Les données de recensement et les incidents ne cessent de s’accumuler.
Impossible de le nier aujourd’hui: le français recule.
Sauf pour, entre autres, le maire-kid-kodak de Huntington, Stéphane Gendron, lequel qualifiait récemment la Loi 101 de «raciste et discriminatoire». Une remarquable imitation de Howard Galganov ou de William Johnson, c’est selon…
Malgré toutes les preuves qui s’accumulent, ce dimanche 4 mars, à l’émission Les coulisses du pouvoir, la ministre de la Culture et des communications, Christine St-Pierre, se contentait à nouveau de la cassette officielle de son gouvernement sur cette question pourtant cruciale du recul du français. La routine habituelle, quoi. Surtout, une démonstration époustouflante de langue de bois. Visionner l’entrevue en vaut la peine…
C’est d’ailleurs la même cassette que servait à son tour le premier ministre Jean Charest, ce même dimanche. Du moins, dans ses grandes lignes.
Cette cassette, il la livrait à son tour sur les ondes de TV5, directement de Paris. Et même à Paris, M. Charest s’est fait questionner sur la sortie du maire Gendron! C’est tout dire…
La cassette du gouvernement sur la question linguistique, on peut la résumer ainsi: il faudra toujours être «vigilants»; la «sensibilisation» auprès des commerçants est importante; pas besoin de renforcer la Loi 101; il y a un «consensus» pour la Loi 101 même chez les anglophones (?!?); utiliser la clause dérogatoire est hors de question; et bla, bla, bla…
Traduction: il est urgent de ne rien faire. Un grand classique.
Nul besoin de noter que les mots «écoles passerelles» ne font pas partie de la cassette officielle. En fait, on préfère tout oublier…
Et, comme par hasard, c’est plus ou moins la même cassette que livre aussi, sur toutes les tribunes, la présidente de l’Office québécois de la langue française. Laquelle fut bien entendu nommée par ce même gouvernement.
***
Pour fins de mémoire, rappelons que la cassette du gouvernement actuel ressemble aussi étrangement à celle que «livraient» Lucien Bouchard et son gouvernement dès 1996 sur la même question linguistique. Incluant le rejet de tout recours à une clause dérogatoire présentée, comme le fait encore le gouvernement Charest, comme un outil illégitime pour renforcer la Loi 101 alors qu’il n’en est rien.
À l’époque, l’élément principal de la cassette du gouvernement Bouchard était une théorie alambiquée selon laquelle le Québec avait atteint une situation d’«équilibre linguistique». Et ce, même si des indicateurs quant au recul de la langue française étaient pourtant déjà connus…
Bonjour Mne Legault
Depuis le départ de Daniel Lessard aux Coulisses du pouvoir, je ne croyais pas qu’on pouvait être plus complaisant le dimanche avant-midi avec les invités libéraux à Radio-Canada ; Émmanuelle Latreverse sa remplaçante ne casse pas la baraque avec ses questions mielleuses tartinées au Nutella.
Malheureusement, étant allergique aux déclarations visuelles ou écrites de ministres libéraux ou conservateurs, pour m’informer je me rabat sur des réseaux souterrains où on ne fait pas dans la dentelle avec les mièvreries de Christine St-Pierre.
Émission : Dutrizac
Titre : Retour sur notre histoire du dépanneur à Verdun qui refusait de nous servir en français…Gilles Proulx est avec nous.
Détails : Gilles Proulx,chroniqueur au JDM
Intervenants : Benoît Dutrizac
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=126774
La chanson thème de la prochaine campagne électorale libérale.
Serial Liar
http://www.youtube.com/watch?v=-_z-riT2Z50
Il n’y a aucun recul de la langue française à Montréal.
Par contre, il y a beaucoup de francophones qui massacrent autant à l’écrit qu’à l’oral cette belle langue française.
S’il y a un blâme à porter, c’est du côté de celles et ceux qui, francophones, ne font pas l’effort de bien parler et écrire notre langue.
Pas la peine de chercher ailleurs des «coupables».
M. Perrier,
Vous n’êtes sans doute pas le genre de gars à se «mettre la tête dans l’autruche», pour reprendre le savoureux perronisme de de Gérard Deltell, mais vous avez sans doute manqué cette nouvelle intéressante nouvelle http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2012/03/07/002-sainte-catherine-francais-affichage.shtml appuyée sur ces données http://www.radio-canada.ca/sujet/visuel/2012/02/27/001-portrait-rue-sainte-catherine-montreal.shtml qui démontrent l’inexactitude de vos propos.
Quant à la «qualité» (ou la non-qualité) de la langue parlée par les francophones, je cherche vos données probantes qui appuieraient votre thèse. D’autre chose que des anecdotes. Car, comme on dit dans la langue de Bill Johnson: «The plural of « anecdote » is not « fact »».
