre» avec les autres habitants de votre ville, vous ne pouvez combattre ce qui vous fait vraiment mal: l’État et la corporation.
Depuis des mois, partout dans le monde, les peuples se soulèvent et renversent leur gouvernement, parfois dans une réelle prise de pouvoir venant de la rue, parfois en tant que simples pions sur un échiquier qui a déjà été joué pour eux, tantôt dans l’allégresse pacifique, tantôt dans un bain de sang. Les citoyens du monde veulent se libérer de leurs dirigeants parce que ces gouvernements ont échoué de manière accablante.
Les Québécois ont autant de raisons d’être en colère. Nous sommes collectivement bien nantis, nous mangeons relativement à notre faim, nous sommes libres de nos opinions politiques – quand on se compare, on se console, diront certains –, mais la colère sommeille. Vous le savez, vous la sentez. On nous ment, on nous pille, on érode nos libertés fondamentales, on nous monte l’un contre l’autre. Ne soyons pas bêtes; ne nous rendons pas malades à force de subir cette agression sans réagir. Si on a mal ensemble, il faut agir ensemble.
En ce moment, nos infrastructures routières sont devenues le symbole du Québec: des politiciens et des corporations s’assoient et décident de dépenser l’argent de vos impôts en plaçant la priorité sur leur bénéfices communs: la cotisation politique pour le politicien, l’argent excessif pour la corporation, qu’elle soit une entreprise de construction de routes ou de barrages hydroélectriques, un empire médiatique, une compagnie de boissons gazeuses ou une compagnie de pétrole, de gaz ou de minerais. Nos ponts tombent et tuent, et on ne sait pas qui est responsable. Le pouvoir est exclusif, le profit privé, la dette publique et la bêtise anonyme.
Après l’invention de la ville moderne, nous avons assisté à l’invention de la ville virtuelle. Et en bon peuple grégaire que nous sommes, nous avons investi les lieux d’Internet massivement: courriel, sites Web, blogues, Facebook, Twitter, Google+, etc. Nous sommes des citadins très volontaires, tant dans notre cité physique que sur Internet, mais nous sommes divisés. Par les petites querelles quotidiennes, par les divertissements inutiles et abrutissants. Les messages de ceux qui veulent nous informer et nous aider sont difficiles à entendre parce qu’il y a beaucoup de bruit. On est plus intéressé par une recette de cuisine que par une recette pour devenir libre. Notre capacité d’indignation est complètement déboussolée. On hurle dans les tribunes publiques de tout acabit parce qu’un père a tué ses deux enfants – un acte horrible –, mais on ne lève pas le nez de nos téléphones «intelligents» quand notre premier ministre nous annonce qu’il va vendre le grenier de nos ressources naturelles à des pays étrangers pour une bouchée de pain. On ne rouspète pas contre les implications de cette décision du gouvernement de donner un prix à l’eau potable traitée par les usines de notre ville afin que des compagnies l’embouteillent pour faire des millions de profits. On ne bronche pas lorsque notre ex-ministre des Ressources naturelles, Mme Nathalie Normandeau, fait de l’à-plat-ventrisme devant la compagnie Pétrolia, respectant un ordre de cette corporation de fermer sa gueule sur l’entente entre cette compagnie et Hydro-Québec: la société d’État a cédé le pétrole de l’île d’Anticosti – une ressource collective – pour une redevance gardée secrète pour l’instant. Je vous épargne l’énoncé du bilan environnemental possible, mais sachez que cette réserve de pétrole est accessible seulement par fracturation hydraulique et qu’elle pourrait entraîner jusqu’à 3 trillions de dollars de profits. Si on coupait la pomme en deux avec Pétrolia, on réglerait la dette du Québec et on pourrait payer les soins de santé de tous les enfants à naître cette année jusqu’à leur mort. Mais M. Charest préfère vendre nos ressources naturelles au moins offrant. Les compagnies minières vident notre sous-sol depuis des années pour une petite poignée de change (à peine 3% de redevances réelles) et si l’exploitation du gaz de schiste allait de l’avant, cela se ferait sous ce régime; autant dire qu’on prendrait un risque environnemental phénoménal avec la vallée du Saint-Laurent – notre garde-manger – pour des pinottes. Je vous épargne le discours sur l’hydroélectricité, je me suis exprimé là-dessus dans le film que j’ai produit – Chercher le courant –, mais avec le projet de la Romaine, on nage en pleine absurdité de dépenser huit milliards de dollars pour produire de l’électricité qu’on va vendre à perte. Le Plan Nord du gouvernement Charest va coûter 80 milliards de dollars d’investissement, mais va rapporter seulement 28 milliards de revenus à l’État… Il est fou cet homme ou quoi? On dépenserait 80 pour gagner 28. Imaginez la tête d’un banquier ou d’un directeur de Caisse populaire si vous alliez négocier un prêt pour une maison avec ce genre de logique de revente. On vous expulserait à coups de pied dans le cul. Si on laisse faire le gouvernement actuel, l’avenir de nos enfants se résumera à travailler sous terre dans une mine du Plan Nord pour un patron étranger. Je n’ai pas envie de devenir l’esclave d’une corporation qui pompe nos ressources et vide notre pays de sa richesse. L’eau, le pétrole, les mines, le gaz naturel, l’hydroélectricité, ce gouvernement se comporte comme un proxénète et nous vend à des vautours en nous disant que c’est pour notre bien. Et quand ils nous auront bien vidés, qu’on ne sera plus qu’un territoire expurgé de ses ressources, ils nous laisseront dépenser le peu d’argent gagné dans cet échange qui s’apparente à un vol pour nettoyer les océans de merde toxique qu’ils auront laissés derrière eux.
Mais nous n’avons pas dit notre dernier mot et il est encore temps. C’est ici que vous avez votre rôle à jouer. Vous êtes des citadins, oui, mais il est temps de devenir de vrais citoyens. Regardez plus loin que votre quartier, regardez plus loin que vos divergences partisanes, qui sont autant de manières de nous diviser. Si nous ne terminons pas ce qui a été commencé dans les années 60 avec la Révolution tranquille, que nous soyons fédérés au Canada ou souverains, nous resterons un peuple esclave des corporations étrangères. Les citoyens de la vallée du Saint-Laurent se sont réunis, se sont coalisés et ils ont réussi à envoyer le message aux gouvernements et aux compagnies gazières qu’ils avaient leur mot à dire dans le dossier du gaz de schiste. Ça se passait dans leur cour. Mais notre cour à tous, c’est le Québec. Présentement, le gouvernement nous méprise et des compagnies comme Pétrolia tentent de museler la critique en utilisant les tribunaux; il est temps de se lever et de poser un geste de citoyens libres.
Le Québec est maintenant comme une grosse ville. Nous sommes physiquement proches l’un de l’autre, nous sommes connectés l’un avec l’autre. Imaginez, en 1962, René Lévesque a fait le tour de la province avec un tableau noir pis une craie pour rejoindre des gens majoritairement non éduqués afin de leur faire comprendre qu’il fallait devenir «Maîtres chez nous» en nationalisant l’électricité. Une révolution tranquille, mais une révolution quand même. Vos oncles, vos pères, vos mères même se sont échinés à sortir notre province du moyen âge pour nous donner une richesse collective et un avenir moderne, pis vous restez tranquilles à attendre de recevoir le courriel qui va vous dire que la révolution commence demain.
Alors que les fascistes sont à Québec et à Ottawa, que l’opposition est édentée, pendant qu’on torture des enfants en votre nom, pendant qu’on vend le sous-sol québécois pour le prix d’un vieux char, vous continuez de vous regarder le nombril, soucieux de votre standing dans une clique, convaincus que votre recyclage hebdomadaire et vos balades en vélo font de vous des citoyens dignes de ce nom. À mon sens, vous n’avez pas encore prouvé que vous avez droit de cité.
Vous avez aujourd’hui entre les mains l’outil le plus révolutionnaire depuis la machine à imprimer de Gutenberg, et tout ce que vous trouvez à dire avec, c’est: «chus saoul», «j’mange de la poutine», «checke la pitoune», «j’fais dodo», «mon chien yé cute»!
Vous n’êtes pas ignorants pourtant! Vous consommez journaux, TV, radio, Web. Et le problème est là. Vous consommez. Un citadin paie des taxes; un citoyen participe à la cité. Vous avez arrêté de penser et d’agir, alors que notre province se fait violer par des bandits. Vous restez à rien faire pendant que des étrangers pis des traîtres à cravate élus à l’Assemblée nationale du Québec complotent pour vous voler vos soins de santé, vos écoles, vos ressources naturelles, votre liberté d’expression et votre liberté de presse. Dans certains pays, des peuples ont pendu leur chef d’État pour moins que ça. Ce n’est pas une suggestion, c’est une observation.
Vous dormez comme un peuple de poteux dépressifs, obsédés par vos pères qui ne vous ont pas assez aimés pis vos mères qui vous protégeaient trop, suicidaires en hiver et légumes en été, critiqueux sans épine dorsale, petits gérants d’estrade dans un stade qui ne vous appartient même plus, génération de nouveaux moutons électriques qui se laissent manger la laine sur le dos par une corporation étrangère qui a donné une grosse enveloppe brune pour faire de vous des esclaves modernes.
Réveillez-vous, réveillez-vous, réveillez-vous. Vous vous faites mentir en pleine face et au lieu de vous organiser, vous restez assis à attendre que quelqu’un donne le signal. Dans votre tête, la solidarité, c’est quand deux lofteurs se mettent en gang pour bitcher une conne obsédée par la grosseur de son cul à la TV.
On est les descendants d’une bande de capotés qui ont découvert l’Amérique en canots d’écorce, qui commerçaient avec les Indiens au lieu de les massacrer, qui baisaient les Indiennes au lieu de leur donner des couvertures infectées par la variole, le peuple qui a accueilli les Irlandais et les Écossais, les Italiens, les Chinois, les Vietnamiens, les Haïtiens, même si on n’avait presque rien à leur offrir sauf de la place. On est un peuple qui s’est affranchi sans armes des patrons anglais et étrangers qui nous maintenaient dans la misère. J’ai un message pour vous: ils sont de retour.
On est en danger de perdre ce pourquoi nos ancêtres se sont battus, parfois même jusqu’en Europe. Je suis un citadin grégaire, je vis dans ce gros village avec vous, mais je n’ai pas envie de me battre tout seul. SVP. Réveillez-vous, réveillez-vous, réveillez-vous maintenant.
Très percutant. Merci. J’aime beaucoup l’avant-dernier paragraphe.
Comme vous avez raison! Mais l’être humain est ainsi fait. lorsque que quelqu’un se lêve pour dénoncer, manifester, revendiquer tout le monde l’applaudit, le félicite et après une petite tape dans le dos retourne s’asseoir pour commenter la télé réalité qu’il consière comme faisant parti de sa vie.Sans oublier biensûr ceux qui écrivent « wow t’é belle » ou cliquer j’aime à une fille qui a une face de 12 ans avec un corps de 20 déguisée en pin-up. en plus de ceux et qui sot frustré et qui se permettent de démolir ceux et celles qui font quelque chose pour eux même et pour les autres.Vous avez raison et votre discours est vrai.
M. Mccready,
grandiose, seul mot à dire de votre texte, j’ai failli avoir le goût de plus aller voir ce qui se passe sur mon Facebook ou ma boîte courriel pendant deux minutes. Nous traversons en ce moment une grande période d’incertitude, de lassitude nationale, d’ironie, de cynisme, de refus de grands projets…d’hypermodernité…votre message est nécessaire, juste et passionant. Mais comme des millions de mes congénères, je m’ennuie, je suis cynique, je surfe avec des statuts originaux sur mon wall, j’attends des courriels annonciateurs de la prochaine pinte entre copains ausi désabusés que moi, je regarde le temps passé sur les terrasses, je vais sur youporn sans le dire à personne, je fais croire aux gens autour de moi que je suis donc occupé. En attendant, comme des dizaines de gens chez qui je l’ai vu plus que clairement…je m’emmerde, je ne sais pas quoi faire et je ne crois plus en grand chose ni en ma province…
Pourtant, j’ai des jours l’appel de l’insurrection, surtout quand je lis des gens comme vous.
J’admire votre courage. Quelle justesse.
Mon frère Humain, je partage en tout point ton opinion exprimé ici… je partage un peu moins ta verve mais il n’en demeure pas moins que ton cris du coeur vient toucher le mien de plein fouet! Il me touche car depuis un bout déjà que je rumine les mêmes constats et que le découragement qui en résulte est souvent attribué (pour ma part) au fait que je sens les gens complètement endormis.. hypnotisés par leur quotidien.. Il n’est désormais plus possible de discuter intelligement des problèmes de notre société sans se faire répondre qu’on ne peut rien y faire. Que c’est comme ça vivre en société… Il y a pourtant des solutions, le système marchand dominant en place est voué à l’échec et il est impératif que nous sachions ce que nous voulons pour le remplacer car si ce n’est pas nous qui le faisons, il y a des gens dans ce monde qui vont y penser pour nous-autres… et ce ne sera pas dans notre intérêt. Alors mon cher Denis. Je nous souhaites de nous organiser bientôt! Je veux faire partie de la solution moi aussi et c’est ce à quoi je travaille présentement… Peut-être aurai-je la chance de te rencontrer sur ce chemin! En attendant je te lève mon chapeau!
Moi j’ai envie de savoir ce que toi tu as envie. Pour toi-même, pour nous tous. Dis moi le parce que je te jure de toute mes forces que ya rien d’impossible. Et c’est toi, et c’est moi qui doivent les diffuser nos idées. Dis moi pas qu’à la gang qu’on est ya pas moyen de trouver comment changer les choses, de les mettre à notre goût. Juste à lire les commentaires ici, on le voit bien qu’on est pas tout seul tannés de tout ça. Yen a des fatalistes, yen a qui se sentent dépassés, yen a des purement passionnés, C’est beau de vous voir et moi je crois qu’au minimum vous avez tous la flamme et que c’est la seule chose qui faut. Découvrez le pouvoir, la pertinence qu’il y a dans prendre un moment pour réfléchir! Ne pas occuper son esprit par quelques futiles occupations que ce soit et réfléchir, parvenir à des constants en se posant des questions, on est tous capable de réfléchir non! Pas besoin de personne pour ça et ça fait avancer le monde ya pas de doute la dessus!
Pour ma part, je m’informe, je doute, je pense. Et je construis des raisonnements, des déductions, je construis des opinions, mais aussi des idées. J’essaie de ne pas me laisser avoir. Je n’ai pas de doute qu’on ai encore du pouvoir. Nous avons le droit de penser, Abusons-en !
Cinthia 18 ans
Oh Oui!!! Que le peuple de ce beau coin de pays qui est le mien depuis maintenant 11 ans se rende compte enfin de sa valeur collective et qu’il cesse enfin de se considérer comme un peuple de vaincu, à se comparer avec une fausse modestie maladive avec les voisins du sud ou encore ceux de l’autre côté de l’océan. Qu’il comprenne enfin sa valeur et son potentiel et qu’il prenne son avenir en main comme cela à déjà été fait par le passé. Je me souviens encore quand je suis arrivé ici et que j’ai découvert la démarche d’indépendance du Québec et que dans je répondait alors : « mais au lieu de vous séparer du Canada, pourquoi vous ne prendriez pas le « lead » du pays. On a tout icit pour le faire! »
Merci, Denis, d’exprimer si bien ce que tant pense.
C’est quoi une révolution? Une conscience collective qui s’ouvre, se réveille comme tu dis. Le vote? La politique citoyenne? Be the change, right? J’adère sur toute la ligne mais je me sens quand même seul, et surtout trop occuper pour m’y concacrer vraiment. Si je serais vraiment pauvre j’aurais peut-être le temps de m’y mettre. À la place je me vois esclaver par ma richesse. C’est un bon coup au derrière que tu me donne, Denis. J’en avait justement mon casque aussi de chialer sur le sort de notre beau pays.
Certains endormis diront que tu es alarmiste, Denis. Mais tu donnes seulement la fréquence de la réalité. On sait ou au moins on sent que ça ne peut plus continuer comme ça.
Merci de le crier comme ça, sans la pudeur fatiguée du coolisme.
En réalité, ça va mal en câliss.
Ian
Le monde est fait d’une succession d’époques qui ont toutes eu leurs sauveurs « plus réveillés » que les autres. Et puis de révolution il n’y a jamais eu finalement. C’est peut-être pour cela que ce mot se transmet de génération en génération. « Reveillez-vous ».
Il y en a qui peignent des peintures ineptes sur des toiles ineptes. D’autres qui écrivent des livres ineptes parlant de choses ineptes. La seule valeur sûr tout au long de l’existence de l’humanité à été la valeur « réveillez-vous, vous vous faites entuber ». ça et l’amour, à l’origine de presque toutes les histoire. De la plus jeune à la plus ancienne.
La révolte. Pour moi, ni plus ni moins qu’un sujet parmi les autres sur la toile du monde. Pas plus valable aujourd’hui qu’il y a 10, 50 ou 100 ans.
On ne peut pas vivre sans révolte. C’est pour cela que dans chaque génération, il y a quelques personnes révoltées. On ne peut pas non plus vivre sans musique, sans littérature…
Bonne révolte. Moi j’ai autre chose.
That’s it. « Become the change you want to see in the world » – Gandhi
Un enfant qui apprend à marcher tombe et se relève et ce, plus d’une fois. C’est dans la nature de l’humain. Pourquoi en grandissant, le québécois perd son courage, sa volonté, sa détermination?(Je dis québécois car je ne crois pas que ce soit partout comme ça). Une question d’éducation? On éduque nos enfants dans la ouate? Dès que c’est un peu difficile, on fait pour eux? On ne les laisse pas se débrouiller? On les contraint dans leurs ambitions car on a peur? On le surprotège? Je crois que j’ai eu une éducation teintée de tout cela. Aujourd’hui nous sommes entourés d’adultes qui font ça avec leurs enfants. Moi même je serais aller sur ce terrain avec mes enfants si j’avais pas eu un chum originaire de France courageux, déterminé et généreux. C’est lui qui m’a tout appris! Loin d’être parfaite, son éducation baignait dans ces valeurs.
Au Québec, on a eu des échecs mais on a eu aussi beaucoup de victoires.Il faut voir le coté positif et il faut surtout retrouver le courage et la détermination et oui c’est possible, j’en suis un exemple.
Bravo
Ce sont de gros jugements que tu énonces dans ton message…. Les fascistes dont tu parles sont élus démocratiquement… Et, il faut bien le dire, sur le plan économique, les Conservateurs se tirent bien d’affaires. Le Canada est un des rares pays à ne pas ressentir les effets de la récession mondiale… Juste à titre d’exemple, Barrack Obama, qui n’est pas un fascite, est incapable d’accroître le nombre d’emplois aux É-U malgré toute sa bonne volonté. Je sais bien que la croissance éco du Canada a un impact environnemental (sables bitumineux), mais ils se tirent bien d’affaires quand même… Et pour t’encourager, les Québécois ont voté massivement pour le Nouveau parti démocratique, ce qui est assez formidable pour un peuple de mangeux de donuts…
Pour répondre à une des commentaires, le problème n’est pas que Obama ne réussit pas à créer de l’emploi, le problème c’est que l’on a la logique qu’il faut consommer plus pour créer ces emplois… ça va à l’encontre de toutes logiques environnementales et plus… Il faut voir autrement. Les sables bitumineux! bravo, on s’en sort… mais qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire à long terme ce on s’en sort bien?? ça va plutôt très mal à long terme.
La seule raison pour laquelle le Canada ressent moins les effets de la récession que partout ailleur est que nous exportons en très grande majortié des matières premières. Il ne faut pas penser que Harper a fait de bonne choses alors que ce n’est pas le cas. Remercions nos terres canadiennes à la place!
Monsieur,
D’aobord, si le Canada se porte relativement bien, ce n’est pas suivants les politiques des conservateurs, qui eux mêmes se sont fait forcer la main comme minoriaires afin de préparer un »plan de relance ». Ils avaient par ailleurs un état déjà stable financiairement reçu en cadeau par un gestionnaire avant eux.
Aux É.U., M. Obama a reçu en héritage un pays à l’esprit obtu, surendetté , impliqué dans trop de guerres, asservi par des règles financières au seul bénéfice des banquiers et conglomérats.
Il n’est par ailleurs pas plus encourageant de voir mes concitoyens voter massivement pour le NPD sous réclame de changement, lorsqu’ainsi l’on favorise un système dysfonctionnel depuis son origine. Le changement, le vrai, est proposé dans le texte dont vous faites la critique. Le problème est latent, il ne peut se régler que collectivement, en opposition à la primauté de l’individu.
Par ailleurs, l’on dit «vous», non «tu».
Monsieur, se faire élire »démocratiquement » n’empêche personne d’être fasciste, on aura vu par le passé plusieurs leaders politiques élus pencher vers des formes de fascisme ou même de dictature tyrannique… pensons à Haïti, par exemple, ou même à l’Allemagne, à certains points dans l’histoire, pour n’en nommer que quelques-uns… non pas que nous en soyons rendus là, évidemment, mais simplement pour vous démontrer à quel point vous posez un jugement bien rapide à votre tour. Critiquez, certes, mais faites-le sciemment s’il-vous-plaît, que ce soit un tant soit peu constructif. Merci.
Un cri de coeur émouvante d’un sensibilité régler avec précision à notre condition moderne et gaspilleuse. C’est la vraie tragède de nos jours que nous détruisons ceux qui est irremplaçables. Merci M. McCready pour en dire cette triste vérité:
Bravo pour ce témoignage de lucidité. Je partage entièrement votre pensée. Contrairement à certains qui «attendent le courriel qui va vous dire que la révolution commence demain», je suis de ceux qui prépare le dit courriel., à la différence que ce ne sera pas pour la «révolution», mais plutôt pour «l’Évolution» de notre peuple.
Encore une fois Bravo, et à très bientôt.
Denis yogi
j’espère que tu as lu « l’insurrection qui vient » le type qui est suspecté de la l’avoir ecrit est en taule suspecté d’avoir saboté une ligne de train rapide en france,
tu dois etre certain que tu n’es pas seul.
Il y a un gros problème d’information et de consciantisation à régler. Excusez pour l’anglais, mais cela m’a rappelé cette citation de je ne sais plus qui: « NONE ARE MORE HOPELESSLY ENSLAVED THAN THOSE WHO FALSELY BELIEVE THEY ARE FREE ».
Très juste comme commentaire, et j’ajouterais que ceux qui croient détenir la vérité sont aussi, souvent, ceux qui sont le plus dans l’erreur!
enfin quelqu’un qui pense ce que je crois depuis bien longtemps.,,,,
merci
Vous en avez du souffle monsieur McCready. Je trouve votre texte motivant, mobilisateur. Je suis plus sensible à des propos comme les vôtres qu’à tous les discours de politiciens ou politiciennes parce que vous dites les choses comme on aimerait les dire. Qui êtes-vous donc!
Que faire à part d’écrire ici et là. Avez-vous une page Facebook, un site web, une pétition, une déclaration à signer?
Bonjour Madame Morin. Ce que vous pouvez faire, ce sera d’assister à la prochaine rencontre (la 2iè) du NOUVEAU MOUVEMENT POUR LE QUÉBEC. Nous étions près 500 personnes de tous horizons et de sentiments politiques, de « constatateurs » (comme moi) aux extrémistes en passant pas des modérés. Ce n’est pas un parti politique Madame Morin, mais un groupe de groupes et de Madames et de Monsieurs tout le monde qui en ont raz le bol de ce qui ce passe de néfaste dans la politique québécois depuis déjà trop longtemps. Allez-y Madame et embarquez-vous de ce mouvement qui ne désire QUE L’INDÉPENDANCE !
Mme Morin, j’ai un blogue où je consigne mes écrits et une page Facebook où j’affiche des articles que je considère important pour mes concitoyens. Je suis facile à trouver, vous n’avez qu’à chercher mon nom complet sur Google ou Facebook. Je ne suis pas membre d’un groupe ou d’un parti politique, je ne suis pas souverainiste ou fédéraliste, je suis ni de gauche, ni de droite, bien au contraire (Merci Coluche!)
-Denis McCready
Personne ne peut être en désaccord avec un tel texte. Le problème est plus, je crois, dans le comment produire une telle révolution. On le sait tous à quel point nous en avons besoin. Cependant, est-ce que l’on s’entend que si je descends dans la rue à crier mon indignation ou à aller lancer des briques sur les bureaux des ministres, je vais me faire traiter soit de folle ou bien je vais me faire arrêter?
Il faudrait faire un genre de « flashmob » révolutionnaire… Toi, auteur de ces lignes, pourquoi ne partirais-tu pas le projet? Tu nous dis de nous réveiller et nous le sommes, je crois, pas mal tous au même niveau que toi. Tu as écrit ces lignes ce qui te donne un pas en avant au niveau de l’action, mais un pas c’est quand même loin d’une course.
Dans tout projet, ça prend un leader. Tu nous pointe du doigt nous disant que l’on a besoin de ça. Oui, c’est vrai. Pourquoi ne le fais-tu pas?
Sans doute parce que tu es aussi confortable dans ton petit boulot contractuel de chroniqueur à Voir et que faire un pas vers une révolution pourrait mettre ce job en péril. Il ne faut pas accuser les autres d’avoir peur de quelque chose quand nous avons ces mêmes peurs.
Si tu crois fermement à ce projet, pars-le. Avec le nombre de « recommandations » et de « tweets » que ce texte à eu, la journée qu’un vrai leader va se lever, les moutons vont se transformer en loups et vont aussi attaquer.
Les leaders sont déjà là mais personne ne les écoute, trop occupés à suivre Loft Story et ces idiots à la télé endoctrinement et toi qui demandes à Denis de faire le premier pas, tu ne te rends pas compte que dans ce texte il prend déjà des risques!
Toi qui demandes que le monde bouge avant de bouger, n’es-tu pas le genre de moutons que le texte décrit?. Pour ceux qui croient que nous nous en tirons bien sur le plan économique contrairement aux autres pays, ce n’est qu’une question de temps avant que nous les y rejoignons, car cette abondance aura une fin et cette fin entrainera le peuple à se révolter malheureusement trop tard. Les ressources ne sont pas éternelles et nous vivons actuellement sur les réserves de nos enfants. Pour changer le monde, il faut accepter de réduire notre croissance économique, notre niveau de vie, notre consommation outrancière pour assurer une planète décente à nos futures générations. Est-ce que cela veut dire de vivre dans la pauvreté? Non, mais plutôt de s’enrichir l’esprit plutôt que les poches, de vivre une vie de plein-air plutôt qu’une vie de centre d’achat. Sachant que les ressources pétrolières tirent à leur fin, pourquoi encourager des loisirs qui ont leur base sur ce pétrole comme les vtt et les motoneiges? Sommes-nous aveugles à ce point que collectivement nous encourageons à même nos impôts le développement des circuits de vtt en sachant pertinemment que c’est un cul de sac? Nous devons tous êtres des Leaders et sortir dans la rue pour dénoncer, décrier et même faire de la désobéissance civile car les quelques milliardaires qui dirigent le monde et utilisent nos Politiciens comme des marionnettes, ont des moyens puissants et des ressources illimitées pour nous séduire. Ils doivent comprendre maintenant que c’est terminé et que le monde va changer.
J’aime !!!!
C’est parce qu’on a tous peur de se battre tout seul que personne n’ose se battre. On attend que quelqu’un d’autre passe à l’action mais quand quelqu’un le fait, il faut le critiquer et le démolir … un peu comme des pré-ados à l’école qui se rallient du côté de l’intimidateur pour faire souffrir le bouc-émissaire par peur de se faire intimider à leur tour. À l’école comme dans le monde des adultes, il faut des individus très courageux, très résilients, très débrouillards, pour oser se tenir debout. Tu ne te bats pas seul, mais ceux qui se battent sont en minorité, se battent isolément contre une multitude.
« Les peuples qui servent des maîtres injustes et qui obéissent tout en se plaignant de leurs maîtres, ne sont que de mauvais esclaves. Il faut les surveiller pour
qu’ils ne se révoltent pas, et les punir lorsqu’ils murmurent.
Nulle domination n’est injuste tant qu’un peuple la souffre : car les peuples savent bien qu’ils sont les plus forts dès qu’ils le veulent.
Mais un peuple qui a peur n’est pas un peuple ; c’est une meute de chiens édentés.
Un peuple qui veut manger et boire, et qui se soucie peu d’être libre, n’est qu’un troupeau d’animaux immondes.
Un peuple qui ne cherche pas à s’instruire et qui ne préfère pas à toutes choses les richesses de l’intelligence, ne sera jamais un peuple libre. »
— Éliphas Lévi, le Testament de la Liberté
Merci pour ce message.
Excellent texte qui rappelle le pamphlet « Indignez-vous » et qu’il faut faire circuler.
Bonjour,
Lors de l’assemblée du NMQ du 21 août, un certain Daniel Breton a lancé une idée susceptible de faire vibrer la corde sensible de l’ensemble des Québécois (http://www.tagtele.com/videos/voir/73448/).
À l’heure où on se fait voler à tour de bras nos ressources naturelles par l’oligarchie au pouvoir, j’y vois les prémices de la future Révolution tranquille à laquelle vous faites indirectement allusion et dont le Québec a urgemment besoin si nous voulons que nos richesses naturelles servent à notre enrichissement collectif et à préparer, avant qu’il ne soit trop tard, l’avènement de ce pays du Québec qui se laisse tant désirer.
Qu’en pensez-vous?…
Normand PAIEMENT
PS – Histoire de lancer comme vous un cri du coeur à mes compatriotes endormis, je suis tenté de reprendre à mon compte, en la modifiant à peine pour l’adapter aux circonstances actuelles, une citation restée célèbre dans notre mémoire collective: « Z’êtes pas tannés de vous faire f******, bande de caves!? »
Merci M. Paiement pour ce vidéo. Je n’étais point au courant de ces faits. C’est le grand temps que je me réveil. Je suis prête à passer à l’action pour ma belle province que j’aime tant!
Monsieur McCready a une très belle plume qui nous secoue les puces. Effectivement, trop d’entre nous dormons pendant que d’autres gèrent nos vies à notre place dans l’intérêt des dominants de ce monde. Je suis tous les jours indignée sur les mêmes observations que l’auteur mais j’ai quelques critiques à faire sur son texte. La première est son idéalisation de nos ancêtres en canots d’écorce alors qu’ils ont commencé le génocide des autochtones, pas souvent avec des gun, plutôt avec l’impérialisme sournois de la culture occidentale et consumériste, celle là même que McCready pourfend dans son texte. Et puis plusieurs de nos ancêtres ne baisaient pas les indiennes mais les violaient, on a qu’à penser aux pensionnats. Mais il est vrai que les colons français se sont métissés avec les autochtones, ce que les conquérants anglophones ne « s’abaissaient pas » à faire.
Autre critique: Pour nous aider à maîtriser notre destinée, il n’y a pas que la nationalisation de nos ressources et les redevances équitables à mettre en place, il faut aussi cesser de développer, d’exploiter et de produire, il faut arrêter la folie du système capitaliste qui nous mène à notre perte. Pour ce faire, Il y a aussi tout le champs politique qu’il faut investir, à petite et grande échelle, autant dans les organisations autonomes qu’au gouvernement. On a besoin d’un pays porteur d’un projet de société et on pourrait y arriver au sein d’un Québec souverain, un Québec émancipé, progressiste, ouvert et qui pourrait intervenir sur les enjeux mondiaux. Rappelons-nous les hiver 2002 2003 au Québec, lors de l’invasion irakienne par les USA, les immenses manifestations de protestation réunissant des centaines de milliers de personnes à Montréal. Il n’y a pas eu d’équivalent au Canada ou aux États-Unis. En Europe seulement. Comme quoi, les gens ici sont capables de ne pas être amorphes et se préoccuper des choses graves qui affectent la planète en entier. Moi aussi, je suis mûre pour une petite révolution!
D’accord avec èEve. D’accord sur le fond et sur le sentiment d’urgence et la nécessité de cesser de développer à outrance, mais il y a ici et là dans le texte une instrumentalisation des femmes (p. ex. « grosse conne obsédée par la grosseur de son cul ») qui me rappelle que le sexisme c’est une autre forme de pouvoir intériorisé qui jette les rats l’un contre l’autre.
Bonjour,
Le texte est effectivement imparfait ; il a été écrit initialement pour être lu en public (avec les emphases et nuances permises, et le fait qu’on peut adopter un ton sarcastique pour donner ou détourner le sens des mots) et il y a aussi quelques raccourcis. J’aimerais apporter une nuance.
Par rapport aux Premières Nations : je ne nie pas le génocide canadien, ni ne prétend que les abus sexuels de l’église n’ont pas eu lieu, mais c’est historiquement vrai : il y a eu beaucoup de couples mixtes Français-Amérindiens, la politique génocidaire contre les Premières Nations est arrivée après la conquête britannique (je ne prétends pas que les Français n’ont pas tué d’autochtones mais il y a une différence entre une bourgade attaquée et des politiques fédérales canadiennes appliquées sur des centaines d’années et dont certaines sont encore en place).
Ceci dit ça peut être mal reçu quand c’est écrit, plutôt que livré verbalement et ça pourrait bénéficier d’un coup de rabot et de papier sablé pour arrondir ce coin-là.
Merci de m’avoir donné l’occasion de clarifier ce point.
-Denis McCready
Il y avait une politique centralisée et organisée de lutte aux amérindiens à l’époque de la Nouvelle-France. Les Hurons et Iroquois étaient montés un contre l’autre et ces derniers systématiquement éliminés. Je vous suggère de lire un peu sur le sujet (que ce soit sur les actions du régiment Carignan-Salières ou de notre « héro national » Dollar Des Ormeaux, par exemple) pour dégonfler un peu votre balloune sur la suprémacie morale du peuple québécois. Je partage certains de vos sentiments, mais lorsque l’on pratique l’oublie historique sélectif, on tombe dans la démagogie et l’extrémisme.
//Vous dormez comme un peuple de poteux dépressifs, obsédés par vos pères qui ne vous ont pas assez aimés pis vos mères qui vous protégeaient trop, suicidaires en hiver et légumes en été, critiqueux sans épine dorsale, petits gérants d’estrade dans un stade qui ne vous appartient même plus, génération de nouveaux moutons électriques qui se laissent manger la laine sur le dos par une corporation étrangère qui a donné une grosse enveloppe brune pour faire de vous des esclaves modernes.//
Tout cela est terriblement vrai, au point qu’il absurde, ce texte, car il est inutile de s’adresser aux dormeurs, aux obsédés, aux suicidaires, aux légumes, aux êtres humains dénués d’une épine dorsale, aux petits gérants, aux moutons électriques, et aux esclaves.
Je pense plutôt qu’il faut s’adresser à tout le monde pour faire changer les choses. Et que c’est justement le fait que la communauté a passée la main à l’individualité qui nuit à la mobilisation citoyenne. Nous avons besoin d’être nombreux pour renverser le néo-libéralisme. Le plus de gens possible doivent se sentir concerner. Il y a un travail énorme au niveau de l’éducation populaire. Nous faisons tous partie de cette société. Effectivement, c’est frustrant de constater que certains on l’air de s’en ficher royalement. Mais en même temps, ils sont simplement pris dans le beau piège qui nous est tendu. Quoi de plus normal!
Le texte qui nous est présenté est terriblement décapant de vérités. Seulement, si on ne veut pas toujours être les mêmes à faire des manif et des actions pour bouger les choses. Il faudrait commencer à être plus inclusif et arrêter de traiter ceux qui n’ont pas encore compris de cons…Je ne crois pas que c’est de cette manière qu’on fera un beau projet de société. Ils n’ont déjà pas envie de la faire la révolution et sûrement qu’il n’en voit absolument pas l’utilité. En lisant ses lignes, je ne pense pas qu’ils se diront: «allons s’y, arrêtons-d’être des moutons…maudit qu’on est niaiseux, faisons quelque chose!!!»
Pour soulever une révolution, il faut que les convaincus ne s’adressent pas seulement à leurs compatriotes. C’est à nous tous de nous adresser à ceux qui voient pas clair. Pas en les dénigrant, mais plutôt en partant de leurs intérêts, de se qu’ils connaissent. Voilà!!! On va l’avoir la révolution.
J’aurais aussi aimé que l’auteur nous donne un petit rendez-vous ou du moins une action possible à faire. Une ouverture, une proposition, justement pour ne plus attendre!
M. McReady, je réponds rarement dans les tribunes de la sorte. Mais ce texte me touche tellement, je le ressens jusque dans le plus lointain souvenir de mon père. C’est vrai, j’ai été élevée par des militants. Et oui, ils étaient marxistes-lenninistes. Cette indignation dont vous déplorez l’absence, habite chacune de mes cellules. Depuis le temps (je suis encore toute jeune, vous direz), j’ai entrepris plusieurs combats citoyens. Contre la fluorisation de l’eau, pour une nouvelle salle de spectacles, contre la prière à l’hôtel de ville (vous aurez deviné d’où je viens, et les possibilités infinies du combat citoyen par ici). Ça prend du temps, ça prend de l’énergie, ça prend énormément de conviction.
Le pouvoir s’est bien organisé pour que le combat citoyen s’éteigne de lui-même. Il s’est si bien organisé, qu’il sait très bien quoi faire avec l’opposition, et en plus il possède les moyens de les mettre en oeuvre. Car outre les moyens répandus pour endormir la majorité (télé, jeux, internet, etc.), le pouvoir et la corporation manipulent aisément les médias et ont compris depuis longtemps qu’il est très simple de faire perdre toute crédibilité à quelqu’un qui s’oppose. Les opposants « naturels » sont d’abord statistiquement « naturels ». L’étiquetage et la mise en place de « fausses » idéologies ou divergences politiques. L’infiltration de comités et les menaces de poursuites. Je sais pertinement que je ne suis pas « dans le milieu », alors je me dis que ce que je sais n’est en fait que la pointe de l’iceberg.
Avez-vous déjà fait campagne politique, M. McCready? Convaincre quelqu’un de signer votre acte de candidature? Être confronté à un groupe de gens fortement politisé qui affirme haut et fort voter pour Trudeau père? Car avec les mots, on est bien beaux. Vous décrivez la situation si rondement, qu’on se dit: ben oui, comment ça se fait que je n’ai pas commencé une révolution hier? Le fait est que de mobiliser des gens autour d’un même sujet (je n’ai pas encore parlé de cause, encore moins d’idéologie politique, et encore moins de projet de société) est un sport extrême.
Je partagerai donc votre texte au plus de gens possible. Parce que mine de rien, l’information, l’ouverture sur de nouvelles idées et les débats idéologiques entre nous sont encore les meilleurs moyens de lutter.
Mes parents militaient avec En lutte. Je suis militante de coeur et d’action et votre texte met un baume sur ma solitude. Mais je suis aussi mère de deux enfants, jeune entrepreneure, rédactrice à la pige et fatiguée.
Alors j’irai m’installer dans la petite maison que je viens tout juste d’acheter dans le bucolique village de Sainte-Rose-Du-Nord (environ 450 habitants), en espérant que l’agression soit moins forte, pour ne pas finir par – qui sait où ça peut nous mener? – tuer mes deux enfants. Heureusement, grâce à vous et votre texte, si jamais quelque chose d’aussi tragique arrivait, je pourrais plaider la non-responsabilité pour agression humanitaire.
Bonjour madame Couture,
Savez-vous qu’un groupe de gens qui pensent comme vous viennent de lancer un nouveau parti politique au Saguenay? C’est l’ Équipe du Renouveau Démocratique. Plus il y aura de gens qui connaîtront son existence, plus vous aurez de chances de faire bouger les choses… Informez-vous à ce sujet et faites-le connaître à votre entourage. Vous pourrez dire que vous vous êtes impliquée, vous aussi! Peut-être que c’est une chance à ne pas manquer…
Je suis également originaire de ce merveilleux coin de pays et quand je vois les agissements du maire actuel et de son équipe, j’en ai des frissons!
Bonne chance!
