Le concept peut sembler un peu tordu. En collaboration avec l’Unité de recherche en arts visuels de l’UQTR, les socio-esthéticiens Doyon-Demers ont reproduit une micro-communauté. Ils ont rassemblé cinq personnes se déclarant non artistes, mais ayant au moins un enfant engagé dans une pratique artistique professionnelle ou dans une formation y conduisant. Lors d’un souper, ils les ont amenées à prendre contact avec l’acte de création. Le résultat de cette tablée, filmée par les mini-caméras frontales que portaient tous les invités, est présenté jusqu’au 14 avril à la Galerie r3 de l’UQTR.