Avec deux expositions l’hiver dernier, Pascal Grandmaison s’est imposé comme l’un des artistes les plus originaux de sa génération. À l’Espace VOX, ainsi qu’à la Galerie B-312, Grandmaison a montré sa capacité à renouveler le concept de portrait, genre qui fut pourtant bien exploité en art…
Jusqu’au 4 octobre, il est la vedette de l’importante Galerie René Blouin. Depuis ce printemps, il est d’ailleurs l’un des nouveaux poulains de l’écurie de René Blouin, galeriste qui n’accueille les nouvelles recrues qu’au compte-gouttes. Dans les deux dernières années, Blouin -qui s’occupe déjà d’artistes aussi reconnus que Rober Racine, Geneviève Cadieux et Betty Goodwin- a pris dans son équipe les artistes François Lacasse, Nicolas Baier et Francine Savard, créateurs que nous ne pouvons pas vraiment qualifier de petits derniers… Grandmaison rejoint ce groupe d’incontournables.
Une carrière qui a le vent dans les voiles. Cet automne, les Montréalais pourront aussi voir son travail sur de grands panneaux lumineux au Marché Bonsecours ainsi qu’au coin de Saint-Denis et Cherrier, dans le cadre du Musée d’art urbain. Mais son travail dépassera les frontières de notre province à partir de novembre, car Grandmaison sera aussi présent au Contemporary Art Gallery de Vancouver.