Ben cute comme texte toutefois :
Au Québec, ce sont 1,3 million d’adultes de 16 ans et plus qui n’ont pas le niveau de compétences en lecture suffisant pour répondre aux exigences de la vie quotidienne et fonctionner aisément dans notre société (données 2009) . Si on ajoute les moins de 16 ans on monte à plus de deux millions. Alors plus de 25% de la population québécois a absolument (ou presque) rien compris de ton texte. Une (grosse) partie du problème est probablement là; trop de gens sont simplement pas en mesure de comprendre et prendre des décisions.
Selon moi, les 5 millions restant sont suffisant 😉 j’ai 17 ans et je ne peux malheureusement pas voter mais mon appuis, que ce soit seulement par un clic »partager sur facebook », vaut beaucoup plus qu’une pensée pessimiste comme la votre. Si ceux que vous ne considéré pas comme illettrés, et vous en faite parti, se mettent ensemble et font valoir leur opinion, les choses peuvent changer.
Absolument d’accord avec vous pour le taux d’analphabétisme au Québec qui confine des milliers et des milliers (des centaines de milliers!) d’adultes dans un monde rétréci. À lire le cahier sur l’alphabétisation du Devoir, samedi 6 septembre. Au Québec, comme à bien des endroits en Occident, nous sommes anesthésiés par notre course à la consommation. Ailleurs, on crève de faim. Qui a dit « La dictature, c’est Ferme ta gueule. La démocratie, c’est Cause toujours. » ?
C’est exactement ce que ça me prenait. MERCI!
Cher denis,
Merci pour cette longue tirade, je te reconnais bien. Je vais malheureusement enfoncer un clou: La revoltuion tranquille est aussi le berceau d’un immense bassin de corporatistes pure laine. Des grands péquistes de la première heure ont rapidement montré leur véritable point de vue a partir des années soixante dix. Ils sont nombreux, nous les avons tous vus a l’oeuvre depuis 40 ans, ils ont remplacé les méchants patrons anglo en criant haut et fort leur désir de voir un quebec souverain . Mais pour beaucoup d’entre eux, ce québec souverain se devais de rentrer haut et fort dans le marché de l’exploitation sauvage des ressources et autres folies capitalisantes. Nous les avons écouté, naif, ébahi car ils venaient de la mythique décennie 1960, celle de la pureté revolutionnaire . Ébloui par l’image naive que nous avons des années soixante, (cette décennie en grande partie d’hypocrisie politique ou les revolutions ont été aussi un pretexte pour beaucoup de soi-disants révolutionnaires pour asseoir leur hégémonie), nous les avons laissés prendre les commandes. Pour beaucoup, sous les pavés il n’y avait pas la plage. Sous les pavés il y avait la mondialisation, la capacité a étendre la toile de l’exploitation de l’homme par l’homme. Un premier ministe a dit un soir de novembre 95 »C’est la faute a l’argent et au vote ethnique »…il aurait en partie pus spécifier que l’argent mentionnés ici pouvait aussi faire référence a LEUR argent, pas la peur que les québécois ont eu de perdre leurs pensions mais plutot la peur que beaucoup d’autres (et beaucoup de votes anglophones de gauche montréalais) ont eu de laisser rentrer bien profondément une grosse droite ronflante a québec. Elle y était déja, ont a bien compris la suite avec lulu. Je dis ca, mais j’ai voté oui en 95 tout en leur disant non a ces chefs.
Pouvons nous nous révolter? Les lybiens ont eu un dictateur pendant 40 ans, les syriens ont le pére et le fils (toujours debout) depuis 50 ans, ils ont été ostracisé bien plus que les québécois, sans commune mesure, et cela a pris tout ce temps avant la révolte. Mais il fallait l’allumette, il est venu un soir de décembre par un jeune tunisien, boazizzi, au bout du rouleau, qui s’immole…puis la déflagration est partis.Ils y en a eu d’autres qui ont subi l’atroce auto-suplice de se foutre en feu, mais celui la est arrivés a un moment opportun. Déja en occident des voix se faisaient entendre: »Et si cela venait jusqua nous? »…puis le feu a pris de tunis a damas en passant par le caire, tripoli, sana, al dair…puis des flamèches a madrid, athènes ,londres, tel aviv…devons nous attendre aussi 50 ans pour se réveiller? Pas besoin de s’immoler, il y a eu assez de morts, sortont dehors comme les centaines de milliers d’allemands de l’est en 89. Il y a de la place pour beaucoup de monde sur le boulevard rené-levesque. Lache pas denis.
Salut de la Bretagne (le pays à gauche de la france, lol),
puisque tu parles de la Libye voici un lien qui devrait accélérer ton éveil:
http://leveil2011.syl20jonathan.net/?p=3423
Si tu ferme ta télé (tu peux aussi la jeter), tu apprendras plus.
Amicalement
Depuis la réaction spontanée des citoyens de partout face à Jack Layton, j’ai retrouvé espoir qu’une vague de fond puisse changer cette société. Est-il possible qu’enfin nous refusions ensemble, tous ces politiciens et gestionnaires des grandes entreprises sans âme qui affirment que le profit est le fondement d’une société moderne et « la » règle incontournable? Tous ces gens qui cachent leur incompétence, leur manque de vision et de colonne, établissant en dictat immuable leur actuel discours réductif sur l’ « économie » et leurs priorités « plasters ». Combien sommes nous à reconnaître que cette dictature de la gestion de nos ressources (entre autres) réduit tout un pays, un peuple, des millions d’humains à servir la dite éconmie qui elle ne cherche en rien à servir l’humain mais ne se gêne même plus de l’asservir? Je crois qu’il ne manque qu’un mouvement, un lien concret, une organisation, un leader charismatique honnête et déterminé , pour que la révolution fondamentale à notre réelle prise sur la vie fasse boule de neige. Alors, j’en serai assurément de ce combat. Et vous? Mais là, attachez bien vos tuques car ce sera la guerre pour ces machines à profit et à corruption.
Je n’ai pas ta plume, ni le contrôle de mes émotions comme toi, pour écrire un texte comme celui ci. Criant, hurlant de vérité. À part traiter les gens de moutons(émotions!!!) il n’y a pas grand chose que je sache faire pour tenter d’amener un éveil collectif. Un texte comme le tien est poignant de vérité, les phrases qui pourrait êtres drôles ne le sont pas, puisqu’elles sont vraies. Je ne sais pas si je m’exprime correctement ici, mais je terminerai en résumant: Merci Denis de dire tout haut ce que bien d’entres nous pensent tout bas. Pour ma part, je me considère comme quelqu’un d’éveillé, mais je ne sais pas quels outils utiliser, ni comment faire pour éveiller les autres. Ton texte est un outil d’éveil magnifiquement bien tourné. Je vais le faire circuler, ça c’est sûr! Passe une excellente journée! À ceux qui t’ont publié: Merci!!!
Merci Denis!! 🙂
Merci. C’est ce que je radote tout le temps. J’ai mal au Québec, J’ai mal à Montréal. Je suis tombée en amour avec ce pays. Tout était possible et pluis c’est devenu ce que vous décrivez. Je suis d’accord pour me battre avec vous.
J’ai eu,comme professeur de Coopération Internationale,M.Stéphane Hessel,en 75-76,l’auteur de « Indignez-vous ».Son texte est plus cohérent.M.Mccready n’est visiblement pas en santé.C’est un appel à l’aide plus qu’autre chose.
Merci de vous soucier de mon état de santé, mais je me porte très bien.
-Denis McCready
Un appel à l’aide partagé par plusieurs…
Et qu avez vous fait depuis, M. Godbout? Beaucoup j imagine, pour vous permettre une telle remarque….
Solution peut-être trop simpliste : Petrolia a une capitalisation boursière de 117M en date d’aujourd’hui. 20$ chaque et on peut racheter la cie…
Mais c’est plus le fun de chialer. Ça fait de quoi à faire en hiver.
C’est une bonne idée!
Je l’ai même pas le 20$ présentement, mais ça m’dérange pas de mettre la TV au pawn shop pour l’avoir.
20 $? Maudite bonne idée!!! J’embarque!!!
Merci pour la claque.
J
Mon nom est Christopher, j’ai 16 ans et je suis réveillé j’attend seulement que les plus grands ouvrent la porte.
et si les plus jeunes décidaient d’enfoncer les portes que les plus vieux ne veulent pas ouvrir…………………….?
Christopher, tu as plus de pouvoir que tu ne le crois. N’attends pas qu’on t’ouvre la porte: informes-toi, renseignes-toi sur les sujets qui te tiennent à coeur, développes tes idées en discutant avec tes ami(e)s et ta famille, ça t’aidera pour savoir comment argumenter quand quelqu’un veut te faire taire ; ensuite communiques autour de toi tes indignations, tes colères, refuse l’appel à la violence, agis comme un citoyen responsable et on te traitera comme tel ; choisi un projet qui te tient à coeur, démarres-le avec quelques alliés, persévères tant que tu n’auras pas épuisé toutes les solutions possibles. Ce coin de pays, tu vas en hériter, commences tôt car le temps passe plus vite qu’on ne le soupçonne.
En résumé : informes-toi, exprimes-toi, agis.
! inspirez l’idée sainte qu’on prie de comprendre, c’est qu’dans l’utopie
d’un monde qui coule sans cash, notre réalité s’dévoile et s’élance hors du trash…
on c’est endoctriné à penser qu’il n’y a qu’ça, .. à croire que les feux rouges d’la
tech with no logy nous rend cool-et shiny, pendant et brulant, les religions en
guerres s’offencent même dla nature de l’illusion, donc tout ca nourrit tu ton
évasion.? 0.o..! & Pow croix ou pas c’est la game qui tue trop depuis ses buts
mesquins d’élire le délire du-con le trull…qui s’enflame d’aimer une telle arthrose?,..
la remerci d »injecter la polluchose et d’en pondre un héritage machin loin dans
l’enfant sain…donc tout le monde le ferait en même temps, si demain c’est la
journée qu’on change….conversion si s’t’aime à tik et tak des mots tards pas
luent hein! en moteurs purifiant tan ke ti ke tin… (les moteurs c’est nous) la boucane
et la ricane.. on s’en criss c’Est dl’artifice, tant qu’c’est un beau délice à mélice,
chose faisant de ce moment pour rompre le plus dur des ciments, ouu!!on s’en fou
si cé trop scie ou ca….ya la volonté et notre lien comme un … lire que ça pourrait
déjà être élu… min..!? ééé.., es ce que t’es la. Tesla?… tu nous a pensé tant de
cas d’eaux mais mon sento en a fait qu’une si mince semance.. oh oui,
on veut pleurer, tout ce nombre de fiers génies forcé dans l’ombre..rien n’poussera
sans courage et pas d’orage … la fin des leurs est l’art rivé des nôtres, comme la pomme que l’homme haut pousse et croque l’eau temps d’être uni et en sur-vie! en vrai hyper vie, que ca reste à ca…co-naissance…..vois qui est près à ça? pas dur
croix pure sur&net a l’anti-dette, la lumiere et l’amour expirez 🙂
42.7% des québécois n’ont pas voté en 2008. Nous avons l’outil mais nous l’utilisons pas alors que d’autres peuples meurent pour l’obtenir!
Jen veux pas de se sisteme politique la . Jai le choi ente me faire croser ou me faire croser que je vote pour minporte quelle parti .faique je vai pas perde mon temps et faire marquer aux sondage que je suis allez voter .42.7%du monde qui vote pas.pis on serai plus que sa si on contai seula qui on perdu leur temps a alle cocher ‘aucun de ses parti’ ou indecie ou encore qui on vote pour seula qui ont lair le mouin pire ou pour seula qui von surment gagner .desole je refuse de faire parti de seux qui fase que sa fontione comme sa pis ses selon moi la meilleur facon pour linstant de manifester mon total desacor avec se systeme.
Merci !!! pour que le monde se lève pour le changement,…il faut des leads, une direction synchro, une union complète des forces de chacun…
Tres bon texte !!! à faire circuler…. vous etes comme des poteux dépressifs…………..suicidaire en hiver……. et
légume en été !!!
Merci Denis,ca fait du bien de lire un tel message,de voir que des gens voient de l autre coté des mensonges et de la man ipulation.Plus on sera nombreux,plus ca deviendra possible de reveiller au moins une petite partie des moutons qui nous entourent,avant que tous ne soient tondus et saignés..
Une grosse partie de la population sont conscient de tout cela, j en suis certaine. Nous sommes réveillés… par contre nous n`avons pas été habitués à ce révolter, alors que faire pour se battre ????
Le peuple québecois est constituer depuis déjà un petit bout te temps de gens venus d’ailleurs. Profitons de leurs expertises, expériences, et proverbes (qui font maintenant partie de notre identité) pour nous sortir de cette merde.
BRAVO!! quel que fois je pense que je suis le seul a penser de cette facon ,mais je ne peux l,exprimer avec autant de clarté
Voilà le texte que j`aurais pu écrire moi-même si j`avais eu la facilité des mots. Merci et oui je partage….
Votre appel est entendu. Et je ne veux pas me trouvez d’excuses pour rester sans bouger. Ça fait des mois, des années que je me demande par où commencer. J’ai commencé par moi. D’abord, j’ai écrit à tous mes fonds d’investissement pour savoir à qui servait l’argent de mes REER. Je découvre alors que je contribue à enrichir des compagnies que je dénonce. Alors j’ai fait des recherches sur l’investissement responsable, sur des énergie durables et vertes par exemple, et c’est pas facile, parce que tu es seul dans une grande mer de remplie de requins. Regardez le fond environnement de Desjardins : c’est la pire arnaque de tous les temps! Leur profit vient directement des compagnies pétrolières qui déciment actuellement les lacs et les terres d’Alberta et des compagnies d’extraction du gaz de schiste qui musèlent en ce moment les citoyens, main dans la main avec nos gouvernements. Vous avez raison, seul, on ne fait pas grand chose. Mais je ne sais pas comment réunir des citoyens autour de mon désarroi. Je ne sais juste pas. Aller planter ma tente devant le parlement? Faire du piquet sur la 132? Faire la grève ? Faire un film? Qui est-ce qui veut marcher avec moi? Je suis éveillée, et dans une réalité qui fait mal à voir, et je suis prête à agir. Mais c’est quoi, agir? Hé, citoyens, mes amis, des idées, vous autres?
Texte percutant. Qui frappe directement dans les tripes. Je n’ai rien à ajouter à ce constat extrêmement éclairé et terrifiant sur l’état de notre Québec, sans doute la meilleure analyse que j’aie pu lire depuis que j’ai l’âge de voter!! Son auteur est non seulement d’une terrible lucidité, mais d’une sagesse qui me laisse bouche bée. Qu’il nous dise quoi faire pour remédier à cette impasse dans laquelle nous semblons nous diriger à toute allure, et je le suivrai!
Bravo à cet éveilleur de conscience!
Bravo Myléne, tu as compris que le seul billet de vote valable c’est celui que tu as dans le portefeuille et c’est toi qui décide où va le fruit de ton énergie.
Voici un texte essentiel, un texte qui brasse; «prérévolutionnaire» selon son auteur et qui vient du fond des tripes. À lire absolument et à partager avec le plus grand nombre.
Wow! J’en suis bouche bée… Tellement merci.
Et mes plus sincères excuses pour la faute dans votre nom en ouverture, que je n’arrive plus à aller corriger…
Discours fondé sur l’apparence et non sur la réalité, fait pour soulever les naïfs que nous sommes généralement. Je ne rejette pas tout, il y a quand même une belle reflexion à certains moments.
Je ne connais pas ce Monsieur qui a écrit ce texte, mais je le remercie pour le coup de poing au ventre qu’il vient de nous donner. Bien sûr, comme lui, j’ai constaté tout ce qu’il mentionne. Je me suis beaucoup battu, j’ai beaucoup écrit aux différents paliers de gouvernements, à la société de transport, à l’Office de la langue française, à la Ville de Montréal et depuis cette incongruité de fusion, à mon arrondissement etc .J’ai aussi manifesté à l’occasion. Parfois, ça fonctionne, pour me calmer le pompon, on vient nettoyer mon bout de rue; M. Labrecque de la STM me téléphone pour calmer le jeu, on finit par s’entendre sans crier, mais étant lui-même une marionnette dans ce dédale bureaucratique, il subit et attend. M. Lucien Bouchard, piqué au vif par un texte que je lui avais envoyé en tant que premier ministre, me téléphone… dommage, je l’ai raté, j’avais demandé qu’on ne me dérange pas, occupé que j’étais à écrire à un autre zouf qui nous dirige. J’endosse entièrement ce que dit Monsieur McCready, il a raison sur toute la ligne.
Je suis de la génération qui a tout bouleversé, tout changé, tout demandé et que nous avons obtenu parce qu’on ne voulait plus nous entendre, ici et ailleurs. Mais ils ont beaucoup gommé et tellement mal géré. J’aurai 60 ans l’an prochain et comme vous, je constate l’horrible recul que nous avons entamé. Duplessis vendait notre minerai de fer une cenne la tonne, pour combien Charest vendra-t-il nos richesses du grand nord aux Chinois? Nous, les Québécois, avons d’abord stagné durant quelques années à savoir si nous devions nous séparer ou rester accroché à ce Canada qui ne nous offrira jamais rien d’autre que des nananes pour encore une fois calmer le jeu. Nous y sommes presque arrivés. Mais nous lâchons prise peu à peu et j’en suis effrayé.
Quoique cette fois, les religieux fondamentalistes qui gouvernent ce pays m’apprennent que le Québec qui attend toujours de naître se verra écrouer pour mauvaise conduite… nous lui avons fait faux bond! Parce que nous avons voté à l’encontre et à l’envers des gens en glaise de ce pays, parce que nous avons dit non à la Royale armée, parce que nous avons zébré de bleu pour le drapeau et d’orange pour la carte politique et que nous refusons la royale royauté, parce que nous avons repoussé la mentalité étroite de ces alliancistes déguisés, parce que nous avons une ouverture d’esprit sur les différences culturelles ou sexuelles, parce que nous refusons de revenir à la prière obligatoire, parce que nous refusons l’hymne national (bientôt nous demandera-t-il de chanter le God save the queen?), pour tant d’autres raisons, nous nous tenons encore debout et nous les faisons suer. Restons polis, toutefois, nous sommes si bien élevés, tant est que malheureusement, nous disons encore Thank you quand on nous botte le derrière, qu’on nous demande de nous taire parce que soit disant, nous sommes des enfants gâtés.
Ce gouvernement fédéral que nous n’avons pas choisi nous indiffère, mais sommes-nous assez convaincus et solides pour maintenir le cap? Oui, M. McCready, ça grogne sous la couette et ça fume dans les chaumières pour tout ce que vous avez nommé, et à me relire, je constate aussi que j’ai légèrement débordé et que mon texte est en mouvance, mais n’est-ce pas beaucoup l’attitude des Québécois à l’heure actuelle? Où irons-nous demain? Que seront nos enfants après-demain? Et comme dans la chanson de Pauline Julien devrais-je dire : Tell me, Mommy, what was going on in this country before? I do not remember…
Oui et le milieu communautaire est essoufflé, devant se battre pour que les subventions puissent être gérées en fonction de leur mission respective tenant compte des forces et faiblesses du milieu. Nous sommes de plus en plus assujettis à de subventions ciblées que le gouvernement délègue à des Fondations privées comme Chagnon, de qui nous dépendons maintenant, au lieu d’être en support à notre mission globale. Et je ne parle pas de toute la rédition de compte associée, limitant davantage nos actions sur le terrain. Adopter de saines habitudes de vie disent-ils; on ne peut pas être contre la vertu. Mais je trouve particulièrement insultant de ne pas tenir compte des différentes instances de consultations dont nous faisons partie avec une représentativité non négligeable de l’ensemble du terrain. Bref, quand c’est rendu que les PPP(Partenariats Publics Privés) s’ingèrent dans le milieu communautaire pour dicter des façons de faire, ça va mal en FRIS(Faut Réagir Immédiatement Sinon…)
zzzzzzz….
Il n’est pas toujours efficace de victimiser les gens en leur présentant leurs problèmes sans penser à leur proposer une solution multilatérale pour qu’ils puissent eux mêmes les résoudre, ce qu’on appelle en anglais le «self-empowerment». Un bel exemple de cela est le documentaire produit par Oprah Winfrey sur les obèses victimes de leur condition malheureuse. Il ne suffit pas de critiquer comme vous avez dit, il faut aussi communiquer, et cela ne s’apprend pas comme le rat qui sait éviter la douleur en choisissant la bonne récompense. Et la récompense ne vient pas toujours spontanément, c’est aussi un processus social et cognitif de notre personnalité que nous devons «apprendre» collectivement à développer sans taper sur la tête de ses voisins.
Réveillions-nous!!
Excellent texte en effet, qui pousse plus à la réaction qu’à l’action. Le problème est peint en fresque monumentale, le texte exsude l’urgence d’agir, sauf qu’une piste de solution brille par son absence. Je suis réveillé, je suis prêt à me battre, mais je ne suis pas un leader. Je salue l’initiative et demeure à l’affût de développements.
Battons-nous, NOUS SOMMES PRÊTS!!!
Tant de mots pour dire si peu…
Excellent texte! Je le fais circuler. Je vous propose ce passage de la poète américaine Ella Wheeler Cox pour compléter cet excellent pamphlet:
« To sin by silence, when we should protest / Makes cowards out of men. »
Cette citation est très juste. Je termine la lecture des commentaires de cette page et je publie une réponse globale dans la prochaine heure. Merci!
Vous avez entièrement raison. Votre réflexion est on ne peut plus juste. Et vous n’êtes pas le seul à vous soulever sur votre clavier pour faire entendre votre voix. Mais où sont tous les indignés des lignes ouvertes, des blogues et des forum quand il y a une véritable manifestation organisée? J’en manque rarement, et je n’y vois en général pas grand monde (à part quand c’est un défilé pour un stade de hockey). Le confort a tué la contestation. Les révolutions de salon ne font pas suffisamment de bruit pour avoir un écho quelque part. Pendant que, de Damas à Madrid, en passant Tel Aviv, Tunis, Le Caire, Londres, Manchester, Athènes, Pékin, Tripoli, Santiago, et même New York, le monde se mobilise, le Québec s’immobilise. Je le déplore. Et je continuerai à déambuler avec des poignées de manifestants contre les gaz de schiste, contre la guerre en Irak, contre les politiques rétrogrades du gouvernement, pour plus d’environnement, etc.
J’aimes ca c’est pas le refus global mais tout comme ,on dirait un felquiste qui vient de se reveiller apres plusieurs annees ….
Merci d’ecrire ,si seulement ca suffirait pour reveiller le reste de la populatoin ……
Personnellement, je crois sincèrement qu’on est en train de se faire changer en république de banane. On se fait traiter de la même façon que je vois les gens se faire traité dans des pays du tiers monde lorsque je suis en visite dans ce genre d’endroit. Esclave chez nous aux mains des dollars et des pays étrangers.
C’est une lettre que j’aurais aimé écrire. Je vais la partager avec le plus de personnes possible. Merci et Bravo !
Entièrement d’accord mais on fait quoi?On chiale sur les lignes ouvertes, on envoie des pétitions?Charest s’en colisse, et il va se faire réélire en plus, il va promettre des beaux ti-cadeaux à la dernière année de son mandat et avec les autres partis qui ne sont même pas capable de s’ organiser pour former une opposition crédible, son couronnement est dans la poche. Il me semble évident qu’ on se fait avoir au niveau des ressources naturelles et dans le domaine de la construction, mais ça continue, voyons donc y’ a pas de problèmes!!!
Il faudrait un énorme mouvement de contestation pour que ça change, mais tant que les manifestions les plus populaires seront celles pour soutenir un animateur de radio-trash et pour une équipe de hockey, on va continuer à chialer dans le vide.
Oui, je suis indigné mais je me sens impuissant à combattre cette machine alimentée par la cupidité des puissants et par notre propre indifférence
J’ai envie de crier OUI ENFIN! Enfin, quelqu’un qui ose dire les vraies affaires aux peuple moutons que nous sommes! Québécois, levons-nous, il est plus que temps! Arrêtons de nous contenter de critiquer sans agir! Debout, la sieste a assez durer.
Je ferai circuler largement. Merci !!!
Je ne crois pas qu’il reste assez de temps pour sauver la situation. Faire un bilan sociétal ou evaluer le mal par lequel opere dans la collectivité ce n’est pas si difficile au passage de la cinquantaine. Le salut c’est au quotidien et à chaque geste et choix que l’on doit faire, et pour celà il faut avoir vraiment l’esprit et les yeux ouverts. Ce n’est pas le collectifs le probleme, c’est chacun de NOUS qui acceptons au nom de Qui? de fermer sa gueulle, de fermer les yeux, de faire des choix de vie non-conformes à ce qui devrait être… Être ou ne pas être Humain? Voilà une question qui me motive a joindre mes deux mains ensemble. Pour vraiment changer les choses, il faut plus que des jerémiades et pamphlets Facebookiennes et internetaires. Il faut des choix conformes au respect de ce qui est bien et guidés par la conscience individuelle éclairée. (Il y a un livre extraordinaire avec un mode d’emploi de vie disponible partout)
Est-il en route? je le souhaite car je suis désespéré de moi et del’humanité!
Ensuite?…
Si on en a marre des nos dirigeants, peut-on vraiment les remplacer? NON… impossible… il n’y a pas de relève assez intelligente et inspirée de la vraie justice pour prendre le relai. Je crois que 85% des gens qui ont un pouvoir sur d’auters humains ne l’exerce pas bien… donc on peut pointer du doigt les coupable en commencant par nous.. mais je ne crois pas que ce systeme de chose ait la capacité et surtout la volonté de changer les choses.. Surtout pas avec le syndrome oui mais pas dans ma cour.
Le collectif du mal est trop puissant par rapport à celui du bien…
Je partage entièrement cette compréhension de notre histoire et du Québec actuel. La reconquête du Québec: c’est le titre de mon prochain ouvrage (en librairie le 27 septembre). Il faut maintenant créer les canaux et les véhicules pour permettre à cette reconquête de se réaliser, à cette colère d’agir. Et s’il fallait commencer par reprendre le contrôle de notre démocratie, pacifiquement mais au plus vite. Les Sans-parti y travaillent: ils se manifesteront bientôt.
Le 10 Novembre 2011, « Manifestation Nationale contre la hausse des frais de scolarité » qui se déroulera à Montréal (le lieu reste encore à confirmer). J’espère que nous ne serons pas que des étudiants mais aussi des parents, des enseignants, des citoyens, des habitants de notre société parce que l’éducation est un droit, une responsabilité, un privilège. Aussi, ne pensons pas seulement aux conséquences immédiates de cette hausse, mais celle qui arriverons dans deux ans, cinq ans, dix ans… Si ça arrive, on va être dans l’trouble !
Il faut absolument faire circuler ce texte!
Bravo pour ce cri du coeur! Nous devons retrouver l’esprit de la révolution tranquille. J’y étais. C’est même là que je suis devenu Québécois. Depuis, ça se détériore. Il n’y a plus que la piasse et le confort immédiat qui comptent. Ça manque furieusement d’intérêt. Je suis indigné mais qui l’entendra? J’essayerai de crier plus fort.
Intéressant, il faut faire quoi ensuite ? Car la seule inspiration créative et non cynique récente que j’aie trouvée était celle-ci.
»Danser en temps de guerre, c’est comme cracher à la gueule du diable. »
Hafid Aggoune
C’est certain que les cours de danse permettent de rencontrer des gens tout en acceptant la proximité, développant l’intelligence relationnelle et spatiale et en se décontaminant de certains complexes et médias soi-disant sociaux ou réels. Mais c’est une futilité qui n’arrête pas les voleurs. Des suggestions ?
Bravo Denis!
Peut-etre sauras-tu par ces mots, reveiller de leur torpeur collective, une partie de notre beau village.
On sait que les pancartes/manifs ne fonctionnent pas…alors, what’s next?
Toujours prete!
CLaudia
Moi je veux bien, mais quand on fait un appel au boycotte de pétrole canada…la gang y suivent pas.
On commence par quoi
Ce texte a beaucoup trop d’enrobage. On croirait un os de jambon. La plupart du contenu sert plutôt à étourdir. Il ne veut pas dire grand chose fondamentalement. On croirait lire un enfant-roi qui manque de ouate. Mais je respecte que tout le monde à une voix et que chacun peut l’utiliser de la façon qu’il le désire, même pour étourdir. Je ne veux pas faire de diagnostic mais vous semblez avoir des troubles à apprécier ce qui vous est offert. Les deux lignes du bas de Maslow sont TRÈS BIEN couvert par l’état.
ARRÊTEZ DONC DE VOULOIR CHANGER AUTOUR!! CHANGEZ PLUTÔT À L’INTÉRIEUR!!
Donc fausse alerte tout le monde, vous pouvez vous rendormir. Utiliser plutôt cette énergie pour travailler votre intérieur.
Minute.
Le premier niveau de la pyramide de Maslow est : Besoins physiologiques.
Est-ce le gouvernement qui fourni cette partie ? Pas complètement. Combien d’organisme non-gouvernemental existe pour subvenir à ces besoins ? Plusieurs.
2e niveau : Besoins de sécurité. Ok. La police est là… on voit par contre de plsu en plus de cas de brutalité policière. Nos emplois ne sont pas nécessairement garanti, même que le gouvernement est plutôt au ralenti sur ce point. Quand tu perd ton emploi à 50 ans, essaie de faire un retour aux études. Pas facile. Ce niveau couvre la santé aussi… On a du monde qui meurt car les soins se font attendre. On a des personnes âgées qui se font maltraiter en centre car le personnel manque.
Le gouvernement ne couvre pas les premiers niveaux de la pyramide. Ils ne sont pas les seuls en cause de ce manque de ressources, sauf qu’ils sont ceux qui présentement agissent contre l’intérêt à long terme du Québec.
Faut arrêter de penser que du moment que quelqu’un pointe du doigt une mauvaise décision du gouvernement, qu’il est un enfant gâté. On se fiat couper dans les services dont ils ont profité. L’éducation à bas prix, Charest y a eu accès. Tout comme le reste de son gouvernement. Dans ce temps là, les étudiants n’avait pas à faire leur part. Pourquoi aujourd’hui ? Surtout lorsque l’on sait que les universités dépenses leur argent pour la réfection du domicile d’un recteur qui fait des rencontres chez lui… La salle de conférence de l’université, elle sert à quoi ?
Ouvrez donc les yeux un peu. Les enfants gâtés, ce sont les amis du gouvernement. Pendant ce temps là, on a des policiers qui ont une charge de travail de plus en plus grande, une éducation qui devient de plus en plus cher sans rien offrir de plus, des hôpitaux qui restent pleins…
On peut tu avoir un niveau de vie qui va en s’améliorant au lieu de se dégrader ? Messemble que l’objectif devrait être de mieux vivre non ?
Comment changer les choses?Changer de gouvernement je suis d’accord mais avec qui ,qui est capable de retourner la machine?
Les gens sont-ils prêt à faire face au changements?
Dans votre texte ils y a des vérités et c’est vrai que le système déraille ,mais n’oubliez pas que pour changer les choses il faut vouloir se remettre en question et démontrer que nous sommes capable de vivre avec les changements que nous avons choisis.
Je ne sais pas ce que réserve l’avenir pour mes enfants et petits- enfants,je suis prête à faire des sacrifices pour leur avenir,je ne suis qu’une femme malade qui ne peut pas marcher dans les rues pour manifester mon arme à moi c’est le vote mais amenez des candidats qui vont respecter la population et gouverner pour le bien commun.
Merci !
Bon ca me rassurre , et ma déprime soudain est allégée par ce sentiment que cou donc chu pas si folle que ca et je ne suis pas seul a penser que ca va pas si bien que ca HELLO!!!!
Je ne sais pas comment agir, alors voilà pourquoi je veux rester endormis. Trop de chose à débattre, trop de chose à empêcher et trop de chose que je voudrais changer. Mes enfants le mérite tellement, mais je ne sais pas COMMENT!
Et elle est où la solution?
La violence? Ne vous inquiétez pas, une grande guerre se prépare et débutera par la chute de l’Europe et des Américains. Tout est déjà en place.
Mais après? Car il y a toujours un après. Après la guerre, après la révolution, après l’effondrement, il y a quoi?
Qu’avez-vous à proposer?
Pour mener un combat, on doit vouloir remplacer une idéologie. Ici je ne constate rien d’autre qu’une anarchie.
Je partage votre écoeurement de notre société, mais je trouve ridicules votre prise de position et les commentaires lus ici.
Une révolution, c’est faite par un peuple.
Vous avez des idées, proposez-les. Vous n’êtes pas d’accord, exprimez votre point. Mais faite le dans un objectif d’avancement! Stop la politique à 2 balles qui ne vise qu’à dégradé les idées en place.
En voila une proposition : Changer le système électoral. L’Angleterre planche sur un nouveau système de vote, qui vient palier à un problème flagrant de notre système politique : 35% des votes sont suffisant pour diriger un pays d’une main de fer.
Faudrait pas oublier non plus que, pour vraiment choisir notre dirigeant, il faut avoir une carte de membre de son parti…
Et est-ce normal que lorsqu’il y a un changement de chef de parti que on lui « donne » un compté pour qu’il puisse être en Chambre ?
Nous devons être le changement que nous voulons (Ghandi).
Je crois bien être la seule à ne pas être en pâmoison devant votre texte. Vous dites que vous vous adressez à ceux qui sont confortables dans leur vie actuelle, mais en fait – et vous le savez très bien – vous flattez plutôt votre public déjà conquis. Et vous attirez quelques moutons de plus, soit ceux qui ne voudraient surtout pas susciter votre désapprobation. Vous avez de la gueule, et c’est effrayant pour certaines personnes.
Les faits que vous avancez sont effectivement en partie vrais, mais vous vous gardez bien de montrer les deux côté de la médaille et d’exposer tous les enjeux. Vos propos en deviennent par le fait même suspects pour toute personne qui a l’esprit le moindrement scientifique. Présentés autrement, vos arguments pourraient être convaincants. Il est vrai que les problèmes sont grands au Québec et qu’il y aurait lieu de poser des gests concrets pour y remédier. Mais nous n’en sommes pas moins l’un des peuples les plus gâtés du monde. Comme vous le savez sans doute, l’immense majorité des révolutions ont donné lieu à des bains de sang et n’ont pas réglé tant de choses que ça finalement. C’est plutôt le travail lent et patient de leaders discrets et de pacifistes qui ont donné les meilleurs résultats dans l’histoire. Votre appel à l’insurrection, je le trouve extrêmement dangereux. La violence attire beaucoup les gens en mal de sensations fortes. Et il n’y a rien de pire au monde que la violence. Je vous soupçonne de vous ennuyer un peu dans votre petite vie et d’avoir envie de jouer à la guerre.
Avez-vous conscience de la condescendance de votre lettre? Vous traitez les gens de moins que rien en prenant soin de bien vous positionner bien au-dessus du lot. Savez-vous qu’on n’attire pas les mouches avec du vinaigre? Vous me semblez fort intelligent, alors vous en étiez sûrement conscient. Je crois donc que vous n’aviez pas l’intention de convaincre qui que ce soit, mais plutôt de flatter les gens qui pensent déjà comme vous.
Je vous mets donc au défi de retourner à votre clavier et de pondre un texte mieux ciblé qui convaincra les 90 % de la population que votre premier jet aura laissé de glace.
Et de grâce, efforcez-vous de proposer des solutions.
Bonjour Mme Morin,
Que pensez-vous de la solution proposée par NM 11sep11 / 10h17.
Cheers
Merci Mademoiselle Morin d’avoir réussi à mettre des mots sur les impressions que m’ont laissées ce texte! Il est rafraîchissant de lire une opinion nuancée, contrairement à celle de Monsieur McCready…
Merci de calmer la situation. Ses démarche actuel et anticipé contribuent à la Réalité. Un peu de maturité serait le bienvenu à Présent. C’est de la folie pur de commettre les mêmes erreurs en espérant obtenir de meilleurs résultat. Il est quand même question de changer le monde aussi local soit-il !
Merci Mme Morin d’équilibrer un peu se discourt que je dirais de très lourd.
Ben oui. Créons un groupe Facebook et démarrons une pétition internet.
Ça va faire bouger les choses.
Quelle endurance de l’intelligence et de la conviction profonde. Ce type, je le salue pour nous aider à structurer le refus des fascismes, des distensions, des haines… et tout ce qu’il y a de pourri dans la bêtise humaine.
En plus clair, il faut de l’action.
Nous sommes dispersés, parce qu’on a 30 locomotives différentes, et pas de rails.
J’aime ce texte, mais je suis tanné de lire.
Wow! Quel texte percutant.Des tournures de phrases à vous faire hérisser le poil des bras.Très criant de vérités, malheureusement.À suivre!
Merde à votre révolution tranquille, j’en ai marre et souper! Votre révolution vous l’avez manqué et c’est pour ça qu’aujourd’hui vous êtes des Boomers aigris qui voit des conspirations partout.
« Vous avez aujourd’hui entre les mains l’outil le plus révolutionnaire depuis la machine à imprimer de Gutenberg, et tout ce que vous trouvez à dire avec, c’est: «chus saoul», «j’mange de la poutine», «checke la pitoune», «j’fais dodo», «mon chien yé cute»!
Quel mépris monsieur pour ceux qui vont bientôt (à moins que l’on ne leur laisse pas de place comme c’est actuellement), décider des destinées du Québec de demain. Vos références au fascisme me dégoûte. Arrivez en 2010 et cessez de retourner votre veste vers vos vieilles années utopistes de révolution à deux cents. Votre essai est à l’image de cette génération ( d’actuaires narcissiques) qui a tout pris; que nous devrons torcher jusqu’à ce que vous fermiez enfin vos grandes gueules et que vous vous sauviez dans la mort avec l’argent que nous vous aurons fournis gracieusement votre vie durant; collectivement, afin que vous ayez vos belles retraites soyeuses.
Retournez donc dans votre condo en Floride réfléchir sur cette missive, ça vous changera un peu de votre quartier de Montréal qui est devenu inhabitable; le symbole d’une génération qui n’a rien foutue. Sauf bien-sûr, la nationalisation de l’électricité et le gouffre financier dans lequel vous avez plongé les jeunes qui aurons à faire avec pour le restant de leurs vies.
Je vous invite à écouter ce film de Denys Arcand, « l’Âge des ténèbres », si vous ne l’avez pas fait encore. Cela vous donnera peut-être une bonne idée de ce qui s’en vient.
Bon ok ! Chu réveillé là ! J’fais quoi !?
Oui c’est important des textes comme ça mais viarge y’a personne qui propose des solutions concrètes ! Pis c’est pas par paresse intellectuelle que je dis ça ! C’est parce que des solutions, maintenant, alors que le temps presse en esti, ben j’en ai pas… et d’ici au moment où je serais assez qualifié pour faire des propositions intelligentes, basées sur la compassion et la justice, ben il va être rasé notre beau Québec.
Faque oui, je l’attends le email qui va dire « ok, la révolution est commencée… on commence à faire ci, on arrête de faire ça… rendez-vous au point A à 11h am »… je l’attends à tous les fucking jours ce email-là parc’que moi, je l’sais pas quoi faire. Alors des textes comme ça, ça me fait chier. Pourquoi ? ben parc’que j’suis d’accord calvère ! Ça… va… pas ben ! On l’sait ! Ben en tous cas, moi je l’sais…. pis j’suis PRÊT à agir. Mais j’les connais pas les solutions ! C’est pas parc’que j’suis paresseux, c’est parc’que ça fait pas parti de mes aptitudes ni de mes compétences d’en proposer ! Pis j’suis SÛR que c’est le cas pour BEN du monde.
J’suis pas un épais non plus ! J’en ai des connaissances pis des aptitudes… plein même ! Mais je les mets au service de quoi ? De qui ?
