Vous la connaissez peut-être, celle-là…
C'est l'histoire d'un gars qui, à la demande de sa fille qui aura six ans cette semaine, part acheter un exemplaire de la plus célèbre poupée du monde occidental.
Pris de panique en mettant les pieds dans l'allée rose nanane chez le marchand de jouets, il interpelle un vendeur qui lui propose la tournée descriptive de l'ensemble des modèles disponibles, pour terminer par la plus chère: la Barbie divorcée.
– Et pourquoi est-elle aussi chère? demande le type en sursautant devant le prix de ce modèle qui est au moins cinq fois plus coûteux que les autres modèles, déjà passablement onéreux.
– Mais parce qu'elle vient avec la maison de Ken, la voiture de Ken, le chalet de Ken, le bateau de Ken, la moto de Ken…
Vous vous demandez pourquoi je vous raconte cette vieille blague épaisse? Parce que c'est l'été, que je résiste mal à une insoutenable envie de légèreté et que j'en ai marre de vous bassiner avec des sujets d'actualité? Un peu. Mais c'est surtout parce que Barbie s'est justement divorcée de Ken cette année. Ne riez pas, c'est vrai. Après quatre décennies d'un si parfait bonheur, la muette blonde dont les improbables mensurations auront fait hurler les féministes a finalement dumpé son chum. Pour le remplacer, Barbie s'est entichée de Blaine, un jeune surfeur australien aux cheveux délavés par le soleil et l'eau salée.
Si Ken était le personnage d'un roman de Bret Easton Ellis, il engourdirait son chagrin aux anxiolytiques, à la coke et aux vodkas-tonic. Il fréquenterait les bars branchouilles de Los Angeles et New York. Il culbuterait Paris Hilton dans les toilettes du club appartenant à Dennis Rodman, puis mourrait entre les mains d'un groupe de top-modèles féministes extrémistes lui reprochant d'avoir encouragé les comportements anorexiques de Barbie…
Mais, en réalité, ce pauvre bougre de Ken est en voie de devenir le symbole en plastoc de la détresse des mâles occidentaux.
Si, si. Enfin, si j'en crois le récent dossier du Nouvel Observateur sur la condition masculine… et cette blague de mâle frustré que je vous servais en guise de préambule.
Perte des modèles et des repères, changement de valeurs, féminisation de la société, désintégration du système patriarcal, omnipotence des femmes: si Ken a mal dans son corps de plastique et son âme de cellophane, l'homme moderne souffre au moins autant. Dur à croire: même les Français, ces modèles de machisme, ne savent plus où donner de la tête.
Et n'allez pas faire porter tout le poids du blâme au féminisme: paraît que la qualité du sperme irait en décroissant partout sur la planète, tandis que d'éminents scientifiques prévoient jusqu'à l'éventuelle disparition du chromosome Y, annonçant l'avènement d'un "univers peuplé d'amazones lesbiennes"… dans environ 200 000 ans.
En attendant, l'homme moderne geint, se tord de douleur sur les plateaux de télé, dans les magazines et les lignes ouvertes à la radio, au point où ç'en devient gênant.
À notre décharge, les tendances sont parfois difficiles à suivre. Les femmes ont demandé aux hommes de virer au rose, puis les ont virés parce qu'ils étaient devenus des lavettes, confirmant la véracité de ce mot d'esprit de Sonny Barger, cofondateur des Hells Angels (sic!), cité dans le dossier du Nouvel Observateur : "La plupart des femmes qui s'extasient devant la séduction des hommes sensibles mouillent leur culotte pour une brute tatouée." Ainsi, comme poursuit le Nouvel Obs, les femmes chercheraient "des amants doux comme des filles, sachant les baiser comme des camionneurs"?
Entre vous et moi, vous choisiriez d'être quoi, vous? La gentille lavette ou l'infâme baiseur en série? Existe-t-il un compromis qui ne soit pas aussi lénifiant que cet homme mauve qu'on nous propose désormais?
Disons qu'on est mal barrés, incapables de trouver un modèle équilibré entre la tradition et les ambitions pour la plupart légitimes des femmes, n'étant parvenus qu'à s'aplatir devant elles. À croire que toute la virilité des hommes tenait d'une sorte d'atavisme issu d'une culture totalitaire qui, une fois disparue, n'a laissé que du vide.
On se pose donc la question: en prélude à l'extinction prévue dans 200 millénaires, les seuls modèles masculins qui ne sont pas des désastres de caricatures machistes deviendront-ils encore plus pitoyables que les stéréotypes féminins d'avant le féminisme?
De bons petits maris sans défense qu'on quitte un jour, par ennui, et à qui, par pitié, on laissera la voiture de Barbie, la maison de Barbie, le chalet de Barbie, le bateau de Barbie, la moto de Barbie…
Je crois que le problème de la société d’aujourd’hui est un problème collectif. Ce ne sont pas les hommes qui ont un problème et qui doivent changer du tout au tout mais les femmes qui doivent savoir ce qu’elles veulent et apprécier l’homme tel qu’il est. Nous sommes présentement dans une situation où les gens se cherchent et ne veulent plus dévoiler leur vraie identité Mais qui sommes-nous et où alons-nous? Où est passer cette femmes qui est heureuse de se sentir protégée par son homme qu’elle admire? Eh bien, non, les femmes veulent prouver qu’elles sont fortes et qu’elles ont le pouvoir. Je ne dis pas que c’est mal d’être indépendante et de vouloir se réaliser mais je ne pense pas que c’est la bonne route à suivre. Il ne faut pas exagerer dans tout ça!
Je suis moi-mêm une femme, pas féministe du tout et je crois qu’il est important d’accepter l’homme dans sa vraie nature. Et oui, il peut faire des tâches ménagères et être présent mais il ne faudrait pas lui laisser toute la besogne. Je suis peut-être vieux jeu mais il manque l’équilibre dans tout ça; celui qu’il y avait autrefois. Ce n’était pas parfais mais il y avait du respet. Le problème est là et dans la communication. Chacun met la faute sur l’autre et refuse de se regarder en face afin d’avouer ses tords. Et bien moi, ça m’horripile de voir tout ça. Pour l’harmonie du couple et des deux sexes, il faut prendre le temps de s’accepter et de s’imer tel que nous sommes. Arrêter de vouloir changer les autres!
Et pour couronner le tout, on embarque les jouets dans cette galère! Et bien là, quel exemple et quelles valeurs nous transmettont à nos enfants. Pas étonnant que plus grand monde ne croit en l’amour de toute une vie. C’est la facilité et le droit de tout changer quand ça marche pas au lieu de travailler pour arranger les choses. De plus, pourquoi Barbie n’aurait-elle pas des enfants avec son surfer et qu’ils se sépareraient et que là, c’est lui qui aurait tout avec les enfants…Tant qu’à ça hein!