@claude
« Il n’y a aucun recul de la langue française à Montréal »
la prémisse avec laquelle josée legault ouvre son billet serait donc fausse?
tu as donc réussi à déceler des faiblesses dans l’étude suivante:
http://tinyurl.com/ckv46wn
peux-tu partager tes découvertes, claude? c’est que j’aimerais bien te croire!
« Il n’y a aucun recul de la langue française à Montréal. »
Bien sûr !
Car, comme tout le monde le sait, le boulevard St-Martin est situé à Laval.
eh oui nous avons le privilège d’avoir 2 langues officielles au Québec:
http://www.cyberpresse.ca/photos/caricatures/201203/04/12-7242-caricatures-du-4-au-10-mars-2012.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_photos_plus_recentes_caricatures_2378_section_POS2#478960-9-mars-2012
La meilleur du pire suit ici, à cette adresse internet, une émission de Canal D qui a été duffusée hier, dimanche le 11 mard à 21 H :
http://www.canald.com/emissions/docu-d/505511589-esperanza-p-q/
Au Québec, les travailleurs agricoles espagnols du Guatemala, dans leurs temps libres, pour bien se débrouiller ici, suivent des cours…d’anglais, sur la ferme, au Québec, pas de français, afin de bien se faire comprendre à la Caisse ou à la Banque. Wow !
Et les joueurs russes ou autres européens de hockey qui s’amènent à Québec pour jouer pour les Remparts dans la ligue junior majeure, quelle langue ils choisissent vous croyez?
Et si vous n’êtes pas tous trop découragés pour écouter ceci: http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=126906
En route vers le passé! Francophones, citoyens de seconde classe, vous vous souvenez?
C’est en train de revenir, grâce à Christine St-Pierre! Et elle ne pourra refaire l’histoire: elle lègue ce triste héritage.
Si j’étais à sa place, je n’en serais pas fière.
Mais bof! elle aura été bien payée et aura eu du prestige (du moins auprès de la clientèle libérale), et c’est probablement tout ce qui compte pour elle.
Considérant que l’anglicisation, la langue de bois, la pleutrerie politique et le marchandage putesque de la langue française sont des valeurs identitaires québécoises que trop de nos compatriotes bafouent, je réclame haut et fort le respect de ces acquis et droits citoyens par tous et toutes, par autant de colonisés finis nous puissions être, je revendique l’inclusion de ces nouveaux droits fondamentaux québécois à notre Charte des droits et libertés du Québec afin que plus jamais quiconque au Québec puisse venir les transgresser. Amen.
ADDENDUM
Je réclame des 193 pays membres de l’Organisation des nations unies (ONU) une proclamation confirmant le Québec et son peuple « Société distincte ». En cela conséquemment, que seuls sur Terre le Québec et son peuple ne soient pas protégés par les dispositions de la Charte des nations unies afin de préserver les droits fondamentaux nouveaux et exclusifs du Québec, voir l’anglicisation pour tous et toutes, la langue de bois, la pleutrerie et la putasserie politiques de ses élites, le consentement éclairé et libre de ses citoyens au statut colonial de la « Province of Kwibek » dominée politiquement depuis 1982 par le Rocanada et son gouvernement central, Ottawa. Amen
Voir copie de la charte de l’ONU au site suivant:
http://www.un.org/fr/documents/charter/pdf/charter.pdf
J’ai écrit, par erreur : «dimanche le 11 mard à 21 H» c’est, à la place : «dimanche le 11 mars à 21 H » S’cusez !
La situation du français à Montréal, au Québec, au Canada et en Amérique du Nord AVANCE. Elle ne recule pas. Si elle reculait, on ne parlerait pas constamment dans nos médias des succès de la chanson québécoise, du cinéma québécois, etc., à l’étranger (s’ils en sont vraiment !). Entre 1977, l’année de l’introduction de la loi 101, et aujourd’hui, en 2012, la situation du français a AVANCÉ. Dire le contraire est terriblement injuste, à un degré tragique, pour tous ceux et celles, simples citoyens, grands artistes et grandiloquents politiciens, qui ont fait AVANCÉ la situation du français à Montréal, au Québec, au Canada et en Amérique du Nord. Les gens qui prétendent que la situation du français recule utilisent ce terme (« recule ») que par désir de la voir AVANCER à un rythme encore plus vite dans le temps et dans l’espace en Amérique du Nord et dans le contexte d’une rivalité linguistique innommable.