J’te connais pas moi mon cher Denis McReady. C’que j’sais, c’est qu’on pense pareil. Ben… PRESQUE pareil. J’suis d’accord avec pas mal 100% de ce qui est écrit dans ton texte. Là où on pense pas pareil, c’est que toi, tu utilises ton intelligence et ta lucidité, qui ne semblent pas te faire défaut, pour dénoncer. Dénoncer. Dénoncer. À pu finir. Là où on diffère, c’est qu’il me semble que la situation est assez urgente pour qu’on commence à se creuser la caboche pour trouver des estis de solutions ! À moins que tu en aies, des pas encore mûres ? J’dis pas que dénoncer c’est pas important… c’est hyper important ! Mais rendus où on est, moi ça me fait juste chier des texte de-même. Pourquoi ? Parce que j’espère TRÈS FORT le jour où je vais lire un texte de-même qui se termine par « Alors en conclusion, je propose d’agir en posant les gestes suivants… ». Mais non. Je te lis… au fil des paragraphes, je suis pompe, pompe, et plus pompe encore… pis à la fin, je me fais traiter d’endormi parc’que j’fais rien pour changer la situation. Criss ! T’aurais fini en disant « Ok faque go ! On fait ça pour arrêter le malade à Charest ! » pis, certainement après quelques recherches et discussions (non, j’suis pas un suiveux non plus… pas un aveugle en tous cas), j’me serais levé pis j’aurais moi aussi dit « OK ! go ! »… pis j’aurais scrappé les photos de mon chien sur mon facebook pour supporter la cause.
Peut-être que l’monde est pas SI endormi que ça tsé ! Moi en tous cas, j’en connais PLEIN qui sont réveillés… et prêts à agir ! Mais ils sont comme moi ! Ils savent pas quoi faire ! Ils se sentent impuissants… et pensent que les gestes qu’ils posent sont trop petits… trop insignifiants! (Merci d’ailleurs d’amoindrir la portée des gestes comme le fait de recycler et d’utiliser son vélo au lieu de son char… on a ben besoin de ça). On a besoin du monde brillants comme toi, qui connaissent les enjeux comme toi, pour trouver et proposer des esti de solutions… en PLUS de dénoncer.
Pour l’instant, j’en pose des gestes que je considère comme étant « positifs ». J’les décrirai pas ici. Ils sont petits, et leur impact est vraiment minime. En fait, trop minime. Mais c’est juste ça que je peux, mais surtout que je SAIS faire, pour l’instant. Le jour où y’en a un brillant et surtout, quelqu’un qui a des valeurs basées sur la compassion, qui saura m’en proposer des plus significatifs des gestes, ben j’vais le suivre esti ! Parce que oui, je suis prêt même à faire des GROS changements dans ma vie pour l’avenir de mon beau Québec.
Faque… yé ben beau ton texte Denis McReady… super beau même. Mais… on fait quoi là ? J’fais quoi moi ?
Cher Monsieur,
C’est une très belle lettre mais maintenant que vous avez notre attention proposez des ACTIONS. Tout le monde est écœurer de ce monde à chier plate à mourir où il est interdit de tout faire. Les « Indiens » que vous avez fourrés comme vous dites avaient au moins une chose que personne au monde n’a plus maintenant : la liberté ! Il y a tellement de lois et de règlements ici qu’on ne sait plus où poser les pieds. Abolissons-en donc une bonne grosse partie. Ça ferait du bien à tout le monde !
Vous avez aussi oublié les syndicats profiteurs de système dans votre lettre, ils ont été bien utiles en des temps reculés mais ils sont maintenant une nuisance parasitaire acoquiné avec le pouvoir et la mafia.
Vous avez aussi oublié les autres mafia professionnels comme le collège des médecins, les médecins spécialistes et autres ordres professionnels tout-puissant. On pourrait tellement vivre sans eux et leur soi-disant autorité.
Vous avez aussi oublié les médias qui nous débitent leur merde quotidiennement sans s’en excuser ! Comme s’il n’y avait jamais rien de positif en ce monde !
Il y a aussi les groupe d’intérêts qui ne font que demander lois sur lois et règlements sur règlements, les féministes extrémistes qui nous font sentir coupable d’être des hommes, les psychologues qui devraient s’étudier eux-mêmes plutôt que de foutre notre système d’education en l’air, les groupes criminalisés qui devraient dépenser leur temps et argent à s’occuper de la société au lieu de la détruire, les fonctionnaires qui devraient se botter le cul à servir le citoyen plutôt que de penser à comment il va faire pour lui extorquer encore plus d’heures à ne rien faire ou à se faire augmenter quand le gouvernement est dans le trou, et j’en passe !
Pour que ça aille mieux, il faut tous mettre un peu du nôtre et ne plus faire ce que je viens d’ecrire dans mes paragraphes plus haut parce que ça touche l’ensemble de la société. Le changement ça commence ici, dans ton coeur. Change ton environnement immédiat puis après ton pays. Tu vois des crosseurs de système ? Dis-leur ! T’en est un ? Change ! Crosses plus, aide à la place, pis un jour tu vas peut-être rouler sur une route pas de nids-de-poule ou un pont flambant neuf.
Ça c’est du vrai changement !
Très d’accord avec vous Monsieur MCReady.
Par contre, par expérience, nous, les québécois, sommes une peuple d’aplat-ventris …. Personne ne va sortir dans la rue pour revendiquer les faits cités plus hauts… Personne n’est assez solide et courageux pour défier le gouvernement de shit Charest qui divise l’opposition pour mieux régner. Je serais le premier à manifester. Mais que donnent les manifestations ? RIEN. À mon avis, ce que l’on doit faire, c’est de trouver un chef, un VRAI chef qui a à coeur le bien-être du peuple québécois et l’ÉLIRE OPC…. Qui est ce CHEF ??? Qu’il nous fasse signe et qu’il se présente, il aura NOS VOTES !!!!
J’suis d’accord. C’est quand la première rencontre ? J’attends ton appel ! 514 278-9528. Sans amertume, avec toute la joie de mon coeur.
Je n’ai pas lu toutes les réponses puisqu’il y en a beaucoup trop mais, quoique j’aime l’avant-dernier paragraphe aussi, dans un élan de patriotisme, ça sonne bien. Cependant, ce n’est pas parce qu’ils ne donnaient pas volontairement des couvertures infectées de virus ou de bactéries fatales que les nouveaux arrivants n’ont pas dramatiquement nui à ceux qui étaient DÉJÀ là… Je ne crois pas avoir à m’étendre sur le sujet…
Mais, maintenant que les nouveaux arrivants se sont appropriés le territoire, défendons-le…
Ils ont conquis; et par la suite, ont été conquis (par les Anglais, pour ceux qui ne suivaient pas), mais leurs descendants refusent de se faire aplatir, convertir. Ou du moins, certains d’entre eux, parce que beaucoup d’autres continuent de perpétuer cette culture de vaincus, de petitesse, de «je suis né pour un petit pain», de «ah, t’as réussi dans la vie? T’as pas le droit, tu dois être aussi misérable que moi, t’as pas le droit de réussir.» En fait, descendons tous nos critères et les exigences requises pour faire partie de notre société au plus bas pour s’assurer que tout le monde passe…
Je suis d’accord. Il serait temps que les Québécois relèvent leurs bretelles et décident de quelque chose. Quoi? Honnêtement, je ne le sais pas moi-même. Mais un peu de fierté dans la langue écrite, dans l’apprentissage de la langue française, donnerait déjà plus de sens à tout ça… non??
Qu’est-ce qu’on doit faire pour que ça change vraiment toutefois? Descendre dans les rues ou que les rebelles s’engagent à investir les institutions plutôt que de vivre une vie en parrallèle? Les parlementaires sont d’un seul courant idéologique et remplis de motifs personnels sans envergure…les autres courants plus progressifs sont en dehors du parlement et semblent être confortables dans cette indépendance, c’est selon moi la source du problème. Aussi désagréable que ce monde puisse paraître, faut l’investir pour qu’il nous ressemble plus et non critiquer trop loin sur le coté dans une indépendance qui ne fait pas changer les choses, ça change mais trop lentement.
« Mais notre cour à tous, c’est le Québec. »
Notre cour a tous c’est la planète….
je partage ton texte sur facedebouc et je le copie colle dans mes articles….Merci….vraiment….
Toute les grandes révolutions avait un moins un leader. Ça nous prend un leader. Celui qui fera le premier geste et unira les gens autour de lui. Qui pourrait faire cela au Québec? le seul qui parle d’être propriétaire au lieu d’être locataire c’est François Legault. Est-il pour autant le leader de la révolution que vous appelez? Les Québécois sont des suiveux. un peuple de suiveux. des peureux. je suis suiveux mais pas un peureux. C’est une personne forte qui doit ouvrir la voie. J’irai moi aussi de ma citation.. du film « champ de rêves » avec Kevin Costner… « si tu le bâti, ils viendront ».. ben c’est ça, amenez-nous un leader et nous le suivrons!
Arrêtons d’utiliser «l’outil le plus révolutionnaire depuis la machine à imprimer de Gutenberg» pour partager nos état d’humeur! Partageons nos actions de développement durable pour mettre de la pression et aider les organisations et les individus à agir de façon plus responsable! Faites décoller le mouvement IDDées : http://www.iddees.ca .
Bonjour… voici pour vous… ma bataille sera la votre!
http://www.pedrolartiste.com/fjumper/2011/09/10/xxxv/
Merci!
Pedro
C’est une bien belle lettre, qui montre le problème. Mais toujours pas de solution. Je crois que nous sommes plusieurs à être »réveillés ». Nous ne savons tout simplement pas vers où nous tourner. C’est facile de crier aux autres de se réveiller. Je n’ai pas plus la solution, mais j’aimerais bien que ceux qui souhaitent nous brasser la cage ne fassent pas que nous culpabiliser, mais bien qu’ils aient un plan à suggérer. Ainsi, peut-être, des lettres comme celle-ci seraient une sorte d’hymne rassembleuse plutôt que de simples mots se voulant percutants, mais destinés à l’oubli. Où, quand, comment?
M. Gravel, je reprends le fil des commentaires où je l’ai laissé la semaine passé (pour cause de surcharge de travail).
Deux points : J’ai répondu aux premiers 75 commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Vous trouverez aussi sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte, critique à laquelle j’ai aussi répondu : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt.
Cordialement,
-Denis McCready
Impressionnant ce texte ! Peut-être mais sous cette forme, il ressemble plus à une indigestion de fin de semaine…
Vous dîtes : « Les messages de ceux qui veulent nous informer et nous aider sont difficiles à entendre parce qu’il y a beaucoup de bruit. »
Oui difficile à comprendre votre cri d’alarme, trop de mots… un message de citadin pour les citadins ? Ou un cri d’alarme pour tous les québécois ? Vous dénoncez mais où sont vos solutions ?
« Je n’ai pas envie de devenir l’esclave d’une corporation qui pompe nos ressources et vide notre pays de sa richesse. »
Et vous proposez quoi ?
« Mais nous n’avons pas dit notre dernier mot et il est encore temps. C’est ici que vous avez votre rôle à jouer. Vous êtes des citadins, oui, mais il est temps de devenir de vrais citoyens. »
? Vous revenez encore avec votre citadin… mais c’est le peuple québécois en entier qui doit entrer en scène… allez, élaborez un peu plus sur ce rôle à jouer.
« il est temps de se lever et de poser un geste de citoyens libres. »
Et si vous étiez un peu plus bavard sur ce geste à poser ?
« Réveillez-vous, réveillez-vous, réveillez-vous. Vous vous faites mentir en pleine face et au lieu de vous organiser, vous restez assis à attendre que quelqu’un donne le signal. »
Réveillons-nous serait plus rassembleur non !
« On est en danger de perdre ce pourquoi nos ancêtres se sont battus, parfois même jusqu’en Europe. Je suis un citadin grégaire, je vis dans ce gros village avec vous, mais je n’ai pas envie de me battre tout seul. SVP. Réveillez-vous, réveillez-vous, réveillez-vous maintenant ! »
Réveillons-nous, réveillons-nous… nous sommes des québécois en danger de perdre ce pourquoi nos ancêtres se sont battus… mais il faut plus que des mots, il faut l’action… allez-y ouvrez la marche… le peuple vous suivra.
« Vous avez aujourd’hui entre les mains l’outil le plus révolutionnaire depuis la machine à imprimer de Gutenberg, et tout ce que vous trouvez à dire avec, c’est : «chus saoul», «j’mange de la poutine», «j’fais dodo», «mon chien yé cute»! »
Eh oui ! pourquoi ne pas vous en servir de cet outil révolutionnaire, créez-là votre page facebook révolutionnaire… allez-y sur twetter… Rassemblez le peuple et ENSEMBLE nous trouverons bien quelques pistes intelligentes et efficaces. Donnez suite à vos mots dans l’action sinon votre cri d’alarme sera un feu de paille.
« Une société, pas plus qu’une femme, ne peut demeurer indéfiniment enceinte : il faut qu’elle accouche ou qu’elle avorte. René Lévesque.
Voir mon commentaire à Max Gravel (juste un peu plus haut).
Le défi je crois est de trouver des moyens nouveaux, plus originaux de rassembler les gens. La grêve n’a plus très bonne réputation, elle est trop courante et ridiculisée même. C’est dur de trouver des moyens attirants pour tout le monde. Je pense par exemple à la publicité faite par des artistes pour sensibiliser les gens aux Gaz de Schiste. Moi je la trouvais bien mais elle a tellement été ridiculisée, «des zaartistes en manque de job qui veulent de nouveau contrat en faisant semblant de s’attacher à une cause». Donc allez-y, soyez originaux, soyez marketing et futés, moi j’embarque. J’adore le Québec et comme quelqu’un la mentionné plus tôt, la perte de Jack Layton nous a touché parce qu’on se disait «enfin on peut voter pour un bon gars, peut-être pas le meilleur mais avec des vraies idées collectives». Levez-vous les leaders positifs, débrouillards et honnêtes, je ne suis pas un mouton mais je veux bien vous suivre.
Il est absolument nécessaire dans une démocratie d’avoir le droit de critiquer. Cela étant dit, moi aussi je me donne le droit, pour renforcir votre texte, je présume, de critiquer vos propos.
Si je comprends bien, le problème principal que vous dites est que ce sont des étrangers qui investissent ici et qui viennent prendre de nos ressources, et d’autres termes, nous rendent la pareille. Oui, car c’est exactement ce que fait le Québec/ le Canada. Le matériel qui nous entoure, c’est d’ailleurs. C’est la définition de la mondialisation: Être interconnecté sans frontière par le pouvoir du marché.
Oui, on peut haïr le marché, surtout pour un peuple né pour un petit pain qui n’a pas plus d’ambitions que de vendre ses tomates à l’intérieur de ses frontières, mais pour un peuple qui est fort, qui croit en ses moyens, se voit fier d’exporter sa culture, ses produits, son économie dans d’autres pays. Moi, je suis extrêmement fier du Cirque du Soleil: Une compagnie privée qui fait des spectacles et qui réussit à travers le monde. C’est parce que les autres pays sont ouverts: ils n’ont pas peur des étrangers.
Quand je vois que le Japon vient investir ici, je me dis: »Diable que j’aimerai qu’on soit aussi fort qu’eux! ». Ils viennent mettre des milliards, créent une économie, créer de la vie dans un Nord désertique, et ainsi mettre à la portée de tout être qui vit des richesses pour faire grandir des cités, et pas seulement pour les gens d’ici.
Il faut se sortir la tête dans la sable et réaliser que l’exploitation minière la plus prospère se fait par le privé: Le gouvernement risque bien moins d’argent sinon rien (les filons ne sont jamais garanties, c’est pour ça que le Québec n’a jamais exploité son Nord à ce jour), voit des redevances (si on augmente trop la valeur, ils vont aller ailleurs, et il n’y aura pas de jobs créés) et de l’impôt de la compagnie, donne du travail, et n’a qu’à imposer des lois strictes pour éviter que l’environnement se déteriore. On le fait avec déjà avec les mines et on fait vivre beaucoup de gens comme ça. Demander que le gouvernement gère absolument tout (que ça soit les ressources naturelles comme l’agriculture à services comme Internet) est une vision dangeureuse qui encourage un contrôle de plus en plus puissant d’un seul entité, et si ça n’amène pas la corruption, on voit que ça amène la perte de compétitivité. Je ne sais pas pour vous, mais avec les politiciens d’aujourd’hui, je me demande si ce n’est pas se mettre la corde autour du cou que de donner de plus en plus de pouvoir à une seule organisation politique. Une compagnie n’a pas de pouvoir politique, le gouvernement, lui, peut l’avoir de façon absolu. Le gouvernement sera toujours au dessus des compagnies et des citoyens. Une compagnie n’est qu’un tas d’humains qui travaillent ensemble pour vendre de quoi aux citoyens. Le site en est la preuve.
Faut-il être patriotique et haineux pour avoir de l’aversion envers des gens d’ailleurs. Si c’est un Québécois qui investit, c’est cool, mais si c’est un humain à peau jaune, on crie: »Nous ne sommes pas maître chez nous? »
Il n’y a rien de plus pathétique comme vision que d’imaginer que chaque pays devrait être refermé sur lui-même et éviter de recevoir des investissements d’ailleurs sous l’argument: »L’argent ne vient pas d’ici, donc, nous allons perdre notre pouvoir en tant que peuple ».
Nous, les 7 milliars d’humains, achetons et consommons, nous sommes le marché, tous, interconnectés. Oui, il y a des êtres corrompus, mais c’est nous qui, par lacheté, donnons le confiance à une seule compagnie, à que quelques leaders, parce que c’est moins cher et que nous n’encourageons pas la compétition. Nous laissons les banques les plus puissantes contrôler tout parce que nous ne voulons pas encourager le moins profitable, les plus petites banques, et c’est le pire qui nous arrive par la suite.
Arrêtons d’avoir peur du mot privé, c’est un synonyme du mot »je ». Nous sommes tous des invididus avec un revenu personnel, nous sommes tous des êtres privés. Votre compte de banque n’est pas public et il n’est pas dépensé selon la volonté d’un gouvernement, heureusement.
Le métier d’un gouvernement, ce n’est pas de contrôler tout, mais de mettre des lois pour que les choses se gèrent d’elles-mêmes. Je n’ai pas besoin d’un policier à tous les coins de rues, je fais confiance aux gens.
Il faut arrêter d’hair le marché pour ensuite se plaindre qu’il n’y a pas de jobs intéressants dans notre domaine. À moins que vous rêvez d’un monde que c’est le gouvernement qui offre tous les emplois, que le gouvernement contrôle tous les revenus et décident quoi faire avec. Je préfère faire confiance aux humains, d’ici et d’ailleurs, avec une ouverture d’esprit qui en a assez de la xénophobie.
À moi de vous dire : »Réveillez-vous! Tuer toute racine d’économie dans notre propre pays, c’est se tirer dans le pied » Mais je ne tirai pas »réveillez-vous », car c’est très prétentieux.
Si vous voulez agir comme des moutons, n’écoutez qu’une version des faits, qu’une vision des choses, et on vous fera faire n’importe quoi, même contre vous-mêmes.
Très cher,
Rien de nouveau sous le soleil. C’est tel que vous le décrivez depuis les temps immémoriaux. Mais vous tapez dans le mille quand même!
Les fascistes ne sont pas au pouvoir. Croyez-moi. Vous ne pourriez pas vous exprimer ainsi (ni moi d’ailleurs) si c’était le cas. Il s’agit plutôt d’une ploutocratie dirigée par des kleptocrates qui sont très bien organisés. Ils ont réussi à consolider leur position et renforcer leur emprise en fragmentant l’électorat. Anyway! Ils ont juste comblé un vide en s’emparant du droit de vote de chaque citoyen qui pour une raison ou pour une autre ne veut pas l’exercer.
Vous savez, s’il y a une chose que j’aime du TEA PARTY, ce n’est bien sûr pas les guignols, ni les bouffons qui le dirige, mais uniquement et surtout, le nom du parti.
Il y a presque 240 ans, une petite clique de commerçants de BOSTON décide qu’ils ne veulent plus payer les taxes d’accise imposées par la métropole outremer. Ils décident de balancer par-dessus bord quelques caisses de thé en guise de protestation. Sans le vouloir, une idée révolutionnaire voit le jour : NO TAXATION WITHOUT REPRESENTATION. Je la résume très grossièrement comme suit, si tu veux mon cash, je veux un vote électoral en échange.
L’assise fondamentale de toute forme de gouvernement réside dans son pouvoir monopolistique de taxation. No money ! No candy !
Je ne sais pas très exactement combien de citoyens québécois paient des impôts. Mais supposons que sur une population de 7,5 millions, nous ayons 5,8 millions de contribuables, de ceux-là, 15% ont déclaré des revenus supérieurs à $50 000.00. Selon les chiffres que j’ai à ma portée, cette tranche de revenu supporte plus du 2/3 du fardeau fiscal. Aux dernières élections en 2008, il y avait 5,7 millions d’électeurs inscrits, ce qui correspond grosso modo aux nombres de contribuables. Le taux de participation était de 57%, par conséquent, 2,4 millions de citoyens ont décidé de ne pas exercer leur droit de vote. J’estime qu’il y a entre 2,2 et 2,6 millions de québécois qui ne paient pas d’impôts, soit parce qu’ils sont étudiants, soit parce qu’ils sont chômeurs, soit parce qu’ils sont au salaire minimum ou pis encore, soit parce qu’ils ont d’excellents fiscalistes. Qui au juste a exercé son droit de vote ? Celui qui ne paie pas d’impôt, celui qui en paie trop, les deux, ni un ni l’autre, il est impossible pour moi de le savoir, ce que je sais reconnaitre par contre, c’est une situation qui combine une possibilité infinie de clivages et de mises en opposition, un terrain des plus fertiles pour une ploutocratie qui s’est fixée comme mission le pillage des ressources de l’État.
Je ne prétends pas pour un seul instant qu’il faut enlever le droit de vote aux chômeurs ou aux plus démunis. Je ne prétends pas que le vote d’un millionnaire pèse plus que celui d’un étudiant. Ce que je sais reconnaitre par contre, c’est que la balance réelle du pouvoir est entre les mains de ce 15% qui de la sueur de son front fait vivre ce Léviathan qu’on appelle l’appareil bureaucratique. Inutile de prendre les armes. Il suffit simplement que du jour au lendemain, 1,1 millions québécois refusent catégoriquement de payer les impôts sur le revenu et tout s’écroule. Facile hein !
Les dirigeants politique du Québec sont à l’image de ceux qui gouverne au municipal. Ils semblent faire des choix incompréhensibles, mais on peut deviner leur motivations. Il n’y a personne de responsable et semble être dirigé par une bande d’incompétent totalement déconnecté de la réalité.
Ils ne parlent pas de ce club sélect des maîtres du monde (multinationnales, pétrolières, minières, bourse….) qui distribuent les enveloppes brunes, finances les campagnes électorales, les carrières après le retrait de la politique. En fait il y a plein d’avantages sociaux si on obéit aux ordres des maîtres. Il n’est pas nécessaire d’être très intelligent ou compétent. Seulement d’être dans le bon club sélect.
Le principe est que il faut s’en mettre plein les poches et s’assurer d’avoir une retraite doré après. Leur seule motivation est la cupidité et tout le reste est superflu. Le pouvoir est un bonus!
Personnellement j’aime mieux fourré une prostitué que me faire fourré par les politiciens….Par ce que avec une pute je sais combien ça va me couté( en passant c’est une façon de parler seulement)….
Vraiment percutant, à réfléchir
Denis, Ton message doit être lu par tous les gens de notre génération et surtout les « intellectuels de gauche qui changent le monde au bout du bar » car l’objectif à atteindre est celui de montrer au plus grand nombre de québécois possible qu’ils ne sont pas seuls à déprimer. Quand on fait un grave accident de voiture, on comprend facilement notre mal et notre impuissance, en plus de ne pas avoir à s’expliquer à tous nos proches et amis puisque notre état parle de lui-même. Quand on fait une déprime nationale, c’est autre chose. On ne se soulève plus le matin, il fait gris tout le temps (surtout à la tête du gouvernement) et il n’y a pas de religion miracle pour nous faire aimer autre chose…en attendant d’en haïr une autre pour justifier notre mal. Je n’ai pas connu la grande déprime et je suis, comme toi, de ceux qui croient que le cynisme n’a plus la cote et que l’on doit arrêter la machine à nous bourrer le crâne et la transformer en machine à grandir, à devenir de meilleurs êtres humains. Je me réfère souvent à la musique pour constater le niveau de culture des gens, voire des peuples, et le constat québécois est navrant. Non pas que nos artistes actuels ne soient pas à la hauteur, au contraire, mais que la place qu’on leur laisse soit si petite et la valeur qu’on leur accorde si piètre. Rappèles-toi aussi que à travers les sol et gobelet de notre génération il y avait des pianos partout et les gens se retrouvaient en famille; on chantait des reels, on tapait du pied, on jouait des rigodons, on écoutait la soirée canadienne avec nos grand-parents…40 ans plus tard on contingente les cours de musique à l’école et alors qu’un seul parent suffisait à rapporter le pactole nécessaire à nourrir une tablée d’enfants (souvent 10) il faut aujourd’hui les deux parents pour suffir à deux enfants….et souvent le troisième est une décision ¨ »économique » ???!!! Nos parents nous ont laissé tout ce qu’il fallait pour survivre, et même vivre, sans dégénération. Aujourdh’hui, alors qu’ils sont vieux et demandent qu’à partir fiers et accomplis, ils finiront dans des centres pour personnes agées tristes, pauvres et surtout trahis par leurs enfants. Il est temps de faire un grand virage à gauche…et de placer le bien-vivre québécois au-dessus du bien paraître de nos dirigeants-moutons dont les cabinets sont plus près de la bécosse que du poste de pilotage.
Je salut cet article qui aborde les questions essentielles de nos sociétés plus que jamais détournées par quelques uns … C’est l’éveil face à la vérité qui sera le vecteur de la révolution. Courage aux peuples du monde!
j’aime ce monde qui juge et critique, qui veut changer le monde en disant à l’autre quoi penser et quoi être, qui voit le mal et la paresse partout, qui pense être unique et surtout, qui comme les témoins de Jéhova nous répète sans arêter RÉVEILLEZ-VOUS RÉVEILLEZ-VOUS RÉVEILLEZ-VOUS!!!
Le déclin de l’empire capitaliste-démocratique.
Il est vrai que ce texte exprime bien la situation. Toutefois, il me semble que les problèmes énoncés ont tous subis une forme de légitimation qui les rend acceptables aux yeux du public.
1. Tout d’abord, il semble évident que le système capitaliste entraîne systématiquement un développement non-durable des ressources naturelles, et que cette évidence est devenue prédominante depuis la montée de la mondialisation économique. Ce système nous mène collectivement droit vers un mur de brique, soit l’exploitation jusqu’à épuisement de celles-ci. Malheureusement, la lutte contre le communisme qui a perduré durant une bonne partie du siècle dernier a contribué à valider l’image du système capitaliste comme seul viable. Le documentaire Zeitgeist, bien que très partisan, offre un bon résumé de la situation actuelle, et propose l’alternative d’une économie basée sur les ressources, une idée qui semble pour l’instant prometteuse mais peu développée. Toutefois, une de ces idées qui me semblait faire beaucoup de sens est qu’il est absurde que chacun d’entre nous se doit de posséder totalement ses biens, et que nous pourrions avoir une sorte de magasin général ou nous irions emprunter nos objets quand nous en avons besoin, éliminant ainsi une bonne partie de la production massive servant à combler les besoins insatiables de l’homme moderne.
2. Le système démocratique actuel nous donne un faux sentiment de pouvoir et une légitimation de notre condition. Ainsi, plusieurs commentaires font références au fait que plusieurs pays sont sous dictatures. Ces commentaires sont bien-fondés, mais ce n’est pas parce que quelqu’un d’autres vit dans des conditions pires que cela rend notre condition acceptables. La liberté est un droit humain universel, et nous ne la possédons pas plus que les peuples sous dictatures. Nous sommes simplement nous aussi esclaves, simplement avec de meilleures conditions de vie. La démocratie athénienne est totalement différente de la nôtre: les citoyens athénien était tenu au service militaire, ainsi que de la procuration à leur frais de tout l’équipement qui leur permettrait d’intégrer la formation de hoplites, et ils étaient tenus de voter sur les mesures législatives et devaient ainsi se réunir à multiples reprises pour discuter des décisions de la communauté. Dans notre démocratie, nous sommes beaucoup trop pour que notre vote et notre voix fasse une différence, nous avons un corps d’armée composé de soldats professionnels pour nous défendre et nous sommes ainsi couper de tout processus décisionnel en en ce qui concerne l’état.
3. Les chutes successives au cours de l’histoire de l’importance des valeurs traditionnelles tels que le nationalisme ou la religion font que l’homme moderne n’a qu’une seule valeur qui prime sur toutes les autres: l’individualité.
Pour ce qui est des solutions, il m’apparaît de deux choses l’une: une révolution, c’est d’abord et avant tout un soulèvement populaire non-pacifique. Toutefois, depuis le FLQ, la révolution est devenu un sujet tabou au Québec, et un soulèvement populaire n’est pas près d’arriver, et même si c’était le cas, ce soulèvement aurait fort probablement très mauvaise presse à l’international.
Il reste donc à mon avis qu’une seule et unique solution, la plus plate et la plus décourageante: créer un mouvement unique et rassembleur (contrairement à la récente vague de mouvements souverainistes) qui rassemblerait ceux qui veulent discuter de ces idées et réussir à assembler un manifeste qui ferait la promotion des idées que nous choisiront en tant que successeurs aux systèmes actuels par le biais d’un site internet, lié aux réseaux sociaux et véhiculant les valeurs mises de l’avant par un tel mouvement comme l’implication politique, la prise de conscience des responsabilités du rôle de citoyens etc…
J’espère que mon commentaire s’est avéré constructif parce que j’ai fait de grands efforts pour ne pas simplement tomber dans le cynisme et le découragement. Ne perdez pas espoir!
Merci de votre commentaire. Voir ma réponse à Max Gravel (un peu plus haut) pour plusieurs réponses à vos commentaires.
Un point : vous dites «ce soulèvement aurait fort probablement très mauvaise presse à l’international.»
Et pourtant regardons avec quelle empathie les soulèvement populaires du monde arabe ont été accueillis. Je suis certain que plusieurs comme moi souhaitent que nous agissions en citoyens responsables et que nous commencions par une manifestation de nombre non-violente. Après on doit passer à une autre étape.
Merci. Vous dites si bien ce que je me tue à répéter à mon entourage qui semble parfois plus intéressé à savoir si les Nordiques reviendront à Québec ou à Occupation double et Star Académie.
Merci de me redonner du courage. J’ai 60 ans. Je suis tannée … je veux que ça change.
M. McCReady, je voterai pour vous aux prochaines élections.
Quelle belle bouffée d’air frais que ce texte! Il faut trouver un commanditaire, l’imprimer, et le distribuer gratuitement partout, sur les bancs de parcs, les dépanneurs, etc.
Comme le disait Michèle Lalonde en la finale magnifique de son Speak White, « nous savons que nous ne sommes pas seuls ».
Réjean Bonenfant
écrivain
Texte très pertinent, qui cherche à provoquer une action. Le fait est que ça va être pas mal difficile, car le peuple est déjà passable endormie dans sont merveilleux confort individualiste. La job est ben faite et la majorité des animaux sont bien dressé. À l’heure actuel peu sont prêt a sacrifier afin de faire avancer le bien commun. La lucidité des ces propos va malheureusement se perde dans la peur entretenue du collectif. Les autorités ont bien fait leur travail à créer une peuple de crevettes peureuses. La voie logique serait de prendre le controle de notre destin. Redéfinir le fonctionnement de notre société. Ça demande des efforts et personne ne veux se mouiller. Le chemin, le seul, c’est le peuple en un seul bloc qui doit le tracer. Fonder un partis politique par et pour le peuple. Qui travaille pour le travailleur. Aucune cravatte permise, que du jus de bras. Reveillez-vous bande de clowns
Beau texte ! Beau cri d’alarme !
Mais qui va bouger ?
Le monde est endetté, le monde doit payer ses dettes, le monde se fait manipuler sur son ego, le monde a perdu son âme, le monde a peur.
Bouger, changer, évoluer en 2011 cela signifie accepter de renoncer à son confort, mettre en péril son statu.
Réagir en 2011, oser autrement cela signifie regarder le monde et non son nombril, avoir une ambition, une vision, une passion pour son peuple, pour ses concitoyens.
Vouloir changer les choses c’est avoir de l’amour pour ses enfants, des projets pour un avenir différent, c’est avoir le courage de ne plus consommer pour paraître et de s’investir pour être.
Enchaînés par le crédit, « déculturisé » par un environnement matérialiste, qui va oser ou tout simplement avoir l’intelligence de dire stop !
L’heure est à la renaissance de vrais leaders possédants des valeurs humanistes. Les peuples ne se révoltent que lorsqu’ils ont faim, lorsqu’ils sont pauvres et, ou, lorsqu’ils sont conduit par des leaders de grandes envergures.
Des leaders qui possèdent la force, l’intelligence, l’éthique, les valeurs, la vision, la créativité pour construire un monde ou l’ambition première sera la vie, le respect, l’amour, le partage, l’opiniâtreté, la transparence, autant de valeurs qui donneront naissance à une organisation créatrice de bénéfices humains, environnementaux et matériels durables.
Tous, à notre niveau, quelles que soient nos origines sociales et ethniques, nous pouvons dès demain, défendre, enseigner, partager, exprimer ses valeurs et bien d’autres pour commencer à faire bouger les choses.
Justement.
Deux points : J’ai répondu à plusieurs commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions à ma première lettre : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Vous trouverez aussi sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte, critique à laquelle j’ai aussi répondu : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt.
Cordialement,
-Denis McCready
bravo. magnifique. ça tord le coeur, mais ça botte le cul.
Je suis complètement d’acord!!! J’en ai eu les lames aux yeux! Il est temps que les Québécois se réveille!
Cher M. McCready,
Contrairement aux premiers répondants ci-hauts, je ne me laisse pas faire impressionner par votre article.
Il est clair que vous croyez à la nationalisation des ressources naturelles et que vous ne voyez pas la valeur ajoutée que peuvent apporter les sociétés privés dans la création de la richesse collective au Québec. Je respecte votre droit à votre opinion.
Nous sommes d’accord sur au moins un point, Jean Charest est un mauvais leader pour le Québec et doit être remplacé le plus rapidement possible.
Par contre, je soupçonne que nous sommes en désaccord sur le leader qui devrait lui succéder et les politiques qui devraient êtres mises en place par le nouveau gouvernement.
Souvenez-vous qu’avant votre naissance en 1967 (avant la mienne aussi), Montréal a été l’hôte de la planète durant l’EXPO 67. À ce moment, Montréal était le centre économique et culturel du Canada. Suite à l’élection de gouvernements de centre-gauches successifs (Pierre Trudeau au fédéral de 68 à 84, Robert Bourassa en 70, René Lévesque en 76, Robert Bourassa en 85, Jacques Parizeau en 94), le Québec a réduit ses dépenses pour l’entretien de ses infrastructures routières afin de maintenir les dépenses pour le bien-être social et autres programmes sociaux. Ceci est un choix respectable mais qui mène à l’état actuel des infrastructures du Québec et de son économie.
Les conséquences de cette dégradation sont que Montréal a présentement peine à supporter l’activité économique qui fournit les milliards annuellement aux coffres du gouvernement. Ces coffres se remplissent de moins en moins et le Québec a une dette accumulée d’a peu près 240 Milliards (soit 30,000$ par habitant ou 75,000$ par travailleur, sans compter la part québécoise de la dette canadienne).
Peu importe ce que les québécois choisiront comme gouvernement en 2013, ils devront vivre avec les conséquences des choix de leurs leaders.
Souvenez vous que la richesse se dégrade lentement quand on ne la maintient pas régulièrement. Le corolaire de cette réalité est que la richesse se bâti lentement lorsqu’on la maintien régulièrement.
Je propose que le Québec réinvestisse dans ses infrastructures de façon efficace en fournissant des contrats de service pour le développement et l’entretien des infrastructures (routières et de traitement et distribution de l’eau) à des sociétés privées en les forçant à compétitionner les unes contre les autres régulièrement (à tous les 5 à 10 ans). Ceci nécessitera de dépolitiser l’attribution des contrats provinciaux de manière à ce que l’attribution de ces contrats incombent à des bureaucrates des ministères qui auront des revenus stables et prévisibles avec lesquels jongler. La France est passée maitre dans l’art de faire ainsi. Nous n’avons qu’à nous y inspirer.
N’oublions pas que les sociétés privées peuvent profiter de nous lorsque nous les laissons faire, mais nous pouvons profiter d’elles en les positionnant les unes contre les autres en gardant la qualité de leur livrables élevées et leurs prix bas.
Je sais que plusieurs socialistes et idéalises vont décrier mon commentaire comme étant du néo-libéralisme de droite. Souvenez vous que je propose que l’on s’inspire d’un modèle utilisé en France qui n’est pas le pays le plus néolibéral sur la planète, mais un pays qui a des infrastructures impressionnantes.
À la fin de la journée, les québécois peuvent choisir la création de la richesse et l’entretien de ses infrastructures ou une continuation de la dégradation de celles-ci qui a commencé en 1968.
À nous de choisir. Réveillons-nous.
Kevin D. Loucks
M. Loucks,
Merci de cette analyse. Je crois que vous marquez un point. La dégradation actuelle est le fruit de négligences accumulées.
Pour continuer la réflexion, j’ai répondu à plusieurs commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions à ma première lettre : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Sans prôner la nationalisation, je crois qu’il faut encadrer le privé sans lui donner un chèque en blanc. D’ailleurs, un lecteur a publié sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte. J’ai aussi répondu à ce texte et vous y trouverez une précision de ma réflexion : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
On dirait que 8 personnes sur 10 n’ont pas compris le message. Ce n’est pas un texte qui est fait pour être BEAU et apprécié!!! C’est pour comprendre quelque chose! Si après avoir lu cela vous ne changez rien à votre vie, vous n’avez rien compris.
Extrêmement apprécié comme texte. Ces sentiments sont plus que partagées. C’est un autre pas qui incite à l’action.
Bravo pour ce texte m.McCready! Je suis totalement en accord. Le problème c’est que je ne suis pas certaine de savoir quoi faire pour contrer une telle bande de cravatés qui, ma foi, semble détenir le pouvoir de décider. Je m’informe, et j’essaie de convaincre les autres de se lâcher le nombril en leurs exposant certains faits et lectures mais rien a faire. On a l’impression que le monde est déja »setter » . Que les bandits sont bien organisés ainsi que les idées qu’ils veulent mettre en place.Les gens ne se questionne même pas en général. Trop occupés a payer toutes les factures. Étourdis, c’est ce que nous sommes. Tout cela n’a pas de sens et tout le monde le sais parfaitement. On se dirige a toute vitesse dans un mur de béton et au lieu de vouloir freiner, on accélère….Encore plus vite..plus vite ….PLUUUUSSSSS VIIIIIIIIIIIITTTTTEEEEEE!!!! Moi, ca me fait peur. Je suis sous le choc de constater qu’avec toutes les technologies dont nous disposons, le message ne se rend pas. Comme vous dites, les gens préfèrent regarder une jeune collégienne saoule que de lire ce texte, justement. Il est LA, le problème. Nos écoles n’ont plus le droit d’enseigner alors on fait des jeunes des idiots et on accède ainsi a un controle de la masse parfait. J’ai 33 ans et je crois encore qu’on peut changer les choses. On m,a appris a questionner, a chercher, a s’opposer, a défendre…a penser par moi-même. A ETRE CONSCIENTE. Mais j’avoue que j’ai perdu la foi en l’humanité. Je pense qu’on a perdu le controle….et qu’ils l’ont gagné. Car tout cela n’est pas arrivé par hasard. Il y a des gens aux idées folles et machiavéliques qui ne veulent pas votre bien. LISEZ.INFORMEZ-VOUS et peut-etre, qui sait….
