La famille s'est agrandie juste à temps pour le réveillon de 2003! En effet, il y a trois semaines, Communications Voir inc. a fièrement donné naissance au tout nouveau Voir Mauricie. Et comme cette bonne nouvelle ne vient pas seule, on nous annonce un début d'année chargé avec l'apparition de deux autres éditions, soit Voir Estrie, dont vous pouvez apprécier ci-contre la première page couverture et Voir Saguenay. C'est avec enthousiasme que nous les accueillons et leur souhaitons la bienvenue parmi nous. Longue vie! (D. Desjardins)
Bravo Voir Mauricie / Voir Estrie / Voir Saguenay….bienvenue dans le monde ou l’action ne manque pas!
Un journal de premier choix. Des textes brillants, des suggestions intéressantes, des idées hors du commun. Des arts et des spectacles. L’intellectuel absolu. Un journal très actuel, et très proche de l’actualité. On parle de tout. Des acteurs, du cinéma, des restos….Découvrir Voir, c’est découvrir une ressource inestimable. Sans oublier les enchères, pour gagner des prix alléchants…Quoi dire de plus c’est tout simplement « A VOIR ».
La revue Voir a conquis le coeur des gens, donc pas étonnant qu’il soit « SI GRAND ».
J’ai hâte de retourner en Estrie et de découvrir la Mauricie et le Saguenay….Bravo! et portez-vous bien! Voir est en train de changer notre monde. Sachez en profiter!
C’est bien de voir que le journal Voir a autant de succès et que c’est un journal qui met en vedette la culture québécoise. Ce ne sont pas que des articles publicitaires sensationnalistes comme dans le journal de Montréal. Cela veut dire que la société québécoise a envie d’enrichir sa culture artistique et qu’il y a de la place pour les artiste ici. Ce phénomène s’étend à d’autres petits patelins. Oui, c’est vrai qu’à Montréal il y a plus d’activités culturelles que dans les plus petites régions et que nous sommes choyés. Les petites régions offrent également une panoplie d’évènements à ne pas négliger. Maintenant l’Estrie et le Saguenay peuvent eux aussi profiter d’un journal de grande qualité culturelle.
Je viens de faire le tour de tous les nouveaux sites VOIR. Quelle belle famille nous avons maintenant!
Il est très intéressant de lire de nouveaux auteurs si dynamiques, intéressant aussi de voir ce qui se passe dans les autres régions de la province.
Les équipes me semblent jeunes et cela donnera un nouveau souffle à ce site que j’affectionne particulièrement. J’espère que plusieurs lecteurs nous feront le plaisir de partager leur opinion sur les sujets que tous les journalistes de VOIR nous présenteront. Il me manquera du temps car je ne peux m’empêcher de lire tous les commentaires qui sont toujours très intéressants.
Bravo à tous et bienvenue dans la famille!
Pour ceux et celles qui ne peuvent VOIR, l’arrivée de cette portée de petits chiots est une bonne nouvelle. En effet, la mère une magnifique Labrador avancée en âge, a donné naissance à des rejetons qui ne seront pas long à suivre les traces maternelles et devenir ainsi de précieux chiens-guides pour explorer l’univers culturel québécois.
De mon côté, je jetterai des coups d’oeil intéressés aux articles spécifiques des cahiers « régionaux », histoire de prendre le pouls du secteur de l’activité culturelle qui hors des grands centres passent trop souvent inaperçue. Merci de nous donner à VOIR.
Je trouve cette idée d’agrandir le champ des amis de Voir assez sympatique en ce début d’année. Comme Voir est un journal culturel des plus complets et rarement condescendant, je trouve intéressante l’idée de partager ce plaisir avec le plus de gens possibles, ceux-à même (les régions) qui souvent sont plutôt délaissés côté culture. Je viens moi-même de l’Abitibi, ce genre de région où trop souvent le théâtre et le cinéma notamment sont des secteurs pour lesquels on fait peu d’efforts. J’espère seulement que le contenu sera adapté aux régions que Voir dessert et que le journal ne sera pas seulement une copie de celui de Montréal.
Je suis très heureux d’apprendre l’expansion de Voir.
Pour ma part sa ne fait pas longtemps que je connais ce magnifique journal culturel car je viens de la Mauricie. J’ai découvert ce petit bijou de journal en attendant l’autobus à Hull pour aller à l’Université d’Ottawa. Je suis tomber en amour avec ce journal sur le coup. Ma surprise fut grande lorsque j’ai constaté que ce journal se retrouvait partout autour de moi et que j’étais toujours passé à côté. J’ai parlé de ce journal à plusieurs de mes amis dans ma région et en Estrie mais malheureusement ils ne pouvaient pas ce le procurer. Maintenant, ce problème est régler à plus grand bonheur et à ceux de mes amis.
Je souhaite un grand succès à Voir pour cette nouvelle année.