La situation du français à Montréal, au Québec et au Canada AVANCERA davantage encore le jour où tous nos nationalistes, québécois ou canadiens, auront compris, ou mieux compris, que nous avons tout avantage à voir ces millions d’anglophones qui nous entourent ASSIMILER notre langue française pour se l’approprier. La question linguistique est donc la suivante : sommes-nous prêts, vraiment prêts, à accepter de nous DÉSAPPROPRIER un peu, juste un peu, davantage encore, cette langue maternelle qui est la nôtre, que nous savons chérir, louanger, aimer ? Ou posée autrement : les Américains (dix fois plus nombreux que les Canadiens) sont-ils prêts, vraiment prêts, à apprendre un peu, juste un peu plus, cette langue de leurs voisins du Nord ? Une humble réponse personnelle : pas tout à fait encore ! Peut-être dans une ou deux décennies.
ouin, c’est sur qu’écrit avec des grosses majuscules, comme, ça, j’ai quasiment envie d’oublier les études pis de te croire.
quasiment.
Les acadiens luttent encore pour se faire soigné dans leur langue. Rien n’est gagné au NB.. Les coupures budgétaires des services en français sont menacées.
Mais à Vancouver un groupe d’anglophone s’inspire de la loi 101 pour que la ville oblige l’affichage dans les deux langues pas seulement en chinois. Un petit velours dans les oreilles entendre des anglophones dire du bien de la loi 101.
Demain l’anglais comme langue dominante va perdre de son importance. ! On demande à la Chine de suivre votre proposition ?
@marc andre
« Les coupures budgétaires des services en français sont menacées. »
enfin une bonne nouvelle!
Woops! Celle-là, je ne l’avais pas vu venir. Enfin, la lumière au bout du tunnel, il fallait y penser. Et pourtant, la solution était toute simple : assimilons le reste de l’Amérique du Nord. Cessons de pleurnicher sur notre lamentable sort et agissons. Ah! Sacré Étienne, méchant loustic!
John James Charest et son parti se retrouve troisième avec un 20 % d’appui dans le dernier sondage Léger Marketing. Quand on sait que sa clientèle la plus fidèle est celle des anglophones et des allophones francophobes de Montréal ce n’est certainement pas le temps pour ce gouvernement libéral de courtiser le vote des nationalistes francophones du Québec. C’est ce que j’appelle se retrouver entre l’arbre et l’écorce et cette fois-ci notre Parrain aura de la difficulté à passer par la porte de derrière pour gagner un prochain mandat ! Ce serait quand même merveilleux que ce politicien fédéraliste se fasse tasser à cause du vote francophone et de la loi 101 !
Je me croise les doigts
On importe n’ importe qui et n’ importe quoi dans la Belle Province et ensuite on se demande ou va le français. La culture québécoise est en grande perte de vitesse, tout est métissé..a qui la faute???
En plus faudrait enseigner notre langue avec un peu plus de rigueur..
@Etienne T.
Etes-vous sérieux ? La situation du français au Canada et en Amérique du Nord avance ????
Vous avez des informations privilégiés dites-donc ! Vite donnez nous vos sources que nous puissions partager cette grande nouvelle et remercier le ciel pour cette montée fulgurante des francophiles en Amérique !
Nos dirigeants sont des pleutres. Aussi bien au PQ que chez les Libéraux. Elisez des gens qui ont de la colonne et ça ira beaucoup mieux.
Entre temps, boycotons les commerces où on refuse de nous servir en français. C’est à la portée de tous.
Cela dit, on est coincé en situation de monopole…
La langue française est menacée et ce n’est pas pour rien que Madame Legault nous demande notre avis.
Se faire servir en français dans les restaurants ou autres à Montréal n’est pas évident.
A cet effet. la Ministre a même dit: si vous n’avez pas de service en français changer de lieu.
M Perrier souligne que le français est mal parlé et écrit.
A cela je dirais que le clavardage nuit à l’écrit autant qu’au verbal.
Cette situation est plus dominante chez les jeunes.C’est aussi dû à la musique anglophone qui est plus écoutée.
Personnellement , je pense que notre langue doit être protégée.
Obliger les gens à parler français dans leur lieu de travail.Ils disent fournir l’effort , je n’y crois pas. Appeller dans des magasins qui ont leur siège social en anglais , je vous souhaite bonne chance.On vous dira car je l’ai vécu : one moment please wait.
Je ne suis pas une auditrice de star académie mais cette année on a insisté pour que les interprétations musicales soient faites en français.
La raison : protéger notre patrimoine .
Daniel Bélanger et autres.
Je suis tout à fait d’accord qu’on exploite cet univers francophone.
La musique québécoise ou française devrait être plus connue, plus chantée.
Si les Mexicains qui travaillent dans nos champs se mettent à l’étude de l’anglais ce n’est pas forcément par mépris de notre culture mais bien parce qu’ils espèrent émigrer aux USA, terre promise où coule le lait et le miel.
Mon épouse est Péruvienne et elle m’a bien dit que le rève des Hispanos du sud est d’émigrer aux USA, leur premier choix. Le Canada est en deuxième, et ce n’est pas forcément le Canada français.