Je n’ai pas eu la force de lire jusqu’au bout lorsque j’ai vu les aneries sur le plan nord… D’abord, vous dites que des compagnies minieres seulement 3% des redevances réelles nous reviennent… S’il vous plais éclairez nous sur ce beau chiffre que vous nous pondez car ici: http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110907-143049.html . On peut lire que le cabinet PricewaterhouseCoopers estime a près de 41% se que le gouvernement percoit en impots et redevances. Ensuite, vous nous sortez les chiffres très absurdes… 80 milliards investi pour 28 milliards de profits! 28 milliards de profits? Donc, selon vous, il y a 28 milliards qui nous reviens dans les poches et paf plus rien… Mais c’est quoi se chiffre? Je suis peut-etre un ignare qui n’a pas compris quelque chose, mais les impots et les redevances c’est un gain annuel non? A moins que vous n’ayez déjà évaluez la valeur total des ressources dans le grand nord d’une façon mystérieuse (On s’entend évaluez la quantité de ressources sur une tel surface est pour l’instant impossible).
C’est se que j’aime avec les journalistes comme vous, ils ne citent aucune source parce que dans le fond, ils ne font qu’inventer des chiffres ou ils interprètent se qu’ils pensent avoir déjà entendu de quelqu’un qui avait lu quelque part, etc….
Je crois que tu devrais relire ta source… je crois que tu as mal interprété l’information..
Monsieur,
1 – Je ne suis pas journaliste.
2 – Je vous épargne quelconque épithète à propos de vos mots.
3 – Je n’ai pas cité de sources – le texte original n’en ayant pas, mais je me permets de vous en suggérer quelques unes :
À propos du 3% : http://m.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/319976/redevances-minieres-le-ministre-raymond-bachand-ne-dit-pas-tout
À propos du Plan Nord :
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/323375/plan-nord-une-aventure-qui-presente-un-risque-pour-les-finances-publiques
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/329558/l-industrie-miniere-mondiale-louange-le-plan-nord
Et bien sur cet article qui souligne les craintes du Mouvement Desjardins (pas reconnu pour être une bande de communistes à barbe vivant en communes) :
http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/328707/le-plan-nord-loin-de-l-eldorado
À propos de PriceWaterhouseCooper, ils prêchent pour leur paroisse autant que les critiques actuels (de Richard Desjardins à la coalition «Pour que le Québec ait meilleure mine») : http://www.pwc.com/ca/en/mining
Les redevances minières sont au coeur des enjeux du développement économique futur du Québec, j’aimerais que l’on calque des pays comme la Norvège ou le Botswana qui demandent (et obtiennent) 51% des redevances ; dans le cas de la Norvège, le gouvernement fait des partenariats avec le privé mais reste majoritaire. Pourquoi ne pas faire la même chose ici?
Cordialement,
-Denis McCready
J’oubliais : http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/energie-et-ressources/201109/08/01-4432490-le-quebec-nest-plus-un-paradis-minier.php
CITATION : « Le porte-parole de la Coalition Québec Meilleure mine, Ugo Lapointe, reconnaît que le Québec tire plus de revenus qu’avant de l’industrie minière. Mais il croit lui aussi qu’il n’en tire pas assez. «L’étude de Pricewaterhouse se base sur une mine fictive et ne reflète donc pas la réalité des entreprises», a-t-il commenté. Les déductions et les subventions accordées à l’industrie, par exemple, ne sont pas comptabilisées. «On sait que le Québec est très généreux à cet égard.»»
À l’auteur (et à ceux qui ont commenté avec enthousiasme et points d’exclamation):
C’est ben beau d’avoir pris le temps de nous vociférer tout ça, mais qu’est-ce que vous attendez pour la partir, justement, cette révolution?
Je suis pessimiste envers les politiciens, et je le suis autant envers les « révolutionnaires » comme vous. Ai-je tort?
« Practice what you preach. »
Les citoyens ont certes besoin de se faire brasser la cage des idées, mais, encore plus, de solutions concrètes, d’une méthode, d’un appel facile à l’action difficile. Autrement, seulement une poignée de ces gens poseront un geste concret, prendront la parole, sortiront de la file. Je suis malheureusement de ceux qui, malgré des idées très arrêtées, ont besoin qu’on leur dise quoi faire, qu’on leur dise que la ligne qui est leur, c’est celle-là, là-bas. Une fois en groupe, confortés dans ce désir de lutte, nous agirons en conséquence. Il nous faut un leader, et c’est tout, car les idées, nous les avons.
Il y à longtemps que je pensais comme vous mais je n’avais pas les bons mots pour m’exprimer!
Je suis tanner de voir tout le monde qui chiale sur tout mais qui ne fait rien!
J’ai 24 ans et j’ai envie de vivre dans un monde sain!
C’est le de changer les choses avant que les choses nous changent!
Je veux des enfants et j’ai pas envie de leur dire que si ils sont rendue lache, obèse et incapable de penséeque c’est de notre faute!
LEVONS-NOUS ET AGISSON MAINTENANT!
Et que ceux qui disent que c’est impossible de changer quelque chose reste dans leurs taverne à hiberner!
Tout est possible quand on le veux!
Avez-vous deja entendu parler des 3 documentaires Zeitgeist, d’InfoWars d’Alex Jones et j’en passe.
OK, c’est américain, mais on reste voisin et interdépendant.
Les banques canadiennes ont quand même emprunter a la Réserve Fédéral qui se trouve a être une corporation.
Je suis peut-être dans le champ … mais la corruption est tellement vaste dans ce monde que peut importe ou je me trouve dans le champ, je vais trouver quelque chose a pointer du doigt …
Tout à fait dans la lignée des » Indignez-vous » de Stephanne Hessel, 93 ans!
Bravo, on est motivé, mais la on fait quoi? Pris avec Charest pour encore quelques années et y a pas un parti digne du nom qui va pouvoir récolter assez de votes pour faire arrêter le carnage. La grande énigme c’est d’accrocher les gens qui se foutent de la politique et de tenter de les intéresser.
À vous tous, chers internautes, j’aimerais partager avec vous une citation du célèbre auteur canadien Marshall McLuhan : « Moral indignation is a standard strategy for endowing the idiot with dignity. »
Ou, si vous préférez : « L’indignation est une méthode efficace pour l’idiot de se doter d’un semblant de dignité. »
Pour le fond, comme message, c’est du déjà-vu. Pour la forme on repassera. Un peu de créativité s’il-vous-plaît!
« Become the change you want to see in the world » – Gandhi
À la prochaine
Votre traduction est erronée.
Marshall McLuhan : « Moral indignation is a standard strategy for endowing the idiot with dignity. »
La traduction exacte serait : « L’indignation morale est la stratégie de base pour doter l’idiot de dignité. »
Si l’objectif est de manipuler l’idiot, alors effectivement l’indignation est un bel outil pour le manipuler.
Mais ce n’est pas l’indignation qui m’intéresse, mais de passer à la prochaine étape parce que, bien que mon texte est une charge de front, je ne considère pas les Québécois(es) comme des idiot(e)s. Tout le contraire.
Pour continuer la réflexion, j’ai répondu à plusieurs commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions à ma première lettre : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Sans prôner la nationalisation, je crois qu’il faut encadrer le privé sans lui donner un chèque en blanc. D’ailleurs, un lecteur a publié sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte. J’ai aussi répondu à ce texte et vous y trouverez une précision de ma réflexion : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
Absolument renversant… mais »oh que vrai »!
Nous en sommes là, il faut se brasser, mettre nos culottes, se tenir debout… nos ancêtres ont battis un futur pour nous et nous n’en faisons rien… nous nous laissons aller dans l’agrément, dans notre confort, notre petite bulle.
Soyons réalistes, nous sommes effectivement victimes de notre inaction, il est temps de réagir!
Chapeau pour l’article!
C`est bien que vous ayez une tribune pour vous exprimez. Autrement avec des discours et des idées comme les votre, parce que j`en ais. On se fait toiser pour ne pas dire cracher dessus par tant de béotiens que j`en viens a ne plus aimer mon espèce…
Faut-il que je dise merci de nous avoir baiser, nous, les Amérindiennes, ton texte, il est super cute, en bon français du Québec!Nin, Shanimen
Mme Mesténapéo,
C’est la seule partie du texte que j’ajusterais si j’avais la possibilité de le republier.
Le texte est effectivement imparfait ; il a été écrit initialement pour être lu en public (avec les emphases et nuances permises, et le fait qu’on peut adopter un ton sarcastique pour donner un sens aux mots ou le détourner) et il y a aussi quelques raccourcis.
Par rapport aux Premières Nations : je ne nie pas le génocide canadien, ni ne prétend que les abus sexuels de l’église ou des nouveaux arrivants n’ont pas eu lieu, mais c’est historiquement vrai : il y a eu beaucoup de couples mixtes Français-Amérindiens. Il me semble aussi que la politique génocidaire est arrivée après la conquête britannique. Je ne prétends pas que les Français n’ont pas tué d’autochtones, au contraire, mais on ne peut pas comparer l’exploration de l’Amérique du Nord par les Français avec les politiques des États-Unis lors de la conquête de l’Ouest.
Les politiques génocidaires du Canada sont appliquées depuis des centaines d’années et ont eu un impact dévastateur ; certaines sont encore en place et elles sont la plupart encore occultées.
Ceci dit, ça peut être mal reçu quand c’est écrit, plutôt que livré verbalement et ça pourrait bénéficier d’un coup de rabot et de papier sablé pour arrondir ce coin-là.
Merci de m’avoir donné l’occasion de clarifier ce point.
Merci.
Excellent texte, mais vide. Vide car vous faites exactement ce que vous dénoncez : écrire des messages qui ne mentionnent aucunement vos propres initiatives de changer ce dont vous vous écriez à faire valoir. Ceci dit, vous êtes doué dans l’art des mots. Merci. Ca fait tout de même sourrire de vous lire, et d’espérer que nous irons plus loin que ça.
Mme Bélec,
Pourtant ce n’est pas l’indignation qui m’intéresse, mais de passer à la prochaine étape.
Pour continuer la réflexion, j’ai répondu à plusieurs commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions à ma première lettre : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Sans prôner la nationalisation, je crois qu’il faut encadrer le privé sans lui donner un chèque en blanc. D’ailleurs, un lecteur a publié sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte. J’ai aussi répondu à ce texte et vous y trouverez une précision de ma réflexion : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
Excellent texte, merci de le partager avec nous.
Bonjour,
Votre article est passionnant et très bien écrit. Je viens de rentrer de vacances et après avoir visité Maastricht, ville que je n’avais plus visité depuis 5 ans, J’ai été impressionnée par le développement de cette ville. J’ai carrément eu honte d’être montréalaise et de voir comment notre argent était mal géré. La gestion d’une ville comme Montréal devrait s’inspirer de ce qui se fait ailleurs. Oui, on a des tas de starbucks aujourd’hui et des tas de chaîne de magasin mais honnêtement, nos services de santé font pitié et notre réflexion d’un pointe de vue urbanistique est risible. J’aimerais être fière de ma ville comme les gens de Maastricht peuvent l’être.
Bonjour,
Je suis d’accord avec vous que Montréal a toute les capacités de devenir une ville modèle. Je pense sincèrement que les gens de la métropole s’indignent avec raison, mais en même temps, et ce que cet énoncé met en lumière, il va falloir que les quelques 3 millions de citoyens urbains considèrent davantage leur province que leur île… C’est dommage qu’on investisse autant d’énergie, qu’on monopolise autant de ressources dans un si petit territoire… J’espère bien que dans l’avenir, les gens de la ville regardent au-dessus des rives, s’informent des actions des grandes corpos dans les régions qu’on considère « éloignées », ces grandes corpos qui fondent votre centre-ville et qui pillent les régions ressources… J’aimerais sentir cette ouverture de la part des gens de la ville qui s’auto-suffisent malheureusement trop souvent dans leur île fantastique… Je veux bien que Montréal se positionnent et deviennent un modèle, et je souhaite que mes frères humains de la grande ville aient davantage d’ouverture sur leur propre territoire, ie le Québec, que sur les villes du monde qui performent davantage…
Trop peu de gens osent exprimer le fond de leur pensée en rapport aux injustices et à la bêtise dont ils sont témoins ou victimes. Merci d’oser. Je ne crois pas que nous soyions 100% de légumes ou de corporativement convertis. Je crois que nous sommes au moins la moitié à voir tout ce que vous dénoncez et à ne pas dormir au gaz. L’autre moitié nous prend pour des pelleteux de nuages. C’est la moitié rivée aux lofteurs, au compte de banque, au confort de banlieusard et à ce que fait ou ne fait pas le voisin. C’est la moitié qui courbe l’échine devant le boss, qui fait comme tout bon suireux ce que le courant à la mode du moment lui dicte et qui a peur. La peur qui vient soit de l’ignorance, de l’indifférence, de l’angoisse de l’inconnu…la même peur qui leur fera supporter l’insupportable pendant toute une vie s’il le faut du moment qu’ils n’aient pas à ‘subir’ le changement. Merci encore!
Salut Denis,
Je t’ai toujours dit que tu devais écrire. Mais là!!! Je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi signifiant. Merci de nous rappeler à l’ordre. Et s’il te plait, continue!
wow! je le partage tout de suite sur mon facebook…
Quel est le plan d’action Denis ? Tu te présentes aux prochaines élections ou on prend les armes comme le Ché et Fidel Castro à la belle époque ?
Sinon j’ai une profonde admiration pour le Mahatma Gandhi, sa méthode me convient également.
Voilà ou j’en suis rendu dans ma réflexion, cette phrase de Henry David Thoreau résume bien :
« Le juste que je crois être peut-il vivre de schizophrénie, savoir ce qu’il devrait faire et continuer à vivre dans la lâcheté et l’erreur ? »Contacte-moi et organisons-nous !!!
Quand on pense que montréal d’ici 20 ans sera majoritairement anglophone, c’est insultant, c’est insultant pour tout ceux qui se sont battu pour notre langue et notre culture. Maintenant, les politiciens croient souvent que c’est du passé, ils s’asseoient et croient que tout va se faire, résultat, on hérite d’une vague politicienne orange au québec et la quasi disparition du bloc québecois. Je suis un artiste, et je suis fier de voir jusqu’où se rendent nos artistes, mais j’ai parfois l’impression qu’il ne sont pas complets, pas totellement à nous. J’ai l’impression que le Québec est incomplet, car il n’est pas encore né… pas totalement. Faut-il se rebeller ??? Comment ?? que faut-il faire ??? en parler ?? je crois que oui en parler, se rappeller qui nous sommes, se dirent tout les mensonges qu’on subit. On en parle déjà oui, mais pas assez, pas entre nous, nous sommes doppé par internet, une sorte de lavage de cerveau… comme présentement, je viens de lire cet article, car j’étais sur mon facebook… Il faut réagir, mais comment?? c’est ça la vrai question, on ne sait pas comment réagir, nous avons peur de nous rebeller, car l’humain en tant que tel à peur du changement, un peu comme changer d’emploi, ou d’école. Parfois dans la vie il faut tout laisser tomber pour faire du neuf afin d’être mieu avec soi-même. Un peu comme changer de voiture, j’aime ma voiture, j’ai du vécu avec, mais elle est trop vielle et elle me coûte plus cher que j’en gagne par semaine… Je dois la laisser tomber pour une nouvelle, plus performante et plus économe. Je me ferai un nouveau vécu avec et plus tard je me dirai, eh bien c’était pour le meiux !! Peut-être faut-il s’écrire encore des essais comme La peur de Jean-Charles Harvey. Si c’est cette goute qui fera déborder le vase comme on dit… Bref, il faut juste une bande de fou intelligent qui se feront voir et entendre par le peuple québecois, qui aura un certain charisme et que les gens auront envie de suivre par eux même.
Je suis content de lire ce texte dont plusieurs personnes sont en accord. Mais maintenant que cela circule il faut tous appeler les députés que nous avons élus et leur poser des questions, s’intéresser à ce Plan Nord. Plus nous nous tiendrons informés plus nous pourrons défendre nos droits et nous lever quand ce sera temps. Alors vous savez ce qui serait bien, que tous demain nous envoyons des lettres ou téléphonions à nos députés et même à M.Charest pour qu’ils viennent nous parler de ce « beau projet ». Nous pourrons alors les confronter et revendiquer notre Québec avant qu’il ne soit plus le nôtre… Merci à ceux qui ne ferons pas que lire et commenter cette lettre. Bonne journée!
Salut Steve,
Merci de vos commentaires.
Mais ce n’est pas seulement l’indignation qui m’intéresse, mais de passer à la prochaine étape.
Pour continuer la réflexion, j’ai répondu à plusieurs commentaires dans cette lettre parue sur mon blogue. J’apporte plusieurs précisions à ma première lettre : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Sans prôner la nationalisation, je crois qu’il faut encadrer le privé sans lui donner un chèque en blanc. D’ailleurs, un lecteur a publié sur la page JE PENSE QUE du 14 septembre une «Critique de la critique» à propose de ma lettre ouverte. J’ai aussi répondu à ce texte et vous y trouverez une précision de ma réflexion : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/ (voir les premiers commentaires)
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
C’est cool, mais on ne doit pas se contenter de trouver ca cool. Diffusons le message.
C’est ben certain qu’il faut être indigné de tout ça!!! Je suis parfaitement d’accord avec vous. Par contre pour tout ceux qui se sentent impuissant devant Charest et devant tous les foutus dirigeants qui nous bouffent les ressources qui font ce qui veulent de nous, bien oui, c’est bien difficile d’arrêter tout seul une grosse machine et presque impossible. Commencez donc par votre propre nombril. Combien d’entre vous sont indignés parce qu’on embouteille notre eau et qu’on la revend? Il faudrait commencer par arrêter d’en acheter et si vous avez un commerce, arrêter d’en vendre et faite poser une fontaine pour les gens qui ont soif. Si vous êtes entrepreneur, ne construisez pas de condos en série sur des terres agricoles ni de quartier dix30! Vous n’avez pas construit le quartier dix30 et vous n’étiez pas d’accord? N’y allez pas. Essayez de prendre d’autres moyens de transport que votre voiture. Encouragez les entreprises locales. Ne faites pas les choses pour l’argent mais parce que vous y croyez. Protégez nos ressources, vivez simplement et consommez moins.
Oui, je pleure quand je sais que notre ministre vend nos ressources, nous exploite dans notre face,qu’on a un système de santé pourri et qu’on a de la misère à se faire entendre. Commençons donc par notre nombril et arrêtons d’encourager le vice. Pour qu’il y ait tant de vice, ça veut dire qu’il y en a une maudite gang d’entre nous qui y participe! Maudits vendus!!
Totalement raison ce texte, et totalement raison Julie. Commençons par nous et regardons où nous dépensons notre argent. Consommons moins et plus responsable, c’est possible. J’essaie personnellement de suivre mes convictions et si certains y arrivent tout le monde pourrait y arriver sauf qu’il faut arrêter de se regarder le nombril et penser qu’à son petit confort personnel et chercher la facilité mais plutôt se demander : est ce que j’ai vraiment besoin de ça ? est ce que c’est utile ? d’où ça provient ? est ce que je peux faire autrement ? Pour ma part, je boycotte des chaînes comme Tim Hortons et autres et honnêtement je ne manque rien. C’est facile de se faire son propre café à la maison avec le café HOMA fait dans mon quartier, en le versant dans mon propre contenant qui reste au chaud pendant 8h et qui sera réutilisable à vie. C’est facile de se passer du quartier dix 30, c’est facile de faire tout à vélo ou en transport en commun quand on habite Montréal, c’est facile d’acheter des fruits et légumes de saison… tout ça, ça demande juste qu’on s’y intéresse, c’est un style de vie, et des choix responsables que je fais qui auront des conséquences certainement pas pour moi mais pour mes enfants et petits enfants. Et c’est juste ça qu’en Amérique on a dû mal à se mettre dans la tête, on n’est pas tout seul ici, on n’est pas supposé être la dernière génération qui peut tout consommer, piller. On aura des enfants et des petits enfants. Comment voulez vous qu’ils vivent si on est 20 milliards dans 30 ans !! et si on ne fait pas tous ces gestes simples pour garder notre planète vivable. Les pays nordiques ont compris depuis longtemps qu’il donne un héritage aux générations futures et tout le monde est conditionné et prend des décisions par rapport à ça. Même les autres pays européens ont cette mentalité : ils doivent laisser un héritage à leurs enfants. Qu’est ce qu’on fait ici ??? on consomme plus que ce qu’on gagne, on donne des dettes à nos enfants, on utilise nos cartes de crédit au maximum, on ne peut plus rembourser, par contre on a une grosse maison, 3 grosses voitures, tout l’équipement le plus cher et le plus professionnel pour faire 3 photos d’animaux, la grosse TV…
C’est triste à dire mais l’Amérique est comme ça car elle n’a jamais connu de vache maigre, elle n’a jamais connu la guerre donc elle n’a jamais épargné, jamais pensé à l’avenir, jamais pensé à mettre de côté pour les périodes difficiles, elle ne sait que consommer.
Il faut une révolution pour changer cette mentalité, il faut une réelle crise pour que tout ça change…
Notre spécialité c’est la « révolution tranquille ». On a déjà bien fait ça. L’expérience ça compte.
Cessons, chacun de nous, demain matin, de consommer à l’aveuglette, sans se demander si, ce bien convoité est « nécessaire », et s’il est d’ici? Il est LÀ le choix, le vote, le début de la révolution. Rangez vos fusils, votre hargne. Votre porte-feuille est une arme Oh! Combien plus dangereuse. Réfléchissez… vous en voyez une partie de solution? Elle n’est pas dans les mains de personne, elle est dans les mains de tous, de chacun de nous.
C’est peu, vous me direz. C’est mieux que les click et les pétisions et certainement mieux que de ne rien faire.
Tout ça, sans se « battre » sans même suer. Satanée violence! On peut s’en passer. Puis on est plus intelligents que ça. Beaucoup plus, et on l’a prouvé.
Acheter local, acheter québécois, acheter le nécessaire, c’est s’acheter des votes pour de la création d’emploi, nos richesses collectives et notre culture du coup! Ça c’est un deal!
On est chialeux, mais intelligents, alors faisons-là notre révolution.
Comme dirait Mario Dumont : « Allez, on part ça! »
Alors, on commence par ou, pour cette grande révolution?
Je suis à peine rentré de mon feux dehors dans mes cantons de l’est, à refaire l’avenir du Québec avec ma blonde, qu’elle me demande de lire ce texte.
Une bouffée d’espérance!
Comme le chantait Félix Leclerc; ‘Demain je pars pour la guerre…’ Et bien oui, je veux me battre. La fierté n’est pas une question d’argent mais d’engagement,
Bravo!
« Quiconque sacrifie liberté pour sécurité ne mérite ni l’un ni l’autre »
-Franklin
Plus je me renseigne sur la politique québecoise (voire mondiale), plus je me renferme dans mon quotidien. Un mélange de dégoût et de surprise me submerge quand je vois à quel point tant de gens posent des gestes si irrespectueux envers les autres humains et les autres êtres vivants qui les entourent…
Et étrangement, je me sens coupable à leur place….
Peut-être parce que je n’en fais pas assez.
Pourtant, dans mon quotidien, je fais du mieux que je peux.
J’essaie de lutter contre le rouleau compresseur du capitalisme (parce que c’est de ce mal dont tu parles monsieur Mccready) en essayant de garder ma singularité (j’entends par singularité, celle qui caractérise par exemple, les personnages des films de Pierre Perrault).
Je m’entoure de beauté.
J’encourage des maisons de disque qui ont un souci de sauvegarde du patrimoine sonore mondial.
J’ai à coeur mon patrimoine bâti qui disparaît au profit du plastique, alors je restaure avec amour une vielle maison dans le plus grand respect et avec des produits naturels.
J’aime notre terre, alors je plante plein de végétaux qui attirent les insectes (et nos amies les abeilles), les oiseaux, les crapauds.
Je fais un jardin où tout y pousse dans un merveilleux chaos organisé.
Je vise la quasi autosuffusance alimentaire d’ici 5 ans.
Je n’utilise pas ma carte de crédit.
Je n’ai pas de placement à la bourse.
Je ne vole pas dans les grandes surfaces, mais depuis Charest, je jubile quand j’encourage le travail « au noir » des artisans de chez nous.
Je fais pousser une pharmacie dans le jardin.
Je n’ai pas de télé.
Je mange bio et local, c’est presque maladif.
J’achète à 90% des trucs usagés.
Je n’utilise pas ma tapette à mouche.
J’aide des enfants dans le besoin.
Je cultive des relations sincères.
Je n’encourage pas les relations esthétisantes, je ne fais pas de « style » (est-ce pour ça que le 3/4 de mes amis ont trente ans de plus que moi? Triste époque.)
Je m’instruis tous les jours pour être autonome et j’essaie d’appliquer mes connnaissances concrètement pour dépendre le moins possible du système.
Je réduit mes besoins.
Tous mes gestes sont orientés dans un souci de faire le bien et pourtant, j’ai l’impression que je n’en fait pas assez. Criss, comment ça….? Peut-être parce que je fais ça presque toute seule, dans mon coin. Peut-être parce que j’aimerais pitcher des cocktails molotov à des camions de gaz de schiste….? Sûrement un peu des deux.
On fait tous ça tout seul dans notre coin. Enfin, tout ceux qui font la même chose que nous. Parce que de penser comme nous le faisons nous isole de ceux qui nous entourent. Mais accroche toi, le temps va te donner raison et transformer ton utopie en refuge.
Le gens commencent à se rendre compte autour de moi qu’ils sont en retard. Qu’il doivent bouger mais ne savent pas par où commencer. Alors je leur montre et je me dépêche de le faire. Parce que je ne veux pas avoir à tous les nourrir plus tard …
Paradoxalement, moi, ce sont les jeunes que j’attire avec mesa valeurs et mes idées. Et j’adore ça! Ça me donne espoir en l’avenir.
Bravo Marianne, tu es le sel de la terre! J’espère seulement que tu sois végétarienne ou mieux.
Marianne, merci de partager avec nous ce que tu fais au quotidien. C’est exactement ce que je souhaite. Je suis certain que tu as inspiré plein de gens en t’exprimant ici.
C’est dommage l’auteur touche un problème réel, mais il y met trop d’aggressivité personnelle. Il perd tout sérieux et devient pratiquement ridicule. Il ne faut pas attaquer les gens pour les saisir. C’est vraiment dommage, mais en lisant ce texte j’ai plus de respect pour Jean Charest que l’auteur lui-même. L’aggressivité n’a rien de percuttant. J’aime ben mieux un doigt d’honneur à la Jacques Languirand. Pis René Lévesque est mort, arrêtons de le prendre en exemple. Soyons nous même de Grande personne.
Vincent, ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau. Je t’invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Et à continuer le débat autour de toi.
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
Est-ce que je dois répondre ou pas ? Moi qui ne répond jamais… Bon, un petit mot tout de même… C’est un texte un tiré par les cheveux… « Tout allait bien au Proche-Orient »: sûrement une phrase cynique… C’était dans le temps de la guerre des 7 jours, n’est-ce-pas ? Mais en gros, je suis on ne peut plus d’accord avec l’idée: faire quelque chose, agir. Cette nouvelle que Montréal verra sa proportion de francophones tomber à 47% dans quelques années… minoritaires dans notre pays ! Cette sensation d’être en pays anglais en se promenant sur St-Denis… Tous les « Second Cup » qui apparaissent et cette idée épouvantable que pour être « in » il faut être anglais… Que la musique d’ici est mièvre et plate comparée aux merveilles des vedettes propulsée à coup de milliards par les Majors. Tous ces jeunes pour qui manifester veut dire écrire un texto à son chum. Et si on tentait un projet… juste un projet. L’eau peut-être ? Les mines peut-être ? Je n’ai ni l’énergie ni les ressources pour entreprendre quelque chose et comme bien d’autres qui ont répondu au cri du coeur de McCready je ne peux que dire: ça nous prend un leader inspiré et inspirant. Le temps presse avant que nous devenions tous de braves canadiens anciennement français…
Tout à fait d’accord avec vous M. McCready (et merci pour le coup de pied, c’est plutôt bien placé…).
Mais « qu’est-ce qu’on doit faire pour changer tout ça? », c’est visiblement la question qu’on se pose tous…
J’aimerais apporter une première petite suggestion, très très simple: la prochaine fois que nous aurons à voter, pensons-y donc deux fois avant de réélire le parti libéral. (Pitié). Ça serait déjà un bon début, il me semble. Cessons de voter en flancs-mous, soyons donc un peu plus passionné collectivement quand vient le temps de choisir le parti qui nous gouvernera.
Faudrait bien que quelqu’un organise la suite…
Excellent. Mais je me permet de souligner un détail. Se faire fourrer et brainwasher par des corporations et des patrons méprisants, c’est bad, qu’ils soient anglais et étrangers ou Québécois. Paul Desmarais ou PKP sont pour moi dans le même club de cleptocrates et de ploutocrates que tous ceux qui les ont précédés et que vous conspuez à juste titre. Et le problème n’est pas que Québécois. Regardez ce qui se passe avec les sables bitumineux… En fait, face à ce problème, je crois qu’on devrait mener le combat avec tous les autres Canadiens qui font les mêmes constats. Et ils sont des millions…
Ça prends n chef …. un « leader ».
Triste de réaliser que ton exutoire à cette réalité difficile à supporter était ton texte. Une fois cette prise de conscience faite et toute ton idée étalée, rien ne suivra. Désolé d’être réaliste j’adhère à la théorie mais suis convaincu que tu n’y changeras rien. Dans ce monde, ceux qui décident, travaillent pour eux-même et leurs malsaines ambitions frôlent la démesure. Et face à ça, Denis, les gens de bonnes valeurs comme toi auront trop à perdre pour atteindre leur but et s’y décourageront. Vis heureux pour les gens qui t’entourent. Ton cœur est grand, et ta tête équilibrée. Le comprendre sera donc ta plus grande richesse. Merci pour ce texte.
Christophe, ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau. Je t’invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Je n’ai rien que je puisse perdre dans cet effort de changer ma société. Tout à gagner.
Je déplore le défaitisme que je sens dans ton texte. L’anglais a un très joli terme pour ça : « self-fulfilling prophecy ». Une prophétie auto-accomplie.
La personne répète autour d’elle qu’on ne peut rien faire.
Ni elle, ni personne ne font rien.
Tous constatent qu’il ne se passe rien.
Tous concluent que ça ne sert à rien de faire quoi que ce soit puisqu’il ne s’est rien passé.
Une prophétie auto-accomplie. Une abdication mentale.
Ça m’attriste d’entendre les gens parler comme ça parce que souvent le pire mensonge, c’est ce mensonge qu’on se fait à nous même.
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle
24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation. Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
Je seconde la plupart des idées du texte. Ce sont des paroles qui aurait pu sortir de ma propre bouche mais,
Dommage que ce soit une ritournelle qui a l’effet d’un coup d’épée dans l’eau quand c’est le temps d’aller voté ou que l’ensemble de la province doit réagir et tous se disent: Bin je perdrai pas mon petit bonheur pour une cause qui ne vient pas me déranger dans mon salon.
Qui est prêt à être le « Grand Sauveur » qui va mettre en branle ces fabuleux changements?? Qui veut être le prochain Gandhi pour se faire lapider par ses pères ? Il y a toujours des gens à qui le changement fait peur, ou qui réduisent leur profit personnel, qui sont prêts à tuer dans l’oeuf tous projets bénéfiques pour la majorité.
Réveillez vous, je crois qu’on l’est tous, mais paralysé par la peur ou l’oisiveté bourgeoise.
Les rentiers ne céderont pas leur rente pour un meilleur avenir qu’ils ne vivront pas. Les actionnaires capitalistes à outrance ne couperont pas dans leur marge pour l’avancement de la société si ça ne leur est pas profitable.
Contre ça, que peut-on faire ?
On met son drapeau en berne ?
Bien dit. Mais maintenant on fait quoi? Les belles paroles, aussi lucides et inspirées soient-elles, ne font pas avancer les choses et on sait ce qui attend les insurgés qui manifestent dans la rue: bing, bang, enwouaille en-d’dans!
Je suggère un mouvement de résistance passive à l’échelle planétaire (il faut que tout le monde embarque sinon ça ne marchera jamais, le Québec pourra toujours être fier d’en avoir été l’instigateur). On choisit une journée et on reste tous à la maison. Personne ne va au travail ou à l’école, on arrête de consommer. C’est la seule façon de faire bouger les banques et leurs valets gouvernementaux.
Revendiquons une redistribution des richesses équitable, un programme d’éducation en béton, un forum et un référendum pour savoir comment y parvenir et surtout, pour se trouver des objectifs communs qui inspireront et valideront le nouveau système à mettre en place. Il faut savoir où on veut aller si on veut s’y rendre. Il faut des projets de société unificateurs qui donnent un sens à notre existence et qui dépassent les archaïques idéologies de gauche ou de droite.
Des exemples de projets socio-économiques rassembleurs? Pourquoi pas celui de construire un monde qui nous permettrait de travailler un peu moins et d’avoir un peu plus de temps pour vivre, plus de temps pour passer avec nos enfants, plus de temps pour réfléchir, pour s’enrichir intellectuellement, pour se développer spirituellement etc.? Ne pourrait-on pas l’échafauder sur une économie du savoir qui favoriserait la recherche et l’exploration et serait préoccupée par la santé et la survie de l’espèce humaine?
On est tous écoeurés de travailler pour entretenir une poignée de clowns et leur absurde système économique de surconsommation. Qu’est-ce qu’on attend pour se bouger les fesses?
Je propose une journée mondiale de résistance passive. Si ça vous intéresse, contactez-moi via moodini.info
J’aime beaucoup certains passages de votre texte, en particulier celui-ci : « Nos ponts tombent et tuent, et on ne sait pas qui est responsable. Le pouvoir est exclusif, le profit privé, la dette publique et la bêtise anonyme ».
Malheureusement je ne peux m’empêcher de douter de la pertinence de vos sources concernant entre autre le Plan Nord. Les chiffres que vous avancez sont pessimistes et terrifiants. C’est pourquoi j’aimerais connaître vos sources pour savoir si je dois réellement m’inquiéter de la capacité de décider du gouvernement Charest.
Que de niaiseries et de faussetées. Prenons l’une de vos assertions a l’égard des indiens ou vous prétendez que nous etions pacifiques pendant que les anglais les exterminaient. Détail historique parmi des dizaines d’autres »’
L’extermination des Renards.
La politique la plus contestable du gouverneur Beauharnois est celle concernant les relations avec les Renards, une tribu indienne située aux abords de la rivière aux Renards, entre le lac Supérieur et le lac Michigan. En 1730, il envoie une troupe commandée par Constant de Lignery pour les soumettre.
1400 hommes occupent la région. Ils attaquent les Renards alors que ceux-ci tentaient de se réfugier chez les Tsonnontouans. Plusieurs centaines d’Indiens sont tués, les autres sont emmenés comme esclaves.
En 1733, Kiala, principal chef des Renards (ou plutôt de ce qui en reste) tente de négocier une paix avec Beauharnois. Le gouverneur s’en empare et l’envoie à la Martinique comme esclave. Les derniers Renards restants, qui ne sont pas exterminés, vont se réfugier chez les tribus voisines, les Sioux entre autres.
Cette politique d’extermination ébranle l’alliance avec les Indiens de la région. les Sioux qui empêchent une alliance française avec les Cris …
ensuite constat historique tiré des relations des Jésuites: »’La résistance amérindienne n’est en réalité qu’une succession de coalitions fragiles et ponctuelles entre tribus, auxquelles la coopération avec les francais apparaît comme condition de leur survie. »
Maintenant Laborit (que j’ai connu.) Lborit Na jamais préfiguré une minute que l,agression du tourmenté le poussait a s,en prendre a lui meme, il a démontr. que les situations de stress imposaient trois choix, le combat, la maladie ou la fuite. il en a aussi conclu que le controle etait eztérieux au système. ce quisignifie que ce que vous appelez corporation est en fait le réguateur du système hors du système. Une corporation ce sont 10,000 actionnaires tout aussi humains individuellement que les etrers extprieurs a la »corporation » Il ne présumait pas que l’organisation des organismes soit nocif a réguler le système. Bref vous comettez au mojns deux fautes Une historique en nons faisant passer pour les amis des indiens dans un pays hautement raciste a leur égard et qui le fut depuis 200 ans et une interprétation douteuse de la biologie comportementale en simplifiant a mort. ennuyeux, au mieux.
Monsieur FD,
J’ai comme principe de ne pas répondre aux gens qui se cachent derrière l’anonymat. J’ai le courage de mettre mon nom sur un texte, qui a ses défauts et ses qualités. Quand vous aurez le courage de vos opinions, alors je vous répondrai.
-Denis McCready
De la parole aux actes. Je suis Breton de France. J’ai vécu mai 68. J’y ai cru. J’ai vu différentes évolutions. A chaque fois j’y ai cru. Récemment, Stéphane Hessel a crié : « Indignez vous ». Mais je ne vois que l’Empire du Fric qui prospère et qui écrase. Main basse sur la planète et sur nos vies. Que deviendront nos petits-enfants (et arrière-petits-enfants, je suis arrière …) ?
MERCI MERCI MERCI pour ce texte. En tant qu’expatriée francaise, originaire d’un petit village et établie a Montreal depuis 4 ans, ce texte est un cri de l’âme. Les francais nous avons une réputation de chialeurs, mais parfois chialer c’est utile. Comme c’est dit ici. Les gouvernements et le capitalisme à outrance ont enterré le caractère unique de chaques individus, amadoués et lobotomisés par le mirage du reve américain, qui se sont transformés peu à peu en sages moutons avides de consumérisme de masse. OUI, réveillons nous. (et faisons circuler ce texte!!)
Tous a fait d accord avec toi. Mais pour ammener les gens a se rassembler pour changer, il faut tenir compte de la situation dans laquelle nos chers dirigeants ont ammener le peuple. Nos riches encores plus riches et les pauvres encore plus pauvres et la classe moyennes en pleines survie. le peuple est surendetté, ils leurs ont offert le pouvoir de consommation. Les gens se sont fait prendre au jeux et ils en sont esclaves maintenant. Les gens sont rendu tellement individualisme, recharchant la performance pour leur enfantfs ouf…. Que de gens malheureux!!! C est dommage mais je crois qu il y aura un changement seulement lorsque les gens vont souffrir énormément de tous ça. Quel est le moyen pour atteindre les gens????? Moi ce que je dirais au gens pour commencer, prenez le temps de dire bonjour a vos voisins, de prendre plus de temps avec vos familles et amis. Ils vont constater en partant que c est moments la valent plus que l achat du dernier Xbox,’ que leurs enfants sont heureux et n ont pas besoin de grand choses pour s amuser, seulement des amis. Faut que les gens arrêtent de combler leur solitude par la consommation. Déjà un grand pas pour le changement , les gens seraient plus solidaires entres eux, consommeraient moins des médicaments au Québec, ce qui est épouvantable, faut e réveiller, il y a trop d enfants sur le concerta, le concerta, et … Wow quelle belle société, on garde nos enfants tranquilles!!!! Les adultes sur les antidépresseurs, Wow quelle solution! Réveillez vous, l humain a besoin du contact humain et de s amuser…. Pour moi la premier étape est celle ci, faut resociabilisé les gens!!!!! Ensuite il sera plus facile de continuer les démarches pour que les gens se battent contre la grosse machine qui est notre gouvernement!!!
