La magie des Fêtes
Besoin de retrouver l'enfant en vous? Le Musée Pierre-Boucher de Trois-Rivières recrée encore une fois la magie de Noël entre ses murs. Jusqu'au 9 janvier, il réunit une soixantaine de crèches issues du monde entier, dont plusieurs nouvelles trouvailles. Ces œuvres sur le thème de la nativité sont fabriquées à partir de différents matériaux, comme le bois sculpté d'Afrique, la nacre de la Palestine, l'argile peinte de France et le verre du Québec. Par ailleurs, l'établissement expose une crèche datant de 1954, soit une sculpture de Berthe Simard réalisée pour la défunte écrivaine Gabrielle Roy. Aussi, le Musée réserve sa Salle Petit à une reconstitution de l'ancien quartier Saint-Maurice de Thetford Mines. Celle-ci a été réalisée de mémoire par l'artisan Léopold Dubreuil, un ex-travailleur de la mine d'amiante. Elle comprend 73 maisons, un hôpital, une église, un presbytère et une salle paroissiale.
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En voir de toutes les couleurs
Depuis toujours, Noël apporte avec lui son lot de surprises. En fait, durant cette période, tous les moyens sont bons pour créer l'émerveillement. Le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, en bordure du fleuve, adhère d'ailleurs à ce "principe" pour une deuxième année. Jusqu'au 15 janvier, il présente ses Jardins de la lumière. Dès la tombée du jour, il éclaire ses sentiers près du pont des Chapelets et fait jouer des airs du temps des Fêtes. Les arbres garnis de neige et de milliers de lumières multicolores créent ainsi un univers féerique, de 16 h à 21 h 30 la semaine et de 13 h à 21 h 30 le week-end. Un enclos au centre de la promenade, où séjournent quelques moutons, ajoute une touche de magie. Une petite activité sympathique pour toute la famille.
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Avis de recherche
Un Trifluvien est de la course pour devenir le meilleur DJ du Canada. En effet, DJ Tremenz du club Le Temple participe au concours des pros de la console Smirnoff Vinyl Warriors, qui invite la population d'âge légal à voter en ligne (www.mysmirnoff.ca) pour son DJ préféré. Cette dernière a jusqu'au 28 février pour faire connaître son choix. Jusqu'à maintenant, plus de 85 artistes de tout le pays, influencés par des styles bien différents, ont envoyé leurs mixes originaux. Des experts de l'industrie musicale évalueront par la suite le talent des 10 musiciens ayant reçu le plus de votes; trois des finalistes seront ensuite amenés à donner une prestation en direct à Toronto en mai 2005, moment où le grand gagnant sera nommé. Finalement, le DJ numéro un représentera le Canada lors d'une confrontation internationale.
Ça fait deux ans que je visite le sentier illuminé du Sanctuaire Notre-dame-du-Cap. De toutes les beautés, magique, féérique. Nous y allons avec les trois enfants, qui ont l’impression d’entrer dans une forêt enchantée. Les moutons sont franchement sympatique. Par contre, le p’tit Jésus illuminé en plastique a un look un peu trop « Dollorama », qui contraste avec le paysage magnifique qui l’entoure.
Croyant ou non, c’est une belle occasion d’aller se recueillir ou pour tout simplement profiter d’une belle promenade.
On pourrait dire que les crèches font partie d’un folklore pour noël puisque très peu de gens voient encore cette fête de façon religieuse. Ainsi, il est intéressant de constater que ce « folklore » n’est pas associé uniquement à notre petit Québec, où nous faisons des crèches et des décors hivernaux sous nos sapins de noël! En s’ouvrant les différentes crèches du monde, on peut constater une certaine constance dans l’histoire… On ne s’en étonnera sans doute pas mais celà reste tout de même plaisant à constater.
Partout au Québec actuellement on présente des expositions de crèches immobiles ou mobiles, avec des personnages vivants.
Celle de Rivière-Éternité est très réputée et très appréciée.
Celles des bibliothèques sont très accessibles.
À Baie-Comeau, il y a les personnages de Noël du Parc enchanté, que l’on peut voir en groupe de 52 visiteurs durant 1:30 hr. On y rencontre des comédiens, des chanteurs, des sculpteurs et des fresques de Noël !