Si le poid économique des francophones était évident, et il ne l’est pas, ils étudieraient le français. Pourquoi chercher à s’intégrer à un peuple dominé quand on peut s’intégrer au peuple dominant? Sont pas fous!
La domination et le mépris, ils connaissent, ils ont ça chez-eux, quotidiennement. Alors ils visent plus haut, le haut du pavé. CQFD
Le comportement du type du dépaneur est très éloquent. Le français? Insignifiant, même au Québec.
On récolte ce que l’on sème et ce que nos politiciens sèment c’est le mépris de notre propre groupe. La persuasion fonctionne lorsque l’interlocuteur est potentiellement menaçant. Nous sommes des chatons, pas des tigres féroces.
Le PQ a peur de faire peur et les Libéraux n’essaient même pas. Pas au programme. Après moi le déluge est toujours de mise. Un seul parti casserait du sucre sur les méprisants, QS, mais on ne votera jamais pour ces êtres dangereux pour notre quiétude. Tout d’un coup qu’il y aurait du grabuge. Se tenir debout… Ça peut être risqué, vous savez.
Flatte ta bédaine Ephrème!
»Si les Mexicains qui travaillent dans nos champs »… – S. Gingras
Intéressant, ça… On a plein de gens au chômage, et pourtant on engage une main-d’oeuvre saisonnière qui vient d’ailleurs…
Pouvez-vous m’expliquer ça M. Gingras?
On me pardonnera, j’en suis sûr, que mon commentaire est en périphérie… 😉
Les souverainistes ont toujours fait appel à la peur atavique de disparaître qu’ont bon nombre de Québécois. Ce thème revient régulièrement parmi les principaux arguments utilisés pour justifier l’indépendance du Québec.
C’est leur principal argument et toute évidence du contraire est toujours niée de façon catégorique, sans appel et rejetée du revers de la main comme autant de propagande anti québécoise véhiculée par les »ennemis » du peuple. Cet aveuglement , parfois inconscient, fait fi des statistiques démontrant que le français a fait d’énormes progrès au Québec depuis 40 ans. Le nombre de locuteurs ainsi que la proportion de locuteurs au sein de la population Montréalaise n’a jamais été aussi élevé. On se fout des statistiques car on peut raconter plein d’anecdotes qui prouvent le contraire. Ceux qui osent citer de telles statistiques sont invariablement pourfendus et accusés de mépris, de jovialisme ou de traîtrise. Un Chinois égaré dans un dépanneur de Verdun, un cadre unilingue parmi les milliers d’employés de la CDP, entendre parler anglais dans le Plateau etc etc seraient des preuves irréfutables du déclin et du péril mortel que subit la langue française à Montréal.
Si ce n’était de cette menace supposément grave, les arguments souverainistes seraient réduits à quoi au juste ?
L’histoire anglaise de Montréal, connaît pas, quartiers anglophones à Montréal depuis 200 ans, pas possible, du mépris, de la provocation. L’histoire relativement récente alors que l’église catholique , qui contrôlait tout le domaine scolaire, refusait systématiquement l’accès aux écoles françaises pour protéger la race d’une contamination, pas vrai, ça se peut pas. Comment alors expliquer autrement que les juifs et orthodoxes grecs étaient classifiés »protestants » pour fins scolaires, ce qui signifiait l’instruction en anglais. Après 16 ans de scolarité pendant 2-3 générations, en anglais , on est tout surpris que ces communautés ont adopté l’anglais et on accuse les fédéralistes de vouloir nous encarcaner dans un pays pas normal. Pitié.
@M. Bertrand…est ce que nos étudiants dans la rue vont faire ce travail …
Oh que NON…ils pourraient faire des sous et payer la prochaine année
Pas correct…pas assé pour le cellulaire, la tablette, le char et peut etre même le golf
Les enfants sont gatés ert ne laisseront rien partir…we owe them.
Dand les années 50-60 un québécois qui voulait faire ingénieur était méprisé
c a c était pour les anglais…nous on fait des curés , des NOTAIRES, des médecins surtout pas un ingénieur ou un avocat… Alors quand je vois une émission sur RDI sur Hydro Québec et que les ingénieurs se battaient pour le français..je me dis ils avaient beaucoup de courage.Mais ils étaient une minorité.
Encore un grand moment de patrimouène canada avec Victor !
Un chinois égaré dans un dépanneur de Verdrun ????? Monsieur Beauchesne connait-il le moindrement Verdun et La Salle ? Un francophobe égaré a Verdun ? UN ???
Monsieur Beauchesne connait-il vraiment l’histoire de Montréal pour plaindre les anglophones de la sorte ? Le Doric Club ça vous dit quelques chose M. Beauchesne ? Le visage Montréalais avant la loi 101 ? Les meilleurs emplois réservés uniquement aux anglophones avant l’arrivé du PQ en 1976 ?