Avant de déambuler dans les rues en criant « so-so-solidarité! », peut-être que les gens pourraient commencer par aller voter. Je suis bien d’accord avec ce commentaire plus haut qui rappelle que nous avons un outil dont plusieurs pays manquent cruellement : la démocratie. Mais attention, la démocratie ne veut pas seulement dire aller voter chaque fois qu’on nous le demande. Cela implique aussi et surtout de se sentir concernés par les décisions prises par le gouvernement qui, rappelons-nous, est formé de gens comme vous et moi qui ont, à un certain moment, eu l’appel et la force de faire bouger les choses. Loin de moi l’idée de protéger les politiciens, mais au lieu de toujours avoir l’impression qu’ils nous laissent tomber, peut-être pourrions-nous voir que nous les avons nous-mêmes laissé tomber depuis longtemps. Il y a effectivement de la corruption dans le système, mais il semble que nous aillons un gros problème de généralisation. C’est les nuances qui selon moi nous permettent de garder espoir. J’ai profondément confiance en l’être humain et en les Québécois (serait-ce naïf?) et surtout, en leur capacité à travailler ensemble. Cela dit, la personne avec les meilleures idées du monde devra faire face à des refus, des incompréhensions, des salissages même. Régulièrement, quand je parle de politique avec des amis ou de la famille, j’entends le fameux « de toute façon, c’est tous des corrompus qui ne pensent qu’à leur profit « . Étrangement, si je voulais devenir riche, c’est loin d’être la politique que je choisirais. Ce pourrait-il que ces gens qui nous paraissent si différents rendu à Québec ou à Ottawa sont en fait des gens comme nous, qui ont commencé à s’indigner sur certaines choses et qui ont eu le courage (ou la folie!) de se lancer dans la tempête avec comme arme que leurs idées et leur persévérance? Et se pourrait-il que ces gens n’aient besoin, comme vous le dites tous si bien, que de compagnons d’armes pour partir à la conquête de quelque chose de mieux pour tous? On dit régulièrement ces temps-ci dans les médias que les Québécois ont soif de changement. Parfait j’embarque! Mais on change quoi? On met tous les politiciens dehors et repart sur du neuf? Il va toujours y avoir des décisions à prendre qui ne conviendront pas à tous. C’est drôle parce que certains crient à la corruption des gouvernements et en même temps, demandent à nationaliser des ressources. Franchement, je n’ai rien contre la nationalisation, mais va falloir faire confiance aux élus. Nous ne sommes plus dans le temps de l’Acropole où chacune des décisions est votée à main levée. En d’autres mots, nous sommes effectivement endormis…mais endormis par des histoires à dormir debout comme on peut le lire dans les quotidiens à sensations qui nous montrent des choses horribles en direct des parlements. C’est notre esprit critique qui est endormi, pas notre volonté. Voilà ma nuance M. McCready. Mais sachez que j’adore votre texte et surtout, la discussion qu’il suscite. C’est par elle que nous nous sentons unis et faisant partie d’une collectivité.
« je vis dans ce gros village avec vous, mais je n’ai pas envie de me battre tout seul »
La gauche intellectuelle au Québec existe bel et bien, mais elle est si isolée…
Chacun dans le confort de notre foyer, nous fulminons.
Sur mes 315 amis Facebook, on est environ 5 à informer et non à banaliser (ou bananiser si vous préférez), et encore moins à réagir.
Notre plus grosse découverte avec notre peu de sagesse, c’est que le monde s’en sacre, et que la révolution, si elle a à se faire, se fera avec une poignée de gens, comme toujours.
Le Québéçois a bon coeur, si cette poignée de gens vont de l’avant et brasse la cabane, les autres suivront, assurément.
Bref du bref, votre crie du coeur semble honnête, mais oublier la masse, et concentrons-nous sur la poignée de gens qui feront basculer les choses.
Des idées? Je sais pas, un nouveau parti, un regroupement, avec une plateforme web, des forums, des wikis, des votes, des éditauriaux, des rassemblements, des manifestations, des prises de positions, des prises de pouvoir, de la contestation, le tout concentrer sur un moteur social interractif régit par… une poignée de monde élu électroniquement?
Comme toujours, les idées pleuvent, les capitaux manquent… La politique devrait se faire sur le web. Ah le bon vieux temps où les politiciens n’étaient pas que des opportunistes, mais aussi parfois des indépendants de fortunes idéalistes.
Ne vous inquiétez pas trop, on se prépare, on continue nos études, l’apprentissage de la vie. Nous bousculerons ce monde, avec ou sans l’approbation des moutons.
Réveillez-vous? Réveillons-nous!
J’ai dormi sur votre texte et il m’en est venu des tas de réflexions. Nous vivons des réalités que nous n’osons pas encore nous admettre. Les vietnamiens qui débarquent ici envoient leurs enfants à l’école française. Certains francophones d’ici inscrivent leur enfant ‘de prématernelle’ à un centre multilingue. Pas que j’en aie après les autres langues, j’en parle 4, mais je m’inquiète que le français se perde au détriment de l’apprentissage prématuré de l’anglais (qu’il est si facile d’apprendre sans l’étudier tellement nous y baignons) et de l’espagnol (euh…je ne vois pas l’utilité…si on veut faire visionnaire apprenons donc le chinois tant qu’à faire).
Autre réalité, plusieurs non québécois de souche ont voté oui au référendum et sont plus souverainistes que bien des québécois de souche. Pourquoi? Parce qu’ils viennent de pays qui ont un cruel passé et une longue histoire et qu’ils sont éduqués politiquement parlant et donc aptes à prendre des décisions éclairées alors qu’ici on a des générations d’abrutis qui votent comme des poules pas de tête de génération en génération soit rouge soit bleu comme leur pôpa pis leur grand pôpa qui ont peut-être bénéficié d’un frigo neuf ou d’un bout d’asphalte en échange d’un vote par le passé.
Je crois que notre pire roche dans le soulier en ce moment sont l’ignorance et l’individualisme et je me demande si ce n’est pas voulu par l’information qu’on se maintienne dans l’ignorance et l’individualisme. Penser est devenu trop fatiguant. Ça m’encourage de lire les réponses ici. L’espoir est une belle lumière.
Facile à dire de se réveiller et de critiquer les gens qui ne s’occupe que de leur quotidien banal. Mais il faudrait peut-être comprendre que si la majorité des gens ne fait que ça c’est qu’elle ne se sent pas assez forte pour s’occuper de l’ÉNORME tas de problèmes dont vous parlez et qui est TRÈS épeurant. Ce n’est pas par stupidité que le peuple ne se préoccupe que de son petit nombril, c’est par logique: Il agit là où il croit avoir du pouvoir. Cette mer de problème est si anxiogène qu’on se sent comme un enfant de 2 ans qui doit règler les problèmes de ses parents dysfonctionnels. Mais peut-être qu’avec de l’aide et des pistes de solutions ça nous encouragerait à aller plus loin.
Deuxièmement vos lecteurs sont vendus à votre discours – le peuple aussi. Mais les gens de la droite vous lisent-ils ? Ceux qui votent passivement et massivement pour Charest ou pour Harper (…) vous lisent-ils ? Et quelle autre option avons-nous lorsque nous votons ? Pour les gens qui comme moi ne sont pas férus de politique et de lobbying, la question est réelle.
En tout cas moi, c’est comme ça que je les vie, les problèmes que vous décriez…
Merci David,
C’est la première fois qu’on me lit en si grand nombre. Je n’ai aucune idée si c’est un coup d’épée dans l’eau ou si je prêche aux convertis.
Ceci dit, ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez.
Cordialement,
-Denis McCready
Bravo pour cette langue de sang, de tripes, d’os et de mémoire.
Quel véhicule politique devons-nous employer ?
Ne me parlez pas du NPD, ce n’est qu’une petite fuite, un besoin commerciale de nouveauté. À moins qu’il ne s’agissait d’une stratégie pour ce débarrasser d’un pallier de gouvernement qui divisait les forces vives québécoises de l’autodétermination. Il faut réaliser le pays du Québec. Les problématiques complexes du projet souverainiste mènent à des débats, ce qui est tout à fait sain. Comment pouvons-nous préférer les partis dictateurs et menteurs comme celui de Jean Charest ou de Harper? La démocratie ne s’expriment pas par la pensée unique. Les vrais coupables de cette erreur de considération démocratique, ce sont les saletés de médias et Radio-Canada en première tête ! Il faut partir une Radio-Québec. Internet, c’est bien, mais c’est trop vaste. On se sait plus ce qui a une valeur informative réelle. Et Google perd de son efficacité de moteur de recherches sérieux de jour en jour. La radio, voilà ce qui correspond à notre mode de vie, et voilà ce qui est redoutable d’efficacité. Les mots se dire plus vite qu’ils ne s’écrivent et la rumeur mnémonique d’une voix crédible plus persistante. Voilà, l’agir que je propose 1) La création d’une Radio-Québec pour informer la population et faire l’indépendance. Qui embarque ?
Bonjour à tous!
Ce n’est pas tout de crier son mécontentement, plusieurs d’entre nous partageons la même colère, la même indignation…
Après avoir lu les commentaires, je me rends compte que je ne suis pas la seule à ne pas savoir par où commencer pour faire changer les choses et que nous sommes tous tannés de chialer dans le vide.
Il nous faut maintenant des idées, des solutions pour pouvoir nous rallier et faire changer les choses.
Le monsieur qui a écrit ce texte a bien raison ; »…Vous avez aujourd’hui entre les mains l’outil le plus révolutionnaire depuis la machine à imprimer de Gutenberg… »
Servons-nous en, organisons-nous et AGISSONS!
Voilà ce que je suggère :
Un site Internet où ;
– Toutes les manifestations seraient indiquées (lieu, heure, causes),
– Les informations (parfois secrètes) partagées,
– Les actions de l’Ennemi dénoncées
– Un blog d’idées pour renverser le pouvoir et redonner aux gens le contrôle,
– Un plan d’action pour une vraie révolution,
– Un bilan des victoires (petites ou grandes afin d’aider à ; rester positif, trouver les meilleures recettes de révolution/évolution et cerner les points faibles de l’Adversaire),
– Un album photo pour les futurs livres d’histoire ;),
– etc.
Malheureusement, je n’ai pas les connaissances nécéssaires pour construire un tel site. :\ Alors, je lance l’appel à ceux et celles qui savent le faire et j’aimerais qu’on me tienne au courant dans l’éventualité où cette idée prendrait (ou, est en) vie . [email protected]
(Eh oui, j’attends moi aussi un courriel!)
Toutes les réalités ont commencées par être des idées et pour trouver des idées, plusieurs têtes valent mieux qu’une!
Un petit gérant d’estrade publie un texte critiquant les petits gérants d’estrade, et crie à l’impérialisme américain à une époque où ce sont des Canadiens et des Québécois qui s’occupent le plus activement à laver le cerveau des Canadiens et des Québécois.
Des dizaines d’autres petits gérants d’estrade viennent applaudir le billet en ligne, le partagent sur Facebook et ont ainsi l’impression d’avoir agi. « Oui! Réveillez-vous! Réveillons-nous! » Et demain matin, si un changement arrive, il ne sera pas venu d’ici.
Bonjour Mathieu R.
Je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
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1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
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Cordialement,
-Denis McCready
Le problème c’est qu’il faut des leaders, un leader!!! Tous le monde comprend la problématique, vous dénoncer quelque chose
que nous savons déjà , réveillez-vous, il faut des leaders ici! au Quebec!!
Oui bien d’accord, mais expliquez-moi le bout des indien-ennes, car je ne comprend pas très bien ce que vous voulez dire par là.
Superbe plume, mais discours tristement prévisible adressé au mauvais public. Qui lira votre texte enflammé sauf les convaincus et les révolutionnaires? Un texte indigné avec justesse, je tiens à le souligner, mais moi qui n’ait jamais connu la révolution, moi qui ait grandit paisiblement et cheminé sans me choquer excessivement, qui ait appris à apprécier les conditions sociales dans lesquelles je vis comparativement à tant d’autres démunis, moi qui ne suis pas qu’un « je » mais une multitude, qui balaie de la main tout propos injurieux ou contenant les mots clés habituels (révolution, corporation, moutons, fascistes), ces mots qui discréditent à mes yeux d’intellectuelle avertie tout discours réellement porteur d’avenir. « Je » n’ai pas besoin de me faire insulter sur mon manque d’activisme ou de révolte, « je » veux être inspirée à aller de l’avant, « je » dois me propulser au-delà du constat désastreux de notre situation politique et sociale, « je » suis bel et bien réveillée: maintenant que je suis hors de mon lit, où irons-nous?
C’est aussi mon sentiment. Joliment dit.
Mme Gauvin,
Je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
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1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
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Cordialement,
-Denis McCready
désobéissance civile.
grève générale.
camper devant l’assemblée nationale.
quand est-ce qu’on y va?
-domlebo.
Tout au fond de soi, on sais où est notre chemin. Le courage, c’est accepter de défricher plutot que de suivre le chemin le plus fréquenté.
Tout d’abord, merci pour cet énoncé qui à mon sens représente bien ce que nombreux d’entre nous, les gens des régions « éloignées », les arrièrés des régions ressources, dénonçons depuis belle lurette, en s’activant et en prenant part à des luttes, en se battant comme des damnés, loin des sièges sociaux des grandes corpos qui nous sucent le jus, nous pompent l’air, nous gèrent notre beau grand Lac et qui en plus, nous appauvrissent, tout doucement… Joignez-vous les urbains aux citoyens éloignés… Ils ont peut-être quelque chose à vous apprendre…
Merci aux plus de 10 000 personnes qui ont recommandé mon texte « Lettre ouverte…» paru sur le Voir.ca. J’ai lu presque tous les commentaires et j’ai noté plusieurs questions et remarques. J’espère y répondre du mieux que je peux dans ce texte publié sur mon blogue. SVP faire circuler pour continuer cette réflexion ensemble.
http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Ok! Passons individuellement et collectivement a l’action. On fait quoi ?
Tout simplement bravo!!
Je suis d’accord avec vous. Je commence de plus en plus a m’informé sur l’opinion des gens autour de moi et plusieurs commence a réagir. Mais la plus part ne savent pas comment faire ou ce laisse démoraliser par d’autre. Une révolution ce passe en coulisse et organise des assemblées populaires pour motiver et surtout informé les gens de la capacité d’un peuple a prendre le pouvoir qu’il lui est du.
Informé le plus de monde possible et le jour J arrivera je vous le garatie
TU veux ravoir TON pouvoir, mais tu laisse le soins à d’autre de commencer. S’est drôle et dure à croire qu’avec une attitude comme celle-là, vous allez réellement être prêt à tout faire pour votre survie sous peu. Mais soyez bénit, vous êtes tellement semblable. Tellement semblable que j’arrive mal à m’expliquer de vous voir vous divisez par de simple différence comme le sex, la race, la langue, le statut social, etc. Alors vous suivrez personne, car personne ne veut réellement que ce monde change. Non, vous voulez qu’il soit plus vivable celons vos attentes. Votre révolution va peu-être vous réveiller, mais êtes vous vraiment convaincu que ce que vous allez voir va faire votre affaire, en êtes vous convaincu a 100%, je discute pas de démocratie ici, mais plutôt de consensus. Ce monde est déjà parfait et vous y contribuez sans en être réellement conscient. Vous ne m’apparaissez pas endormis du tout, au contraire, votre vitalité est palpable, regretable par moment, mais PRÉSENTE. Vous êtes juste pas au bon endroit pour bénéficier de cette perspective. Mais ou est donc ce lieu, me demanderez-vous. Et je vous répondrez : en vous de le découvrir. La joie de le découvrir par vous même éclipsera tout haine envers vous et l’ensemble de l’Humanité.
En une nuit, ils nous est possible de faire TOUS ENSEMBLE de ce monde un paradis, mais faudra s’entendre sur la définissions de ce qu’est le PARADIS pour tous, sans négliger aucune idées proposé. C’est de l’honnêteté envers vous qui vous saura d’un grand aide, non pas d’un messie près à enjamber le pas afin de vous motiver !
L’humain semble être passé MAÎTRE dans l’Art d’appliquer les même solutions qui apporte logiquement les même résultats, soit le même problème mais revêtant un tout autre uniforme et qui finira par sortir du placard, tôt ou tard. Et vous allez remettre ça, encore et encore. Vous n’êtes pas les premier, vous les cité même dans vos écris et a constater votre attitude envers le passé, il en saura ainsi pour un bon bout encore. Domage ;-(
Namasté & EN Lakesh
FB : TonkaShiela…livinginthebush
Fucking right! Merci d’avoir écrit ca! La revolution c pas de tout foutre en l’air, c juste de faire le gros bon sens en se calissant de ce que les autorités veulent te faire croire/sentir coupable. On est responsable de nos vie, entièrement, donc chialer pas apres les voisin si ca va mal, c a nous a nous regarder en premier lieu…. garder votre conscience ouverte et sachez saisir les opportunités qui passe pour avancer en ce sens!
Peace!
ZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZZZZ
Je ne sais pas…Je ne sais plus!
Je ne sais plus à quel niveau faut-il apporter des changements ?
1)-L’humain, peu importe sa condition, en vient toujours qu’à vouloir l’améliorer. Serions-nous finalement pas aussi maltraités et asservis que nous le chialons? Si on changeait complètement de système, en serait-il mieux; en tenant compte de l’imperfection et des vices de l’humains (quoi que ces derniers soient aggravés par le pouvoir et l’argent) ? Nous nous engageons alors massivement dans le plan Nord et stimulons à fond l’économie provinciale.
2)-Ou alors le problème réside réellement que dans le système politique ? On vote pour une caste de politicien qui, bien qu’initialement gonflé de bonnes intentions, en viennent qu’à comprendre les réelles règles de jeux dans cette sphère: ainsi ils se conforment au vote unique de leur parti et aux ententes avec les entreprises privées poussées par le lobbyisme. On garderait alors la démocratie mais on repenserait la façon dont les représentants devront travailler en impartialité et pour l’intérêt de la nation.
3)-C’est le système financier globale qui est déclaré coupable et son asservissement de l’humanité ne fera qu’empirer jusqu’à son crash. Il n’est pas normal de devoir travailler autant, de stresser autant, alors que la technologie développée jusqu’à aujourd’hui devrait nous permettre de pouvoir bien vivre en ayant plus de temps libre. Si je ne m’abuse, les compagnies sont des personnes morales au sens de la loi mais elles commencent à peine à avoir des responsabilités. Aussi, j’ai cru comprendre que des décisions non-humanistes serraient votées par les assemblées d’actionnaires qui, soit se font jeter de la poudre aux yeux par leur présidents (et Cie), soit se lavent les mains de leurs décisions sur le principe du faible impact de leur vote. Malheureusement, une chose est sûre, les compagnies mènent le monde. Il faut alors se doter d’un nouveau système d’échange de ressource qui n’aura plus rien à voir avec ni l’argent, ni le profit, ni l’enrichissement individuel, ni les dettes, etc. Zeitgeist est alors, du moins, un bon point de départ pour une réflexion en ce sens.
Lorsque le temps de la réflexion aura échu, qui je crois arrivera bientôt, il faudra décider de la meilleure solution. Présentement, je ne sais plus si mes réflexions passées m’ont amenées à avoir un point de vue alarmiste, conspirationniste ou juste bien réel…je cherche toujours.
Sur ce, gardons en tête que l’unanimité est impossible mais, une chose est sûre, nous sommes prêts pour un grand changement!
Audrey
Souvent, je me sens désabusé. Avec l’opulence des sources d’information, je ne sais plus à quelle source me fier. Je me demande qui est biaisé par ses couleurs politiques, quel ami est réellement de bonne augure, suis-je assez intelligente pour comprendre les enjeux. Parce que souvent, c’est ça qu’on se fait dire: nous on est les experts, écoute ce qu’on a à te dire. Toi c’est pas ton domaine, tu peux pas comprendre tout les enjeux… des enjeux, des enjeux. Tout revient toujours à la politique comme Freud disait que tout était sexuel. On te reproche de ne jamais assez t’intéresé à la politique, de ne pas t’engager assez, d’au moins aller manifester! En même temps, je ne veux pas juste être là et dire un argumentaire qu’on ma remis sur un ti-bout de papier.
Moi je me sens tiré entre deux, tellement que je me déchire à essayer de comprendre tout le monde, tout les enjeux. De dont bien jamais comprendre, que c’est pas la bonne réflexion, je ne vois rien, je n’entend rien… de juste finalement ne même pas se sentir assez bon pour la révolution parce qu’on est pas assez révolutionnaire.
Merci; je ne suis pas la seule!
…Et on ne peut pas creuser un seul sujet puisqu’on se rend rapidement compte que tout est relié!
Et ceci m’amène à poser la réflexion suivante:
L’étude de la biologie enseigne le concept d’émergence qui décrit comment la vie passe d’un stade évolutif à un autre par l’assemblage et la spécialisation de ces composantes (cellules, organe, être vivant) et qui ne constitue pas une simple addition de ces derniers… quelque chose de plus complexe a émergé. La société est l’assemblage d’être vivant… Et comme les organes isolés ne sauraient comprendre comment l’être vivant peut bien fonctionner, chaque humain isolé ne maîtrisera jamais comment la société peut en faire autant.
Souvent, je me sens désabusé. Avec l’opulence des sources d’information, je ne sais plus à quelle source me fier. Je me demande qui est biaisé par ses couleurs politiques, quel ami est réellement de bonne augure, suis-je assez intelligente pour comprendre les enjeux. Parce que souvent, c’est ça qu’on se fait dire: nous on est les experts, écoute ce qu’on a à te dire. Toi c’est pas ton domaine, tu peux pas comprendre tout les enjeux… des enjeux, des enjeux. Tout revient toujours à la politique comme Freud disait que tout était sexuel. On te reproche de ne jamais assez t’intéresé à la politique, de ne pas t’engager assez, d’au moins aller manifester! En même temps, je ne veux pas juste être là et dire un argumentaire qu’on ma remis sur un ti-bout de papier.
Moi je me sens tiré entre deux, tellement que je me déchire à essayer de comprendre tout le monde, tout les enjeux. De dont bien jamais comprendre, que c’est pas la bonne réflexion, je ne vois rien, je n’entend rien… de juste finalement ne même pas se sentir assez bon pour la révolution parce qu’on est pas assez révolutionnaire.
Nous sommes nombreux à avoir cette rage intérieure nourrie par la situation actuelle. Les commentaires et la quantité de recommendations en si peu de temps le confirment. Nous en sommes rendus au point où nous ne sommes plus capables d’en encaisser davantage.
Voilà, c’est une étape de franchie. Nous nous entendons sur une chose; ça ne tourne pas rond et il y a de profonds changements à amener.
Maintenant, il est temps de passer à l’étape suivante. Nous devons démêler les problèmes principaux, les prendre un à un, identifier les causes et proposer des solutions concrètes. Plusieurs groupes ont déjà élaboré des propositions, mais chacun dans un domaine précis (ressources naturelles, système démocratique, etc.). Le problème est que plusieurs se battent face au même adversaire sans s’unir.
(Pour se faire, il faut une plate-forme de communication, reliant chaque personne prête à participer, que ce soit pour débattre d’idées, ou s’impliquer plus sérieusement. Il y a une foule d’outils pouvant être utilisés, très efficaces, sécuritaires et pouvant être mis en place en moins d’une journée.)
Pourtant, la majorité de ces groupes sont favorables aux idées des autres. Nous devons donc rassembler nos revendications, nos militants, nos mouvements, nos forces et faire front commun. Sinon, c’est perdu d’avance.
Ma vision est simple; rassemblons nos idées, produisons un manifeste collectif, demandons une réponse du gouvernement claire et précise face à nos revendications, et ce, dans un délai précis, puis manifestons pacifiquement notre appui. Cependant, nous ne pouvons simplement demander des changements sans prévoir et mentionner les conséquences pour les dirigeants suite à un refus de leur part.
(Rappellons-nous, le Québec nous appartient. C’est à nous de décider ce que nous voulons, à l’imposer à notre gouvernement et leur demander d’en faire la gestion en collaboration avec le peuple. Trop de citoyens pensent qu’ils n’ont pas de pouvoir. Cela est relativement vrai individuellement, mais une fois unis, nous sommes les seuls maîtres. Et c’est ce que chacun exprime: je suis un soldat sans armée, je ne peux me battre seul! Nous devons renverser la vapeur, arrêter de se faire imposer par le gouvernement, mais plutôt leur imposer nos requêtes. Je ne veux pas me battre à l’intérieur du système politique actuel, il est trop archaïque et trop favorable à cette classe dirigeante nous méprisant. Je veux lui faire face!)
Puis, nous pourrons observer leur réaction et nous aurons une réponse (ou non-réponse, qui sera considérée comme un non absolu à toutes les demandes). Selon la réponse obtenue, nous répliquerons tel que nous aurons préalablement convenu.
Si nous sommes sérieux dans ce que nous avançons, il ne faut pas s’attendre à une partie de plaisir. S’ils ne veulent toujours rien savoir aujourd’hui, ce ne sera pas différent demain. Mais une poignée de dirigeants ne peuvent faire face à un peuple déterminé. L’histoire l’a démontrée, et le démontrera encore…C’est un combat continuel, et chaque fois que nous baissons la garde, ils regagnent peu à peu leur terrain perdu. Mais aujourd’hui, il est temps de reprendre ce qui nous appartient!
Merci Frédéric,
Vous avez bien saisi l’esprit de ma colère, et ce que je souhaite pour l’avenir. Merci de vos suggestions, c’est bien noté.
Ceci dit, je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez ou que vous serez inspiré à démarrer vos propres initiatives.
Cordialement,
-Denis McCready
Bon à lire, bon à dire…je partage et le dis si souvent, comme vous :Aller on se réveille , se dresse et avance vers ce que l’on veut…
Bonjour Monsieur McCready,
J’ai lu votre texte avec une grande émotion. Cette immense colère gronde aussi en moi et me fait m’inquiéter pour l’avenir de mes enfants, de mes petits-enfants et des générations futures. Pas seulement l’avenir environnemental et économique, mais aussi l’avenir des idées, de la libre expression, de la créativité, de la culture et de l’identité… C’est très difficile de ne pas se laisser broyer par la puissance de la « machine à profits »!
Je tente de faire ma petite part au quotidien : je m’informe, je signe des pétitions, je vais voter bien sûr, mais je recycle et je composte aussi, j’achète presque exclusivement des biens usagés, je donne mes vêtements, meubles, livres et autres items au lieu de les mettre au rebut, j’essaie de manger local et bio, etc. Je suis comme plusieurs si occupée à « perdre ma vie pour la gagner »… et je voudrais faire tellement plus!
Je commence donc par ajouter à mon engagement ce petit geste supplémentaire de partager votre Lettre ouverte aux Humains; il se peut qu’elle ne soit pas parfaite, mais elle a l’avantage de susciter des réactions et de favoriser la réflexion.
Je suis d’accord avec le fait de prendre action pour faire bouger les choses. Je suis peut-être un mouton; si c’est le cas, soit, mais j’aime à penser que j’ai la liberté de choisir qui je suivrai!
Chapeau, Monsieur McCready ! Pour le courage, pour la lucidité et pour la noblesse de coeur inhérente à votre indignation. Votre cri a jusqu’ici résonné sur 11000 parois qui désespéraient de réverbérer semblable écho…
Le mensonge ne pourra pas toujours tout rafler !
Que vois-je? Tyler Durden parle aussi français?!
Même ce discours est un produit, personnifié par nul autre que… Brad Pitt (et fort lucratif qui plus est).
Volontaires?
Notre groupe ce bat dans le but d’apprendre ce qui est écrit dans ce texte au plus grand nombre de personne possible. J’ai partagé le texte sur la page de ce groupe. Nous sommes 100% prêt à vous aidez à le faire connaitre à grande échelle. vous pouvez nous contacter via le courriel lié à ce commentaire.
J’ai beau être de gauche, je suis profondément dégoûté par ce texte. J’ai peine à imaginer comment on pourrait écrire quelque chose de plus condescendant et méprisant envers les «autres humains», à moins que cet exploit ne soit réalisé dans la pléthore de commentaires adulateurs qui succèdent au plaidoyer pour un monde nouveau.
On ne change pas la mentalité des gens. La seule manière de contourner l’opinion de masse, c’est d’imposer la dictature. Et entre dictature de pouvoir et dictature de révolution, je ne vois pas de différence. On dirait que vous omettez obstinément de vous souvenir qu’il existe des personnes qui peuvent ne pas penser comme vous, que votre pensée n’est pas la seule pensée unique et valable. Je suis de gauche, je l’ai dit. Ça ne m’empêche pas de croire qu’un système de droite, de privatisation peut fonctionner. Plusieurs personnes lucides l’ont dit dans des commentaires récents : un système de droite fait vivre des individus. Personnellement, je préfère les solutions publiques, pour faire vivre la société plutôt que les individus, mais au final, ce sont deux modes de pensée parfaitement humains, et prétendre que l’un ou l’autre n’a pas de raison d’être, que c’est le Mal (et j’ajoute ici une majuscule parce que votre texte insuffle une ambiance presque manichéenne à vos propos, de sorte que l’on ne peut plus parler que de Bien ou de Mal, le reste n’existant pas ou ne valant pas la peine d’être considéré).
D’ailleurs, qu’est-ce que le Bien, pour vous, si les nouvelles technologies sont le Mal ? Est-ce Mal de se divertir, si ce divertissement n’est pas de l’Art avec un grand A, comme le souhaiteraient parfois les discours ampoulés de l’intelligentsia ? J’étudie en littérature à l’université, et je suis pourtant un grand adepte de jeux vidéos, de comédies cinématographiques, de musique électro, de romans légers et de photos d’avant-garde. Est-ce abrutissant ? Je crois tout le contraire. D’ailleurs, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, non ? Sans vouloir faire dans le kitsch ici, je crois quand même qu’aucun divertissement n’est abrutissant en lui-même, mais que tous ont le potentiel de l’être.
Vous vous attaquez à l’être humain, vous ne vous adressez pas à lui. D’accord quand vous dites que votre texte est fait pour être lu, avec toutes les nuances qu’une bonne voix peut lui apporter. Mais alors quoi ? Il est vrai, ce texte, ou c’est une caricature que les gens prennent trop au sérieux ? Parce que s’il est vrai, je me demande à qui vous comptiez l’adresser, vu la multitude d’insultes que vous attribuez aux citoyens du Québec (et, dans le fond, à toutes les autres civilisations cultivées). Mépriser autant la seule force capable de changement me dégoûte. Je comprends, en lisant les autres commentaires, qu’apparemment, le Québec est composé de gens qui attendent de se faire traiter de tous les noms avant de comprendre les messages qui leurs sont adressés, ou avant de réfléchir, ou avant d’agir, et cela me désole.
Vous savez quoi ? Vous devriez aller en politique. Vous n’ignorez sans doute pas la nouvelle devise de cet univers particulier : faire de la politique différemment ? Eh bien voilà. Vous vous réclamez ni de gauche, ni de droite, ni d’un parti, mais seulement du Bien absolu (pour que nous puissions tous vivre là où «tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes» ? J’espère que vous savez autant que moi que cette utopie ne risque pas de sitôt de se réaliser). Alors voilà, vous l’avez votre publicité pour de la politique : le parti Réveillez-vous bande de poteux endormis, avec le slogan «Le seul parti pour le Bien» ou encore «Parce que si j’étais pas là, vous seriez tous en train de dormir pis de vous faire manger la laine sur le dos». À en juger le pouls politique québécois actuel, je suis certain que vous seriez élu en un tournemain, avec la liberté de changer le Québec à votre bon vouloir.
Je suis pour la démocratie, non pas pour la violence d’une poignée de révolutionnaires qui n’ont de respect que pour leurs idées (univoques). Je suis pour l’humanité, non pas pour le dédain de la divergence. Je suis pour la paix, et non pour la guerre.
Bonjour Pascal,
Vous me prêtez quelques intentions qui ne sont pas les miennes et certaines de vos affirmations m’on fait grincer des dents.
Entre guillemets votre commentaire, ensuite ma réponse.
« On ne change pas la mentalité des gens. La seule manière de contourner l’opinion de masse, c’est d’imposer la dictature. »
Contrairement à vous, je crois que nous pouvons changer nos manières de voir le monde et vous avez probablement expérimenté ça personnellement plusieurs fois. L’idée de la dictature me fait vomir.
« D’ailleurs, qu’est-ce que le Bien, pour vous, si les nouvelles technologies sont le Mal ? »
Je n’ai pas dit que les nouvelles technologies étaient «Mal», j’ai dit qu’on n’employait pas tout le potentiel qu’elle renferment pour être de meilleurs citoyens.
« D’accord quand vous dites que votre texte est fait pour être lu, avec toutes les nuances qu’une bonne voix peut lui apporter. Mais alors quoi ? Il est vrai, ce texte, ou c’est une caricature que les gens prennent trop au sérieux ? »
Certains passages sont manifestement alambiqués, mais ce n’est pas une profession de foi CONTRE les Québécois, c’est un appel à sortir de notre léthargie mentale. Votre réaction, et celles que j’ai reçues depuis la publication de ce texte, me rassure.
« Je suis pour la démocratie, non pas pour la violence d’une poignée de révolutionnaires qui n’ont de respect que pour leurs idées (univoques). Je suis pour l’humanité, non pas pour le dédain de la divergence. Je suis pour la paix, et non pour la guerre. »
Ça tombe bien, moi aussi.
Je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez ou que vous serez inspiré à démarrer vos propres initiatives. Je n’ai pas LA solution, mais je fais un effort pour inspirer les autres citoyens à chercher DES solutions au lieu de se plaindre.
Cordialement,
-Denis McCready
Ce texte est écoeurant. J’ai cru remarquer ces derniers temps plusieurs élans de solidarités et des vagues collectives qui tentent de nous éveiller. Je dors, j’en suis conscient et je me bat pour la vérité. Sauf que je suis, nous sommes enlisé dans le mensonge du songe américain. Incapables de bouger parce qu’engourdit par les médias qui débilisent notre peuple et protègent leurs intérêts. Il faut agir maintenant. Le problème c’est que l’action tarde à se présenter parce que personne ne sait comment réagir. Du moins… personellement, j’en ai aucune idée…
Moi j’ai une solution. Une vraie.
D’abord je dois mentionner que face à l’ampleur de la situation, une révolution par l’anarchie est impensable.
Les gens sont simplement trop lâches et divisés pour permettre à une véritable révolution sociale un champ d’action significatif et cohérent.
Être engagé socialement pour changer les politiques c’est comme jouer basketball sur un terrain de soccer. On est pas sur le bon terrain.
Voilà ce que je propose:
Si l’État et les corporations ont autant de pouvoir, c’est parce qu’ils contrôlent d’abords l’énergie.
Point.
Si chaque citoyen était énergiquement indépendant (maison,transport etc), l’État ainsi que les corporations n’auraient plus le pouvoir qu’ils ont sur nos vies.
Comment poser un geste concret?
S’informer et concentrer nos efforts sur les technologies dites à « Énergie Libre ».
L’apparition en masse de ces technologies détruira le système économique que nous connaissons, rendra désuet la monnayabilité de toute forme d’énergie (pétrole, hydro-électricité, énergie atomique etc) et permettra aux pays du tiers monde de se débarrasser de l’emprise que nos industries ont sur eux. (et c’est sans parler des bénéfices écologiques…)
Ces technologies sont passé sous silence depuis qu’un personnage historique en a fait mention en 1891.
Il a depuis ce temps perdu sa crédibilité et son nom est aujourd’hui tristement associé au domaine de la science fiction.
Il est pourtant celui qui a popularisé le courant alternatif, la radio, le radar et un tas d’autres inventions que nous utilisons tous les jours. Et je parles ici de monsieur NikolaTesla.
L’énergie libre est l’héritage le plus précieux qu’il nous a laissé.
Ça implique une seule chose: ne pas tenter d’en faire commerce (et c’est l’erreur qu’on fait beaucoup d’inventeur).
Oublions les brevets, oublions les droits intellectuels.
Mettons des schémas en ligne et répandons de l’information claire sur le sujet (il y a tellement de sites bidons et charlatans sur ça… c’est déprimant. Ne vous laissez pas décourager.)
À ce titre, comme je ne suis pas physicien, je peux au moins vous donner ces liens:
-http://www.letransmuteur.net/energie-libre-et-technologies-de-jeane-manning/
vous pouvez lire ce livre au complet ici:
-http://www.scribd.com/doc/19653950/Jeane-Manning-Energie-Libre-Et-Technologies
allez tout simplement sur wiki… (ou dans le vrai dictionnaire)
-http://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla
Il faut arrêter de mettre l’étiquette « conspiration » sur tout ce qui n’est pas endossé par les médias de masse.
Faisons en sorte que ça change.
Mettons nos idéaux politiques et sociaux de côté et prenons le risque de remplacer une soirée de cinéma par une lecture sur le sujet.
Cette révolution entraînera naturellement toutes les autres.
Aux sceptiques: prenez donc le même temps d’aller voir le lien et soyez de ceux qui combattrons les charlatans de l’énergie et proposerons des solutions concrètes de ce côté au lieux de m’écrire des âneries.
Paix.
1- Je remercie l’auteur de ce texte et tout les personnes qui ont proposez des pistes positive pour nous sortir de notre sommeil collectif et de nous pousser à agir!
2- Nous avons besoin de nous rassembler pour discuter de façon démocratique des solutions se présentant à nous et des actions à venir. Cependant, il va devoir d’abord passer outre notre peur de l’autre. Il est facile d’être solidaire avec une personne fictive, mais devant cette même personne, dans la réalité, il faut que l’on passe par dessus nos différences, nos préjugés et que l’on se délie la langue, que l’on parle, que l’on cris, sans peurs de se voir réprimandé!
3- Nous avons besoin d’un MANIFESTE qui, comme ce texte, critique non seulement nos dirigeants mais aussi le fonctionnement global de notre économie capitaliste qui passe les profits avant les besoins des peuples. Nous avons besoin d’un manifeste pas dicté par des leaders mais écrit par ceux-ci suite aux conclusions de la société civile en ébullition parlant de façon démocratique des directions à prendre. (retour sur point 2)
4- Nous devons nous inspirer des autres révolutions sociales du monde, révolution du Jasmin, mouvement des indignados en Espagne, manifestations pour l’accès à l’éducation et a une société avec plus de justice sociale au Chili, même chose en Israël, mouvement anti lois de rigueurs en Grèce, au Portugal et en Italie, mouvements anti corruption en Inde!!! Le monde bouge, nous entrons dans une ère de révolution mondiale! La société civile reprend parole alors que les marchés financiers cachent leurs bilan médiocres pour tenter de retarder une autre crise économique inévitable, une autre crise économique dont le peuple subira les effets, non les grands actionnaires de ce monde.
5- Allez voir ce site http://tts-dev.ourproject.org/fr/node il est très intéressant et donne courage. Il montre que nous somme pas seuls à nous battre!
ALONS À LA GUERRE !!!! Réveillons-nous et arretons de penser que nous n’y pouvons rien !!! AGISSON ENFIN !!!! Je suis prète à me battre … pour mes enfants, ma mère, mon père, ma soeur, mes voisins, notre futur !!!!!!!!!!!!!! Il ne suffit que d’une âme aillant l’audace de partir la danse. Qui sera cette âme ???
Super,
Maintenant, à part conscientiser votre texte n’apporte aucune piste de solution….. des manifestations? qui sont pratiquement toujours récupéré politiquement…. la conscientisation ce n’est pas assez?
Je suis plus que d’accord avec votre analyse, mais je cherche toujours la bonne solution, et je cherche surtout la personne qui met tant d’effort à écrire de merveilleux texte sans nous proposer aucune idée neuve?
Bonjour Louis,
Je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si, comme moi, vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez ou que vous serez inspiré à démarrer vos propres initiatives.
Cordialement,
-Denis McCready
Wow!!!!!!!!! Quelle clairvoyance dans l’état actuel du Québec! Quelle grandiloquence dans votre analyse de notre piètre situation. J’ai été captivé par votre texte percutant jusqu’à la fin.
J’aimerais aussi que les choses changent. J’aimerais un monde meileur pour nous, pour nos enfants. Dans les années 70, on nous avait annoncé une société de loisirs pour l’an 2000. J’ai vu grand. Les Sentinelles de l’Air en monde réel avec des constructions futuristes avec aussi des bolides qui fonctionnent à l’air pressurisé.
Au lieu de ça, force est de constater qu’on travaille tous individuellement comme des malades pendant qu’on se fait dire par un ancien premier ministre qu’on ne travaille pas assez. Ce même EX qui est à la solde des gaz de schistes! On passe jusqu’à 4 heures par jour dans un trafic sur un réseau routier qui menace de s’écrouler au premier coup de vent. On tombe dans les anti-dépresseurs pour continuer notre chemin. On fera bientôt comme nos ancêtres pour nous rendre de Montréal à Brossard. L’écorce de bouleau sera plus sécuritaire que le béton. On a manqué le coche.