Triste vision des femmes que l’on nous propose ici sans toutefois jamais parler de la vision que l’homme a de la femme de ses rêves. Non, je ne crois pas que ce soit bien mieux. Je suis peut-être une femme trop optimiste mais je crois bien que le mélange entre la brutte et le doux existe vraiment. Non, je ne crois pas au prince charmant et d’ailleurs comme bien des filles, je n’en voudrai même pas. La recherche de la perfection n’est plus à la mode. On veut aussi des frictions pour ne pas s’endormir après 10 ans de vie commune. Jusque là, je crois que nous n’en demandons pas trop! On veut de l’actions et on veut être avec quelqu’un qui peut nous contredire avec des vrais arguments.
Pauvres nous autres! Avec la montée du féminisme, l’homme, au début, ne s’est pas trop méfié. Puis, petit à petit, il n’a plus trop su comment aborder l’autre sexe. Parce que, il faut bien le dire, on ne sait plus sur qui on tombe de nous jours. Les féministes pures et dures ne courent peut-être pas les rues, mais les mélanges sont souvent explosifs. Que veulent les femmes? Aucun homme ne peut répondre à cette question, pas parce qu’elle est trop compliquée pour nos pauvres petits cerveaux, mais parce que les femmes elles-mêmes ne sont pas capables d’y répondre. Elles ne savent pas ce qu’elles veulent. Elles veulent être baisées par un amant qui est un Dieu Shiva à huit bras et 40 doigts, mais cet amant doit aussi être romantique, ), beau comme un homosexuel et arriver sur un cheval blanc (une BMW peut faire l’affaire. Mesdames, nous ne sommes que des hommes. Essayez donc de n’ëtre que des femmes.
Sans vouloir offenser votre opinion très cher ennemi public, mais cette chronique est d’un ridicule spectaculaire !
Pourquoi faire un plat avec la vie amoureuse d’une poupée ? Pourquoi mettre autant d’attention sur un sujet aussi cave ?
C’est vrai, la Barbie est représentative de tous les maux occidentaux… Obsédé par la vanité, obsédée par l’argent, vide de tout contenu spirituel ou intellectuel… Aucunes valeur autre que cette obsession sur l’image…
C’est scandaleux de voir qu’une poupée se vend aussi facilement et en si grande quantité. !
Des millions de petites filles convaincues que c’est un symbole acceptable et noble !!!
C’est dégoûtant !
Mais, de jouer le jeu d’observateur de cette tragédie humaine, et de nous embêté avec cette histoire aussi ridicule, vous omettez de parler de choses combien plus importante ;
Le blocage de la loi 30.
La construction éminente de la centrale Suroît.
Les propos sale à l’égard de Maka Koto dans un ère où le racisme ne devrait plus être.
Parler de cette futile et idiote histoire de Barbie, c’est d’être un accessoire à ce crime vulgaire contre l’humanité.
Et, vous faites un peu partie du problème en parlant de cette poupée horrible. puisque de publié de l’attention, même si celle-ci est négative, c’est une attention qui est néanmoins
placée sur cette monstrueuse création qu’est la fu***** barbie !
Pauvre petit homme…Sans modèle acceptable. Sans référence sinon cette femme castatrice qui impose son modèle d’être frustré et revanchard. Voilà où on en est. Je caricature à peine. Étant de cette génération d’hommes qui ont vu les femmes prendre une place beaucoup plus importante dans notre société, je dois avouer que je m’y suis souvent senti mal à l’aise. Un peu « reject ». On m’a placé sous les feux de la rampe, décortiqué, analysé et pourtant.
L’image que ma société me projette de moi est très différente de ce que je pense, de ce que je vis. Ce que j’ai vécu ressemble un peu à ce qu’ont vécu la majorité de mes copains. Je ne me suis jamais marié et n’ai pas eu d’enfant même si j’ai passé plusieurs années à contribuer à l’éducation des enfants de mes conjointes. J’ai vécu plusieurs relations prolongées. J’ai largué et été largué. J’ai aimé et je l’ai été. Toutes ces relations m’ont aidé à mieux comprendre les femmes et me situer par rapport à elles. Toutes ces relations ont eu une fin, sauf celle que je vis actuellement. Malgré tout, j’aime encore et je suis encore en couple. Et je crois toujours que les hommes et les femmes forment le plus bel alliage possible. Oh, je n’enlève rien aux couples gais qui peuvent parfois très bien se compléter mais je crois tout de même que la relation homme/femme est l’état relationnel le plus enrichissant qui peut exister.
Je suis de ceux qui pensent que la condition des sexes dépend essentiellement de la condition de leurs relations. En fait, ce n’est pas si vrai que la femme ou que l’homme aient tant changé. La femme d’aujourd’hui est foncièrement la même qu’elle a toujours été. C’est pareil pour l’homme. Nous avons très peu évolué en tant qu’espèce et en tant que genres. Ce sont nos relations qui ont changé. Nos modèles de relations je dirais. Notre éducation, nos carrières, nos rapports avec l’autorité, nos ambitions…Tout ça a changé. Pas nous. Nous ne cherchons encore qu’à essayer de vivre ensemble!
L’appellation « homme rose » me met hors de moi. Voilà pour ridiculiser l’homme au caractère plus doux, plus tolérant et plus compréhensif : affublons-le de la couleur d’un tutu.
Les modèles sont tellement manichéens. L’homme policier et la femme infirmière. Moi Tarzan, toi Jane. Dans les médias, par lesquels nous sommes envahis, il n’existe point de référents plus subtils que la femme en tant que produit de consommation et que l’homme en tant que consommateur.
Barbie a remplacé les contes de fées. Si je puis me permettre un peu d’humour noir, je soulignerais le fait que ces contes, principalement été écrits par des membres (sans jeu de mots) de la gent masculine et destinés à des fillettes, avaient pour but principal de faire croire aux jeunes prépubères que la joie suprême consistait à être choisie comme la plus belle par un prince qui copule comme un lapin : « ils eurent de nombreux enfants ».
Bon, je parodie un peu, mais je dois admettre que tout cet univers sucré me donne plutôt la nausée.
Et pour en revenir à Barbie : argent, beauté, superficialité, sont les principales valeurs qui sont véhiculées avec ces poupées californiennes.
On veut vraiment en faire des nunuches, de nos jeunes demoiselles.