Personnellement, j’adore Voir… Pas simplement pour toutes les choses gratuites auxquelles on a droit en écrivant des commentaires, mais aussi pour la revue très »éducative » qui présente des critiques très sensées et du bon travail, mais aussi pour la possibilité à un aussi grand nombre de gens de pouvoir émettre leur opinion personnelle… Alors bienvenue aux nouveaux membres, en espérant que la popularité s’élargira de plus en plus pour qu’un si bon projet québécois devienne, peut-être, d’emblée nationale… Y’a aucun doute là-dessus, avec Voir, on peut maintenant VOIR en grand et s’attendre à de plus en plus avec les années à venir!
Pas simplement bienvenue aux nouveaux membres, aussi des félicitations aux réalisateurs de cette entreprise qui porte très bien!
Pour une fois que la décentralisation ne veut pas dire le délestage de ses responsabilités, le pelletage de ses problèmes dans la cour du voisin et un déni de redistribution de la richesse comme une certaine politique ultra-libérale nous incite à nous y faire de plus en plus, saluons cette initiative comme elle le mérite, soit comme une illustration d’une approche démocratique de la culture qui en donne les commandes et les outils à ceux qui la produisent cette culture et qui en vivent. C’est donc à l’intérieur d’une dynamique authentiquement démocratique que se situe cette initiative qui aura non seulement le mérite d’être plus équitable, mais aussi celui non moins important de favoriser la prise de conscience des forces vives du milieu culturel et social de la région par son environnement en même temps que par ceux qui lui étant extérieurs le connaissait peu, mal, ou pas du tout. Ces régions ne sont d’ailleurs pas dépourvues d’institutions d’enseignement de haut savoir avec les universités de Sherbrooke, du Québec à Trois-Rivières et du Québec au Saguenay ainsi que de leurs CEGEP, sans parler des Musées ou des cOnservatoires que l’on y trouve, ainsi que des multiples talents qu’elles génèrent, connus ou non. Il a donc là un potentiel à découvrir qui nous réserve certainement de belles surprises.
C’est génial de vous savoir en Estrie et ailleurs en région. Bon je sais que vous étiez déjà distribué à Longueuil et produit à Québec mais vous conviendrez que c’est une nouvelle étape ….
J’avais eu vent qu’une édition de Voir serait produite à Sherbrooke en 2004 et j’avais hâte d’en trouver un exemplaire ou tout au moins un présentoire. C’est finallement dans un Canadian Tire (!?!) – peut-être en feront-ils une pub – de Sherbrooke que j’ai eu cette satisfaction. Je suis très heureux de cet avènement et de savoir que je pourrai désormais connaître ce qui se passe sur la scène culturelle en Estrie sans avoir à m’abonner à un journal ou à subir radio-énergie ou rock-détente.
Mais je ne suis pas parfaitement comblé de cette première édition. Comment dire … tant de place pour la pub et si peu de textes. Je suis conscient des coûts d’une telle aventure. Serait-ce possible par ailleurs de greffer des chroniques nationales (ondes de choc, par exemple) ou des textes d’actualité (ex: le texte de Michael Moore n’apparaît pas en Estrie). Cela ajouterait l’aspect « société » qui caractérise habituellement le Journal. Longue vie à Voir en région !
Quel fierté d’être à nouveau parent, n’est-ce pas ? Félicitations pour cette belle initiative. Il est bien de voir, surtout en région, un journal unique, reflet d’une rayonnance particulière à la région concernée. Je suis de Gatineau, et me rappelle lorsque l’on recevait uniquement le Voir provenant de Montréal (il existait le journal Zone, un équivalent moins riche). J’adorais toujours lire ce journal, étant donné le fort aspect culturel s’y dégageant et le contenu plus riche que les journaux locaux. Quand j’ai su que Voir Outaouais était lancé, je me suis dit que ça ne serait que du »copié-collé » de celui de Montréal. Et non ! Les gens de voir on réussi à insuffler une spécificité propre à la région représenté. Fort d’un contenu orginal, le réseau Voir permet alors de solidifier et d’enrichir le contenu pour le reste du journal.
C’est justement cet enracinement régional, qui, sans tomber dans une autarcie maladive, permet aux lecteurs de l’apprécier. Un bon équilibre de contenu et d’informations y est retrouvé. Les gens de la Mauricie gagneront à retrouver le Voir dans les présentoires des commerces de la région. Alors félicitations pour cette initiative, et longue vie à Voir Mauricie.
S’il vous manquait quelque chose, c’était certainement le journal Voir. Vous verrez que lorsqu’on l’a, on ne peut plus s’en passer. Le jeudi ne signifie plus » jour de paie » mais bien » sortie du journal Voir « . Farce à part je crois que plus on est, plus on peut obtenir un journal de qualité qui je l’espère fera le bonheur de tous.
Félicitations à Voir!