Un seul cadre anglophone a la Caisse de dépôt M. Beauchesne ? Même notre parrain de Premier Ministre John James Charest a désapprouvé cette pratique d’ embauche unilingue anglophone à la CDP !
Il y’a certains québécois francophones qui semblent être atteint d’ une certaine naïveté concernant l’assimilation possible dpar la culture anglo-saxonne au Québec ! Et il y’ en a d’ autres qui le souhaitent de façon consciente ou ….inconsciente !
En ce qui me concerne les deux groupes représentent un plus grand danger pour la survie de notre langue et de notre culture que toutes les vieilles anglophones unilingues de Westmont !
J’assite dernièrement à une finale de basketball dans le West Island à laquelle participe un de mes petits fils de 14 ans. qui joue pour une équipe de la Rive-sud .
Après la finale,le porte-parole de l’organsation locale fait son petit boniment et remet les trophées..tout ça en English only…
Je réagis-sagement- en face des parents des membres de l’équipe de mon petit-fils et..pour subir cette chiante réaction ::
» pépé, ne faisons pas de drame… »
Les cocus heureux… ça me rappelle ce commentaire suave d’un grand canadien : ‘ Il n’y a pas de…….à Montréal »
Rendu là, ce n’est plus la langue de bois mais de la bêtise à l’état pur. On peut soupçonner Jean Charest de savoir et de mentir à la population. Mais dans le cas de Christine St-Pierre, on ne peut pas la soupçonner de mentir, elle est tout simplement trop nulle pour se rendre compte qu’il y aurait peut-être un problème.
Je suis très sérieux M. Asselin. Notre langue des bois peut tout aussi bien se faire menaçante qu’être menacée. Ne pas le reconnaître, ne pas le savoir, le nier, l’ignorer… c’est ne pas l’aimer à sa juste valeur.
M. Beauchesne a bien raison. Quand la « défense de la langue française » juge utile (ou s’en contente) de faire dans l' »attaque » de dépanneurs allophones ou de cadres unilingues, plutôt isolés reconnaissons-le, nous sommes en présence d’un grave problème de stratégie gagnante pour faire avancer et progresser cette situation linguistique qui nous préoccupe.
Mais le simple fait qu’on entende de moins en moins souvent cette malencontreuse expression de « défense du français » (dans laquelle on entend « interdiction » !) laisse voir qu’on AVANCE plutôt qu’on recule. Car avouons-le franchement, cette « défense de la langue française » ça fait vraiment 16e siècle ! Si on a le droit d’aimer le poète Joachim du Bellay et le groupe de la Pléiade (si ce n’est la France et toute la richesse de sa production littéraire, philosophique, politique, etc.), il faudrait tout de même penser renouveler un peu la rhétorique… si on cherche vraiment à faire AVANCER, avec originalité et audace, le plein épanouissement de cette situation linguistique au 21e siècle en Amérique du Nord.
Pouvez-vous cesser d’employer cette malencontreuse expression de « Québécois francophones » M. Asselin ? Jusqu’à preuve du contraire un Québécois est francophone par définition. Ce n’est pas quelques individus qui refusent de parler français, qui n’aiment pas cette langue ou qui sont incapables de l’apprendre pour quelque raison, qui vont changer cette définition. À la limite, on pourrait dire qu’employer cette expression (que j’ai déjà entendu dans la bouche d’un M. Pratte de La Presse aussi) fait aussi « colonisé » car c’est se donner une identité, se nommer, en fonction d’un « autre »… Mais quel « autre » justement ? Malgré le flot de Mexicains qui déferlent aux États-Unis d’Amérique et l’augmentation de locuteurs espagnols en ce pays, avez-vous jamais entendu un American dire « I am an english American » ?
Le « Québécois francophone » n’existe pas. Faisons-le disparaître d’un vocabulaire. Est-ce trop vous demander ?
« Québécois est francophone par définition »
pas rapport.
est québécois qui se sent québécois, c’est tout. voyons!
les québécois anglais, tu les appelles comment eux?
attention à toi, mon pit.
Comme ça dans cette malencontreuse expression » la défense du français » vous entendez » interdiction » ????? Et vous voulez être pris au sérieux sur ce blogue ?
Etes-vous sûr de bien maitriser certains mots en français comme le mot » AVANCE » monsieur Etienne T. ?
Des statistiques des plus sérieuses démontrant une anglicisation de la région métropolitaine qui AVANCE dangereusement ! Est-ce cela que vous essayer de nous expliquer ? Car votre mot AVANCE serait beaucoup plus pertinent dans cette réalité du peu de respect de la loi 101 a Montréal !
Des cas » isolés » les dépanneurs et autres commerces dont les propriétaires parlent anglais ? J’habite Ville-Emard , a quelques pas de Verdun et de La Salle et les cas » isolés » se multiplient de plus en plus !