Et maintenant qu’elle est divorcée, elle pourra faire pâlir d’envie toutes ses camarades :
« Tu vois, moi, j’ai deux mecs totalement fous de moi. C’est parce que c’est moi la plus belle du monde. C,est important, dans la vie, d’être belle. Toi, tu en as des mecs qui se battent pour toi ? Non ! Ah…mes condoléances. »
C’est à pleurer pour Ken et tous les autres qui n’ont pas été capables de créer leurs propres identités. Parce que les femmes en ont eu assez de faire tous leurs petits caprices, les hommes ont viré au rose. On ne leur a jamais demandé de se transformer en femme, on leur a simplement demandé de nous respecter, de nous appuyer au quotidien, de nous aimer pour ce que nous sommes pour le meilleur et pour le pire sans abuser de leur autorité. Les femmes ont repris un certain pouvoir, c’est vrai je l’avoue. Un simple pouvoir pour elles-mêmes et pour toutes les autres qui les suivront. À mon avis, les hommes sont capables par eux-mêmes de se reprendre en main sans nécessiter encore une fois de notre relation de maternage pour devenir sage. Ils ont leurs mots à dire dans l’éducation des garçons, c’est à eux de prendre leur place, leurs responsabilités afin de donner à leurs rejetons le meilleur d’eux-mêmes. Allez-y, la place est là, soyez vous-mêmes et ne vous laissez pas distraire par l’orgueil qui est souvent votre grande faiblesse. L’avenir est devant nous, on vous attend…..cher p’tit Ken…
Quelle fillette n’a pas déjà eu en cadeau une poupée Barbie? À l’âge que j’avais quand je l’ai reçue en cadeau, je n’avais aucune idée de ce qu’elle représentait au point de vue social ni esthétique puisque ma seule idée était d’en avoir une pour jouer avec mes soeurs. Ma mère s’est empressée, pour nous faire plaisir, de nous fabriquer de jois vêtements pour toutes les occasions: robes du soir, ensembles sport. pyjamas, etc… Nous étions très heureuses de « jouer à la Barbie » . En y repensant, je me rends compte que j’ai passé plus de temps à lui fabriquer une belle maison avec des boîtes, des morceaux de tissus et toutes sortes d’objets qui ont tenu lieu de meubles que de faire vivre ma poupée avec celle des autres. Cet engouement, dans mon cas, n’a duré que 2-3 ans tout au plus.
Aujourd’hui, adulte, je vois tout ce que représente cette poupée. Elle est trop parfaite et stéréotypée à mon goût. Elle est plus représentative de poupées de collection avec toute la panoplie de vêtements qui représentent la mode des années à travers lesquelles elle a vécues. Même les grands couturiers veulent l’habiller. À prix d’or encore une fois.
On a beau parler, qui aurait pu dire lors de sa conception qu’elle aurait vécu aussi vieille? Et avec un corps de déesse de 20 ans en plus!
Ken s’est peut-être teint les cheveux parce qu’il avait envie de se changer un peu …juste pour voir …ou se faire voir en Blaine! Avec le temps il a peut-être tout simplement cessé d’utiliser la lotion Grecian Formula…et ses cheveux ont blanchi…un peu …puis pas mal …et enfin complètement! La vie change et nous change qu’on le veuille ou non.
Quand à la grande réduction de spermatozoïdes c’est peut-être parce que Ken portait des sous vêtements trop serrés et que son scrotum s’est trop réchauffé en touchant continuellement son corps alors qu’il (Le scrotum pas Ken) était fait pour pendre …à tout vents!
Ma passion fougueuse(avec l’accent sur la première syllable) de mes vingt ans je m’en souviens…d’un souvenir nostalgique …mais le temps passe et la vie continue même quand on approche la soixantaine.
Je me souviens des jours anciens et… je souris en pensant à ceux à venir!
Je ne pleurerai pas pour l’homme en désarroi. Pour son absence de modèle, sa perte de repères. Je ne pleurerai pas parce qu’on est tous dans le même bateau.
Hétéro, métro, homo: de jolis petits noms branchés qui se placent bien dans les conversations et alimentent joyeusement les guerres de tranchées. Vive les catégories!
Femmes, hommes, nous sommes tous placés devant cette possibilité, terrible, d’être qui nous sommes vraiment. De nous assumer. Vouloir se cantonner à tout prix dans un modèle qui a « fait ses preuves », c’est baisser les bras devant chacune de nos réalités individuelles. Après tout, quelle économie de temps, Seigneur! de pouvoir faire comme son père en se disant que ça a toujours bien marché! Pas besoin de se poser de questions idiotes sur le sens de la vie! Sur ce dont on a envie! Nooonnn.
Mais permettez-moi de tiquer. Faire comme son père. Flashback sur mon adolescence: qui jurait de ne jamais ressembler à sa mère? Qui revendiquait son unicité? Moi. Et sincèrement, j’en connais des masses qui ont dit la même chose.
Combien d’autres, en milieu de parcours, vivront une crise identitaire et remettront en question ce qu’ils ont accompli? Même avec un modèle à suivre, on ne s’épargne pas ces maux de tête. Ne serait-ce qu’à la toute fin.
Je crois que pour la 1ère fois, hommes et femmes ont la possibilité d’être. Sans contrainte de rôles prédéfinis, sans masque d’absolu à porter. Oui, faudra s’adapter, mais ça en vaut le coup.
Les femmes, plus exigeantes envers les hommes qu’ils ne le sont envers elles? Un homme rose? Une brute? Et puis quoi encore? Et c’est qui qui cherche en la même femme la vierge, la mère et la putain, celle qu’on n’aura pas honte de présenter à ses parents, qu’on pourra fièrement promener à son bras, qui brillera (mais moins que soi, quand même!) en société tout en étant une bombe au lit? Ben voyons.
Connais-toi toi-même. Et accepte l’autre pour ce qu’il est. Un être humain. Pas une statistique de marketing.
Je suis en harmonie avec le fait que je ne sois pas un homme rose, même pas rose foncé…
Je suis un macho au yeux de certaines et un mâle au yeux des autres…
Je me fous de la vaisselle et du ménage que je fais quand ça me tente…les tâches ménagères…who cares! Si ma blonde se tape tout ça, je ne me sens pas obligé d’y participer et tant mieux si elle ne demande pas que je l’aide… L’épicerie…non merci!
J’ouvre et tiens les portes pour les femmes qui me suivent, je laisse ma place au besoin ou par courtoisie et je souris à pleines dent en regardant droit dans les yeux jusqu’à ce que mon regard force le détournement…
Ce sont quelques uns de mes comportements…avec lesquels je me sens très bien et pour lesquels on me juge « macho »…
La majorité des femmes ne savent pas me donner de définition précise sur ce sujet…un macho n’a pas la même définition selon la personne questionnée. On dirait que l’on ramène tout aux tâches à la maison et au faux gestes de politesses ou de courtoisies que l’on pose…
Alors quelqu’un a une définition qui se tient ?
Pour se retrouver un jour dans la peau d’un divorcé, encore a-t-il fallu qu’un jour l’on ait été marié. Pour que sa conjointe parte avec la maison de Ken, la voiture de Ken, le chalet de Ken et tutti quanti, il a bien fallu que notre Ken se marie un jour et s’il considère qu’il se fait léser en divorcant, c’est qu’il juge que ce qu’il doit laisser à parts égales n’a pas été acquis à sa juste valeur par sa compagne. Mais encore là, comment juger de l’équité si l’un des deux s’est sacrifié plus que l’autre ainsi que sa carrière pour élever les enfants. Disons-le carrément, notre Ken pleunichard pleure le fait qu’il n’a pas pu trouver la formule miracle qui retient à jamais l’amour prisonnier. Le rose pas plus que le tatouage ne sont des gages de succès ad vitam aeternam et notre camionneur avec un aigle sur le dos est peut-être devenu arttirant pour le beau sexe parce qu’il est le plus mal baisé qui soit et qu’il en a en réserve de la testostérone mal dépensée. Il a aussi cru que le mariage était son rampart le mettant à l’abri de toutes les visciscitudes de la vie, toutes orientations sexuelles confondues. S’il n’avait cru à aucune de ces formules qu’il croyait gagnantes, ils se serait contenté des contrats et de leurs ternes stipulations qui ne promettent jamais rien d’autres que ce qu’ils sont mais qui ont au moins le mérite de ne promettre aucun mirage. Il en aurait résulté un Ken moins macho, moins rose mais diablement plus lucide.
