

Marier marionnettes et musiqueDevine qui vient faire à dîner?Erratum et mea-culpa
					
											Éléonore Côté
																					
																				
				
			Marier marionnettes et musique
Les sessions musicales Intermezzo présenteront, le mardi 20 juillet prochain, un spectacle qui risque de sortir de l’ordinaire. Intitulé Il était une fois… la musique!, ce spectacle est le fruit d’une association peu commune entre un multi-instrumentiste, Pascal Beaulieu, et un marionnettiste, Richard Bouchard. Voyageant à travers les siècles par le biais des nombreux instruments du musicien et des personnages colorés du marionnettiste, dans une ambiance de boîte à chanson, l’auditoire sera plongé dans une histoire de la musique bien particulière. Souvent humoristique, rappelant parfois l’esprit des légendes et contes québécois, cette revue de l’histoire de la musique est conçue pour plaire aux petits comme aux plus grands.
Dans le métier depuis 25 ans, Richard Bouchard est un marionnettiste chevronné, à l’origine, entre autres, de la Semaine mondiale de la marionnette. Au service de l’École nationale des arts de la marionnette (l’ENAM), il aime explorer et expérimenter de nouvelles formules afin de pousser son art toujours plus loin. C’est dans le cadre de ce travail de recherche que s’inscrit le spectacle avec Intermezzo.
De concert avec les services de santé, l’ENAM est un organisme œuvrant auprès des personnes éprouvant des difficultés d’insertion sociale. L’ENAM offre à sa clientèle – des gens présentant des problèmes de santé mentale aux décrocheurs – une occasion de reprendre de l’estime de soi, de la dignité, et de se valoriser en développant des compétences particulières qu’elle ne retrouverait pas dans un autre cadre, plus médical. "On veut leur faire vivre des situations de succès", précise Réjean Arseneault, responsable des communications à l’ENAM. En permettant aux usagers de briser l’isolement et de développer leur potentiel créatif, les ateliers de l’École nationale des arts de la marionnette procurent un mieux-être qui aboutit souvent à une diminution de la médication. Allier l’utile à l’agréable, quoi.
Appelé à se développer et à se bonifier au fil du temps, le spectacle de mardi prochain associant musique et marionnettes serait, m’a-t-on dit, une première dans la région. À voir, pour le plaisir des sens ou simplement par curiosité.
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 Devine qui vient faire à  dîner?
Devine qui vient faire à  dîner?
  Nicolas Moreau, l’animateur-cuisinier de la populaire émission  culinaire de Canal Vie Le Coup de pouce de Nicolas, débarquera  avec son équipe à Sainte-Rose-du-Nord les 18 et 19 juillet  prochains pour tourner chez madame Johane Truchon. Jeunes  parents de deux petites filles, Mme Truchon et son mari fermier  sont aussi propriétaires du gîte Au jardin potager. Pourquoi  Sainte-Rose-du-Nord? Pour son côté pittoresque, paraît-il, sa  beauté et sa représentativité saguenéenne. La nouvelle saison,  qui débutera le lundi 23 août, ira cette année dans plusieurs  régions du Québec, dont le Saguenay. Bon appétit!
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Erratum et mea-culpa
  Avais-je la tête quelque part dans mes boîtes de déménagement?  Toujours est-il qu’une erreur monumentale, aussi impardonnable  qu’inexplicable, a réussi à se faufiler à travers ma vigilance  et à s’insérer confortablement dans le texte sur La Fabuleuse  Histoire d’un Royaume de l’édition de Voir de la semaine  dernière. Renommé tour à tour comme mon voisin de longue date,  Ghislain Fortin, et comme mon ancien prof d’enseignement  religieux, Ghislain Dufour, l’auteur et premier metteur en  scène de La Fabuleuse, Ghislain BOUCHARD, a bien dû se taper  une petite crise d’identité forcée pendant quelques jours. Je  corrige donc, mieux vaut tard que jamais. L’auteur initial du  spectacle à grand déploiement La Fabuleuse Histoire d’un  Royaume est bien évidemment le très connu Ghislain BOUCHARD. Le  même Ghislain BOUCHARD en était aussi le premier metteur en  scène, remplacé dans cette fonction en 1995 par Louis Wauthier.  Qu’on se le tienne pour dit. Même inexplicable, cette erreur  est mienne. Mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa.