L’album circule depuis quelques jours, mais je me gardais une petite gêne avant d’en parler. Aujourd’hui, je craque.
Dès l’annonce, j’étais intrigué : Norah Jones qui s’associe à Bille Joe Armstrong de Green Day pour reprendre du matériel des Everly Brothers? Quelle idée!
Malgré le coefficient de difficulté élevé (avouons-le, le potentiel de se casser la gueule était incroyablement haut), je dois avouer que Foreverly (parce que c’est le nom de l’album) va au-delà de l’exercice de style amusant. C’est carrément du bonbon et un baume qui accompagne bien la température grisâtre du jour.
Disque finalement en main, je sais ce que j’écouterai pour faire la grasse matinée demain. J’espère qu’on aura droit à une édition vinyle, car tout ce qui manque à l’oeuvre, c’est le crépitement d’une aiguille qui glisse…
Tenez, si ça vous dit…