Fatiguée d’argumenter, vous me permettrez de vous proposer un texte de Rudyard Kipling
Si…
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être que penseur ;
Si tu sais être dur, sans jamais être en rage,
Si tu sais être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral et pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors les Rois les Dieux la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un homme mon fils !
Rudyard Kipling
Alors ce coup ci David tu viens de te mettre les 2 pieds directement dedans. Ce trou ou aucun mâle ne veut aller, celui dont peu reviennent et ou l’homme est en quelque sorte la peau d’ours étendue devant le foyer, ce trou c’est l’entrée vers le monde des féministes. Alors fort de ta chronique je monte la barre un peu plus haut,
Que veut la femme d’aujourd’hui, qu’est ce qui la fait vibrer. Que recherche-t-elle dans l’homme de sa vie, quels sont le ou les critères indispensables afin de pouvoir, respirez un peu ici car la marée arrive. Un seul mot résumera ici la pensée de la majorité féminine, l’argent.
J’entend d’ici les ho et les ha, regarde ce que le mec ose écrire, c’est pas vrai un autre macho et des masses de commentaires géniaux. Vous n’avez pas à adhérer à cet énoncé, vous pouvez en arriver à la même conclusion en discutant avec vos copines et confirmer le tout comme je l’ai fait. L’argent mène malheureusement le monde avec comme fidèle accolyte son ami le matériel.
Ici je ne parle aucunement de la majorité mesdames, je parle de la moyenne un peu plus élevée que le 50.1% nécessaire. Le mec qui a du fric est ce qu’il y a de plus recherché en ville, une sorte de fontaine de jouvence pécuniaire. Celle par qui le bonheur arrive et qui n’a de fin qu’avec l’épuisement des ressources.
Bien sur mesdames qu’il y a de digne représentantes de votre sexe, de nobles demoiselles pour qui les valeurs priment sur le confort et je vous lève mon chapeau. Aujourd’hui ce n’est plus dis-moi ce que tu manges je te dirai qui tu es, aujourd’hui c’est dis-moi combien tu as et je te dirai comment tu es. Non aujourd’hui la virgule bancaire est beaucoup trop importante et est plutôt représentative de la société.
Suis je étonnée que Barbie ait largué Ken, aucunement, vous savez pourquoi. Parce que Blaine est fils unique et son père multi millionnaire, un de ces quatre quelqu’un héritera.
Est-ce la seule façon de retrouver la moto sur laquelle homme et femme filaient dans ce qu’ils croyaient être le bonheur ? En liberté, mais pas libres de ces attaches-objets qui réflètent leurs sourires, laissant dans la poussière derrière eux la carcasse rouillante de ce qui aurait pu être une vie construite ensemble.
La brute tatouée n’est pas en voie d’extinction, du moins en ce qui concerne le maquillage égratignée qu’on peut se faire appliquer dans de plus en plus d’endroits spécialisé dans ce genre de cache-sexe, devenir des caricatures machistes, s’attroupant comme bruyants Hells Angels des fins-de-semaines en quête d’approbation. Et que nos règlements municipaux n’osent astreindre, quand on veut faire à notre tête, coiffée d’un casque qui cache les cheveux délavés d’un surfeur Net.
À la base de cette « condition masculine » qui se désagrège existe un malentendu qu’il commence à être urgent de clarifier: il n’existe pas 2 groupes d’humains distincts: les hommes et les femmes. La généralisation est dangereuse partout. On ne peut certainement regrouper tous les hommes comme on ne peut pas regrouper tous les noirs, tous les homosexuels, tous les chinois, que sais-je!? Chaque individu est différent, c’est ce qui rend la vie (en société du moins) difficile et complexe, mais aussi intéressante et enrichissante. Hommes comme femmes, il faut que nous acceptions qu’il n’est pas possible de simplifier la réalité en la divisant en deux groupes; il faut accepter qu’il existe une multitude d’individus, tous différents, tous complexes. Je connais une autre personne qui est aussi de cet avis que nous sommes tous des êtres humains, sur une planète de plus en plus en péril, faisant face à un avenir de plus en plus incertain, et qui croit que le sexe n’est pas un facteur d’entente ou de mésentente. Cette personne croit tout comme moi que l’opposition dans laquelle vivent 2 moitiés de population depuis des lunes n’est plus pertinente et surtout pas efficace pour régler les problèmes importants auxquels font face nos sociétés. Cette personne est aussi d’accord avec moi pour dire que les tâches ménagères sont une réelle perte de temps et un écoeurement total pour tous, mâles ou femelles; que « l’instinct maternel » est une invention de la société patriarcale, que nous pouvons à tout moment tomber amoureux d’une personne extraordinaire, avec qui nous voudrons tout partager, et le sexe de cette personne a peu à voir dans tout ça. Cette personne est mon conjoint,il est un homme,mais ça n’a aucune importance.Nous ne vivons plus à l’ère préhistoirique, il faut se libérer de ces stéréotypes éculés, que nous ne questionnons pas suffisamment: pourquoi une femme serait-elle programmée biologiquement pour aimer le ménage??? poser la question s’est y répondre: c’est ridicule.
Autant l’homme a, dans le passé, exploité l’image de la femme « sois belle et tast toi », l’homme est maintenant la victime de l’image d’homme rose.regardez la majorité des annonces, des téléromans.on y voit des hommes faibles et/ou malhabiles et/ou incapables de prendre des décisions. on crée une image d’homme rose.on renverse la pendule quoi.. L’homme d’aujourd’hui n’a pas le droit d’être choqué après le conducteur qui lui coupe la route, Il n’a pas le droit d’aimer les films de violence ou les sports violents.. Les femmes (mères) essayent d’inhiber toutes formes de violence chez leur conjoint (garçons). elles essaient de transformer la nature même de l’homme. Pourtant la société n’a jamais été aussi violente.
Est-ce cette répression qui explose d’un seul coup ?
Quand j’étais jeune et qu’un gars à l’école t’écoeurait, tu lui tapais dessus et c’était fini.. Pas de « geste réparateur », pas de dénonciation, de signature, ou de parent qui te poursuit, ou autre gus gus du genre. On réglait nos affaires entre nous et on respectait celui qui se faisait respecter c’est tout.. Mon père me disait, ne pars pas les bagarres mais défends toi.
La femme a pris le contrôle de la façon de penser de la société et essaie de faire à l’homme ce que l’homme lui a fait durant des siècles. C’est pas ça l’égalité des sexes !
