Des semaines après l’hécatombe, la poussière est retombée – et l’urine a bel et bien séchée – alors que Montebellois, élus municipaux et un représentant de l’organisation se rencontraient hier pour revenir sur l’édition de juin dernier où la logistique a fait couler plus d’encre que la musique.
Tel que rapporté par le journaliste François Robert du journal La Petite-Nation, plusieurs citoyens ont suggéré bon nombre de pistes de réflexion à l’organisation, dont «plus de toilettes (…), une vidange plus fréquente (et) une ristourne pour la municipalité sur chaque billet vendu».
Plus loin, M. Robert rappelle «qu’à l’extérieur des bénéfices pour les commerçants et les personnes qui accueillent des campeurs, la municipalité engageait plus de dépense en lien avec le Rockfest qu’elle n’obtenait en retour. Selon les chiffres fournis par le maire Pierre Bertrand, la municipalité restait cette année avec un déficit d’autour de 12 000 $ en comptant le prix de sa main d’œuvre, notamment les pompiers.» Mathieu Gagné, qui représentait le Rockfest en remplacement du fondateur Alex Martel, a d’ailleurs présenté un chèque pour éponger la dette de l’édition 2013.
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