On court partout mais on ne sait plus où on va. En plus de nous isoler nous-même de l’intérieur dans nos propres vies et dans nos propres familles dans un monde de plus en plus fou; voici que ce que vous décrivez est effectivement la réalité cruelle que nous vivons collectivement dans un monde illusoirement individualiste.
Il faudra que l’on revienne tous à des valeurs communautaires et qu’on change les précepts de notre pauvre société qui se pense si moderne, si d’avant-garde.
Je garde espoir. Merci pour ce texte.
Jean-François Pelletier
FAUT SE REVEILLER, MERVEILLEUSE LETTRE Bref ils faut continuer de rallier plus de monde faites passer le mot !!!!!
Un leader? no way !Un autre qui va se faire linché publiquement au nom du désordre public ? Un autre qui va se faire crucifier par ses propres frères? Un groupuscule social a beaucoup plus de chance de survie.Mais le problème c est que l argent dirige nos vies(notre temps)!! Du moment ou l adulte décide d addopter la sécurité dans sa vie il renonce a ses reves de changement.L action ca change les choses pour vrai mais est facilement répréhensible au yeux des autres quand les médias s en ocuppent.En plus les gens sont paralisé par le défaitisme ou si non ils sont défensseurs et amis de leurs boureaux…
À tous ceux qui sont prêtas à entendre:
Le monde tel que vous le connaissez est sur le point de disparaître. Pas la fin du monde, la fin d’un monde. Et les bons comme les méchants qui ne s’y seront pas préparé vont beaucoup souffrir. Et je ne parle pas de préparer votre âme, quand on a faim, c’est dans le corps que ça fait mal. Si vous ne savez pas quoi faire aujourd’hui, il est grand temps de trouver et d’agir si vous voulez avoir une chance de passer au travers.
Vous n’aurez pas votre fond de pension ni vos réer. Trouvez autre chose et vite. Faîtes votre deuil de ce que vous espériez être votre futur, il n’arrivera jamais. Le deuil commence par la négation. Revenez-en, informez-vous du réel état du monde ailleurs que sur les média «main stream», et vous verrez que c’est fini! La colère, servez-vous en pour vous bottez le cul. La peine, partagez là avec ceux que vous aimez. Ensuite les solution vous apparaîtront et vous vous mettrez au travail. On bien vous vous laisserez mourir.
Pensez d’abord à vos besoins de base: Nourriture, sécurité et amour.
Sortez du désert de béton que sont les villes, elles vont devenir des mouroirs. Trouvez les gens qui pensent et agissent comme vous et travaillez ensemble. Mais faîtes le TOUT DE SUITE.
Vous pensez que vous ne pouvez pas? Vous verrez que vous n’aurez pas d’autres choix.
Et bonne chance, parce qu’il n’y a pas assez de place pour tout le monde chez moi.
c’est poétique à quel point logique et souverainisme , se côtoient à merveille!!
c’est très beau s’auto féliciter entre gens de gauche. Allez publier cet article sur la place publique, là ou les gens de droite viendront attaquer très directement ces idéaux. On comprendra donc pourquoi il est si difficile d’être politicien même si on a les plus belles intentions au monde; comme ce texte, beaucoup trop de gauche, rempli de faussetés économiques, mais avec un fond combien vrai. Vous y allez à l’extrême cher ami … faites attention.
Charmant pseudonyme, où la chance vous a nanti d’un nom particulier.
Je reconnais que ce texte est imparfait, c’est un coup de sonde pour voir ce qu’il y a dans l’eau et il semble qu’il y a beaucoup de colère.
Si, comme moi, vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez ou que vous serez inspiré à démarrer vos propres initiatives.
Cordialement,
-Denis McCready
En parlant de Laborit, il a aussi dit:
« Il y a bien aussi les révolutionnaires ou soi-disant tels, mais ils sont si peu habitués à faire fonctionner cette partie du cerveau que l’on dit propre à l’Homme, qu’ils se contentent généralement, soit de défendre des options inverses de celles imposées par les dominants, soit de tenter d’appliquer aujourd’hui ce que les créateurs du siècle dernier ont imaginé pour leur époque. Tout ce qui n’entre pas dans leurs schémas préfabriqués n’est pour eux qu’utopie, démobilisation des masses, idéalisme petit-bourgeois. Il faut cependant reconnaître que les idéologies à facettes qu’ils défendent furent toujours proposées par de petits-bourgeois, ayant le temps de penser et de faire appel à l’imaginaire. Mais aucune de ces idéologies ne remet en cause les systèmes hiérarchiques, la production, la promotion sociale, les dominances. »
Il a quelque chose de déprimant ce Laborit. D’après lui, le salut est dans la fuite…
M. McCready, j’aimerais savoir qui subventionne vos documentaires, merci de me répondre honnêtement.
M. Kauma,
Les documentaires que j’ai produit ont tous une page web et la liste des partenaires financiers (publics et privés) et partenaires techniques y est habituellement écrite (générique, affiche, etc.).
En voici une liste presque complète.
http://www.denismccready.com/blog/?page_id=58
J’espère que ça répond à vos questions.
-Denis McCready
Je partage ce sentiment décrit comme étant de la »Colère » et ce texte relève exactement mes préoccupations en ce qui attrait aux décisions gouvernementales. À quand l’intentement d’un recours collectif contre la léthargie de nos politiciens qui laissent nos infrasctructures dans un état critique? À quand notre soulèvement pour dénoncer les projets économiques loin de nos valeurs collectives? N’oublions pas ce que partout dans le monde on nous prouve, la voix du peuple unifiée est bien plus grande que toute instance gouvernementale. À nous de nous servir des médias pour véhiculé NOTRE projet de société idéal!
Merci de ton opinion.
Parfaitement d’accord! On commence par quoi, par qui, de quelle façon? Je manque d’idée devant l’ampleur des forces en puissances…
Bonjour Monsieur,d’après moi…les gens en général ne connaissent pas leurs droits.
Alors comment voulez-vous qu’une révolution se prépare?Mais je suis »willing » de ma rallier à votre club aux prochaines élections!xxx
Bon, voici un petit granola qui se fait vivre à coup de subventions pour des documentaires marginaux visionné par quelques gogochistes. Venant surement de l’école de chialage de l’ONF, Télé-Québec, etc. Si je te fais vivre avec mes taxes, je peux aussi émettre mon opinion sur ton pamphlet.
Voici tout d’abord une petite leçon d’histoire:
Les anglais ont envoyés des commerçants pour peupler l’Amérique, il s’agissait d’une entreprise qui devait être rentable sinon ils coupaient les vivres aux colons. C’est ce qui fait, encore plus aujourd’hui, la distinction entre le peuple américain et canadien.
Ici, le but était de peupler un pays afin d’agrandir un empire. Défricher, peupler, découvrir de nouveaux mondes. Le tout sous contrôle de l’église, le colon était soumis et devait peupler.
Après lecture de ton texte, j’en détecte une très grande naiveté, il faudrait écouter l’opinion des autres quelquefois et étudier l’économie même si ce domaine répugne les granolas de ton genre.
Nous voici maintenant dans les années soixante pendant la révolution tranquille, maître chez nous… pas vraiment, encore une petite leçon d’histoire mais cette fois-ci économique:
Messieurs Parizeau et Lévesque ne peuvent évidemment pas demander aux banques canadiennes de financer la nationalisation de l’électricité car ils viennent d’expulser bien maladroitement l’establishment anglophone qui détenait les barrages privés. Ils doivent donc se tourner vers les banques américaines. Les américains sont mort de rire, ils n’ont même pas a infiltrer notre gouvernement par la CIA, ils n’ont même pas à financer un renversement ou un putsh, ils recoivent notre hydro-électricité sur un plateau d’argent. Évidemment cet énorme prêt, pour l’époque, de millions de dollars est accompagné de clauses que nos maladroits émissaires ne comprendront que des décennies plus tard. En bref, nous vendons nos mégawatts à rabais à nos chers créanciers américains. Nous voici donc en 2011, les américains ont fait le deal du siècle en détenant nos richesses pour quelques millions, et quelques naifs qui ne comprennent rien aux ramifications économiques nous demandent de manifester pour un pays qui ne nous a jamais appartenu.
M. Kauma,
Vous ne me connaissez pas et vous me traitez de «granola». Ce n’est pas très fort comme entrée en matière. Je m’abstiens de jouer au jeu des insultes gratuite parce que votre texte sent la provocation juvénile.
« qui se fait vivre à coup de subventions »
De manière évidente vous ne connaissez rien au cinéma ou à la télévision et ce n’est pas ici la place pour faire votre éducation.
« … documentaires marginaux visionné par quelques gogochistes.. »
C’est passablement insultant pour le million+ de spectateurs qui a vu l’ensemble des films sur lesquels j’ai travaillé pour la télévision québécoise au cours des 10 dernières années (dont plus de 370 000 ont vu «Chercher le courant»). Je vous épargne les cotes d’écoute des documentaires pour National Geographic, parce qu’elles sont astronomiques et j’aurais l’air de me vanter.
« Venant surement de l’école de chialage de l’ONF, Télé-Québec »
Vous vous trompez encore (ça devient une habitude…).
« Si je te fais vivre avec mes taxes »
Quel mépris. Quelle arrogance.
Deux points :
1 – Je me fais vivre. Vous ne me faites pas vivre.
2 – Le financement public du cinéma et de la télévision vous dérange de manière évidente. Si ça vous dérange à ce point, téléphonez-moi (je suis facile à trouver), prenons rendez-vous et venez me dire en pleine face que vous voulez m’empêcher de gagner ma vie et d’utiliser ma liberté d’expression. Vos arguments devront être meilleurs ce que vous déployez ici.
« même si ce domaine répugne les granolas de ton genre. »
Encore la provocation gratuite. J’espère que ça ne vous dérange pas de voir votre nom associé à ce genre de remarque, à moins que vous vous cachiez derrière un pseudonyme.
Votre paragraphe à propos de la nationalisation a ceci de juste : le Québec est une république de banane électrique pour les USA. Tant que HQ vendait cette électricité à un prix plus élevé que le prix de production, nous faisions des profits, mais depuis le projet Romaine (et fort probablement pour le futur projet Petit-Mécatina), le coût de production est supérieur au coût de vente. Le Québec s’endette pour vendre de l’électricité à perte aux USA. L’économiste Jean-Thomas Bernard s’est exprimé plusieurs fois là-dessus. Je l’ai vu en entrevue à plusieurs reprises. s’il est un «granola» il le cache très bien.
Je ne vous dis pas bonjour.
-Denis McCready
» À mon sens, vous n’avez pas encore prouvé que vous avez droit de cité. » Une phrase parmi beaucoup d’autres…
Difficile de mobiliser les troupes quand on les invective. Ce cher Drill Instructor pré-révolutionnaire risque de subir le même sort que le sergent Hartman dans Full Metal Jacket…
M. Tireli,
« Ce cher Drill Instructor pré-révolutionnaire risque de subir le même sort que le sergent Hartman dans Full Metal Jacket…»
Pourriez-vous précisez votre pensée? Parce que ça sonne comme un souhait que je me fasse tuer à bout portant par un fusil d’assaut. Ça ne me plait pas.
Merci de prendre le temps de me répondre.
-Denis McCready
J’ai aussi une nouvelle pour toi mon cher Denis, y sont jamais parti! C’est nous qui sommes coque l’oeil, y ont seulement changé l’angle d’attaque. Y a tu quecqu’un qui a remarqué qu’on nous arrose de « chemtrails » pour nous rendre malades & déconnectés du neurone? Et je ne parlerai pas de HAARP, bienvenue dans le nouvel ordre mondial du geoengineering empoisonné des Bilderbergers car c’est plus qu’au Québec que les corpos & les banquiers privés se payent les putes de politicos bons juste pour les nonos qui croient à la façade. Ça fait longtemps qu’y nous vendent à rabais pour le profit & l’ambition. Le piège du complexe militaro-industriel s’est refermé sur nous pendant qu’on attirait notre attention ailleurs. Le réveil est brutal pour ceux à qui il reste un peu de conscience après le party. Ceux que je rencontre dans le monde toxique du boulot métro dodo en majorité étire le dodo au boulot & dans le métro, c’est du mur à mur. Y en a tu qui veulent vraiment voir l’ampleur de la catastrophe avant de goûter aux conséquences pour du plus que juste pas dans ma cour? La solution… d’abord l’aveu douloureux pis je partage ce que je peux de mes ressources, de mon temps & de mes talents. Surtout je n’oublie pas que je me bat pour les enfants à naître que je ne verrai jamais mais que je sens dans chacune des cellules de mon être. La lâcheté n’est pas une option devant ce problème effrayant, on a juste ce qu’on mérite si on se laisse bouffer par des prédateurs psychopathes, si on a même pas le courage d’aborder le sujet. Quand on crie en avant faut pas regarder en arrière, tu pourrais découvrir que t’es tout seul à emboîter le pas. Alors si on est pas prêt à mourir pour ce qu’on crois, retournons dans nos balounes parce qu’on crèvera sûrement avant elles.Y en a trop qui ont déjà donner leur vie pour qu’on puisse se payer le luxe de ronronner dans la complaisance niaiseuse de l’ignorance volontaire.
On nous a concocté un beau petit crash économique planétaire ancré dans une dette astronomique, une fraude historique genre jamais vu et dans le style esclavage économique prêt à servir à crédit instantanément à la carte, accrochez votre tuque avec de la broche à poule parce qu’y va venter fort bientôt! Nos amisrequins voisins du sud sont déjà à genoux, pensez-vous vraiment qu’on est à l’abri?
Ceux qui ronflent en parlant s’abstenir, continuez à rêver de liberté comme des sportifs de salon et des guerriers nintendo. En général les gens se réveille quand ils souffrent sérieusement et même là c’est pas la majorité, faudrait pas prendre notre agitation pour de l’action.
En passant j’aime beaucoup ton texte.
Sans joke, combien d’entre vous fument du pot? C’est pour mes statistisques…
Ensuite, Il faudrait prendre votre texte et en faire un manifeste.
Voici les instructions pour la revolution:
1) Cessez tous immediatement de payer vos dettes.
2) Consommez, acheter tout ce qui vous plait et foutez le sur votre carte de credit.
3)Cessez de payer votre loyer ou votre maison.et/ou votre putain de voiture.
Le systeme va s’ecrouler de lui-meme. En informatique on apelle ca un buffer overflow.
On ne ramasse pas un couteau de cuisine en plein vol. On attend gentiment quil soit au sol avant de s’en emparer.
Super Scénario! Imaginez simplement le tableau WOW! Entièrement de ton avis, c’est le seul moyen de révolutionner un état d’ÊTRE indésirable et imposé,c’est non violent et assurément une solution qui « paralyserait » tous ces « racailleux »…que de cheveux sur le plancher – mise à part la gang de chauve – pas besoin de tondeuse – Ah! quel rêve je vais faire ce soir…
Une révolution est un transfert de pouvoir. Les puissances d’argent, il existe différents moyens pour les combattre, mais pour ça, ça prend un État, il faut que le peuple le contrôle. Mais nous n’en sommes pas là puisqu’on a même pas de gouvernement normal mais on a le gouvernement d’une province. Alors faire une révolution dans une cadre provincial n’est pas vraiment intéressant et on l’a déjà fait.
La seule étape logique, même le choix facile, évident, nécéssaire, urgent, c’est de choisir l’indépendance au détriment de la dépendance gracieusement administrée par le Canada en fonction de ses intérêts. Une province, ça sert à perdre, ça sert juste à ça, même en latin ça veut dire ça, alors je vois mal comment on peut espérer vaincre le grand capital si on a même pas un État, si l’on confie à peu près 60 milliards par année en quétant le change et en souhaitant qu’ils s’occupent de nos intérêts stratégiques avec nos ressources : il faut commencer par la normalité, par l’indépendance, par la république.
Amen!
Définition du mot province:
La province est une division administrative utilisée dans plusieurs États, depuis l’Empire romain. Le mot province vient du latin provincia qui signifie « pays vaincus » ou pro victis qui signifie « pour les vaincus »
Éloquent n’est-ce pas?
Une bonne partie des lois qu’il faut changer sont de juridiction fédérales. Ça m’étonne que l’auteur se dise ni fédéraliste ni souverainiste…
Même si elle est belle, elle est tout de même qu’une province.
« Quand on se compare, on se console » : Cette expression n’est vrai que quand on se compare à de la marde…
Si les gens au Québec arrêtaient de se comparer à de la marde et qu’à la place ils se comparaient à ce qu’ils Pourraient Être, les choses seraient bien différentes je crois.
Mes amis du Quebec,
Ce texte est fort intéressant et toutes les remarques quasi unanime
Qui suive aussi, j’ai deux enfants et je suis a 100% d’accord qu’il faut
Faire quelque chose maintenant avant qu’il soit trop tard, le problème
Est justement la mes amis, il faut faire quelque chose, ici faut arrêter
De parler, d’argumenter, de s’estiner, de déblatérer et simplement de
Passer a l’action, la réponse est dans l’action physique, mental et
Spirituel, rien sauf l’action nous apportera des résultat, donc je vais
Faire une premier action tres simple, qui est de mettre se message sur
Mon mur et qui sera exposer a plus de mille personnes, si tout le monde
Fait Ca on aura fait lire déjà le message au 2 tier du quebec en moin d’une
Semaine, un bon début non, et ensuite je vais l’envoyer a des amis écrivains,
Journaliste et dans le milieu des media, deuxième petite action ainsi de suite
Jusqu’à maintenant j’ai pas trop forcé encore, donc laisser vous allez et soyez
Imaginatif…. Les petits actions deviennes tres grand en peu de temp mais encore
Faut t’il simplement commencer mes amis….. Bonne journée
Et bravo Denis pour ton action ….!
par où on commence?
Mais, je comprends un peu mieux comment fonctionnent les révolutions, maintenant; les vrais leaders qui se lèveront le feront aussi pour que de tels agités du bocal méprisant ne passent à l’action avec leurs seuls semblables…
Merci d’afficher ces réalités au grand public. Maintenant qu’est-ce que vous proposez comme solution? Dans la situation actuelle, qu’est-ce qu’un simple citoyen peut faire de plus que recycler, utiliser son vélo, faire attention à la provenance et au contenu de ce qu’il achète, de se maintenir physiquement, d’encourager l’art et la culture, et répandre la bonne humeur et l’amour autant que possible?
Par ailleur,y a t’il une autre manière pacifique et démocratioque de remanier le gouvernement que l’élection?
C’est mieux comme ça?
La plupart, ou en tout cas une bonne part des internautes qui ne sont pas des personnalités publiques protègent leur identité derrière un anonymat entendu, mais, encore une méprise, vous n’en tenez pas compte…
Cependant, mon commentaire précédent sur le sergent Hartman, et que vous avez retiré, était à prendre au figuré, j’aurais du le préciser, mais ça n’avait aucun rapport avec une menace sous le couvert de l’anonymat, pardon.
Je maintiens cependant ma lecture de votre texte, désolé aussi:
Je comprends un peu mieux comment fonctionnent les révolutions, maintenant; les vrais leaders qui se lèveront le feront aussi pour que de tels agités du bocal méprisant ne passent à l’action avec leurs seuls semblables…
Merci d`avoir pris la parole monsieur. La constation de notre et de votre quotidien a fait de vous un visionnaire. Comme vous le dites, notre coin de pays a été bâti par une bande d`audacieux et téméraires jeunes gens qui n`ont pas compter leurs heures et qui ont fait fi des obstacles….sortons au plus vite de nos cages à poules ou de nos dortoirs et relevons les défis, il y en a tant autour de nous. QUI sera celui ou celle qui osera faire des changements radicaux…..peut-être nous-même en revenant aux valeurs essentielles.
Sobre, vrai, percutant et tellement plus journalistique que les infos de m*****e que l’on nous sert au diner ou au déjeuner !!! Oui notre vieile europe et le reste du monde vont droit dans le mur et tout le monde s’en fout du moment que son chez soi est confortable en oubliant qu’on peut perdre ce confort ce travail ce quotidien d’un jour à l’autre !
Oui il faut cesser de rester dans la posture de l’autruche, se relever et retrouver sa voix pour hurler avec les autres révoltés CA SUFFIT !!
Je ne suis pas habitant de votre si belle province mais aujourd’hui avec ce que les politicards bien gras préparent pour nous et nos enfants nous sommes tous des citoyens d’un monde qui fout le camp et perd une partie de lui à chaque virage !
MERCI de tout coeur de ce moment de révolte qui a mis un peu de ciel bleu dans la grisaille quotidienne !
Fraternellement et amicalement d’un p’tit Francais à un grand cousin de la Belle Province ! BERNARD
« Réveillez-vous, le Québec! Aux armes citoyens, la province est assaillie! »
Avant même de se révolter, encore faudrait-il avoir des solutions à proposer; remplacer la horde de politiciens/fonctionnaires/institutions ne changerait rien au problème. Tant et aussi longtemps qu’un système monétaire fondé sur la possibilité d’un individu de « valoir plus » qu’un autre, l’édifice humain est en danger.
À notre époque, alors même que la technologie est capable de remplacer 99% des emplois « nécessaires » (non, les fonctionnaires ne sont pas nécessaires), comment expliquer le maintien de labeur humain dans toutes ces sphères ?
À notre époque, alors même que l’on sait qu’un environnement stressant et hiérarchisé est nocif au développement d’un être humain, autant mentalement que physiologiquement, comment expliquer le maintien d’une telle structure sociale ?
À notre époque, alors même que la science a déterminé que l’expression des prédispositions génétiques à la violence est très largement dépendante de l’environnement dans lequel un individu évolue, comment expliquer le maintien d’un système qui ne vise pas à réduire la compétition, mais bien à l’accentuer ?
À notre époque, alors qu’on sait que la Terre est un système où la quantité de ressources est limitée, comment expliquer le maintien d’une structure économique dont le succès dépend d’une consommation illimitée ?
À notre époque, alors que l’on sait que la durée de vie théorique d’un objet est rarement atteinte, comment expliquer le maintien d’une structure sociale où la possession d’un bien est valorisée, au détriment d’une structure fondée sur l’accès au même bien ?
À notre époque, alors que l’on comprend parfaitement les enjeux que représentent l’air et l’eau pour la survie de l’espèce humaine, comment justifier la lenteur des changements dans les mentalités et les structures sociales quant à la pollution ?
À notre époque, alors même que l’on traite l’argent comme une ressource, et qu’on convainc les populations que rien ne peut se faire sans argent, comment s’étonner qu’aucun problème ne soit réglé s’il ne contribue pas à l’augmentation d’argent ?
À notre époque, alors qu’on sait qu’un individu apprend de son environnement, comment expliquer que les sociétés soient saturées de valeurs n’ayant rien à voir avec l’être humain tel qu’il est naturellement ?
Le problème n’est pas québécois, le problème est global. À la source: l’illusion d’une nature comportementale humaine absolue. Très peu de choses sont sûres, mais l’une d’entre elles est certaine : l’être humain apprend de son environnement.
Changer l’environnement, c’est changer l’individu. « Patcher » le système actuel ne sert à rien, puisque les fondements qui le soutiennent sont pourris. L’être humain a besoin d’un environnement où ses besoins fondamentaux sont comblés, et une éducation fondée sur ce qui EST possible et non pas ce qu’il VEUT possible. Une éducation fondée sur le réel, et non pas l’imaginaire. Un environnement où son développement personnel passe avant tout, un environnement où les découvertes technologiques ne sont pas censurées mais rendues accessibles dans la mesure où les ressources le permettent.
Nos enfants ne pourront pas vivre dans une société égalitaire à moins que le monde entier vive dans une société égalitaire; il n’y a plus de frontières quant aux problèmes à l’heure actuelle, ils sont mondiaux et universels. Du même fait, leur poids doit être réparti également, et non pas déplacé sur les épaules d’un individu seul, jusqu’à ce qu’il s’écroule et qu’un autre individu doive prendre le relais.
Le résultat inévitable d’un tel système est, dans l’optique d’une survie de l’espèce à long terme, un suicide. Et la chute est entamée.
Bonjour,
J’ai fais lire votre lettre à plusieurs personnes autour de moi. Je l’ai publié sur mon profil facebook. J’ai conscience de tout ce qui se passe au Québec. Certain comme vous publie des lettres ou bien font des films. Le simple citoyen en parle autour de lui, écris dans des blogues ou bien en parle sur facebook….
Et maintenant on fait quoi ? Dites-le moi parce que le simple citoyen qui a conscience de tout ça se sent totalement impuissant face à ces grosses machines.
Je travail dans un bureau à Montréal. Savez-vous les sujets de conversation de la majorités des gens dans un bureau de Montréal ? He bien les voici : la télé, le trafic, les enfants, la maison, la décoration, les recettes, la piscine. J’ai fais lire votre lettre à plusieurs de mes collègues de travail. La plupart ne l’ont pas lus jusqu’au bout :trop long. Les autres ne savait même pas ce qu’était le plan Nord. D’autre m’ont dit qu’ils n’en pouvais plus d’entendre parler des gauchistes (!), d’autre m’ont taquiné en me disant que j’étais jeune et qu’un jour, j’allais-comprendre-que-tout-ça-ne-sert-à-rien et d’autres (la majorité) me regardais comme si je leur avait présenté une lettre écrite en mandarin..parlez-leur du retour d’occupation double, là ils vont vous comprendre.
La plupart de mes collègues de travail, qui sont de très bonne personnes en passant, se lève à l’aube (et même la nuit) pour venir travailler. Ils sont fatigués. Ils veulent juste s’abrutir devant la télé le soir. Ne leur parlez pas de politique. Trop long, trop ardu et surtout sans intérêt !!!La société de consommation leur ont mi dans la tête que d’avoir une maison, deux voitures, une piscine, un chien deux enfants et être sur les anti-dépresseurs c’était ça le bonheur. Que voulez-vous qu’ils fassent d’autre ?
Alors, ceux, qui comme vous on conscience et moi qui passe pour une anarchiste, snob, presque demeuré du plateau Mont-Royal, on fait quoi ??
Une manifestation ? Camper devant le parlement ? Parce que à ce que je vois, autour de moi, à part quelque « éluminés » dont j’en suis, le monde s’en fout. Ils s’en foutent. Ha! tout le monde veux une commission d’enquête sur la construction, mais à ce que je sache, personne n’est sortie dans la rue pour la réclamer.J’ai été à une manifestation contre l’exploitation du gaz de shiste et il n’y avait pas grand monde…mais où sont les contestataires ? Devant leur ordi sans doute, ça fait tellement peur quelqu’un devant son ordi….Jean Charest se roule par terre.
Ha! tout le monde est daccord pour vouloir faire des profits avec nos ressources naturels et certain voit ce qui se passe…mais qui sort dans la rue pour le dénoncer ?
Personne
Personne, ni vous, ni moi.
Première étape pour une révolution: – votez Tremblay dehors svp. Je ne sais pas pourquoi vous (vous étant le peuple-lemmings) avez revoté Tremblay pour un autre mandat sachant tout ce qu’on sait maintenant et qu’on savait à l’époque. Ensuite, votez Charest dehors svp. Votez stratégique, si l’ADQ bat Charest, votez ADQ. Si la Coalition bat Charest, votez Coalition. Et ainsi de suite. Je sais que votre coeur d’artistes du Plateau veut voter Québec Solidaire. Laissez cela pour le moment, la réalité du pouvoir est plus pressante que les idéaux environnementalistes aussi flous que le gaz de serre.
Peuple-lemmings, quand vous aurez fait ces deux choses facilement accessibles à la portée de tous même dans la démocratie Big Brother que nous vivons, nous pourrons commencer à parler de vraie révolution. Pour l’instant, vous ne vous agitez que pour les échanges aux hockeys et si la blonde vue au bar la fin de semaine passée sera la mère de vos enfants et l’amante de vos nuits torrides de votre imagination.
Bravo. Bravo.
Merci.
Je m’en vais sonner l’alarme chez moi.
Fascinant comme lettre – J’aime bien 😛
SAUF QUE je suis justement fasciné par le fait que le peuple québécois bouge beaucoup à travers les régions du Québec face à l’exploitation de nos ressources naturelles! Les citoyen.nes du Québec sont en marche. Certains mouvements, réellement citoyens ou populaires, dépassent parfois les groupes écologistes qui ont peine à suivre! Je me réjouis du fait, pas du tout évident, que les gens voient les ressources naturelles comme leur propriété démocratique et de leur responsabilité environnementale aussi.
Bref, pour agir concrètement, au-delà de Facebook :P, appuyons et participons à ces mouvements. Je suggère, comme point de départ, le site de la Coalition pour que le Québec ait meilleure mine! (c’est une coalition, donc on y retrouve plusieurs groupes)
Merci aux plus de 14 000 personnes qui ont recommandé mon texte « Lettre ouverte…» paru sur le Voir.ca. J’ai lu presque tous les commentaires et j’ai noté plusieurs questions et remarques. J’espère y répondre du mieux que je peux dans ce texte publié sur mon blogue. SVP faire circuler pour continuer cette réflexion ensemble.
http://www.denismccready.com/blog/?p=218
L’acquis de nos sociétés procède de valeurs pour plusieurs encore défendables et récupérables même si archaïques. Plusieurs meneurs ont comme limites l’inertie des attentes de leurs commettants dans ce qu’ils tentent de construire. De tout temps lorsqu’un changement s’est imposé, l’on a procédé sur le coup de l’impulsion ou en connaissance de cause. Choisir l’avenir nécessite d’abord une connaissance de soi-même et la volonté de se projeter dans toute son identité indéfectible dans le devenir du monde. Avoir les goûts des autres est aujourd’hui le prérequis par excellence pour que cette projection puisse porter fruit. Nous avons en premier lieu besoin de penseurs profondément altruistes capables d’éclairer ceux des meneurs de bonne foi, actuellement en panne d’inspiration. Des penseurs aux suggestions incontournables vue la crise actuelle. S’il ne s’en trouve pas chez nous ou ailleurs pour une catharsis généralisée, si leurs interlocuteurs n’ont pas le courage de les écouter ou dialoguent de mauvaise foi parce qu’une caste ne veut pas lâcher son hochet, alors inévitablement ce sera l’histoire qui nous fera ses leçons de tragédie, car le peuple aura dit non.
Il n’est pas besoin pour le moment de tout jeter par terre, même si ce sérieux coup de barre à notre évolution aura un prix élevé à payer. Car pour se débarrasser de la logique d’un système aussi puissant et omniprésent, comptons-nous chanceux si nous parvenons à sauver les meubles. N’espérons donc pas que les dirigeants par la magie d’une révélation se mutent en pasteurs préoccupés de leurs moutons. Sans être tous des gens de mauvaise foi quoique formés pour la majorité à la vieille école (lire actuelle), plusieurs escompteront l’illumination géniale plutôt que de se rendre à l’évidence. C’est sûr que les dommages seront plus que collatéraux, plongeant au cœur même d’un mécanisme plusieurs fois millénaire. Des penseurs mais aussi des rêveurs osant faire part à leurs semblables de la noblesse et de la beauté de leurs visions et de leurs sentiments et qui contribuent à nourrir ce climat propice à la sérénité, à l’amitié et à l’amour. Sous ces derniers étendards, peut-être se rassembler aussi et y bâtir de nouvelles mentalités de proximité et de réciprocité. Un tel microcosme culturel ne saurait certainement pas nuire.
Le Québec serait le pays par excellence où ébranler les piliers du temple. Ses nombreuses richesses, dont celle hydroélectrique, ferait que notre quête ne serait pas technologiquement aussi dépourvue et confrontée à d’inextricables conflits dans la voie de la restructuration que certaines autres contrés où l’opacité des systèmes et l’étendue de leur emprise les priveront de l’espace vitale pour initier sans de lourds entraves leur révolution. Donc, recycler dans du prometteur selon une philosophie du partage des investissements et bénéfices repensés et considérant l’Homme dans ce qu’il a de plus noble et de digne. Faire confiance à sa prospérité dans la liberté plutôt que d’entretenir une paranoïa où l’aliéner par la dictature de la production à tout crin, est la seule voie à suivre pour ordonner et discipliner le devenir. Aussi se rapprocher les uns des autres en vue de consolider nos liens familiaux (habitants de la même planète), de solidarité et d’appartenance à une même destinée dont nous sommes et seront toujours les seuls vrais responsables. Ainsi créer un climat favorable à l’épanouissement du citoyen devenu moins esseulé et plus confiant. Parfaire le monde c’est peut-être un peu beaucoup d’abord et avant tout vaincre ses propres démons.
Charmant, et écrit sans fautes d’ortographe! Si ce n’était de quelques dissidences, on pourrait y voir l’esprit de troupeau. Mais soyons généreux, une telle spontanéité volontaire de groupe, c’est spectaculaire…et si vite en allé.
Monsieur McCready n’a plus qu’une chose à faire, pour faire suite et durer le trémoussement.
Aller vite féliciter les « humains » de Saint-Valentin qui ont forcé Charest à retirer son projet d’éoliennes sur leur territoire, où se trouve quelques unes de plus plus belles terres agricoles du Haut-Richelieu.
Nul doute que monsieur Reid, cet ingénieur conseiller de Fondations Rivières, serait ravi d’aller ainsi vilipender ces funestes moulins à vents qui tuent des chauve-souris, multipliant ainsi dans nos paisibles paysages bio la multiplication tonitruante et fort imprévisible des maringouins…
C’est à l’entreprise ou au gouvernement de convaincre la population du bienfait de son projet. Si elle échoue, elle peut soit faire une nouvelle offre auprès de la population pour chercher son adhésion, ou abandonner.
Je préfère de loin nos potentielles erreurs démocratiques, corrigibles collectivement où nous pouvons changer d’avis, que les dictats élitistes où seuls les possédants ont un pouvoir. Si les éoliennes sont réellement une bonne idée sur les terres du Haut-Richelieu, la population pourrait éventuellement l’accepter pourvu que l’offre satisfasse les intérêts des gens. Et si les gens refusent à nouveau, c’est ainsi. La démocratie doit être souveraine par définition.
Texte corrigé: « le goût des autres » à la place de « les goûts »,
L’acquis de nos sociétés procède de valeurs pour plusieurs encore défendables et récupérables même si archaïques. Plusieurs meneurs ont comme limites l’inertie des attentes de leurs commettants dans ce qu’ils tentent de construire. De tout temps lorsqu’un changement s’est imposé, l’on a procédé sur le coup de l’impulsion ou en connaissance de cause. Choisir l’avenir nécessite d’abord une connaissance de soi-même et la volonté de se projeter dans toute son identité indéfectible dans le devenir du monde. Avoir le goût des autres est aujourd’hui le prérequis par excellence pour que cette projection puisse porter fruit. Nous avons en premier lieu besoin de penseurs profondément altruistes capables d’éclairer ceux des meneurs de bonne foi, actuellement en panne d’inspiration. Des penseurs aux suggestions incontournables vue la crise actuelle. S’il ne s’en trouve pas chez nous ou ailleurs pour une catharsis généralisée, si leurs interlocuteurs n’ont pas le courage de les écouter ou dialoguent de mauvaise foi parce qu’une caste ne veut pas lâcher son hochet, alors inévitablement ce sera l’histoire qui nous fera ses leçons de tragédie, car le peuple aura dit non.
Il n’est pas besoin pour le moment de tout jeter par terre, même si ce sérieux coup de barre à notre évolution aura un prix élevé à payer. Car pour se débarrasser de la logique d’un système aussi puissant et omniprésent, comptons-nous chanceux si nous parvenons à sauver les meubles. N’espérons donc pas que les dirigeants par la magie d’une révélation se mutent en pasteurs préoccupés de leurs moutons. Sans être tous des gens de mauvaise foi quoique formés pour la majorité à la vieille école (lire actuelle), plusieurs escompteront l’illumination géniale plutôt que de se rendre à l’évidence. C’est sûr que les dommages seront plus que collatéraux, plongeant au cœur même d’un mécanisme plusieurs fois millénaire. Des penseurs mais aussi des rêveurs osant faire part à leurs semblables de la noblesse et de la beauté de leurs visions et de leurs sentiments et qui contribuent à nourrir ce climat propice à la sérénité, à l’amitié et à l’amour. Sous ces derniers étendards, peut-être se rassembler aussi et y bâtir de nouvelles mentalités de proximité et de réciprocité. Un tel microcosme culturel ne saurait certainement pas nuire.
Le Québec serait le pays par excellence où ébranler les piliers du temple. Ses nombreuses richesses, dont celle hydroélectrique, ferait que notre quête ne serait pas technologiquement aussi dépourvue et confrontée à d’inextricables conflits dans la voie de la restructuration que certaines autres contrés où l’opacité des systèmes et l’étendue de leur emprise les priveront de l’espace vitale pour initier sans de lourds entraves leur révolution. Donc, recycler dans du prometteur selon une philosophie du partage des investissements et bénéfices repensés et considérant l’Homme dans ce qu’il a de plus noble et de digne. Faire confiance à sa prospérité dans la liberté plutôt que d’entretenir une paranoïa où l’aliéner par la dictature de la production à tout crin, est la seule voie à suivre pour ordonner et discipliner le devenir. Aussi se rapprocher les uns des autres en vue de consolider nos liens familiaux (habitants de la même planète), de solidarité et d’appartenance à une même destinée dont nous sommes et seront toujours les seuls vrais responsables. Ainsi créer un climat favorable à l’épanouissement du citoyen devenu moins esseulé et plus confiant. Parfaire le monde c’est peut-être un peu beaucoup d’abord et avant tout vaincre ses propres démons.
j’vien de lire le truc… hmm.. je n’en ferai pas une analyse complète et détaillé… même pas une prise ou jugement de l’ensemble du texte… seulement un point que jveux souligner parce que ça fait une couples de fois que je l’entend…. La critique sur le barrage la Romaine!!! wouawww!!! Vous voulez des centrales nucléaire? comme au Japon? des central thermique au charbon? Des panneau solaire qui sont 1% rentable et réchauffent le climat autant quil couvrent de la superficie? vous voulez des éoliennes avec du vent sur commande et pas de givre hivernal por les stoppers? Breff, finalement, vous voulez quon continue à rouler au gaz ou koi??? Trèss bien, tres bien… arrêtons de produire de l’électricité… De toute façon…la venu des voitures électriques ne prendra pas plus de courant au system généraledu Québec voyon!!! Pfff!!… on change de la voiture au gazz à la voiture électric en un claquement de doigt!!! Pas besoin, de repenser et ajuster toute notre sytem électric voyon!!!
Le proverbe dit: « Si tu veux avoir un rue propre, commence par faire le ménage de ton perron. » 99% des gens qui commente ici ne sont même pas conscient qu’ils doivent nettoyer le leur, et ça crie à grande gueule.
Quelle justesse ! Mais effectivement, levons-nous ! Pas seulement à deux, mais à cent, puis à mille et à un million. Debout Québécois ! Faites-vous entendre et respecter.
C’est vrai qu’on n’a pas de colonne vertébrale, qu’on est trop individualiste, que notre petit recyclage et notre moyen de transport écolo ne suffisent plus! Oui on peut écrire des lettres ouvertes, diffuser de l’information pour essayer de changer les choses… Mais que croire? qui écouter? L’information est diluée, l’information est filtrée et surtout il me faudrait un cours universitaire de 10 ans pour comprendre les rouages de notre société… qui dit vrai? qui veut mon bien? Je suis un peu perdu.. et mille chats à fouetter!
La solution est simple:
Eliminé les banques et les compagnies d’huiles. Comment?:
http://www.youtube.com/watch?v=a8PVFgjDyBo
Les technologies disponible pourraient remplacer l’huile demain matin…et ces technologies innovateur en énergie pourraient alimenter des robots et des systemes automatisé capable de faire les tâches basique que aucun humain a le goût d’accomplir.
http://www.numenta.com/
Malheureusement les seuls compagnies qui ont accès à ces technologie sont les compagnie d’arme. Neumenta a été acheté par lock head martin.
