Scott Bradlee est un rigolo…
Après avoir concocté un «best of» des années 80 à saveur «ragtime» et une reprise jazzy du classique «It Wasn’t Me» de Shaggy, le pianiste se frotte à sept pièces de Nickelback et, beurre le tout d’une grosse rasade de sonorités motown et livre un produit racoleur, bien sûr, mais surtout sympathique.
Avis aux fans, il l’a aussi fait pour Avril Lavigne…