Il y a aussi la crèche vivante du Vieux-Montréal, qui est super en famille .
La crèche, c’est le symbole par excellence du temps des fêtes, avec naturellement le sapin de Noël. Mais on ne peut imaginer un sapin de Noël sans une crèche logée en dessous de ses branches. C’est donc étonnant de voir la diversité de crèches qui peut exister de par le monde, et de par les âges. Aujourd’hui, Noël, qui demeure malgré tout une fête religieuse, l’est de moins en moins. On continue encore à mettre des crèches en dessous du sapin, mais c’est plus par habitude que par désir d’exprimer sa foi. Ce qui fait que les crèches d’aujourd’hui sont souvent petites, et fades. Une exposition comme celle qui se tient au Musée Pierre-Boucher à Trois-Rivières est une excellente occasion de découvrir ce que veut vraiment dire une crèche de Noël. Certaines sont vraiment étonnantes. Et d’autres sont déconcertantes car les coutumes, les histoires et les matériaux varient considérablement d’un pays à l’autre. Une belle occasion de découvrir Noël sous un jour différent. Et qui sait si la vision de toute ces crèches hors du commun ne déclenchera pas en vous un soudain désir de produire une crèche originale et qui sort de l’ordinaire pour la prochaine fête de Noël.
Poursuivant une tradition élémentaire du Temps des Fêtes, le Musée Pierre-Boucher nous offre la chance de voir des oeuvres parmi les plus belles crèches du monde entier, et ce, dans une ambiance réconfortante et chaleureuse. C’est toujours un plaisir curieux que de découvrir comment les autres cultures vivent leurs festivités de Noël, et comment ils se représentent la célèbre nativité. L’histoire de cette fête, devenue par la force des choses très commerciale, est riche de traditions uniques et de plats partagés. Ce musée nous permet d’en découvrir quelques-unes par l’intermédiaire de crèches toutes confectionnées avec soin et à partir de matériaux originaux.
Pourriez-vous, ne serait-ce qu’un seul instant, concevoir des Fêtes en noir et blanc, sans couleurs et sans lumière? Impensable, non! C’est ce que je me suis dit, moi aussi. La seule visite des abords du fleuve près du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, lorsqu’ils sont drapés de lumières multicolores, nous apporte la magie et la féerie de Noël en un clin d’oeil. On prend l’air frais en famille, on admire les jolis moutons qui ont réchauffé Jésus il y a plus de 2000 ans (du moins, c’est ce qu’on essaie de faire croire aux enfants s’ébahissant devant leur laine) et on se délecte de ce tableau vivant d’une nature brillant de mille feux.
Bon, qu’est-ce que c’est encore? Une compétition pour déterminer qui est le meilleur DJ du Canada? Vous savez quoi, je n’ai rien contre ce Trifluvien (DJ Tremenz) qui participe au concours, même qu’il doit avoir beaucoup de talent. J’en ai seulement marre des compétitions. On vit dans un monde où tous et chacun veulent être le meilleur dans ci ou dans ça, alors on s’invente des tas de galas, de concours et d’olympiades pour être sûr de gagner un prix quelconque ou de décrocher au minimum une précieuse nomination. La plupart du temps, ce n’est même pas l’appât du gain qui attire l’homme, mais la promesse de gloire… Parce qu’il croit à tort que gloire rime avec argent.
Tout ce qui nous permet de rapprocher les différentes cultures mérite d’être souligné. Un des moyens les plus souvent employés est les expositions ; on a qu’à penser à l’exposition universelle de 1967 à Montréal. Dans une moindre mesure, le Musée Pierre-Boucher nous propose de « visiter » une soixantaine de crèches. Les matériaux dont elles sont issues nous renseignent par exemple sur les ressources naturelles disponibles du pays dont elles proviennent. A recommander pour tous ceux qui veulent faire un tour du monde peu dispendieux sans prendre l’avion ou la bateau.
Je ne réussis toujours pas à apprécier le côté religieux de la crèche! Certaines personnes diront que j’ai commis un sacrilège mais lorsque j’ai mis la crèche au pied de mon sapin, j’ai mis les mages dans la crèche et je n’ai pas mis le petit Jésus dans la crèche. Oui, je suis de la génération qui a perdu sa flamme pour la religion. Je trouve que les crèches sont belles mais le côté religieux de la chose ne m’atteint pas. C’est une tradition qui a perdu toute signification.