Commencé par un boycott des banques, aller retirer tout votre argent des banques.
Ce qui en est des compagnies d’huile, en decendant les banques, le systeme économique d’offre et demande changerais immédiatement. Les subventions et bourses (qui sont contrôlé par les corporations) utilisé dans le développement de technologie serait moin controlé. Ça serait énivitable avant que les technologies, comme ceut demontré plus haut serait disponible pour tous.
Mais on dois commencer par les banques…par le fait que les banques opère sur un system fractionnel (10% de capital) on aurait juste besoin retiré une faction du 10% de l’argent en circulation pour faire tomber le tout comme un chateau de carte.
Les technologies sont la pour nous appuyer, les gens compétent dans leur domaine manque juste de l’appuis. Appuyont les…
Simplement pour vous dire qu’il est très important de faire la différence entre Indien et Autochtone. Il y a une grande différence à faire pour mieux s’ouvrir. Il est bien de comprendre la base pour faire avancer notre société vers un meilleure compréhension de la difficile réalité des personnes autochtones. Les autochtones sont nos racines pour une plus belle découverte de notre territoire, de ses richesses et d’un partage de culture. Avec cette vision tout le monde n’en sera que gagnant.
« On est les descendants d’une bande de capotés qui ont découvert l’Amérique en canots d’écorce, qui commerçaient avec les Indiens au lieu de les massacrer, qui baisaient les Indiennes au lieu de leur donner des couvertures infectées par la variole »
Je suis curieux de savoir si les Amérindiens peint un aussi noble portrait des français, porteurs d’amour et de jouets. Mais ils devraient, car le colon se disait: « non, je ne vais pas lui donner une couverture infecté car moi je veux juste lui donner de l’amour–à moins que j’aille la syphilis et que je dois m’abstenir de plaire aux dames ». Et il se disait: « non, je ne les tuerais pas, même si ils voulaient nous crisser en dehors du continent, même si c’était très profitable à mon Roi, car moi je veux juste leurs élever l’esprit avec de l’alcool et les aider à chasser avec l’aide de fusils. Et les Amérindiens en sont encore remerciant.
C’est facile de se donner une tape sur le dos en contraste avec le mauvais au lieu du bien. Mais disons que ce n’est pas signe de haut standards.
Ceci dit, nous devrions avoir le droit de faire du Québec un pays — il faut reprendre ce que nous avons volé! C’est notre droit en tant que groupe linguistique! (je veux dire, en tant que groupe linguistique francophone, car les amérindiens, eux, ne peuvent pas avoir leur part du Québec — ça serait trop compliqué de diviser le Québec.)
Je suis persuadé que certaine personne vont arriver pur le lire et ne le lirons pas puisqu’il pourrait paraitre trop long, se serait une très grosse erreur de leurs parts.
Salut Denis,
On me dit souvent que je suis un chialeur envers le gouvernement du Québec pour son manque d’opportunisme gaspillant ainsi l’argent des contribuables. De toute façon, ça fait depuis des années que la machine gouvernementale fonctionne ainsi, alors pourquoi changer. Les syndicats qui en demandent encore plus pour remplir leurs caisses, mais que font-ils pour leurs syndiqués…? Se battre pour une ou deux semaines de plus de congés payés annuelles…? Non. Sortir dans les rues pour une société constructive..? Non, pas du tout…le seul objectif pour toutes ces machines québécoises, c’est seulement pour l’appât du gain. Et pourquoi s’arrêteraient-ils puisque ça fonctionne…! Et pourquoi s’arrêteraient-ils puisque personne dit rien…on bougonne mais en fin de compte personne sort dans les rues…pas un seul syndicat en tout cas. Les vacances de 7 semaines en France, c’était grâce aux syndicats car ils se battaient pour une meilleure vie familiale. Cela n’empêche pas d’avoir des problèmes de sociétés…et s’il vous plait, de grâce…ne faites pas la comparaison entre le Québec et les pays pauvres d’Afrique car là aussi, leurs gouvernements savent fourrer leurs peuples démunis.
Le gouvernement québécois travaille-t-il pour une société constructive…? Si vous saviez les pertes d’argent que le gouvernement gaspille au travers de contrats stupides…!! Et on nous demande de travailler plus fort pour vivre…!! Quel culot….mais bien sûr…personne ne sort dans les rues..encore moins les syndicats. Concernant Hydro-Québec, il leur coûte 8 cents pour produire leur électricité pour le revendre à 3 cents…je n’ai pas les chiffres exact mais je n’en suis pas loin. Combien de temps ça va durer encore tout ça…? Combien…?
En Islande, ils profitent des vapeurs d’air chaud du sol pour l’exploiter et ainsi en faire partager les profits à la communauté…! En Suède ils exploitent les éoliennes et économise ainsi pour une meilleure qualité de vie …mais au Québec on saccage nos forêts sans replanter, on fore les sols pour engraisser les compagnies étrangères, on chiale parce que des éoliennes gênent notre petite vue panoramique, on exproprie des propriétaire de terre pour une poignée de dollars…et j’en passe.
À quand ce gouvernement gouvernera comme une entreprise privée et ainsi faire fructifier ses biens, ses infrastructures et une qualité de vie des contribuables…? Et de grâce, pas comme la caisse de dépôt.
Je suis prêt, de façon intelligente, à me me lever debout et faire comprendre mon insatisfaction face à cette ingérence qui n’a plus lieu d’être. Car il faut savoir que, ce gouvernement sait mener les québécois par le bout du nez car il a appris à son peuple d’être un gentil mouton qui encaisse la stupidité, liée par une espèce de soumission silencieuse et hypocrite, datant du pouvoir anglophone passé…je ne sais trop….mais surtout, le québécois est tellement occupé par son petit quotidien et son porte-monnaie personnel.
Regardons un peu ce qui se fait ailleurs de constructif……à suivre.
Si vous voulez devenir des citoyens actifs, suivez ce lien, il vous donnera des idées…
Merci , je me sens moins seul maintenant . Je pense comme vous.
Sauf ton respect……C’est bien tous tes reproches…surtout qu’ils sont fondés. Le problèmes c’est que t’as zéro solution. ( la révolution….dis moi que la révolution est le moyen le plus évolué et humain que tu connaisse pour provoquer des changements …et dis le moi sans rire ) Y’a pire que se souler et manger de la poutine…..y’a se prendre pour une pauvre victime.
Un chef-d’oeuvre de vérité criante et pressante ! Arrêtons d’avoir peur, car aujourd’hui est pire que hier et demain il n’y aura plus rien ! Debout citoyen,regagnons notre liberté perdue !
Je me battrai avec vous !
Passons à la 2e étape!
http://www.automnequebecois.com/forums
J’ai créé ce forum pour nous permettre à tous de discuter de manière structurée, de planifier, et surtout, de commencer à effectuer des actions concrètes!
Et c’est très simple à utiliser!
1. Aller sur AutomneQuebecois.com
2. Cliquer sur Inscription et suivez les étapes (on ne peut pas lire ou publier le contenu sans se créer un compte);
3. Aller dans votre boîte courriel que vous avez utilisé pour créer le compte et activez votre compte selon les indications;
4. Participer!
. Les compagnies minières vident notre sous-sol depuis des années pour une petite poignée de change (à peine 3% de redevances réelles) et si l’exploitation du gaz de schiste allait de l’avant, cela se ferait sous ce régime; autant dire qu’on prendrait un risque environnemental phénoménal avec la vallée du Saint-Laurent – notre garde-manger – pour des pinottes. Je vous épargne le discours sur l’hydroélectricité, je me suis exprimé là-dessus dans le film que j’ai produit – Chercher le courant –, mais avec le projet de la Romaine, on nage en pleine absurdité de dépenser huit milliards de dollars pour produire de l’électricité qu’on va vendre à perte. Le Plan Nord du gouvernement Charest va coûter 80 milliards de dollars d’investissement, mais va rapporter seulement 28 milliards de revenus à l’État… Il est fou cet homme ou quoi? On dépenserait 80 pour gagner 28. Imaginez la tête d’un banquier ou d’un directeur de Caisse populaire si vous alliez négocier un prêt pour une maison avec ce genre de logique de revente. On vous expulserait à coups de pied dans le cul. Si on laisse faire le gouvernement actuel, p
WOWwwww!!!! OUIIIIIII !!! Merci, enfin !!!! Je pensais que j’étais seul ou presque !!! Merci de nous parler dans le casse, de leur parler dans le casse !!! Allez tout le monde agissons !!! Par la création, les manifestations, l’écriture… envahissez les médias sociaux, partager ce texte !!!
Caroline Jacques
On nous dit de donner notre opinion, quand on le fait ,on dit qu’on parle trop fort et qu’on devrait se mêler de ce qui nous regarde, ou encore «C’est quoi le problème,calme toi» alors on doit se la fermer malgré tout ,quand on dit rien on accepte parce qu’on le sait bien «qui dit mot consent» donc:
je dois continuer de me taire en voyant ce qui est injuste parce que mon opinion dérange et fermer les yeux comme tout le monde et continuer avec la pensée magique du «ça va s’arranger anyway !» ( Et pourtant, quelqu’un a déjà vu une ville se rebâtir sans se salir les mains ?!…moi non ) parce que sa ferai trop de bruit si je voulais que ça change. On nous apprends à parler,pour ensuite nous faire taire quand notre opinion va à l’encontre du petit monde rose tout parfait qu’on nous crée dans notre tête et dans les Soap Québécois, parce que bien sur, il n’en est rien. Mais par contre, si on n’a pas un opinion sur les derniers candidats de O.D., on à pas d’opinion Intéressante. Je me permet de dire WTF ? Si on se préoccupait moins des derniers potins télévisuels, artistique ou du dernier chum de la fille du bureau,il y aurai un bon nombre qui manquerais de gaz a leur conversation et les cafés montréalais serait très silencieux ! Remplacez toutes les conversations banales vides de sens «junk food gossip» pour des conversations pour régler les problèmes qui se passent sous nos yeux, et d’ici quelques années, le Québec aura un visage un peu plus attrayant ! Mais bon, je dois cessez de rêver, à l’image d’aller à la commande a l’auto VS se faire un bon repas c’est eux, on y va au plus rapide qui demande pas trop de temps et de savoir-faire.On véhicule beaucoup de belles valeurs au Québec, on devrait en être fière ! (Sarcasme 101)
J’ai le gout que mes enfants vivent dans ce monde là, enjoy the show !
Restez fous, mais comportez-vous comme des gens normaux. Courez le risque d’être différents, mais apprenez à le faire sans attirer l’attention. Et laissez se manifestez votre Moi véritable.
– Qu’est-ce que le Moi véritable ?
– C’est-ce que tu es, non ce qu’on a fait de toi ou essai de faire de toi .
C’est bien beau de sortir sans dans le cours de philo, mais quand tu veux changer Ton monde, là bah, reste tranquille, les confrontations le gouvernement aime pas ca ! C’est une vérité dérangeante, parce qu’elle demande des efforts. Il y a des années , un homme dérangeait au Québec, Il s’appelait Michel Chartrand, Et c’était rien comparé à aujourd’hui. Mais les hommes qui font porter leur voix haute et forte, se font vite descendre.
C’est plus la démocratie, mais bien «l’idiocratie» qui règne, et le peuple dort parce qu’il gobe le fait que si ça se passe comme ça, c’est que ça doit être normal. Parlons-en de la «normalité» de Charest. Voler son peuple,l’envoyer se faire tuer à Outre-mer pour avoir un sujet à discuter pendant qu’il fomente notre propre perte civile ! Clap! Clap!
LA SOLUTION C’EST LE PROJET PAPINEAU!!!!!!!!!
Passez le mot, renseignez-vous.
MERCI de mettre noir sur blanc les mots que je désire écrier haut et fort! J’ai beaucoup de fierté à savoir qu’il y a quelqu’un encore, qui a un désir réel de changement FONDAMENTALE de notre société. Une belle citation décrit bien la situation et elle ne date pas d’hier: « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »Albert Einstein »
PEACE…
M. Mccready
Ne trouvant pas le moyen de vous rejoindre personnellement. Je vous soumet une invitation à venir lire votre lettre ouverte à voix haute. Lors de la 25ième vigile montréalaise du mouvement Mars 2011. Ce Samedi au Champ-De-Mars 14h.
http://marsdeuxmilleonze.wordpress.com/
http://www.facebook.com/pages/Mars-2011/133428060059638
Fraternellement,
Charles
Nous sommes arrivés à ce qui commence
bravo pour le merveilleux texte mais la…on fait quoi? J’ai ecris au gouvernement souvent pour parler de mon desaccord et ce gouvernement m’a toujours reecrit en m’envoyant gentiment chier.
Si vous decidez de vous presenter au prochaianes elections, je voterai pour vous, en attendant, je vois pas ce qu’on peut faire. On ne vit pas vraiment dans une vraie democratie…
Je suis du même avis que vous, mais ce que je vois devant moi c’est un homme qui dans son dernier essoufflement cris son désespoir. La différence entre moi et toi, c’est qu’il y a longtemps que j’ai appris que les gens ne feront jamais rien. C’est d’ailleurs ce qui me rends misanthrope.Tous ceux qui liront vos lignes, seront éclairés d’une lumière révolutionnaire pour quelques instants, voir quelques jours, puis retournerons dans leur torpeur en étant satisfait de leurs petits gestes individuels. Même moi je suis enflammé d’un éclaire intellectuel, puis je vais retourner m’éffoirer devant la télévision. On n’a pas de leader charismatique, on n’a plus de héros et par paresse on se satisfait de ce qui passe devant nous. On va tous se laisser crever ainsi. Les systèmes économiques et politiques sont devenus trop abstrait et trop complexe pour qu’on puisse les réparés. La rue, le peuple vont resté inactif. Même si les grands de ce monde décimerait la population, il n’y aurait que quelques nihilistes anarchiques qui en profiteraient pour faire de la casse. J’ai peur que les mots et les images sont devenus insignifiants, ils ne touchent plus personne, car nous sommes tous bombardés d’une surdose d’information. On a beau chialer, crier, pleurer , sur la place publique, nous allons restés une poignée d’hommes qui frappent dans le vide. Les passant ne se lieront pas à nous, ils vont nous regarder avec dédain. Des solutions? j’en ai pas plus que les autres. Il est vrai qu’on pourrait tenté de se réunir, de se construire une force en groupe. Mais étant pessimiste de nature, je crois que la plupart de la population restera dans son conforme individuel et matérialiste ou elle ne comprendra pas la portée de ces mots.
Réveillez-vous, réveillez-vous, qu’y disait
Tu es la preuve même de l’éveil ambiant actuel … de plus en plus de gens s’éveillent en cette époque de révélation(il n’y a qu’à voir le nombre de commentaires à ton message) même s’il reste encore beaucoup de veaux et de moutons… et la Terre aussi s’éveille …
Toute ma sympathie à vous, de la part d’un « petit » Picard , qui n’a que ses 6 sens pour prendre conscience …
L’Ami,
merci de ce court moment de libertéégalité et surtout fraternité. Tu rejoins le Colibri de mon ami Pierre Rabhi ( que j’ai vu et entendu à Sainte-Sève – Finistère) Chaque parole se répercute partout comme l’effet papillon. C’est vrai qu’ « on » est dans la bouse mais il ne faut pas lâ
L’exemple : ma femme depuis18 ans en fauteuil ( sclé. en PLaques)) jamais abandonné le fight.
A 60 piges elle se remet à marcher … un peu . Quelle victoire !
Toi aussi tu vas continuer à expliquer, parler, convaincre et fairela révolution de chaque humain.TOI, Rabhi et les autres…
Stop j’arrête
L’Ami,
merci de ce court moment de libertéégalité et surtout fraternité. Tu rejoins le Colibri de mon ami Pierre Rabhi ( que j’ai vu et entendu à Sainte-Sève – Finistère) Chaque parole se répercute partout comme l’effet papillon. C’est vrai qu’ « on » est dans la bouse mais nous ne pouvons pas lâcher prise.
L’exemple : ma femme depuis18 ans en fauteuil ( sclé. en plaques): jamais abandonné le fight.
A 60 piges elle se remet à marcher … un peu et même plus. Quelle victoire !
Toi aussi tu vas continuer à expliquer, parler, convaincre et faire la révolution de chaque humain.TOI, Rabhi et les autres…
Stop j’arrête
Le monde change… c’est la fin de ce monde… pas la fin du monde… mais d’un monde, tel qu’on le connais… mais pour cela il doit aller jusqu’au bout… et il est dit que la vie ne sera plus jamais comme avant… mais quand…. ça il faut le vivre au jour le jour pour le découvrir… le monde va changer pour le meilleur c’est certain… Grâce à Dieu…. Ils nous suffit de croire et d’espérer…. et pendant ce temps je suis certaine que chacun a ses propres petites choses a paufiner, améliorer, changer…. être Amour, Paix, Joie Vie et compassion… S’en est révolue le temps de chialler après les gouvernement… ne sont-il pas eux aussi des humains comme nous… ils font selon leurs conscience, voilà tout…on est pas tous des 100 watt vous savez… mais qui sait, peut être seront-ils loin devant nous ds pas si longtemps… chacun évolue a son propre rythme, ds l’expérience qu’il a choisis… alors lâchons nos politicien tranquille et voyons a nos affaire… car blâmer un ou l’autre… ça demeure du blâme tout simplement…. moi je dis Prier et les choses vont bouger…. Aimez vous les uns les autres et les choses vont changer… Que les riches prennent soins des pauvres et la vie sera plus douce pour chacun…. etc etc etc
Il y déjà vingt ans de cela, je parlais avec une amie de nos problèmes de société , sa réponse fut effectivement : tu ne peux pas changé le monde John!
Sur le moment , humblement, j’ai répondu non . Puis après reflection, j’ai dit :en fait oui je le peux, car si je me change moi-meme, je change le monde de cause à effet.
Je crois que c’est là que commence la vrai collectivité.
Bravo pour ce coup de pied au cul ,nous en avons bien besoin.
Respect!
Que ces paroles soient entendues, écoutées, transmises, partagées …
En échange…
Voici les miens ….
Cette nuit j’ai fais le rêve d’une révolution
Vague impression d’évolution universelle
Véritable révélation intemporelle
Mon cerveau était en pleine ébullition
Il se sentait pousser des ailes
J’crois même que j’ai eu des frissons
J’voyais les gens main dans la main à l’unisson
Parce que Démocratie ou pas, On avait tous des raisons de faire entendre nos voix
Certains parce qu’ils avaient faim, d’autre parce que qu’ils avaient froid
Il était vraiment temps de changer l’équation
L’indécence des abus en tout genre avait sonné le glas
Laissant place à la transformation des esprits en mutation
Tous réunis pour le même combat
On avait compris que pour que règne enfin la justice
Il fallait mettre fin aux privilèges de tous ces pachas
Ceux qui se prélassent dans les palaces complices
De l’anéantissement des droits fondamentaux sans tracas
Bien trop occupés à spéculer sur leurs bénéfices
Marre de survivre pour leur bon plaisir, Marre de travailler pour les enrichir
Combien d’humains subissent les pires bassesses comparés à ces vendeurs de belles promesses ?
Combien d’humains crèvent de faim pour assouvir les besoins malsains de ces requins ?
Marre d’être spectateur sans rien faire, marre d’être condamné à se taire
Cette nuit j’ai fais le rêve d’une révolution
Vague impression d’évolution universelle
Véritable révélation intemporelle
Solution sine qua none pour garantir l’harmonie des civilisations
Protectrice de l’équilibre essentiel contre les obsessionnels du transactionnel
Héritage à transmettre aux futurs générations
Mais mon réveil a sonné
Terminant ma « rêve – olution »
Un nouveau jour commençait
Ma réalité avait dépassé la fiction,
Je vivais bel et bien dans ce monde à la con
Pourtant je me sentais transformée,
Plus forte et concernée
Parce que chacun doit cultiver sa propre évolution
Pour qu’une révolution puisse exister
Cinquiemevitesse – http://cinquiemevitesse.unblog.fr
Quel texte fantastique. Il est d’une légitimité et d’une pertinence si criantes que c’en fait peur.
Le Québec est dans un gouffre abyssal une fois de plus. Ses habitants, bien lovés dans leurs fauteuils de cuir, ont les yeux exorbités à la vue de leurs écrans HD, 3D, plasma, géants, soixante-douze pouces, nommez-les. Ils attendent vainement la réincarnation des révolutionnaires d’antan, et nous pensons ici aux Papineau et aux René Lévesque de ce monde. Ils attendent en mangeant du pop-corn. Ils espèrent voir apparaître une légende qui ne viendra pas d’elle-même, d’un simple claquement de doigts.
Néanmoins, les révolutionnaires peuvent être remplacés; par la multitude, par l’harmonie, par l’alliance; le héros du Québec moderne sera le Québec lui-même.
Il est dit des québécois que nous sommes une race d’individus cléments, généreux, altruistes? Il n’est rien de plus faux. À notre droite, l’américanisation, phénomène parallèle à l’emprise tentaculaire des corporations, nous entrave l’esprit à l’aide de ses téléréalités chimériques et oiseuses. À gauche, les médias nous font gober à tous les jours des potins superflus de personnalités stériles. Derrière nous, les corporations crasseuses et avaricieuses se remplissent les poches grâce à notre cécité exemplaire et nous poussent toujours vers l’abîme devant. Et qu’a-t-il devant nous? La mort d’un peuple des plus glorieux. Si aucun changement n’est fait, c’est notre dissolution complète qui nous attend.
Ne dites pas à l’auteur du texte ci-haut qu’il doit être l’instigateur de cette révolution, car vous savez aussi bien que moi que là n’est pas son rôle. Au contraire, c’est notre rôle à tous. Je crois que pour mener à bien cette insurrection, chacun doit faire sa part et informer les autres. La connaissance est la base de toute société qui se respecte; l’accès à cette information vitale doit donc être de soi. Participons à l’histoire du Québec et luttons contre ceux qui tentent de s’approprier ce territoire qui est le nôtre. Transmettez le message et vous serez les héros du Québec. Soyons dignes de nos pères.
Si le gouvernement donne 80 milliards pour en récolté seulement 28 milliards, soit qu’il est vraiment con ou bien qu’il reçoit des petites enveloppes brunes en dessous.
j’étais là sans que tu le saches et je resterai la a tes cotés mon chum!! viva la révolution!
le pays appartient a ceux qui le font… et nous le ferons!!!
Je ne vous connais pas mais je n’aurais qu’une seule chose à ajouter à ce merveilleux texte, criant de vérité : » Vous êtes pas tannés de mourir gang de caves ? »
Vous avez bien raison sur toute la ligne monsieur. Vous savez ce qui est écrit sur la plaque automobile JE ME SOUVIENS moi je dit souvent à mes amis qu’il aurait du rajouter après MAIS J’OUBLI VITE ¨ça ces le vrai québécois pas de colonne. Ont regarde la parade au lieux d’en faire partie ses moins fatiguant comme cela les autres vont le faire pour nous. C’est bien vrai nous sommes un peuple aveugle et endormie, après nous allons tous pleurer si nous ne bougeons pas.
Merci Monsieur pour le coup de pied au cul ça prend sa de temps en temps pour les réveiller. QUÉBEC REVEILLER VOUS les jéovats passe leur temps a nous le dire. alors merde bouger.
La révolution est possible mes amis, nous oublions trop souvent que nous sommes tous et chacun artisan de changement. Est-ce la dame des Nouvelles qui va nous le remémorer ? En sommes-nous réduits Québécois à écouter religieusement la télévision en dépit du curé d’autrefois ? J. Snyder serait-elle une nouvelle figuration de la Sainte-Mère ? Croire en nous en tant qu’être humain et croire en nous en tant que peuple, c’est tout ce que j’ai à dire. Viva la revolution !
Ce message ne devrait pas s’adresser uniquement aux québécois, plusieurs autres cultures çe côtoient ici au québec et nous devons tous s’entraider, parce que même si ils ne sont pas nés chez nous, c’est quand même chez eux..
Humm, le fond est juste. Mais ne nous trompons pas, les véritables ennemis du Québec sont les Québécois.
Qui moutonne à plat ventre devant ses maitres, qui imite jusqu’à la caricature la société d’hyper consommation de ses voisins du sud, qui vote toujours plus à droite pour assuré les rêves minables de petits bourgeois qui gangrènent cette société?
La belle province est rongée de l’intérieure par sa propre corruption, et son manque d’utopie, elle se noie dans un narcissisme skyzophrène pour éviter de se regarder en face, elle accuse l’autre pour ne pas assumer l’échec collectif en forme de cul de sac où elle se perd aujourd’hui.
Nous étions des colons, occidentaux rapace d’une amérique qui ne demandait rien, anglais, français, portugais, espagnols, corrompus et bigots, avides surtout.
Nous sommes devenus obèses jusque dans nos désirs, nombrilistes, idiots. Comme les autres.
Pour devenir un grand peuple encore faut il avoir d’autres rêve que des règles comptable.
J’aime votre texte Denis, mais assumons notre part de responsabilité, ce pays est à l’image de ses habitants.
Es qu’il est possible de partir un recours collectif contre le gouvernement ?
suggestion: En attendant la révolution, transformez votre entreprise privé en coopérative. Il semble que de travailler ensemble et pour soi améliore le taux de bonheur à la fois individuel et collectif. De plus, votre entreprise a plus de chance de réussite et serait plus durable que celle de votre patron… Viva les COOP!
Bienvenue sur Terre cher ami…..
Bonne nouvelle pour vous tous et toutes.
La masse critique grandit. À chaque jour, des gens s’informent, se conscientisent et se mobilisent. Les armes de distraction massives n’ont pas complètement démolie notre esprit critique, il est toujours là, nous questionnons encore. Là est le réel espoir de changement.
On se regroupe déjà. On le fait sous différentes bannières, dans différents groupes, dans nos choix de consommation, dans nos «cités virtuelles», à se battre sur un même front, partout et nul part à la fois. «Pas assez», vous allez me dire. Qui vous a dit que les choses ne s’organisait pas déjà? Saviez-vous que votre voisin à décider de boycotter Wal-Mart aujourd’hui parce qu’il a comprit les dommages du capitalisme sauvage? Saviez-vous que des coalitions se forme presque à chaque jour entre les ONG internationaux et que le mouvement se voit aussi, ici, dans nos instances communautaires? Saviez vous que Mme Bouchard de Rimouski a décidé hier d’acheter ses légumes directement d’un agriculteur maintenant parce qu’elle a vu «Le monde selon Monsanto»? Saviez-vous que des gens ont traversée la rivière Romaine pour tourner un documentaire sur le nouveau complexe hydroélectrique ce nouveau boulet au pied du peuple Québecois? Les gens s’organise, silencieusement, tranquillement, aussi calmement qu’une bombe à retardement qui s’apprête à exploser.
La révolution tant attendue est déjà commencée, croyez-le ou non. Plus nos élus nous mentent et nous volent le fruits de nos labeurs, nous serons plus nombreux à s’insurger en cherchant des solutions alternatives pour remplacer leur itinéraire qui nous dirige droit dans le mur. Plus les corporations re-colonise nos régions abandonnées et aspire toutes nos richesse alors nous serons plus nombreux boycotter, à ne plus les reconnaître comme puissants.
Pouvoir au peuple, à la société civile! Au lieu de perdre tant d’énergie, à bout de bras, à vouloir arracher le pouvoir à ceux qui sont en haut, regarder en bas. Donnons nous le pouvoir, renseignez vous, trouvez votre place, soyez fort, questionnez vous. Surtout, gardez l’oeil ouvert, nous sommes plus que vous pensez à rêvez à leur chute.
Solidairement vôtre
Merci Denis pour chercher le courant entre autres,
-Un homo sapiens qui croit encore au potentiel de son espèce
Bonjour Denis McCready.
On fait quoi pour avoir ton courriel ?
Le mien : [email protected]
David Lavoie
DG / Théâtre Aux Écuries
Ok, ok, ok… On se calme le ponpon.
Bien évidemment, je suis d’accord avec la majorité de ton texte MAIS…
Je ne peut m’empêcher de constater que tu sonnes exactement comme le président d’une association étudiante!
En fait, je me suis pris à me questionner sur ton âge puisque des textes comme ça, moi et mes copains pseudo-intellos, on en écrivait un par semaine, – – – quand on était au CÉGEP (c’est à dire trop jeune et bien trop naif pour savoir de quoi on parlait réellement…)
Ok, je le concède, tu as la plume bien mieux affilée que la nôtre et tu sais comment ficeller une histoire. Mais franchement ça frise la démagogie! On ne peut lancer des accusations et des chiffre de la sorte sans les éttoffer avec des faits, avec -tous- les faits. (Ah non, ce serait bien trop facile) Est-ce que quelqu’un te l’as expliqué ça?
OK j’ai l’air chialeux comme ça mais attends. Ça fais longtemps que je lis des textes sur le net, et c’est la première fois que je me donnes la peine de répondre, la voici ma réponse: Pis? Ensuite? Et alors?
Tu aimes brasser la cage et bousculer les gens, beeeeen pars toi un nouveau parti politique, c’est la mode ces temps-ci on dirait. Tu pourrais devenir éditorialiste aussi. Elle est où la pétition? J’vais la signer. Elle est où la manif? J’vais aller marcher… Mais est-ce que ça va vraiment changer quelquechose?
Une amie éducatrice m’as expliqué un jour un concept évident qu’on ne met pas en pratique assez souvent: tu peux pas passer ton temps à dire aux enfants ce qu’ils ne doivent pas faire. C’est beaucoup plus efficace de leur dire quoi faire à la place!
C’est quoi ton plan??
Je constate que la majorité des réactions sont enthousiastes à la lecture de ton texte. Ça me réjouis et ça m’attriste en même temps. Je trouve que toute cette discussion en est encore au premier niveau. Bien sur c’est ennivrant quand tout le monde est d’accord qu’il faut changer les choses. Mais cette ivresse (le mot est juste) ne durera pas plus de quelques heures. Tu me fais penser au personnage de Jerry McGuire dans les années ’90! On dirait que tu as eu une « épiphanie morale et sociale » et que tu as eu envie de la partager. Bravo. Mais ensuite? Est-ce qu’on va tout sacrifier le chemin accompli par nos ancêtres pour tout remettre en question? Parce que c’est ça, une révolution. C’est un bien beau mot, c’est sexy, c’est surtout très « glamour » et à contre-courant. Mais est-ce que c’est réalistement réaliste??
Je salue ton talent pour l’écriture et le discours. Je salue aussi ton audace. Ta « lucidité » est bien réelle mais (soyons honnête) pas si « exceptionelle » que ça.
Chialer, je trouve que c’est très facile. Chialer en public avec une certaine classe? Ok, ça prends du « guts » et de la verve, c’est pas pour tout le monde, la dessus, chapeau.
Ceci étant dit j’attends ton prochain texte sur ton idée de ce qu’on devrait faire à la place, tu as franchement l’air de savoir c’est quoi qui va mal dans notre société, as-tu une proposition de solution?
À part de traiter nos dirigeants de fascistes et tes concitoyens de poteux dépressifs, il est où, ton projet de société? Il est pas dans ton texte en tout cas… S’il est dans ta tête, met le vite sur papier, tu as une audience pendu à ta plume.
Tu veux pas te battre tout seul, eh bien je suis avec toi mon homme! As-tu une idée de c’est où qu’on devrais fesser en premier?
Crier au loup quand c’est le temps, tout le monde peut le faire. Le capturer ou le tuer, c’est une autre histoire, non?
Au plaisir de te lire à nouveau.
En Tunisie et en Égypte, ils ont fait un gros camping sur une place publique en disant qu’ils lèveraient le camp quand le gouvernement aurait démissionné.
Ici on pourrait juste demandé des élections en bloquant des ponts. Ce serait juste favoriser la santé publique!!!
Nous devons nous organiser…. mais je me sent si seul… comment, et qui dois-je rejoindre pour passer à l’action? Ils ont réussi, je ne pense pas comme les autres et je pensais que j’étais dans la catégorie des marginaux, mais suite à la lecture de tous ces commentaire….Je sais qu’ils on réussi à me faire croire que j’étais seul.
Comment passer à l’action?
C’est bien beau un cri du coeur comme celui-là… Mais en réalité, une fois que vous avez crié, qu’avez vous à proposer à tous ces gens qui ne font que regarder la télé ou bien lire Facebook.
C’est bien beau de voir les autres nations lyncher leurs dirigeants pour moins que ce que nous subissons… Mais nous sommes loin d’être un peuple barbare. Et comme je ne connais pas réellement de solution, que je ne comprends rien de rien à la politique, parce que c’est vraiment du charabia pour moi… Malgré que j’essaie de m’instruire et que je prends la peine de m’informer. Je continu mon petit train-train en allant être une bonne citoyenne, en allant travailler et finalement le soir me reposer en regardant mon facebook. Épuisée d’une journée bien remplie, car je travail dans notre système de santé, et je sais pour cause, que c’est loin d’être rose.
Parfois M. McCready, on se plaît, dans ce que vous trouvez être lassant, parfois parce qu’on n’y trouve aucune solution.Finalement, peut-être que certains d’entre nous n’attendent que les courriels pour la révolution, parce que la solution…. l’avez-vous, vous?
Je dois avouer que je suis d’accord avec votre texte, mais je suis un peu tannée de tous ces gens qui crient au feu, mais n’ont pas idée comment l’éteindre. Au lieu de criez, proposez! Peut-être aurez vous des gens qui vont se réveiller!
Oh que je suis heureuse de voir que je ne suis pas toute seule a penser que notre société mérite de changer et de faire comprendre aux gens qui nous dirige que ON EN A MARRE de faire rire de nous et je suis prête à faire comme les Syriens, les Arabes ou les Lybiens et de tout casser ce qui peut appartenir au gouvernement.
Hydro-Quebec nous harcele lorsqu’on leur doit de l’argent. Il on le FISC au fesse et ils risquent de s’en sortir sans taches avec leur dettes de plus de 400 millions qu’ils ont oublié de déclarer.
Imaginer un particulier dans cette situation…
J’emmerde le Quebec et ses dirigeant et aussi le CANADA. J’en ai marre de me faire dire comment vivre ma vie à tout bout de champs et de me faire croire que je suis libre quand je suis seulement une esclave parmis tant d’autres.
J’en ai plein de cul des gens qui chiale mais qui ne sont pas prets de rien faire pour faire changer les choses. Pour que les choses bougent on doit aussi bouger, sinon FERME LÀ DONT!
Ouin je comprend, mais il faut comprendre aussi que l’avenir du Québec par une révolution ne se fera pas facilement. Ça prend des leaders charismatiques, chose rare par chez nous car ce genre de perles rares se font écraser dès la naissance. Qu’est qui pourra électriser monsieur tout le monde à avoir un esprit critique par rapport à l’environnement qui l’entoure et désirer un changement? Je crois que la fin du monde c’est la fin des rêves en tant que société, nous sommes gavés par la consommation et sommes déracinés de la culture d’ou nous sommes tirés.Mais je ne m’inquiète pas plus qu’il ne le faut, j’ai appris à ne pas provoquer le taureau. Soyons intelligents n’agissont pas sur un coup de tête, analysont les choses et planont au-dessus de cette mer politique qui pour la plupart des gens est du chinois.
Faites l’amour pas la guerre…
soyons originaux
JF
descendre dans les rues, arreter de travailler, ne plus gazer, paraliser le pays en chaine humaine. arreter de consommer des produits nocifs pour la santé etc… pourquoi le faire, pour qui…..a qui est-ce que ca rapporte un profit……………….de quoi………collectivement nous sommes pret a donner………
Chaque jour je m’essouffle à travailler à contre-courant à essayer de protéger ce qui nous reste de nature en Ville, à Montréal. Je rentre fatigué et j’ai l’impression que rien ne va changer. J’ai de l’énergie, j’ai de la volonté mais j’ai l’impression que je vais crever avant de voir de véritables changements dans mon environnement. Cet appel à la mobilisation me fait du bien et je vois, par les commentaires de tous, des frères avec qui mener cette Révolution Tranquille Phase II. Qui se sent leader? Qui se sent rassembleur? Qu’il se manifeste on a besoin de vous. Peut-être en suis-je un….
La révolution se fait déjà par elle-même. L’humain panique par des message comme celui-ci et au lieu de se mettre en action, il enchaine des mots pour nommer ce qui se nomme quotidiennement. Alors un autre qui panique dira-on. Avec raison certes, mais il panique, il n’agit pas individuellement. Si la ville essouffle, respirons ailleurs. Car les crient sont inutile à Montréal, les voitures klaxonnes, il faut être fou pour y vivre ou encore de vouloir le devenir. Je suis Québécois en jamais je ne me suis identifié Montréal, cette ville qui pu rempli de gens qui ne se regarde pas. Je suis bien où je suis. Je consomme le minimum de ce que je produit. Je respecte et suis respecté bref, je ne suis pas à Montréal, j’agis collectivement avec ceux qui sont de la même avis. Montréal n’est pas un lieu sûr, ce n’est pas un lieu pour l’avenir. Préparer autre chose que la rébellion, préparez-vous simplement à vivre en harmonie mais surtout, offrez-vous l’effort de quitter le nid qui vous rend malheureux. Le gouvernement ne peux rien faire contre le choix de se retirer et de vivre différemment. Si vous restez alors subissez…
Merci ! C’est très motivant.
Bravo pour cette lettre…ca fait plusieurs années que je m’éforce à faire comprendre à tout le monde cette réalité. Mais je dois avouer que le résultat reste passager. Le seul gain que j’ai pu faire en ce sens est un gain de sympathie des gens envers qui j’ai bruler mon gaz… »C vrai t’as tellement raison!! » qu’ils me disent » faudrait vraiement qu’on réagisse hein…ça pas d’allure » Voila le gain que j’ai pu accumuler au fil du temps….
j’ai fini par comprendre une chose….l’argent et le besoin d’en avoir domine nos vie et le combat auquel tu fais référence implique de le laisser de côté question de faire tomber le systeme qui nous garde escalve…..la peur de perdre son bien-etre prend alors le dessus et on retourne a notre routine connue et sûre (sois-disant)
Il existe 3 facons de realiser ce que tu proposes (i.e. la révolution telle que tu la décris):
1) Te lancer en politique…… en utilisant la technologie (comme Obama) en proposant une alternative d’ÉQUIVALENCE pour ton électeur, i.e. qu’il n’aura pas l’impression de perdre ce qu’il a pour satisfaire la cause (car j’estime que son inaction est basée sur sa percetion de perte de confort ou peur de perdre ce qu’il a pour militer) De plus dans cette voie, tu auras à faire bcp de compromis et te battre fort pour ne pas etre éliminé par tes adversaire (vautours et chacals) car tu as raison, les corporations dominent notre monde et sont très puissantes…
2) Tu continues de critiquer et dénoncer (et tu n’es pas le seul a le faire) et ce, à tous les jours, avec plus de vigueur, d’énergie, de lettres, de films, d’évenements mediatiques etc… sans cesse et pour les années a venir jusqu’à ce qu’une masse critique de gens se soit réveillée et rejoint tes rangs pour enfin réaliser le changement requis.. (tu sembles bon dans cette solution contrairement à moi)
3) Tu mets tes valeurs de côté quelques années afin de t’investir à 100% à comprendre et maitriser le monde de la finance (car c’est l’alphabet et le back-bone du systeme) pour ensuite embrasser et même AIDER les gens que tu dénonces afin qu’ils se réalisent dans ce systeme et seulement quand tu aura aider ces gens à devenir Millionaire X 10 te laisseront ils les guides de faire les choses a ton gout…c’est alors que tu pourras gravir les échelons du systeme et progresser à une hauteur d’influence suffisante pour changer ses bases. Embrasse le systeme que tu veux changer et fait le de l’intérieur plutot que de l’extérieur.
Les 3 routes prendront plus de 0 ans sinon 20….on le fera pour nos enfants. À moins qu’un évenement marquant et inattendu ne survienne et brise le statut quo, c’est le temps que prendra notre mission peu importe la voix emprunté….mais je crois qu’il faut en choisir UNE Seule et s’y conscarée a 100%
Voilà!