Depuis quelques années, on parle du « manque de modèle » pour les jeunes hommes en devenir. J’ai toujours eu un sourire en coin lorsque j’entendais parler les « spécialistes » ainsi. C’est quoi un modèle? Quelqu’un de qui je veux calquer la vie? Je suis capable d’admirer les qualités de mes compagnons hommes, ce qui en fait en quelques sortes mes « modèles », selon leur définition, mais je suis aussi capable de penser par moi-même, de choisir ce que je veux faire… En bref, pas besoin d’avoir grandi en voyant Guy Lafleur « scorer » à tour de bras ou avec je-ne-sais-quelle vedette américaine macho d’un soap mal traduit pour être un homme. Alors s’il vous plaît, lâchez-nous avec vos histoire de modèles et d’homme perdu dans un univers féminin. Si vous êtes perdu, c’est que vous n’avez pas encore digérer la révolution féministe et que votre cerveau tourne encore au rythme de « Papa a raison ».
Il est temps de passer à autre chose… s’il vous plaît!!!
Effectivement il y a un malaise. L’homme d’aujourd’hui ne sait plus où donner de la tête et je le comprends! Les femmes (et j’en suis!) veulent un homme qui s’affirme mais pas trop, qui dirige mais pas trop, qui paie mais pas trop… Elles veulent un homme qui fait le ménage, berce les enfants et qui organise la maisonnée tout en étant viril… méchant programme!
La conscience du modèle naturel a carrément pris le bord! Vous connaissez le modèle naturel… Celui qui veut que l’homme soit le pourvoyeur et la femme la responsable de la maison et des enfants. Je vous entends déjà crier que ce temps est bien révolu… mais sans vouloir revenir en arrière, ces antécédents nous aident à comprendre d’où l’on vient. L’objectif n’est pas de perdre le terrain gagné par les luttes féministes, mais de trouver un compromis satisfaisant pour chacun. L’homme se sent tout simplement dénaturé…Les femmes ont voulu tenir en partie le rôle de l’homme et suggère maintenant fortement à son homme d’enfiler son costume rose et mauve…tout en restant viril bien sûr…
Si on acceptait que les hommes et les femmes sont fonciérement différents…Oui, tous les humains sont différents, mais ne vous en déplaise, moi je dis qu’il y a un groupe homme et un groupe femme. Chacun des groupes a des ressemblances et c’est tout simplement génétique. Cessons de faire semblant que notre conjoint ou notre conjointe a le même shéma de pensée que nous. Je n’invente rien. Tout les psycho-machins vous le dirons; nous sommes différents : nous pensons différemment: nous réagissons différemment et c’est normal. Le travail qu’il faut faire quand on a réalisé ça, c’est de respecter les différences et les besoins de l’autre. Admettons que sans communication, ouverture, travail et compromis de chacun des membre du couple, il est fort à parier que nous finirons comme Barbie et Ken… à se séparer les biens…
Voici ma « théorie », librement inspirée du « good guys always loose », inspirée par la précédente chronique.
Les femmes « préfèrent les ginos » pour plusieurs raisons simples:
1) ces hommes ne sont pas compliqués à comprendre, et, par conséquent, à manipuler (tu veux quelque chose: tu montres un peu de peau et ton booty call… the rest is his story…);
2) la femme a pu, par le passé, être considérée et traitée comme un objet sexuel mais l’homme d’aujourd’hui EST un objet sexuel, aussi facile à entretenir qu’un dildo (il vient en plusieurs couleurs, grosseurs et avec plus ou moins de gadgets en option);
3) s’amouracher d’un macho est toujours facile à justifier (c’est un geste irrationnel; il est incroyable au lit, Marie; il sait me prendre comme une bête, etc…);
4) le genre de relation qui s’établit entre une femme et son gino est toujours non-conflictuelle (il n’y a que des conflits d’horaires, tout le reste est occulté parce que tout se vit au présent, dans le feu de l’action, c’est la passion, que voulez-vous…);
5) la relation est agréablement éphémère, comme une bonne cigarette fumée distraitement après une bonne journée de DUR labeur;
6) il est possible de tromper son macho sans aucun remords ou scrupules (les hommes sont tous des chiens, anyway…);
7) larguer, dumper, quitter un homme brun (un plein de marde, finalement!), rien de plus facile et justifiable (un moment donné, c’est fini les folies, tsé…);
8) est-ce que j’ai vraiment besoin d’en rajouter?
Alors, homme rose, homme mauve, homme brun, homme noir, tenez-vous le pour dit: moi je préfère rester un « joyeux » homme vert. Vert pour les trois R. R, pour recyclage (des bonnes manières). R, pour réutilisation (de certaines traditions). Et R, pour récupération (des femmes qu’on a laissé tomber ou ignoré pour rien).
Alors, mes amis, votez pour moi et joignez le Parti Vert. Un parti pour rester! Et passez un bel été: y’a pas just’ les trous d’culs qui ont le droit d’aimer!
Bien sûr, si les hommes virent au rose, c’est de la faute des femmes ! La femme d’aujourd’hui est une mécanicienne à gros bras pleine de cambouis qui se sert une bière en rentrant du boulot tandis que son homme, tablier noué autour du cou, fait la cuisine en l’attendant. Madame sent le swing sous les aisselles alors que monsieur, poitrine fraichement rasée, sent la crème parfumée à deux kilomètres.
Wow, stop ! Pourquoi diable faudrait-il que l’homme ne soit pas lui-même responsable de son changement de couleur ? On accuse les femmes de vouloir la perte de l’homme macho en féminisant la société, mais si les hommes leur laissent prendre autant de place, n’est-ce pas plutôt parce qu’ils reconnaissent enfin leur importance dans certains domaines qui leur étaient auparavant fermés ?
La femme que je suis n’a jamais demandé à aucun homme de devenir un Ken effacé qui se laisse dominer sans broncher. Bien au contraire, je préfère de loin un homme un peu macho qu’un clown rose nanane qui se terre derrière un meuble dès que je claque des doigts.
Mais si les hommes deviennent de moins en moins macho, ne serait-ce pas plutôt parce que ce qu’ils sont aujourd’hui est plus proche de leur vraie nature ? Avant, l’homme se devait impérativement d’être fort, ne pouvait aucunement montrer ses faiblesses, se laisser aller à verser quelques larmes lorsqu’il avait de la peine. Il refoulait ses sentiments parce que pleurer était affaire de femmes. Aujourd’hui, les hommes se laissent davantage aller à montrer leurs sentiments dans cette société qui fait davantage de place aux femmes. Doit-on s’en plaindre ?
Vous prenez là l’excellent exemple de Ken. Et parlons-en justement ! Ce blondinet imberbe au torse rasé qui doit prendre son bain dans une baignoire de parfum me gonfle royalement. Moi, Jane, je veux un Tarzan poilu, velu, un vrai homme ! Mais si l’homme d’aujourd’hui préfère singer Ken, qu’il ne vienne pas ensuite se plaindre que c’est de la faute de Barbie !
J’ai joué à la Barbie, mais ne suis pas devenue une « Barbie ».
J’ai connu des machos, des roses, des gris, des verts et tendres et des durs.