Des cas isolés des supérieurs d’ entreprises importantes au Québec qui sont unilingues anglais et dont les sulbalternes parlant français se mettent a parler anglais à l’unisson
tout fier de se faire aller la queue pour se faire remarquer ?
L’ expression » québécois francophone » vous dérange ? Selon vous tout les québécois sont francophones ? Habitez-vous dans un caverne isolée du grand nord du Québec ou vous faite dans l’humour quand vous mentionnez une chose pareille ?
Oui cette expression me dérange beaucoup !
J’ai personnellement perdu beaucoup de temps, dans ma jeunesse, autour d’un niaisage identitaire collectif. Je voudrais l’éviter pour mes jeunes enfants dans le futur. Comme je ne peux pas compter sur votre collaboration ni celle de tous les grands spécialistes-experts-politiciens-journalistes de notre province, qui critiquent un « Elvis Gratton » d’une part tout en jouant ce rôle d’autre part, je me dois de faire un choix.
Il y a dix ans, j’entendais très rarement l’expression « Québécois francophone », aujourd’hui beaucoup. Je pense que c’est une mauvaise chose. Devant cette situation identitaire que je déplore, je me vois obligé de « retourner aux sources ». Désolé mais je n’ai d’autre choix que d’élever et d’éduquer mes enfants autour d’une identité canadienne « stable », au risque d’un parti-pris « fédéraliste » ou « nationaliste ». Mes enfants seront davantage Canadiens que Québécois. Ils ne seront pas plus, et encore moins « Québécois francophones » ou « Canadiens français ».
Vous avez le droit de le déplorer, de chiâler, de rouspéter, de me traiter d' »homme des cavernes », d' »humoriste », de traître… Je ne crois pas l’être. Je pense à mes enfants, uniquement.
ah ouin? tu crois que pour tes enfants, la stabilité vaille mieux que la vérité?
et tu crois qu’une identité canadienne soit plus stable qu’une identité québécoise, pour un québécois?
en fait, l’expression la plus juste, pour nous identifier, je crois, serait « québécois-français »… n’es-tu pas d’accord?
@Etienne T
Vous pouvez élever vos enfants comme vous voudrez monsieur Etienne mais celui qui m’ empêchera d’ utiliser le terme » québécois francophone » n’ est pas encore de ce monde !
Vous pensez a vos enfants moi je pense à la survie de notre nation francophone !
A chacun ses combats !
Vous voulez en faire de bons petits canadiens ? Vous en avez parfaitement le droit ! Continuez a lire et admirer Pratte de la grosse Presse a Desmarais et ils seront de grands amants des Rocheuses …vos enfants !
M. André Pratte et L’idée fédérale m’ont effectivement convaincu de façon intelligente et posée, sans hargne aucune ni emportement émotif, des bienfaits indéniables du fédéralisme pour le Québec comme pour le Canada.
Il faut croire que vous lisez mal entre les lignes de ma langue DES bois. Est-elle vraiment aussi opaque que cette langue DE bois ? Elle est sans doute plus libre en tout cas, insoumise à aucune ligne de parti ! Il y a suffisamment d’indices dans mes répliques pour comprendre que j’aime peut-être plus que vous cette langue française et que votre combat est le mien aussi. Je désire tout autant que vous la pérennité de notre nation canadienne… bilingue.
Et puisque vous persistez à vouloir utiliser cette expression, pour des raisons qui m’échappent, et nuisez incidemment à une déconfusion identitaire salutaire, je me vois obligé de répliquer. Votre attaque sarcastique concernant l’amour des Rocheuses tombe à plat ! Il faut être plus efficace, précis et rapide dans ce combat linguistique qui est le nôtre. Si Trudeau père a bel et bien louanger à profusion les Rocheuses, avez-vous jamais entendu Trudeau fils le faire ? Avez-vous aussi jamais entendu un quelconque leader fédéraliste du Québec le faire depuis 20 ans ? Même pendant les Jeux olympiques d’hiver du Canada de 2010 ayant eu lieu à deux minutes des Rocheuses, avez-vous entendu un seul nationaliste canadien de chez nous reprendre ce discours contre un nationalisme québécois ?
Par contre, par-delà tout le bruit médiatique du Plan Nord de Jean Charest, j’ai entendu un certain duo, Stephen Dion et Stéphane Harper, louanger les grandeurs du Nord canadien, de l’Arctique polaire. Voilà ce qui m’a rendu plus fédéraliste que jamais si vous voulez tout savoir ! Pas les Rocheuses compatriote, l’Arctique ! Ajustez vos attaques sarcastiques… pour un meilleur combat linguistique. Sans rancune j’espère.
The True North strong and free ! – Ô Canada
Comme nous vivons encore dans le Canada, nous devons nous conformer à sa constitution qui contient la clause nonobstant, c’est-à-dire la clause dérogatoire. Pourquoi ne pourrions-nous pas l’utiliser ?