F
On est un peuple qui …
On est un peuple qui prend pour acquis même le premier geste à accomplir dans l’affranchissement de notre intégrité, et qui n’y accorde que peu de valeur. Notre absence de suffrage devient notre souffrance collective, et quand je pose la question, bien des âmes me font savoir que la politique ne les intéresse pas, voire que leur propre vie, au delà de leurs consommations ne leur importe pas. Je suis certaine que si Hydro-Québec devenait entièrement privé, ça se résumerait en une grosse crise de chiâlage. Et pis quoi? Que faut-il faire pour les allumer? Tout éteindre?
Quand les Québécois vont comprendre que c’est pas la quantité qui compte mais la qualité. Qu’ils vont acheter LOCALE au lieu de chez Walmart.
Quand les Québécois vont se mettre à marcher et prendre le transport en commun au lieu de se fourrer dans trafic avec leurs SUV.
Quand les Québécois vont comprendre qu’énergie verte rime avec future, et que ça commence en faisant du compost dans sa cour.
Quand le Québécois va arrêter d’acheter sa bouteille d’eau qui pollue et qui donne le pouvoir à une multinationale américaine avec notre eau.
Quand le Québécois vont comprendre que la simplicité volontaire rime avec respect de notre environnement et non avec pauvreté mais bien le contraire.
Quand les Québécois vont se lever massivement pour aller voter, mais vraiment!
Quand le Québécois va comprendre que c’est pas juste dans sa cour que ça se passe mais bien à l’échelle mondiale, qu’il va se lever de son sofa pour aller voir son voisin pour l’aider dans sont combat.
Je ferai lire ce texte à mes enfants et à tous ceux qui m’entourent…en espérant qu’ils fassent la même chose… dans pas si longtemps (on a plus le temps) les choses vont commencer à changer… ici, au Québec… dans notre pays!! faut plus attendre… ON NE PEUT PLUS ATTENDRE !!
Merci pour votre article lucide et percutant! Nous avons en effet besoin de se réveiller collectivement. En fait, ça fait un bout de temps que le réveil sonne et qu’on l’ignore!… Voici un discours qu’a prononcé mon ami Daniel Breton, qui abonde dans votre sens, et qui met encore plus les points sur les « i » en ce qui concerne l’avenir, et les ressources naturelles (!) du Québec! Ensemble nous pouvons encore faire changer les choses mais c’est notre dernière chance! Merci.
http://www.tagtele.com/videos/voir/73436/1
Beaucoup de choses dans cet éditorial. Beaucoup d’émotions. Mais du vrai aussi. Bon, si on décantait un peu maintenant. Je dirais que oui, la gauche devra un jour sortir de sa torpeur. Elle est très assise sur son cul ces temps-ci, en fait depuis le début des années 1980 avouons-le, depuis le cocooning. De temps en temps, la gauche se mobilise pour des petites choses et va ensuite se faire masser, faire du yoga, de la lecture, de la cuisine gastro… Alors, existe-t-elle encore cette gauche? Les anciens de la gauche des années 70-80 se sont casés pour devenir des yuppies. Maintenant que le temps a passé, il y a une nouvelle vague de yuppies et des milliers de pré-retraités intello-professionnels qui ont tout à perdre d’une remise en question de notre monde où un travailleur sur trois est employé par un des paliers gouvernements. Car c’est un peu çà le problème: ceux qui pourraient changer quelque chose, sont bien payés et accaparent une grande partie des budgets. Nous sommes hyper-gérés: inutiles régies régionales de santé dans chaque région, commissions scolaires en plus du ministère, ministères de l’environnement en double, des transports en double, etc. Et à Montréal par exemple, les administrations des arrondissements qui refont chacun des études séparées pour choisir leurs nouvelles poubelles à recyclage, leurs bacs de triage, gérer leur ordure, leurs problèmes de circulation. En tout cas, arrêtons de chialer et crachons nous dans les mains. Et si on commencait par les grosses dépenses. D’abord il faudrait se mobiliser pour que Hydro-Québec ne puisse plus prendre des décisions dans notre dos et derrière des portes closes. Il y a des contrats sont trop gros pour être privés, qui ne devraient pas être secrets. Ceux des alumineries, des exportations au Vermont. Ensuite, il faut laisser le marché faire monter les taux sur le kwh car on perd des sous dans çà. Et ceux qui voudront encore consommer vont ainsi nous aider à réduire la dette de H-Q et du Québec. Ensuite avec les surplus, on pourra aider les gens à isoler les maisons et les usines à produire mieux. Il y en aurait beaucoup à dire sur tous les sujets, mais si on parlait au moins du plan Nord, je crois qu’il y a une raison stratégique à ouvrir les routes vers le Nord. Si on ne l’occupe pas, on va avoir des problèmes avec les autres pays qui vont essayer de se l’approprier. Il faudrait seulement s’assurer que les minières paient aussi pour les routes, etc. Mais tout çà est impossible si rien ne se passe du côté des gens de gauche. Pas seulement eux-autres, mais tous les bienveillants, les justes. Tous ceux qui comprennent qu’il est tellement gratifiant de partager et pas seulement de prendre, avant de quitter à notre tour, cette vie qui est si brève. Alors oui, réveillons-nous et trouvons-nous chacun un comité, un syndicat, un parti, pour au moins aller voir qu’il est encore possible de faire quelque chose.
Hum. Elle est formidable cette lettre. Elle circule à n’en plus finir, tellement elle a d’impact, et je crois que vous êtes dans le vrai en la qualifiant de pré-révolutionnaire.
Ça va se passer. On le sent gronder, même si personne n’a réellement fait le premier pas. Ce n’est pas une question de jours, mais de mois, sans doute.
J’y crois et en même temps… Voyez, cette hésitation est le noeud du problème: Notre peuple a un peu, beaucoup, perdu la foi.
Ça aussi c’est profond, et ça gronde dans le sous-sol, depuis longtemps.
Je ne connais pas l’auteur de cette prise de conscience et de ce brasse-camarade… Mais j’aimerais arrêter de parler et agir. Je ne crois plus aux méga organisations politiques: en ai marre des tergiversations du PQ…
Sûr que
la prise de conscience individuelle (que je considère primordiale),
L’éveil continu à ce que nous sommes (lire Dan Millman dans « La sagesse du guerrier pacifique » et
toutes les actions quotidiennes vécues sans l’obsession de la consommation,
devraient mener chaque individu à s’engager dans sa collectivité, trouver la route , sa route pour être de ces frères humains…
Alors M. Denis McReady qu’attendons-nous ? Regroupons-nous !!! arrêtons de signer des pétitions qui ne changent rien au bout du compte.
Claude
C’est un fait! Tout es réaliste et réalisable mais comment? La SOCIÉTÉ n’est pas assez solidaire… chacun pour soi. Je ne demande qu’à m’intégrer dans cette révolution qui dois démarrer aujourd’hui! Voyons voir cette semaine le 22 Septembre (Journée sans voiture) si les gens vont sortir de leur « confort » et prendre conscience de l’impact. Le pourcentage qui vont participer à ce projet est comparable au pourcentage de gens qui vont agir même passivement au FUTUR de notre SOCIÉTÉ…
Merci pour cette lettre.Sincèrement. Ça fait vraiment du bien de finalement avoir un peu de logique dans tout ça, et de voir qu’il y en a dautre qui ont la même position que moi. Mais la qu’est-ce qu’on fait. Qu’est-ce que je peux faire? Je veux faire. Dites-moi, je ferais. j’ai l’impression qu’il faudrait que je fasse pour des milliers de personnes.Je fais déjà beaucoup, de tout mon corp, mon coeur mon âme. C’est si décourageant. Donnez moi des actions concrète. Dite moi quel organisme, quelle manifestation. J’ai l,impression d’être toute seule. Je veux. Je suis réveillé la la. Je veux faire. Je fais quoi?
« Ils ne sont grand que parce que nous sommes à genoux. » – Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire
À la lumière de ce que vous dites, malgré une quantité intéressante de faits, vous dressez avant tout un portrait pessimiste de la société. Juste, mais inutile. Le changement se situe avant tout dans l’action. Votre rhétorique remplie d’espoir n’est guère appropriée; tant l’on déjà fait, et répéter cette formule n’est guère plus évoquante que s’exprimer sur les autres réseaux sociaux. Toutefois, j’admire votre courage. Mais sachez que le changement se situe avant tout dans la pratique de la vertue et le devoir. Trop idéaliste me direz-vous? Certes, mais plus près de la vérité que tous ceux qui critiquent l’Occident à travers un essai tel le vôtre.
Merci à tous d’avoir pris le temps de commenter ma lettre ouverte. J’ai lu tous les commentaire parus plus haut et j’ai pris des notes.
Si vous avez réellement envie d’aller au delà des complaintes (c’est mon cas), je vous invite à lire mes précisions ici : http://www.denismccready.com/blog/?p=218
Et ma réponse à la «Critique de la critique» : http://voir.ca/jepenseque/2011/09/14/critique-de-la-critique/
Ma proposition actuelle est double :
1 – Faire une manifestation de nombre
2 – Commencer un processus collectif de réflexion qui mènera à un consensus sur des actions concrètes à entreprendre et sur des solutions.
Des citoyens ont organisé cet événement qui rejoint le point 1 :
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle 24 septembre · 14:30 – 21:00
Bureau du Premier ministre du Quebec
770 Sherbrooke O
Montreal, QC
Le point 2 est en gestation.
Je vais l’annoncer dans ce fil de commentaire, sur mon blogue et ma page Facebook bientôt. J’espère que vous participerez ou que vous serez inspiré à démarrer vos propres initiatives.
Cordialement,
-Denis McCready
ouain ! Merci…beaucoup.
bravo,
Un peu exalté, mais il en faut de l’exaltation pour nous réveiller.
Je vous suggère ce qui suit: Pour chacune de vos affirmations qui visent la spoliation de nos biens par notre gouvernement, il faudrait étayer vos propos par des dates ou des témoignages.Ce serait alors plus qu’une chronique d’humeur, ce serait une référence crédible.
Merci quand même
Nicole
Je suis de droite et j’ai adoré votre texte. Étant de droite, je n’aime pas trop payé autant d’impôts. Ce qui me met encore plus en @#()!%&!@#! par contre c’est de payer des impôts pour réaliser des projets sans »plus value » pour le Québec ou encore de me faire voler mon argent par le gouvernement qui en donne une »cut » à ses amis.
Ce que je déplore, c’est qu’il sera très difficile de faire une révolution aux Québec. En effet lorsque l’on regarde les pays d’Afrique du nord qui on fait la révolution dans la dernière année, on remarque qu’ils avaient tous un point en commun la vie était BEAUCOUP BEAUCOUP plus difficile qu’ici. Ici on se fait arnaquer, mais on mange plus que le client en demande, on a un toit beaucoup trop grand et on se divertit en quantité industrielle (belle stratégie romaine). Va falloir attendre que les imbéciles aux US aient complètement crashé l’économie pour voir de vrai changement, ou une invasion barbare :P.
J’espère que votre texte en réveillera plus d’un et que ceux-ci vont enfin comprendre comment Charest rit de nous avec son cabinet de ministres corrompus.
Votre texte ne m’a pas réveillé, mais il me garde bien éveillé.
-Charles
Le petit pigeon assistant à la désolation
Le troupeau de goélands cru avoir trouvé la solution
Le grand dindon décida d’hurler : RÉVOLUTION!
Innocent cannard pensa que le problème vint de la tête du peloton
Ou plutôt du grand Patron : Le sombre et cruel Maître Pinson
AH! Comme je suis pauvre se dit le maigre laid faucon
En voyant deux poulettes virevolter autour du Grand Pinson en calçons
Alors tous les oiseaux se mirent d’accord
Le Cruel Pinson ne volera certainement plus leur or
Puisque dès demain ils entreront dans le décor
L’escadron décida de lui couper les ailes
Chose facile vu le nombre de révolutionnaires
Pinson en garda de graves séquelles
Il n’arrêta plus de picosser en l’air
Sans plus jamais que personne ne si à faire
L’or fut repartagé à travers les oiseaux
Et ainsi ils purent repartir à leurs occupations
Sans jamais faire attention
Au grand Aigle qui les mena en bateau
Ce dernier suggéra de protéger les biens de tous ses compagnons
Et tous tombèrent dans le piège comme des cons…
Puisque le sublime Aigle diffusa la rumeur suivante :
Énorme chat tôt ou tard viendra
Étrangement, je vois ici des gens qui , haut la main, saluent l’appel aux armes de McCready. Pourtant, je sais très bien que pour la grande majorité d’entre eux, rien ne changera. On réenfourchera nos vélos pour se calmer la conscience, et oui, on s’assurera de recycler tout ce qui peut l’être. Je ne serai pas l’hypocrite qui louangera l’appel de la révolution, car je sais que comme à nous tous, son effet se limitera à mon café matinal. Suis-je mou? Peut-être. L’histoire, si elle st porteuse de vérités, nous apprend que les hommes, quand ils mangent, quand ils vivent, ne veulent pas le changement. La révolution, elle se passe dans une Russie Tsariste arriérée où l’on souffre. Le reste semble et semblera toujours un épouvantail brandi par un esprit plus clairvoyant sur les conditions politiques profondes de notre nation. Oui, je respecte la fibre révolutionnaire. Par contre, je n’y crois pas. C’est le ventre vide qu’on monte aux barricades. Sans sarcasme, bravo pour le regard…
Un emportement digne de louanges, mais que proposez-vous réellement M.McCready ? Votre lettre m’a fait un peu sourire par son côté excessif, voire naïf, j’ai levé les yeux au ciel, car je ne suis plus à même d’apprécier le fait qu’un québécois mette ces couilles s’a table sans « si » ou « peut-être », sans précautions, pas pour apporter une solution, juste pour retrouver le sentiment qu’il est pas tout seul. Mais ça, je suis incapable de vaincre mon sarcasme pour l’apercevoir.
C’est pas une question de « ça change rien une lettre comme ça » ou de « ok. mais on fait quoi après ? »…C’est l’idée de dire oui à une idée.
Et elle fait du chemin d’elle-même, sans nous.
Join the lulzboat :
whatis-theplan.org
Denis, ton appel est important ! Pis nom de merdre ! Ton appel, quand est-ce qu’on sort dans la rue pour lyncher (virtuellement) Charest et sa gang de cromos ! Ton all mon gars, je serais là ! Avec ma blonde, ma fille pis tous mes chums qui voudront bien, mais je crois franchement qu’il faut faire des actions directe forte pour faire comprendre à ce gouvernement de merdre qu’on est pas encore mort ! Je pleure de soif de justice sociale !
Merci M. McCready! J’ai maintenant la confirmation que je ne suis pas seul à me battre! Je crois votre lettre est une lueur d’espoir pour beaucoup. J’ai lus presque tout les commentaires adressé à votre lettre et j’ai constaté que plusieurs attendent une solution. À mon avis si cette lettre sert, ne serait-ce qu’à une prise de conscience collective, elle aura porté fruit.
petit texte de ma part écrit sur l’effet de la colère:
je blame le capitalisme, la justice et ses principes, c’est pathétique,
en fait le système est pas mauvais c’est comment ont l’applique,
c’est pas nouveau la balance est pas de niveau,
ca priorise les riches, jamais ceux qui en arrachent
parce que l’or pèse plus que le sort de la populace,
tu est perspicace, c’est sure ce n’est pas est pas une dictature
mais on dirais que notre liberté d’expression
vient enchainer notre volonté d’action,
la liberté d’opinion c’est un cadeau empoisonné,
dans le monde des pions tu es comme emprisonné,
parce que tes idées, dans une cage tu peux les penser,
même les crier, c’est domage, mais ton pays est atteint de surdité,
il y a l’élite qui en profite dans son palais insonorisé
à l’abrie de la critique et de ceux qui osent la chuchoter
de toutes facon c’est un système parasite,
exploite ton prochain, c’est la base économique,
malheureusement c’est la base de l’humain
et de ses racines d’hypocrite
Réveillons-nous!
Ça fait longtemps que je déplore ce que notre société est devenue: une société de ti-counes vautrés dans le confort et l’indifférence, pour paraphraser Denys Arcand. On a les politiciens qu’on mérite. Pourquoi attend-on aux élections pour faire le grand ménage? (voir la vague orange). Si les citoyens prenaient leurs responsabilités et demandaient des comptes aux élus sur tout ce qu’ils font, Charest ne donnerait pas nos ressources naturelles pour une bouchée de pain, il ne donnerait pas tous les contrats routiers et de construction à la mafia et aux contributeurs à la caisse électorale, il ne cèderait pas au laxisme en ce qui a trait à la protection de la langue française. Les élus sont là pour leurs intérêts personnels et non pour le bien commun. Hier, il y avait des manifestations organisées contre le gouvernement Charest. Combien de milliers de personnes étaient présentes? quelques centaines au plus. Il faut continuer d’alimenter la mobilisation.
Premièrement: Félicitation ca prend du monde comme toi au Québec
Deuxiemement: Tu est trop pressé, le 24 septembre c’est trop tôt pour rassembler tout le monde, prend le temps que le message circule, organise un évènement pour le printemps exemple
Troisièmement: Tu as besoin d’une structure, il faut que tu interpelle tout le monde: les ecologiste, les revolutionnaires, les balafré, ceux qui sont tanné de la corruption, les séparatiste, ca tu la bien fait dans ta lettre mais mise aussi sur un plan d’action à court et à long terme.
Quatrièmement: Moi j’embarque.
Manifestation citoyenne contre la situation politique actuelle devrais être renommé manisfestation pour l’avenir du québec. Parcequ’en disant que tu déplore la condition politique actuelle, tu ne te démarque pas vraiement. En misant sur l’avenir du québec, ca c’est une SOLUTION et non une CONSTATATION. Faut arreter de pleurer comme des vierges offensé, faut faire comme y fesais dans le temps c’est à dire sortir dans les rues avec nos pancartes et mettre un frein a tout ca. En passant on va continuer d’utiliser les véhicule à essence jusqu’en 2050 environs pour intégré progressivement les véhicule solaire et électriques, deplus les changements climatiques vont couté jusqu’a 94 milliard par anné au Canada. En plus, les compagnies d’assurances habitation ont commencé a augmenté leurs prime au Québec de 20% due au changements climatiques. Moi ce qui m’offusque le plus c’est pas la lutte de pouvoir, l’argent, c’est la destruction massive de la planète. De plus en plus la terre est sans frontière et vue de l’espace il n’y a pas de frontiere c’est juste quand on regarde une carte du monde qu’on voie des frontières. On est tous frère et soeur malgré nos différences faut se rendre à l’évidence. La religion crée pas de guerre la plus part parle de la paix et l’harmonie ce qui crée les guerre c’est la soif de pouvoir et de domination. Je trouve ça abhérent que le Canada se mele de la bisbille des USA, un jour ca va rebondire… Je trouve aussi impotant le fait de mentionné qu’on vend notre eau pour une poignée de pinut, si on s’attarderais a autre chose qu’occupation double on se renderais compte que le quebec et le reste du monde entier se dirige vers sa plus grosse crise à ce jour et j’ai nommé: la pénurie d’eau. L’eau, c’est le prochain pétrole. Y va tellement en manquer qu’on va penser aller en chercher sur mars ou sur titan (satellite naturelle de jupiter ou on retrouve de l’eau. Bref, en 2012, faut qu’on se réveille. C’est la prise de conscience que les maya parlais. Il faut se réveiller et avoir une vision d’ensemble et arreter de s’attardé a notre nombril individuelle. Je pense que ce qui fais le plus mal c’est pas la corporation c’est la mondialisation. On est entré dans le fond d’un gouffre manipulatoir qu’on ne peut éviter sauf en fesant de la résistence. Mais pour changer ca il faut une stratégie. Je crois fermement que nous pouvons le faire. Je crois en nous les Québécois on est un peuple réveillé. Ce qui nous manque c’est de la motivation et un leader. On arrete pas de chialer sur le prix du gaz et c’est bien mais le probleme est que les pétrolieres ont acheter tout les brevets de commercialisation de nouvelles technologies autre que les véhicules à essence autrement dit ils vont injecter dans l’atmosphere toutes leurs réserve avant de faire un move. Conséquences: destruction massive. Qui va payer pour ca? Nous les contribuables. J’entend le monde dire ouais mais , ya rien a faire. C’est ca restez devant votre TV a attendre votre cheque de BS avec une grosse biere pi un sac de crotte de fromage moi j’attendrai pas a la derniere seconde pour agire mieux vaut prévenire que guérir. En plus on est sur le point du non-retour pour les changements climatiques ce qui veut dire que les générations à venir vont dire : HA ! Belle gang de cave nos ancêtres? Ils étais au courrant du fléo en 2011 et ils ont resté confortablement assis dans leurs VUS 8 cylindres avec leurs vieilles habitudes de vie ! Qu’est qu’ils ont fait? Ils se sont taxé les uns les autres en disant: c’est une taxe verte ! Une autre belle occasion de généré des revenus ! On nous passe des publicité à la télévision de produit nettoyant qui respecte l’environnement et on s’assis sur nos lauriers en se disant: jfais ma part. C’Est exactement ce qu’il ne fallais pas faire! À long terme ce serais bien plus rentable pour la dette québécoise de changer nos habitudes de vie MAINTENANT que dans 50 milliards de dollard plus tard (50 ans). Mais c’est le plus gros défi au quelle l’humanité à été confronté, il va falloir qu’on trouve des solutions ensemble, avec tout les peuples, toutes les cultures, il va falloir mettre de coté notre égo, nos différents, les conflits en vigueur, afin de tous et ensemble trouvé des solutions tangible et réaliste. Pour ca, ,on a du travaille a faire.
Et le travaille commence tous et chacun avec nous-meme afin de se défaire des mécanisme qui ont été implanté dans notre subconscient et les préjugé. Désoler pour mles fautes, Dominik.
Je ne pense pas non plus qu’il faut attendre qu’on nous annonce le début de la révolution à la télévision pour se réveiller, je pense que ça commence au fond de tout un chacun. Ce qui est le plus dur à contrôler c’est les peuples qui arrivent au Québec et qui imposent leurs modes de vie. Honnêtement je n’ai rien contre les autres nationalités, mais quand on commence à reformuler nos lois, à tout changer dans nos habitudes de vie, ça dépasse les limites acceptables. J’espère que nous n’allons pas devoir en venir à changer les noms de rue des saints par des avenues comme les États-Unis ont dû le faire. Ce que je trouve aussi déplorable, c’est que les relations humaines soient basées seulement sur le me myself and i. Je crois qu’en 2011 nous sommes rendues à un point ou communautairement on serait supposé être capable de se respecter. Il faut mettre de côté les mécanismes de domination actuellement fossilisés dans notre subconscient afin de pouvoir évoluer en tant que conscience individuelle et collective. Une autre chose qui me tracasse, c’est les OGM. On se laisse empoisonné ( c’est le mot empoisonné c’est un ajout d’ingrédient chimique), sans même penser aux effets secondaires ? Avant de consommer un médicament on se renseigne sur les effets secondaires, pourquoi pas sur ça ? Moi je suis pas d’accord avec ça qu’ils shoot des produits chimiques dans nos aliments justes pour augmenter leurs volumes pour que rendue sur la balance c’est plus rentable au prix de vente suggéré par les commerçants qui sont bien heureux de vous vendre des fraises de la grosseur d’une pomme ! Made in California mes frères ! Connaît-on vraiment les effets à long terme de toute la marde qu’ont consomme ? Y-a-t-il eu suffisamment de preuve à long terme pour réaliser des études scientifiques tangibles sur les effets néfastes de ces ajouts et modification dans la composition des aliments ? Bon ! Chérie, ce soir je te fais une sauce a spagate fait avec des tomates incorporées de poison, avec des piments badigeonnés d’agent de conservation ! Bon appétit. Le pire c’est qu’au Québec, contrairement à la France et à l’Europe, l’étiquetage des produits cons à base de ces merdes génétiquement modifié n’est pas identifié ! Qu’est que ça fais je vous entend penser, ça fais que c’est bien plus facile de vendre leurs produits à nous les Québécois ! Je trouve qu’on ne se fie pas assez aux modèles européens et occidentaux. Si on a mal ensemble, il faut agir ensemble. Le pouvoir est exclusif, le profit privé, la dette publique et la bêtise anonyme. Je crois fermement qu’on est, en tant que la race humaine, assez évoluée pour être prêt a une prise de conscience. Ça va être le plus gros défi de l’histoire de toutes les générations. L’économie est destinée à s’effondrer, un jour ou l’autre, qu’ont le veuille ou non. La classe moyenne va complètement disparaitre pour faire place aux riches et aux pauvres. Mais ce qui est merveilleux, c’est qu’on a le choix. On a le pouvoir de mettre nos limites et de dire c’est assez. Pour ça, il faut se réveiller c’est l’étape numéro 1.
Se réveiller n’est pas difficile. C’est de se mettre en marche qui l’est.Une fois levés,il y a trop de « pains et de jeux » On est distrait par les sports , les jeux vidéo et tous les autres gadgets et on oublie.Quand un gouvernement peut nous imposer des niaiseries comme l’image de la reine à la place d’une oeuvre d’art et qu’on laisse faire, il va un peu plus loin,il dit qu’il y a trop de francophones et on laisse faire..On ne veut pas de chicane. Alors diviser pour règner . M. Harper , vous avez compris comment vous les ferez mourir ces Québecois francophones : ronger une miette à la fois . Quelle miette ce sera la prochaine fois?
Je n’aurais pas pu écrire votre texte autrement, il traduit puissamment ma pensée profonde! Le comité de citoyens dont je fais partie a courageusement tenté avec les moyens du bord de sensibiliser la population et nos élus municipaux au danger réel et à problématique de la fracturation hydraulique. Mais Mme Normandeau et les gazières étaient passé avant nous pour faire leur petit numéro de charme auprès des élus et leur promettre de l’argent qui leur fait si cruellement défaut. Nous n’avons pu convaincre AUCUN ÉLU des dangers imminents de laisser s’implanter une telle industrie chez nous «Dans le grenier du Québec»! Mes illusions se sont effondrées et ma chute a été brutale car après voir subit le bâillon et les abus de pouvoir de la part des élus municipaux, (prenons exemple sur nos gouvernements: Tout le monde le fait, fait le donc!!) J’ai constaté que toute les couches dirigeantes (dans ce cas-ci, des voisins, des amis, du bon monde!!!) avaient perdu de vue le but premier de leur venue en politique soit: Servir leurs citoyens. Les municipalités de campagne n’ont pas d’argent, et Ils sont tellement occupés à distribuer des petits contrats à .05 cenne, sous le regard scrutateur de ceux qui cherchent les petites bibittes, qu’ils n’ont pas le temps d’avoir une VISION. C’est pathétique. Je reprends mon baton de pellerin avec le comité cette année encore, espérant amener mes concitoyens à un eveil.
M. McCready, je suis à 110% d’accord avec vous. Même que je le cris depuis belle lurette, a qui veux bien l’entendre mais les gens ont tendance à me rétorquer que je dramatise le tout.. En tout cas, moi je vais l’afficher sur mon FB afin que d’autres personnes puissent vous lire et par le fait même, ouvrir une petite lumière ds leur cerveau de sois-disant, technophile d’homme moderne et évolué.
Oui! Bravo. Merci. Trois mots que je sentais le besoin de dire.
Bien envoyé!!!
Je suis autant d’accord que pas d’accord. D’accord parce que l’intention du texte est évidemment positive. Pas d’accord avec ton récit identitaire, vous etes les descendants des barbares qui ont tué les chiens des Huron-Wendat, ceux qui ont dis aux juifs de rentrer eu Europe lorsque ceux ci la fuyaient en 40, ceux qui ont enfermés les Ukrainiens dans des camps de concentrations parce qu’il craignaient la Révolution (http://en.wikipedia.org/wiki/Ukrainian_Canadian_internment), ceux qui parquent les Haitiens qu’ils ont « accueilli » dans les trous à rat de Montréal nord ou la police tue sans pitié alors que tout le monde s’en branle complètement (Montréal noir, ais je souvent entendu) et enfin ceux qui continuent de me dire asti de francais alors que ca fait 3 putains d’années que je suis dans ce triste pays. Pas d’accord ensuite, parce que mon histoire de maudit francais, pire Lyonnais, me fait savoir que « se réveiller », ce n’est pas écrire des textes et ne prendre aucun risque, comme si on savait mieux que les autres ce qu’il y avait à faire. Ce n’est pas une question de conscientisation. Moi je connais la prison, je connais le cout du « réveil » et de sa répression, j’ai engagé mon corps dans la lutte contre le vieux monde. D’autres sont emprisonné(e)s, violé(e)s, tué(e)s, non pas pour leurs « idées », ici meme en occident, pas besoin d’aller chercher loin de chez soi (parce qu’au fond, on s’en branle de tes idées (comme des autres, hein, le « tes » est pas contre toi, c’est pour le punch du texte), comme disait ce vieux conard de Bakounine, des idées on en a assez pour refaire le monde) mais pour leurs actes. Pour avoir lutté ouvertement contre la justice, ses flics ses camps pour étrangers et ses prisons pour pauvres ou mineu pauvres. Et toi t’ès là, à parler de la télé, de ton sous-sol…. Mais garde le ton putain de sous sol je te le laisse, nous on crève et toi petit montroyalais (quartier des pourritures de bourgeois expatriés de ma chère et triste terre natale), tu donnes des leçons à d’autres bons citoyens pour les « conscientiser ». Baise sa grand mère à ta conscience mon pote. Si t’ès en colère, tu te rends in-intégrable au système, tu fais des choix radicaux qui brûlent ton avenir social et professionnel et tu engages ton corps dans la lutte. En attendant, parle, parle sur internet. Malheureusement l’expérience de la lutte armée m’a appris que les gens comme toi qui en savent tellement plus que les autres sur la « juste cause » et « l’outil le plus révolutionnaire du monde » (qui au risque de te décevoir est jusqu’à preuve du contraire, une boite d’allumettes) mettent rarement leur vie en jeu. Quand on croit en savoir plus que les autres et que ce qui nous sépare d’eux c’est la « conscience », le « réveil », la vie est trop importante pour être mise en jeu n’est ce pas? Vaut mieux s’engager chez Greenpeace… Tu sais ce que c’est la plus grande différence entre toi et moi? Je ne me crois pas plus révolutionnaire ou meilleur que toi.
Je suis d’accord, mais il faut un leader, et il ne faut plus attendre : c’est maintenant qu’il faut s’organiser, le temps des ‘parlotages’ est fini.
La grande question : qui sera le leader ?
Je viens de tomber sur ton texte très tardivement en décembre, et c’est tout simplement magistral. Tu as eu le courage de briser le silence et l’endormitoire généralisé. Depuis, il y a eu Occupons Montréal (Le Mouvement du 15 octobre) dans lequel tu as été très impliqué, probablement un des organisateurs ? Voilà de quoi notre Québec que nous aimons a besoin. De réflexion et d’action en dehors des partis qui passent leur temps à se déchirer, à chercher le pouvoir uniquement pour le prestige social ou à se corrompre mutellement. Vivement une nouvelle révolution tranquille !
Ève Marie, 9-12-11
Merci…je suis heureuse et boulversée par cette lecture…j’adhère et ne sais plus quoi faire…
« Comme remède à la vie en société, je suggère les grandes villes : c’est le seul désert à notre portée ». Albert Camus
Depuis le 12 janvier 2012, toutes mes entrées blogues seront faites sur le site du Voir.ca : http://voir.ca/denis-mccready/
Après une brève convalescence, mon plus récent blogue : Le Québec des perdants – Du hockey et de la politique – http://voir.ca/denis-mccready/2012/01/23/le-quebec-des-perdants-du-hockey-et-de-la-politique/
Le premier blogue publié sur Voir.ca : http://voir.ca/denis-mccready/2012/01/11/en-guise-d%E2%80%99introduction/
Au plaisir de continuer cette conversation…
-Denis McCready
Je suis un peut comme toi, j’ai du me batre dans la vie, j’ai perdu mon père à l’age de treize ans,dèrière moi deux frère et une petitte soeur de deux ans (c’était en 1978) . Du jour au landemain une mère et ces quatre enfants on du faire face à cette cituation ! Le plus dure pour moi c’est quand j’ai vu partir mon père en voiture je savai que je ne le revérai plus ! Je ne savais pas à l’époque que j’avais certainnes faculters à persevoir les évainement et certain donts pour soigné les gents . Je n’adère à aucune religion, je n’ai aucun partis politique et je ne fait partis d’aucune secte ! Si le monde ne tourne pas rond c’est qu’il y à plusieurs raisons ! Pour en savoir plus sur moi mes recherches et expériences je vous donne mon site( gratuit je ne suis pas la pour fair du busines) à vous de juger ! Les hommes se maitent à jenoux pour prier leurs Dieux parce qu’ils crois que tout est perdu ! Les êtres humains reste debout Parce que pour eux rien est encore jouet !!! Je fait se que je peut avec les moyen que j’ai , c’est mieux que de rester les bras croiser à regardé télé réaliter ! les villes ont été construite pour coupé les êtrs humains de la source et cette source c’est la nature et la nature est une force c’est pour cela qu’il la détruise et c’est pour cela que je me bat ! (vous pouvez me retrouvé sur faceboouk ou certains de mes amis difusent des information qui pourai vous intéréssé ! http://www.wix.com/lumiere/lumiere
Tres cher Denis, Merci pour ce pamphlet vibrant de soif de justice et d’équité sociale. Tellement lucide, tout ce que tu dis ! Ca m’a fait un bien énorme de te lire, tu sais pourquoi? Parce que a chaque jour de ma vie, je me leve avec cette colere au ventre, cette indignation, que j’ai le gout de hurler a la face de mes concityens, sorte de robots organiques, allant a leur train-train quotidien, aveugles a leur statut d’esclave, dévot d’une pseudo democratie dont ils se contentent, betement, sans savoir, priant d’ameliorer leur sort d’une élection a l’autre. On me dit agressif, alors que je suis outré. Tu me donne une voix. Avec ta plume aiguisée et ton oeil de lynx, derriere ta camera a rayon x qui perce les mensonges étatiques de nos dirigeants vendus aux 1% d’exploiteurs, qui nous sacrifient sur l’hotel du profit, sans l’ombre d’un remors.
Des gars comme toi, les Falardeau, les Desjardins, les Bourgault, c’est au Quebec qu’ils sont nés. On a la chance d’avoir des humains qui osent s’élever du statut d’escalve a celui d’homme libre. Les ecouterons nous?
Merci Denis. Je ne regarde pas les « lofteux » et autres conneries televisées, opium de la masse. Mais je me sert de twitter et facebook pour passer le message, meme si mon chien « y é cute ». 🙂
Benoit Dupuis
Gatineau
C’est exactement le message de Ron Paul. Seul Dr.Paul veut mettre fin à la corruption de Washington, le lobbyisme du complexe industriel-militaire, les fraudes de la réserve fédérale, la censure, l’état policier et le corporatisme.
Le 22 avril Jour de la Terre manifestation monstre à Montréal . Restez syntonisés(es)… d’ici là si vous êtes tannés(es) d’avoir mal aux genoux levez vous debout !!!PV
Facebook et MSN me servent à partager des articles de presse et de diverses organisations sur tout ce qui provoque l’animation des cellules grises en terme d’abus de pouvoir et d’injustices sociales. Depuis quelque temps, ces derniers me permettent également de transmettre de l’information et d’organiser des rencontres afin de maintenir en vie un projet social dans lequel j’oeuvre depuis plus de 20 ans et en lequel j’ai grande foi : les centres de la petite enfance. Le gouvernement Charest tente de « noyer ce bébé » (né du PQ) depuis plusieurs années. Charest et ses acolytes y travaillent avec hypocrisie et informations biaisées comme ils le font pour tout le reste de leurs élans de mégalomanie excessive. Le projet des CPE n’en n’est qu’un exemple, vous avez bien cité tous les autres dans votre article.
À quand le jour où on va voir des parents se lever et crier pour la cause des CPE ? Quand tous les CPE du Québec seront en grève pour plus d’une semaine … À quand le jour où on va voir les citoyens se lever, ensemble, comme un grand peuple pour gueuler contre toute cette délinquance politique ? Quand ça va se passer dans leurs cours …
Il est clair que quand la conscience sociale est passée, il y a un maudit paquet de monde qui était aux fraises … Un jour, il n’y aura plus de fraises … il n’y aura plus de forêts … il n’y aura plus de rivières … il n’y aura plus de convictions … il n’y aura plus que de gros trous béants abandonnés et des enfants errants dans un pays sans nom …
Je vous conseille fortement la lecture du livre « Le traité du rebelle ou le recours aux forêts » de Ernst Junger: « Si la vie et la propriété sont menacées, un appel mettra en mouvement, comme par magie, les pompiers et la police. Le grand danger est que l’homme ne se fie que trop à ces auxiliaires et que leur absence ne le paralyse. Tout confort se paie. La condition d’animal domestique entraîne celle de la bête de boucherie « . / Malheureusement ce livre est indisponible, mais vous en trouverez un exemplaire à la bibliothèque.
Toutes le monde font tous pareil, ont attend un leader qui changera tout pour nous. Depuis que je suis en banlieu je suis beaucoup plus Zen! Cette chronique me donne des souvenirs de ma jeunesse, rien n’a changer.
La seule facon de survivre de toute entreprise listé en bourse est de battre les estimés financiers des differentes banques et maisons de courtages.
Si moindrement elles ne reussisent pas ,c est la fin, le titre baisse drastiquement et il s en suit une innabillité a trouver des créditeurs.
D’ou la manipulation extrème du système le tout faussement teinté de bonne fois car il le faut.
Travailleurs, élu, resources, l environnement.
Il n y a aucun scrupules.
C est un systeme paranoiaque au pied du mur.
oui bravo il ne faut pas perdre ce pour quoi nos ancêtres et parents se sont battus et tout ça peut encore se faire sans violence mais il faut se tenir, être solidaire et déterminé à se faire respecter, nous ne sommes pas au service des élus c`est eux qui doivent être a notre service alors il va falloir qu’ils comprennent que le boss c’est nous le peuple et qu’ils soient imputables de leur cupidité Ce n’est pas un salaire minimum qu’il nous faut mais plutôt un salaire maximum. au delà de quoi 80% des revenus devrait aller à l’impôt dans des programmes sociaux. Tenons nous tous ensemble et exigeons la répartition équitable de la richesse. Surtout ne nous faisons pas vider de nos ressources non renouvelables pour des bouchées de pain. Aidons-nous et restons solidaires et surtout dans la paix
J’ai le coeur qui pompe un goudron épais et bouillonnant suite à la lecture de ce texte.
Je suis avec le mouvement étudiant, je manifeste, je m’enrage, je crie, je bave, je ne dors plus.
Ca fait maintenant 2 mois qu’on manifeste sur une base presque quotidienne et qu’on se butte à l’indifférence du gouvernement.
Qu’est-ce qu’on peut faire pour changer les choses?
Garder espoir devient de plus en plus difficile.
Restons pacifique, mais à quel prix?
Salut, je trouve que votre vision de ce sujet est véritablement pertinente, et je tiens à vous dire merci pour post riche en contenu. Quoiqu’il arrive, je reviendrai sur votre page dans très peu de temps Evidemment, si vous voulez voir mon site web, n’hésitez pas. Je vous souhaite une bonne continuation sur votre page !
[Christian Pellerin->http://www.clcv34.org/une-empreinte-indelebile/%5D
J’en reviens toujours à une chose, qui, malheureusement est le constat de ce que je vois, lit et comprends du monde depuis l’adolescence:
« Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. » Henri Laborit
Monsieur,
Je vous ai découvert dernièrement, je suis, depuis, abonné à votre chronique. Je viens de lire celle-ci qui est tellement vraie. Nous sommes 3 ans plus tard, qu’est ce qui a bougé ???
Est ce que vous connaissez des mouvements , ou des regroupement qui travaille à se lever debout ? J’aimerais me joindre a eu…
Merci !