J’ai rencontré des opinions diverses sur le couple, la famille, les enfants, les rôles des gars et des filles.
J’ai discuté avec toute sorte de monde de leurs idées et des miennes sur ce qu’est un homme, une femme.
Et après… je me suis faite MA PROPRE IDÉE, ce que je veux être et avec qui je veux vivre.
Laissez les MODÈLES instantanés, les moules dans lesquels il faut entrer.
La solution, qu’on soit homme ou femme, n’est-elle pas d’être soi-même, trouver quelqu’un qui nous accepte, avec nos qualités et nos défauts, car souvenez-vous qu’on en a tous, au moins un ou deux, des défauts. Et ce quelqu’un, on l’aimera comme il ou elle est. Il faudra toute sa vie faire des compromis, surtout avec l’être cher, peut importe son sexe.
Toute la vie n’est pas taillée au couteau et il n’y a aucun modèle qui règle tout, une fois pour toute.
Sachons d’adapter comme tout humain intelligent.
Pendant des millénaires, et avant même l’apparition de l’homo sapiens, le masculin «dominait». Avec l’évolution, le développement de notre conscience, l’intelligence humaine, la force est devenue moins physique et plus mentale. Et avec le féminisme, le rapport de force a changé, les gens ont commencé à comprendre que les femmes aussi peuvent accomplir de grandes choses. Les hommes ont été tellement surpris de l’affirmation et de l’expression des nouveaux besoins, réels, de ces femmes qu’ils ont accepté les revendications, qui étaient justifiées quand même, sans répliquer. Cependant, le rapport de force continue de se modifier et les femmes en prennent de plus en plus. Mais faut quand même pas exagérer. Je ne veux pas dominer ma blonde, mais je ne veux pas me faire dominer non plus.
J’ai toujours été d’accord avec l’égalité des sexes, d’accord sur le fait que l’homme n’est pas supérieur à la femme, mais merde, la femme n’est pas plus supérieure à l’homme. Nous naissons avec des prédispositions, des différences significatives et par exemple, en moyenne les femmes sont de meilleures gestionnaires, ont de meilleures relations sociales et sont plus émotives, les hommes sont plus créatifs, plus logiques et rationnels. Les hommes et les femmes naissent avec des différences qui sont renforcées par notre environnement. Nous ne sommes pas identiques, nos différences se complètent et sont nécessaire. Les femmes se sont justes exprimées plus fort que les hommes, nous n’avons qu’à nous affirmer à notre tour, dans ce que l’on est.
Et à propos de l’histoire du chromosome Y qui disparaîtraitrait, vous pouvez dormir sur vos deux oreilles. Avec certaines connaissances en psychologie et en biologie, on peut se rendre compte qu’il ne peut disparaître à moins de modifier le mode d’évolution et de reproduction de l’espèce entière, et la nature ne se donnera pas un tel mal, ce serait ridicule voire impossible à réaliser, surtout dans une période aussi courte que 200 000 ans!
Ken s’est fait sacrer là?! Quelle surprise!
Depuis quelques années la femme abuse de son pouvoir… Elle a décidé de prendre sa place, de suplanter l’homme et de glorifier son image de dame en devenir… Mais malheureusement elle tue toute la crédibilité de la femme en elle-même! Que voulez-vous les femmes sont comme ça… Si on leur donne le droit de parler, elle vont le prendre… Mais le problème…? Elles sont indésises. Elles qui proposent quelque chose mais supposent le contraire…
Malheureusement nous avons trop pris de place… Et le monde s’en retrouve un peu confus. Pas étonnant de retrouver des hommes abandonnés ou trompés par leur supposée tendre moitié. De toutes les histoires que j’entends, c’est la femme qui trompe, c’est encore la femme qui s’écoeure de son chum, et cette même femme qui veut aller voir ailleurs et jouer de son pouvoir de séduction sur un autre homme. Ken et Barbie quel bel exemple de cette société renversée!
Dommage qu’après tant d’années à se battre pour avoir une place dans la société, cette époque glorifique de la femme s’achève. Il est clair que l’homme est tanné, ne sait plus et bientôt ne croira plus en nous. Nous avons perdu toute crédibilité parce que nous abusons de cette belle image que nous sommes et qui a su si bien séduire les hommes…
CES HOMMES…
Qui ne voient que les G-Strings trop visibles…
Que les filles qui ne jurent que par le sexe et ne se respectent plus…
Que celles qui promettent, mais s’en vont et ne reviennent pas…
CES HOMMES…
Qui n’osent même plus aborder les filles…
-Réveillez-vous les filles, et cessez d’être de jeunes capricieuses finies qui croient que les beaux seins en silicone et le sexe peuvent tout acheter! Nous ne pourrons jamais racheter cette époque alors pourquoi ne pas faire en sorte qu’elle dure. Il est temps de commencer à traiter l’image de la femme de façon respectable. Afin d’être ainsi respectée!
Quand j’ai lu le début de votre chronique, je me suis dit « y’a pété les plombs…il nous parle de Barbie ». Mais en continuant le texte je fus rassuré de voir que l’on y parlait des hommes qui aujourd’hui sont devenus des lopettes. Mais est-ce vraiment intéressant d’être un macho ou une moumoune. Vous dites et je cite : La gentille lavette ou l’infâme baiseur en série? Je trouve que ça manque de nuance. Parce que dans la vie tout n’est pas blanc ou noir. il y a gris , mais aussi gris foncé et gris pâles, en fait il y a une multitude de gris. C’est vrai qu’il ne faut pas devenir le type super gentil qui fait tout à la maison et qui écoute Virginie le soir, puis se couche dans des draps de flanelle à 21 heure. Mais il ne faut pas être non plus le gros con qui ne pense qu’au cul et regarde le hockey constamment en se saoulant tout les soir. Il y a moyen d’être entre les deux. Vous pouvez être très gentil avec votre copine et être plus féroce au lit si ça vous dit.. L’un n’empêche pas l’autre. Par contre certaine fois, les femmes ne devraient pas avoir peur de demander à leur mari ce dont elles ont envie, il faut oser.
Pour ce qui est de Barbie, je trouve ça débile de montrer à des enfants que leur idole par qui elle réalise quelques rêves se divorce. Ce que les petites filles aiment c’est la belle histoire d’amour, pas la dure réalité de la vie. C’est une poupée pour adultes. J’en reviens pas, à quand la Barbie suicidaire, la Barbie lesbienne, la Barbie zoophile? Vraiment, il ne savent plus quoi inventer. Je les plains.
