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OLGA à CANNES : JOUR – 1

Jour moins un – la veille, la fébrilité, les jeux de mots douteux de Brad (méditaccréditation)

Les productions du Temps Libre présentent: un autre festival en compagnie de Olga et ses émotions (note à moi-même: bon nom de band). Virginie LB m’accompagnera en tant que duchesse Kid Kodak, mais là elle dort encore.

Au menu cette semaine: street styling de chiens-sacoche, top 5 des meilleures décorations d’un autre temps au QG FICFA & friends, sans oublier le désormais classique « Entendu su’à Croisette ».

On commence en grand par un hippie notoire, Marc Gauthier: « Moi si j’avais de l’argent, je commanditerais l’amour. » Je pense qu’on parlait de cinéma, mais c’est vague.

La rubrique « ça paraît que le festival est pas commencé ». Un conseil pour vous mesdames, si ta valise est overweight, c’est pas une bonne idée de sortir un par un tes articles de beauté. Et au Monoprix, le linge sent le poulpe. Et j’ai crié ben ben fort quand on a appris pour la ministre. Et un rosé 2002, on appelle ça du vinaigre. Et en France, l’internet, c’est pas vraiment standard.

C’est ça qui est ça. J’ai hâte que les courts-métragistes (tiens, mon correcteur ne connaît pas ce mot) arrivent. En attendant des potins de monde qui tombent en bas de leur escabeau, on trinque à votre santé.