Tel le pharisien, la ministre St-Pierre se drape des beaux principes du respect des droits individuels pour ne pas agir dans le dossier de langue. Quelle hypocrisie !
Nos actuels politiciens au pouvoir sont trop poltrons pour oser instaurer des règles pour assurer la survie de notre société. Nous vivons dans un environnement légal et règlementaire qui balise l’ensemble de nos activités et nos actions. Mais on refuse d’agir dans le domaine de la langue. La raison : l’enjeu politique par lequel le PLQ et Mme St-Pierre ne feront RIEN qui pourrait indisposer leur électorat naturel, majoritairement les citoyens anglophones et allophones du Québec. Voila ce que nos politiciens ne diront jamais. Tout le reste n’est que du baratin.
Charles Dion
En effet, la clause nonobstant, c’est-à-dire la clause dite dérogatoire, fait partie de la Constitution canadienne telle qu’amendée en 1982. Ou, plus précisément à l’article 33 de la Charte canadienne des droits et libertés. Comme je l’explique, patiemment, depuis déjà plus de 20 ans, dans mes écrits, mes conférences et lorsque j’enseignais, elle est donc tout à fait légale et légitime. Qui plus est, la Charte québécoise des droits et libertés de la personne – adoptée sept ans avant la fédérale, en contient une également à l’article 52.
En 1982, la clause dite nonobstant fut d’ailleurs incluse dans la Charte par Pierre Trudeau sur demande expresse des premiers ministres des provinces de l’Ouest qui l’exigeaient pour une seule et unique raison: lorsque jugé nécessaire par les élus, protéger la souveraineté des parlements face aux tribunaux présidés par des non-élus.
Voir aussi: http://voir.ca/josee-legault/2010/03/10/deroger-ou-ne-pas-deroger/
Pouvez-vous m’expliquer ça M. Gingras? M. Bertrand
Facilement. 🙂
Le travail dans les champs est éreintant. Bidou Laloge le savait et s’en gardait bien.
Nos gens, chomeurs ou sur le bien-être, le savent aussi et s’en tiennent éloignés. Voilà pourquoi on doit faire appel à des travailleurs étrangers que l’on exploite en prélevant une contribution à l’assurance chômage dont ils ne jouieront jamais car après les récoltes ces gens courageurx s’en retournent au Mexique où ils font vivre leurs familles jusqu’à la saison prochaine.
De plus, tous les Cultivateurs Québécois ne nous font pas honneur. Certains sont dignes des camps concentrationaires nazis. Il y a des salauds chez-nous aussi.
Si on envoyait dans les champs tous les désoeuvrés capables de travailler physiquement… Evidemment, il y aurait du sabotage. C’est pourquoi on accepte les volontaires qui, comme par hasard, viennent de pays sous développés, miséreux. Ici, c’est le Pérou, mais pas pour tout le monde. 🙂
Bref, Christine St-Pierre a foi, prédestinée est-elle par son nom, en l’avenir de notre langue. Traduisons l’essence du propos de cette fatigante langue de bois : elle croit fermement en l’infatigabilité de cette langue des bois, parlée par une masse critique de personnes de chez nous, qui ne reculeront devant aucun obstacle pour la faire avancer dans le temps et l’espace. L’amour, toujours l’amour, d’une langue ou d’autre chose, de soi ou d’un prochain, sera toujours la meilleure arme de guerre. Pardonnez mon ton parfois cinglant frère Asselin. Je ne voulais que partager avec vous quelques munitions.
Place maintenant au duel entre les frères ennemis Justin Trudeau et Patrick Brazeau ! Ils sauront nous donner quelques autres leçons de combat à la manière d’un Georges St-Pierre.
Que ce soit les Rocheuses, la feuille d’érable ou l’ours polaire vous demeurez un canadien « very prood « et cela vous regarde. Par contre nous sortir Justin Trudeau pour nous présenter un angle positif au fédéralisme ne fera qu’accentuer la ferveur nationaliste chez les Québécois ! Justin est un grand canadien qui se sert du nationalisme québécois pour se faire du capital politique rien de plus rien de moins. En ce sens il est plus hypocrite que son père qui n’aurait jamais été aussi loin dans la manipulation et la putasserie ! Trudeau père était arrogant , méprisant pour ses semblables , plus direct et mise a part la grosse « menterie « qui nous aura infligée en nous promettant qu’ un NON au référendum de 1980 serait un OUI au changement , nous savions a quoi nous en tenir avec lui !
Tant qu’a Pratte de La Presse je comprends fort bien qu’un canadien « very prood « puisse le trouver merveilleux !
Comme tout grand Canadien, Trudeau a effectivement fait de la grande manipulation machiavélique ! Rétrospectivement, Trudeau n’a menti en rien : ce NON de 1995 a été un OUI à un grand changement historique.