Les gens de ces régions seront d’autant mieux servis s’ils lisent leur journal Voir local.Il faudrait penser aussi aux gens des autres régions …et ils faudrait que les gens des autres régions pensent à Voir…
Pour ma part j’aimerais bien un Voir pour planifier les voyages d’été ici au Canada français.Pourrions nous penser à une édition spéciale du Voir pour vacances d’été et un autre pour sports d’hiver.Les pièces de théâtre et les grands spectacles sont planifiées assez longtemps d’avance pour nous permetre de planifier participer à certains festivals .
Une autre façon d’arriver à la même chose serait de developper Voir à l’internet pour que l’on puisse choisir de lire toutes les sections communes à chaque édition de Voir. Par exemple si je veux planifier mes vacances autour de théâtres d’été alors je clique sur cette fonction pour connaître tout ce qui s’est dit à ce sujet dans toutes les éditions de Voir cette semaine. Avec la fonction historique je pourrais ensuite rechercher ce qui s’est dit à ce sujet les semaines passées.
Et pourquoi pas une édition Acadienne?
J’ai habité Montréal pendant 3 ans précisément, soit-disant le temps d’atteindre la limite de 25 000$ aux prêts et bourses. Mais ça, c’est une toute autre histoire. Un an et demi plus tard, je crois avoir réussi ma réintégration (ou plutôt ma désintégration montréalaise). Je suis revenu à mes origines et j’erre comme un fantôme à travers les rues du grand comté Saguenay Lac- St-Jean.
À l’époque, lorsque j’avais décidé de m’en aller, je me rappelle qu’une ami originaire de Montréal m’avait répondu du tac au tac: « Mais comment vas-tu faire pour te tenir au courant des films et des disques qui vont sortir?» La question peut alors paraître comme superflue mais je vous avoue qu’une chienne extraordinaire m’avait saisi. Bien que mes talents de comédien soient restreints, j’avais réussi quelque peu à dissimuler ma crainte. J’avais balbutié une connerie comme quoi il y avait toujours internet pour me tenir au courant mais honnêtement, rien ne vaut un journal VOIR pour se rassasier culturellement.
Et voilà que la semaine passée, surgit d’un hall d’entrée, ce présentoir m’annonçant que le VOIR est maintenant ici, dans ma région (du même coup, dans vos régions aussi). Comme quoi 2004 débute bien… à ce niveau, Autrement, on a tout le reste de l’année pour s’en parler et pour y voir.
La mère a décidé de pondre des petits partout mais elle doit s’en occuper si elle veut que ceux-ci produisent des rejetons qui agrandiront la famille sinon après une génération, celle-ci ne se renouvellera pas. Ce qui veut dire que le journal doit se tailler une place de choix dans les nouvelles régions où il s’est installé et s’assurer de la continuité de ses services afin que cela ne soit pas un feu de paille. Puis, il devrait montrer son potentiel dans les régions voisines pour tenter de s’enraciner et remplacer une partie des journaux qui ne parlent que de guerres entre voisins et de politique municipale dont on est trop inondé, car on n’entend suffisamment parler dans les autres journaux, à la tv et à la radio. Ces journaux sont vides de sens et montrent que nous ne pensons qu’à nos guerres de clochers et si nous continuons ainsi, nous seront assimilés par les autres peuples et nous perdrons notre culture et identité de Québécois. Même les journaux municipaux devraient être refaits et parler de culture et permettre aux gens de donner leur opinion sur différent sujets. Les régions qui ne voudraient pas avoir de journal Voir devraient modifier leurs journaux municipaux et en calquer le modèle sur ce journal. Le journal Voir est une initiative culturelle qui pourrait s’exporter à toutes les communautés francophones du Canada et peut-être même dans les pays français d’Europe. Il deviendrait le plus gros journal culturel à l’échelle mondial. Avez-vous déjà écouté la chanson La Langue de Chez-Nous de Yves Duteil qui dit que la langue française a surmonté différens obstacles pour établir des pont par dessus l’Atlantique pour s’y établir au Québec. Pourquoi l’inverse ne serait pas vrai avec le journal Voir?
Il est toujours intéressant de voir qu’un magazine consacré aux arts ne cesse de grandir. Je pense que ça montre le grand intérêt que les gens portent à l’art. Ce qui est doublement intéressant , c’est que l’on peut connaître tout ce qui se passe dans les régions. La couverture médiatique des grands centres n’est plus à faire mais il y a de plus en plus de spectacles, d’exposition , de théâtre etc dans les régions plus éloignées et il est plaisant de les connaître. Ça permet aussi aux artistes de ces régions de pratiquer leur art chez-eux sans avoir à s’expatrier.
Bravo à Voir et surtout longue vie. Grâce à ce magazine, l’art va étendre ses tentacules partout au Québec et la vie culturelle va progresser partout. Les talents sont partout mais il suffit seulement de les faire connaître à tous.