Je suis un humain du genre masculin, je suis du genre sensible comme mon humanité me le permet. Je n’ai pas de rôle à tenir, je suis comme je suis, sexué, sexuel, avec des relents de bête et des moments de fillette de maternelle avec son suçon , satisfait de sa saveur. Je n’ai pas à rouler des mécaniques pour me sentir homme car je ne veux pas baiser le monde, je ne veux pas conquérir mon espace, je n’ai pas besoin de toutes les Barbies du monde pour me définir, Sur que je pourrais garnir mon lit de conquêtes éphémères et puériles (vous voyez le relent de macho) et ainsi devant mes amis édifier ce qui me définit comme mâle, mon sexe brandi sous mes mots et mes prouesses déifiées. Mais je ne me sens pas démuni devant ces dames, tout simplement car je vois avant tout un humain , peu importe le genre, la fille qui passe dans la rue et qui me regarde comme un moins que rien a pleinement le droit, rien à voir avec son genre, c’est un genre d’humain fou c’est tout. Je n’ai pas à me battre pour afficher mon genre, je ne crois pas à la conspiration féminine, je ne vois pas une rivale mais un complément à ce que je suis. Si une femme veut un stéréotype d’humain masculin pour se contenter, bien, vas-y fille laisse-toi « lousse » la vie est courte et tu trouveras sûrement, la terre est tellement vaste. Mais moi je marche la tête haut , le sexe fier, les mots émis, sans infériorité face aux genres. Se définir se rapporte toujours aux miroirs qui nous sont présentés, avoir la bonne vision de soi sans que les reflets qui nous aveuglent en soient de genres, dur.
Ce divorce de miss Barbie, ne fait qu’encore plus augmenter son statu quo en tant que parfaite victime de l' »American dream ». Non mais c’est vrai, n’est-elle pas maintenant l’exemple parfait de ce que à quoi l’américaine moyenne passe sa vie à bâtir? Une grosse paire de roploplos, une shape à la bistouri, aucune ride après X années, et une magnifique tignasse blonde aussi fake que ses balles…Elle ne travalile pas, passe sa vie au salon de coiffure, au volant de sa corvette ou sur les plages… Pour couronner le tout, elle est maintenant divorcée de Ken, la poupée masculine avec le plus de notoriété et celle qui a probablement fait le plus de profit de la planète entière… Vive la superficialité!
Mais à regarder la situation de façon un peu plus (j’ai bien dit un peu!) objective, on vit réellement dans un monde de plastique et de poupées. L’authenticité est quelque chose qui n’existe quasiment plus, au grand malheur des féministes dans mon genre! Et le blâme n’est pas tout à mettre sur la femme, de plus en plus d’hommes se convertissent à la métrosexualité et ne jurent que par le magasin Hugo Boss et l’electrolyse de leur pectoraux découpés aux ciseaux! Je ne peux pas dire que je n’aime pas les beaux muscles, mais ma façon de penser est conditionnée par la génération dans laquelle je vis.
Il y a de celà pas si longtemps, souvenez-vous, le physique n’était que secondaire! Et oui ça a déjà existé ça… Aujourd’hui tout est basé sur l’aspect matériel. On veut le plus gros char, la plus grosse maison, le plus petit cul, le plus beau mec, on veut tout ça en même temps, tout cuit dans le bec! Quand j’écoute Occupation double et loft story, je me rends compte à quel point le monde est rendu pathétique… Quelle crédibilité y a-t-il à voir une blonde fake qui se fait probablement vomir et qui bitch tout le monde pour se remonter dire « oui mais j’ai des belles valeurs! » yeah right ! Je parle au féminin, mais je pourrais tout aussi bien le faire au masculin…
Les modèles féminins et masculins ont perdu des plumes ces dernières années et
c’est tant mieux.
On doit revenir à la personne humaine, loin des modèles et des stéréotypes proposés.
On doit se réinventer et chercher meilleure identification que le sexe,
même s’il peut être réconfortant et plus facile de vivre selon un modèle établi,
dont une copie suffit à se reposer et s’endormir.
Réussir sa vie et en être satisfait
m’apparaît un plus grand défi
que de copier celles des autres
que de jouer les poupées sans vie et sans éclat
que de mourir en plastique
sans avoir ressenti le moindre plaisir
d’être présent et vrai avant toute chose.
Bof, on a longtemps exagéré d’un bord, il ne faut pas s’étonner qu’il y ait quelques abus de l’autre.
Le juste milieu sera difficile à trouver. Pensons au niveau publicitaire. Il est si mal vu de « dénigrer » une femme dans une annonce publicitaire mais aujourd’hui, on peut bien ridiculiser les hommes sans soulever un tollé de revendications.
En fait, les pauvres hommes vont se rebeller bien plus vite que les femmes ne l’ont fait. Et les femmes vont probablement s’écoeurer bien plus vote de ce petit jeu qu’on ne le croît. Bientôt, les droits du mâle devront aussi êtrs respectés et apparaîtront les ligues de protection des droits de l’homme masculin!
Bon, tout ça a ses bons et moins bons côtés. Le politically correct s’élargit mais on tend vers un avenir meilleur… plus égalitaire!
On pourra enfin se concentrer à faire de la pub un peu plus créative… plus puritaine qu’en Europe mais enfin plus originale qu’un pauvre épais dans un ascenseur qui réduit ses chances d’obtenir un emploi en faisant l’épais devant la femme qui le passera en entrevue.
C’est à venir mais pas demain la veille!
Mis a part le sujet secondaire dans cette chronique (Barbie et Ken) il y a une chose qui ressort par contre. L’homme a drôlement changé en peu de temps.
Il n’y a pas si longtemps les choses étaient drôlement différentes, pas nécessairement meilleures ou pires, mais différentes.
La situation de la femme vs celle de l’homme dans les années 50 était assez décourageante (avec mes yeux d’homme des années 2000)
L’égalité n’existait pas entre les sexes, mais existe- t-elle aujourd’hui ?
Les mouvements féministes diront NON sans aucune discussion additionnelle. C’est vrai! Mais l’égalité pourra t’elle exister…je ne crois pas!
C’est impossible de mettre sur le même pied d’égalités deux choses complètements différentes, c’est la même chose avec les humains.
Les hommes et les femmes ne sont pas pareils et ne le seront jamais! Il faut s’en faire une raison et parler de justice entre les sexes plutôt que d’égalité!
De mauvais salaires aux femmes parce que se sont des femmes..c’est injuste
L’utilisation de la force de la part d’un homme sur une femme c’est injuste (ou carrément criminel et dégueulasse même)
Mais d’un autre côté, la justice est quasi absente du côté des hommes sur d’autres points.
Dans le cas d’un divorce qui a la garde quasi automatiquement ? La seule façon qu’un homme peut avoir la garde c’est s’il prouve que la mère est une droguée ou autre abomination de ce genre…c’est injuste
Bref tout ça et bien plus encore n’est pas une question d’égalité, mais une question de justice (SVP, ne me parler pas des tribunaux).
La société est malade et ce n’est pas une manifestation pour l’égalité qui va régler ça, au contraire ça divise encore plus les deux côté qui devraient se compléter plutôt que se déchirer! La critique va des deux côtés!
Les poupées Barbie ne se vendaient plus. Point à la ligne. Mattel a mis un frein à cette dégringolade en ajoutant du piquant à la vie de la célèbre poupée, soit la faire divorcer.
Le but derrière tout ça en est un de consommation. Voir un symbole du mal de vivre des hommes chez Ken…je crois qu’on y va un peu fort !