Cher frère Asselin, ça vous dit quelque chose les Patriotes de 37-38 n’est-ce pas ? Louis-Joseph Papineau ? Ludger Duvernay ? Marie-Thomas de Lorimier ? Les Frères Chasseurs ? Napierville ? Une Déclaration d’Indépendance du Bas-Canada ? Le banquet du 24 juin 1834 ? Le « Ô Canada ! Mon pays, mes amours » de Georges-Étienne Cartier ? Une Constitution canadienne…
Trudeau père et ses troupes ont bondi en Angleterre pour aller récupérer ce que Londres avait refusé à nos Patriotes. Voilà tout ! Ceux qui passent leur temps à identifier une « amnésie collective » chez un « peuple » sont étrangement souvent les mêmes qui ont du trouble à identifier une « hypermnésie sélective » chez ce « manipulateur » !
Maintenant, comme la mer américaine et l’océan chinois semblent vous occasionner, à vous comme à d’autres concitoyens au Québec, quelques tourments, nous saurons bondir et rebondir sur le reste de l’Amérique et sur la Chine pour freiner le recul du français sur un front ou deux (on avance sur plus d’un front, je vous le répète). À ces Américains et Chinois qui se lamenteront de devoir apprendre le français à cause d’une nouvelle Loi 101 (appellons-la Loi 1001; oublions quelque renforcement inutile au long cours de la Loi 101), nous chanterons « C’est la faute à Asselin ! ». Mes manipulations valent bien vos lamentations qui me fatiguent plus que cette langue de bois !
Mme. Legault
En ce 35 ie anniversaires de la loi 101 votre entrevue de cet après-midi chez Dutrizac au 98.5 FM tombait a point et une chance que nous ayons au Québec des personnes comme vous pour éveiller les consciences sur la fragilité de la survie de notre langue surtout en période de gouvernance Libérale !
Dutrizac me donne parfois des sueurs mais dans le dossier linguistique il fait du bon travail. Gilles Proulx aura laissé ses empreintes dans l’environnement radiophonique montréalais !
Merci encore pour votre présence dans les médias et votre expertise dans le domaine linguistique !
Merci M. Asselin!
Voici le lien pour écouter mon entrevue à l’émission Dutrizac au 98.5 sur la situation di français au Québec, incluant un retour sur le premier bilan sur la situation du français depuis l’adoption de la Loi 101 dont j’étais la directrice de recherche en 1995 et 1996:
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=127342
Nous pouvons toujours continuer à chialer et avec raison contre le gouvernement Charest particulièrement peu soucieux et »lavette »face à la protection de la langue française. On peu souhaiter un renforcement de la loi101 . Il faut peut-etre se poser la questionà nous meme :A savoir faisons nous nous meme des efforts pour promouvoir notre propre langue’.Esce que nous mettons en pratique dans la vie de tous les jours ce que nous prechons ?Pour reprendre quelques paroles du défunt et regretté(en tout cas pour moi)Pierre Falardeau: »L’intégration,ca se joue à deux.Et à nous regarder aller collectivement comme Québécois,je n’ai pas le gout de lancer la pierre à personne.Je comprend très bien qu’on ne veuille pas s’identifier à un peuple de »loosers »qui préfère rester assis dans sa marde minoritaire,le cul entre deux chaises,incapable de se tenir debout et de se prendre en main. Il y a un prix à payer à vivre à plat ventre: tout le monde vient s’essuyer les peids sur ton dos. Je nous regarde nous raconter des peurs avec notre schizophrénique loi 101 et j’ai envie de brailler. Une loi émasculée par la Cour Supreme,quine protège plus rien,qui crée un faux sentiment de sécurité et consolide dans les faits un bilinguisme institutionnel. Peu importe quelle chobine à Montréal on demande à parler bilingue.Et nous, on se laisse faire,on s’accomode raisonnablement,on ferme sa gueule et on écarte les fesses,souriant,notre petit pot de vaseline à la main.Quand on finance soi-meme un système d’éducation anglais qui ne sert qu’à nous noyer,on creuse sa propre tombe. D’autre part,quand la majorité des jeunes immigrants choisissent de poursuive leurs études en anglais,il y a là comme un problème.Quand j’invite des gens chez nous, j’ai horreur qu’il vienne chier sur mon perron.Quand on menace la vie de mon peuple,je deviens mauvais.Ne refusez pas la main tendue,elle pourrait se refermer.Et je continue à penser que Parizeau avait raison malgré tout.Et il a encore raison aujourd’hui.Plus que jamais!Qu’on aime ça ou pas ! Analysez le vote:c’est simple et gros comme une montagne.Ce n’est pas un problème de politesse judéo-chrétienne, mais un problème de politique et de rapport de force »(Article de Pierre Falardeau dans le défunt hebdomadaire Ici 29-10-2009)