Matt Lipscombe

<a href="http://www.voir.com/blogs/antoine_lveille/aut'freq_lipscombe.jpg"><img style="WIDTH:290px;HEIGHT:254px;" height="787" src="http://www.voir.com/blogs/antoine_lveille/aut'freq_lipscombe.jpg" width="743" border="0" alt="" /></a> 
Matt Lipscombe sera en formule solo au Sacrilège le 27 mars à 18h. Après le retour médiatisé de Me, Mom and Morgentaler sur la scène du Club Soda au mois de novembre dernier, Matt Lipscombe (bassiste dans la formation) est retourné à son projet solo en toute quiétude. Le musicien garde un bon souvenir de cette réunion inespérée et se rappelle l’état d’esprit qui régnait au sein du groupe lors de cette rencontre. «C’était comme une réunion du secondaire, où les anciens diplômés se rencontrent après plusieurs années. Je crois que ça faisait plus de 12 ans que nous n’avions pas joué ensemble. Disons qu’il a fallu faire un effort pour composer avec les personnalités de tout un chacun. C’était beaucoup de travail, plus que je pensais. C’est comme une grosse famille, à chaque réunion on tient pour acquis que rien n’a changé. On remonte le temps et on se retrouve tels qu’on était à une certaine époque.» Tous les membres de Me, Mom sont maintenant retournés à leurs projets respectifs. Cette réunion n’aura été que circonstancielle et rien ne se profile à l’horizon pour la formation qui a marqué les années 90. «Pour Gus van Go (chanteur et guitariste), c’était une façon d’accrocher sa guitare au mur et de tirer un trait sur la scène, indique Matt Lipscombe. Pour nous tous, c’était la meilleure façon de boucler la boucle sur cette aventure. Les gens ont été très généreux. Le quatrième soir, entre autres, c’était quelque chose. On a sorti le champagne et les gens nous applaudissaient et nous remerciaient. C’était vraiment touchant. Ce qui m’a le plus surpris, ça a été de voir la nouvelle génération qui était présente dans la salle. Ces jeunes n’avaient jamais vu Me, Mom and Morgentaler en spectacle et ils nous découvraient pour la première fois.» Après un deuxième album solo intitulé Folk Tales, le chanteur est déjà au stade de la préproduction pour un troisième effort dont le squelette se dessine. Une suite qu’il réalisera en trio (guitare, contrebasse et batterie) et qui préservera cette touche soul qu’il affectionne. «L’idée de cette préproduction, c’est de travailler sur le financement de l’album, explique-t-il. Folk Tales a été enregistré chez moi et autoproduit du début à la fin. J’aimerais bien entrer en studio pour le prochain disque. Par contre, il n’y aurait pas trop de différences dans le son. J’aime les vieilles méthodes d’enregistrement des années 40 et 50. Par exemple, quand tu écoutes Ray Charles, il y a cette dynamique live qui est très chaleureuse et spontanée. Pour moi, c’est du one take. Un peu de pratique au début avec les musiciens, pour être sûrs de notre coup, et puis voilà, on enregistre. C’est un concept qui caractérise un disque.» Matt Lipscombe sera en formule solo au Sacrilège le 27 mars à 18h.
CHAT BLANC RECORDS NIGHT Chat Blanc Records annonce un double lancement de disques à la Ninkasi le 27 mars à 21h. Le groupe ambiant Thisquietarmy en profitera pour souligner la parution de son disque Unconquered et Electroluminescent présentera une édition vinyle intitulée Measures. L’entrée à cette soirée Chat Blanc Records Night vol. 3 coûte 5 $. EN RAFALE Alexandre Belliard sera au Théâtre Petit Champlain le 27 mars à 20h. Le 29, Stefie Shock sera au Centre d’art La Chapelle à 20h et le chœur Les Rhapsodes présentera son concert intitulé À la cour de France au Palais Montcalm à 20h. Au Dagobert, la formation punk GOB et le groupe The Transition monteront sur scène à 21h le 1er avril. Le 2, les artistes en résidence de 5 fois 5 se commettront dans la chanson engagée au Petit Champlain à 20h et Airbourne partagera la scène avec End Ever After et Star Rider à l’Impérial de Québec à 19h.
FONDENT DANS L’AMPLI CETTE SEMAINE The Blue Seeds, The Blue Seeds – Sarah Slean, The Baroness – JazzLab, Chance Meeting – Fabio Biondi et Europa Galante, Improvisata.