On associe toujours la crèche à Noël, même si cette fête est devenue au fil du temps un événement purement commercial et n’a absolument plus rien de religieux pour la grande majorité d’entre nous.
Nous sommes très nombreux à ne plus avoir de réelles valeurs religieuses, voire à n’en avoir jamais eu comme dans mon propre cas. Ça ne m’empêche pas pour autant de regretter fortement que Noël ait totalement perdu son âme. N’étant pas croyante, je crois toutefois bien plus au respect des traditions qu’à la course effrénée vers la surconsommation qui est devenue le synonyme de Noël.
Les crèches, on va les voir par curiosité, pour leur côté artistique, bien moins pour le symbole qu’elle représentent sur le plan religieux. Il s’en trouve certes encore quelques-uns qui veulent les défendre contre ceux qui les exploitent pour des raisons bassement matérielles. On se souvient que le célèbre et extraodinaire Musée de Madame Tussaud a dû se raviser après avoir reçu de virulentes plaintes au sujet de sa crèche qui mettait en valeur Victoria Adams et son mari David Beckham. Moi je trouvais ça plutôt drôle, mais certains y voyaient uniquement un sacrilège et ont poussé le Musée à cacher l’infâme offense.
Aujourd’hui, les crèches font partie du folklore, comme les boules dans le sapin et la musique de Noël qui nous gonfle pendant plus d’un mois. Pour bien des enfants, le petit Jésus doit être synonyme de cadeaux qui s’en viennent, de chocolats distribués à outrance qui donneront le mal de coeur. Puisque Noël, fête religieuse à l’origine, n’est plus le moindrement axé sur la religion, pourquoi continuer cette mascarade ?
Moi j’aime beaucoup le côté religieux de la fête de Noël. La crèhe de NOËL me facine. Il y en a tellement de modèles diffèrents. Ils y en a en verre, en vieux bois, en plâtre. Ils y en a de grandeur nature et des mini que l’on peut tenir au creux de la main. J’en ai même vue dans une boule de neige. Je ne peut pas faire un sapin de noël sans y déposer une crèche en dessous. Je crois que NOËL réveille l’enfant en nous.
Le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap a vraiment un site extraordinaire qui nous émerveille. Je ne suis pas plus catholique qu’il faut, mais je dois admettre que j’ai me promener en ces lieux. J’y vais depuis plusieurs années et depuis qu’ils ont commencé à faire les Jardins de la lumière c’est vraiment magique comme ambiance. Que dire du sanctuaire lui-même qui est vraiment superbe, riche en sculptures et l’architecture est vraiment bien. Franchement ça vaut le déplacement, mais en cette période de l’année il ne faut pas craindre les foules.
C’est une très belle initiative cette exposition de crèches. Cela donne l’occasion aux enfants de tous âges, petits et grands, de s’adonner à la création et ainsi nous faire revivre la magie de noël. Ma fille y a participé. Aujourd’hui elle et sa classe sont allées installer leurs oeuvres. Elle était fière. Elle pouvait en même temps constater que partout dans le monde il y a différentes façons de personnifier la crèche de Noël.
C’est vrai Noël n’est plus ce qu’il était. Grâce à certaines activitées comme celle-là je retrouve dans les yeux des enfants cette scintillante lumière que je voyais étant jeune.
Enfants, nous étions très excités à l’idée de créer, chaque année, une crèche!. Nous étions tous là, accroupis sous l’arbre de Noël munis de nos santons en plastique…
Les rois mages, par contre, étaient tous mis de l’autre côté de l’arbre, et notre devoir quotidien (en attendant l’épiphanie) était de les rapprocher pas à pas de cette fameuse petite crèche. Et oui! Tout ça en vue de leur faire porter les offrandes au petit jésus. C’était un beau jeu, on y croyait.
Raison pour laquelle je pense que c’est une très bonne initiative, de la part du Musée Pierre-Boucher de Trois-Rivières, de recréer la magie de Noël!.