« Crois-tu qu’il sera le remède qui va guérir Montréal de son cancer? »
Alberte La Burquette
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2 commentaires
Le maire par intérim Michael Applebaum n’est pas du genre qu’apprécient les caricaturistes ou les humoristes. Il manque de relief, est peu coloré, plutôt discret et à son affaire. Rien qui prête flanc à la rigolade.
Voilà plus de quinze ans déjà, alors que je tentais de mettre sur pied un site internet local pour le quartier Notre-Dame-de-Grâce – un projet s’étant révélé trop prématuré au milieu des années 90 – j’avais rencontré M. Applebaum dans les bureaux du courtier immobilier (avenue Monkland) d’où il opérait.
Un gars correct, un peu distant, pas particulièrement affable. Je l’avais interviewé à titre de… je ne sais plus trop… peut-être de personne connaissant bien le quartier NDG ou parce qu’il entamait (concurremment à ses activités en immobilier) un début de percée du côté politique.
Mais, alors que j’avais déjà beaucoup d’expérience à interviewer des présidents ou vice-présidents de très grosses entreprises, parvenant toujours à tirer de ces rencontres des tas de renseignements intéressants, avec M. Applebaum j’étais reparti bredouille. Rien qui mérite d’écrire à ses lecteurs, ni même à sa mère…
D’ailleurs, la caricature ici-même illustre la grande difficulté à trouver comment aborder ce maire par intérim. Une caricature qui ne va nulle part, qui tombe à plat, qui fait la démonstration que le «sujet» n’a rien pour soulever qui que ce soit.
Nous sommes bien loin du maire Drapeau… Un maire grâce à qui Montréal est devenu une vraie grande ville, avec un métro moderne, une Exposition universelle en 1967, et même des Jeux olympiques en 1976. Oui… je sais… tout ça nous a coûté une fortune… Mais nous avons au moins eu quelque chose de très valable en échange. Ce qui s’avère beaucoup mieux que ces dernières années où ça nous a également coûté une fortune, mais avec rien en contrepartie.
Pour le moment, un maire fade – mais capable de remettre un peu d’ordre dans la place – est probablement de loin préférable à un maire plus coloré. Et puis, si on en vient à s’ennuyer, on peut toujours jeter de temps à autre un coup d’œil du côté de Québec. Tant du côté de la mairie que de l’Assemblée nationale. Du grand guignol à répétition, par là…
« …un maire fade – mais capable de remettre un peu d’ordre dans la place – est probablement de loin préférable… »
qu’est-ce qui peut bien te faire croire qu’un éminent élu d’union montréal, parti politique de corrompus s’il en est un, puisse « remettre de l’ordre dans la place » claude? non mais tu es d’une naïveté des fois claude. c’est touchant.
Le maire par intérim Michael Applebaum n’est pas du genre qu’apprécient les caricaturistes ou les humoristes. Il manque de relief, est peu coloré, plutôt discret et à son affaire. Rien qui prête flanc à la rigolade.
Voilà plus de quinze ans déjà, alors que je tentais de mettre sur pied un site internet local pour le quartier Notre-Dame-de-Grâce – un projet s’étant révélé trop prématuré au milieu des années 90 – j’avais rencontré M. Applebaum dans les bureaux du courtier immobilier (avenue Monkland) d’où il opérait.
Un gars correct, un peu distant, pas particulièrement affable. Je l’avais interviewé à titre de… je ne sais plus trop… peut-être de personne connaissant bien le quartier NDG ou parce qu’il entamait (concurremment à ses activités en immobilier) un début de percée du côté politique.
Mais, alors que j’avais déjà beaucoup d’expérience à interviewer des présidents ou vice-présidents de très grosses entreprises, parvenant toujours à tirer de ces rencontres des tas de renseignements intéressants, avec M. Applebaum j’étais reparti bredouille. Rien qui mérite d’écrire à ses lecteurs, ni même à sa mère…
D’ailleurs, la caricature ici-même illustre la grande difficulté à trouver comment aborder ce maire par intérim. Une caricature qui ne va nulle part, qui tombe à plat, qui fait la démonstration que le «sujet» n’a rien pour soulever qui que ce soit.
Nous sommes bien loin du maire Drapeau… Un maire grâce à qui Montréal est devenu une vraie grande ville, avec un métro moderne, une Exposition universelle en 1967, et même des Jeux olympiques en 1976. Oui… je sais… tout ça nous a coûté une fortune… Mais nous avons au moins eu quelque chose de très valable en échange. Ce qui s’avère beaucoup mieux que ces dernières années où ça nous a également coûté une fortune, mais avec rien en contrepartie.
Pour le moment, un maire fade – mais capable de remettre un peu d’ordre dans la place – est probablement de loin préférable à un maire plus coloré. Et puis, si on en vient à s’ennuyer, on peut toujours jeter de temps à autre un coup d’œil du côté de Québec. Tant du côté de la mairie que de l’Assemblée nationale. Du grand guignol à répétition, par là…
« …un maire fade – mais capable de remettre un peu d’ordre dans la place – est probablement de loin préférable… »
qu’est-ce qui peut bien te faire croire qu’un éminent élu d’union montréal, parti politique de corrompus s’il en est un, puisse « remettre de l’ordre dans la place » claude? non mais tu es d’une naïveté des fois claude. c’est touchant.