Les hommes peuvent être exactement ce qu’ils veulent, de nos jours. Le timide romantique chétif, le gros tatoué vulgaire, tous sont des clientèles bien visées et bien servies ! Entre Canal Vie et TQS, entre le bar de danseuses ou la bibliothèque, chacun peut désormais y trouver son compte, car l’un ou l’autre n’est plus condamné. Et chacun peut «pogner» à sa manière.
Et si il était là, ce malaise ? Devant le choix trop béant et vaste, les hommes sont perdus.
Ça me rappelle cette amusante étude allemande où on offre à des rats en cage une seule issue de sortie. Ils l’empruntent, et ne vivent aucun stress.
Dans une cage à multiples sorties (donc, avec des choix), le taux de stress (donc, de malaise) est monté vertigineusement chez ces mêmes rats !
Faudrait relaxer avec toute cette histoire d’identité….et commencer par être simplement nous-mêmes.
Barbie est dans mon lit ; Ken bien enchainé dans sa niche. Et Blaine, sur sa mobylette, s’est perdu dans le quartier. Que voulez-vous, il est tout nouveau encore. Une pousse verte, un imberbe, un puceau.
Je rêve peut-être.
En occident, et surtout par ici, (serait-ce par mauvaise volonté de colonisés ?), nous avons une très forte propension à monter en épingle des faits divers, des anecdotes insolites, du « human interest ». La vie de tous les jours devient spectacle et les médias de tout acabit la régissent. Une histoire sans intéret, niaise, souvent guidée par l’apanage commercial, devient information et s’insère dans l’actualité. Et on en parle, on en parle, on en parle. Partout et toujours. L’arrivée de Blaine et le « flushage » de Ken reflètent bien cette anecdote devenue phénomène : c’est d’actualité ! Et on fait une nouvelle avec ça. On en parle meme en éditorial et on gamberge autour à savoir si c’est le reflet de notre mouvance sociale. Et les gens aiment ça. Et regardent la TV, achètent les journaux et se précipitent au Wal Mart. Tout ce qui retrousse, comme les intellectuels, les créateurs, les communautaires engagés, ceux qui réfléchissent, sont passés au papier sablé et réduits au plus petit dominateur communs : la pia$$$$.
L’espace médiatique devrait participer, comme l’éducation et la culture, à rendre notre société plus libre et juste. Etre et son hérault et son pourfendeur. Ne jamais prendre la population pour une gourde. Hey, c’est vous qui nous l’offrez ! On n’a rien demandé !! C’est vrai que deux tours jumelles attaqués par des avions font vendre beaucoup plus que 800000 rwandais égorgés en catimini durant la nuit.
Est-ce que Barbie a déjà songé à la réduction mammaire ?
Pourquoi parler de Barbie ? Parce que ça vend ? Oui, et c’est moralement discutable… Et ça édulcore notre vie de façon insignifiante. À moins que Barbie ne se pare de cuir, s’assoyant sur Ken et tenant Blaine en laisse, il n’y a rien à voir, rien à savoir..
Le monde de Barbie et Ken, petites poupées ayant des corps sculptés à la perfection laissant certaines personnes croient à cet idéal physique qui est techniquement impossible. Voilà déjà quelque chose qui nous prouve le monde irréaliste que créer ces simples poupées avec lesquels les enfants veulent recréer la réalité. C’est sûrement à cause de leurs goûts de vouloir faire connaître à leurs jouets le monde dans lesquels ils vivent que Mattel a voulu mousser ces ventes en ajoutant des Barbies qui correspondent aux nouvelles réalités de la vie, comme la Barbie divorcée. Je ne vois aucun mal à ça, c »est à travers ces jouets que les enfants comprennent des tristes réalités.
Il n’y pas d’hommes roses pas plus que de femmes vertes (ou bleu, jaune, rouge bref donnez-leur donc les couleurs qui vous tentent!). Ce qu’il y a c’est 2 types d’individus, l’homme et la femme, munis de divers attributs et de différentes personnalités, c’est tout. Faudrait arrêter de chercher et créer des problèmes où il y en a pas et, par conséquent, instaurer de faux débats.
Chacuns de nous avons des forces et faiblesses, qualités et défauts et that’s it. Il y a des hommes machos autant que des femmes machos, des hommes qui tricotent et qui font le ménage, des femmes qui travaillent et des hommes au foyer, des femmes battues, des hommes battus, des hommes mous, des femmes molles et vice-versa; ma liste pourrait continuer longtemps comme ça (il me reste 1200 caractères!) mais j’ose croire que c’est clair.
Alors, femmes et hommes, soyez-vous même: des individus.
Effectivement, on peut se demander si on ne pousse pas la comparaison un peu loin… et pourtant, il est clair que les changements sociaux (qu’on pourrait targuer d’évolution sociale, même si certains choix tendent vers la dégenerescence selon le point de vue) influencent aussi les décisions marketing de l’industrie du jouet.Depuis les années 80, l’image de Ken ne cadrait plus avec la Barbie qui reste toujours aussi populaire chez les jeunes filles, influencées par toutes les valeurs féminines, bonnes et mauvaises.Car les stéréotypes sont porteurs de préjugés:beauté, minceur, apparence soignée, proportions physiques idéales, activités féminines acceptables. Donc une imagerie qui cadre rarement avec la réalité et qui est source à long terme de malheur et ressentiment si la petite fille souffre, par exemple, d’embonpoint.
Si l’industrie a le droit de faire de l’argent et de créer un beach bum pour actualiser le mâle jeune et sportif, elle a aussi le fardeau de contribuer aux stéréotypes néfastes. C’est aux parents, les premiers qui doivent toujours demeurer aux aguets,de ne pas tomber dans le panneau et de tenter d’expliquer à leurs enfants là où la réalité n’est pas représentée dans ces jouets.Pas simple parce que c’est un combat de tous les instants.
La superficialité gagne en popularité, la chirurgie plastique et les implants de toute sorte en font foi. Alors si on refuse d’accepter son physique et qu’on camoufle la réalité, qu’on refuse de s’accepter soi-même, il est clair que les comportements aussi reflètent ce dénie de nos responsabilités en tant que relations avec les autres (et surtout le sexe opposé).
De plus en plus, on voit nos jeunes confrontés à une sexualité débridée, sans aucune notion d’humanité, de tendresse, de sentiments réciproques.Peer pressure qui met l’accent sur la baise, pas sur l’amour, sur « pogner la belle pitoune » tel un trophée de chasse.. jeans taille basse, mini-mini jupe à 13 ans.. jeunesse malade déformant l’adulte de demain.
L’homme moderne est attaqué de toute part…
Surtout l’homme Québécois !
J’aime bien la plupart des opinions…mais ils ne sont que ça: DES OPINIONS !
Réveillez-vous les hommes roses!
Réveillez-vous les femmes féministes…qui sont de moins en moins femmes…. (merci à Sonia pour son intervention) mais de plus en plus des « femmes-qui imitent les hommes-dans leur-pires-défauts »
Le party est terminé !!!!
Voici la PREUVE que l’HOMME Québécois est désavantagé: http://can.ac/hommequebecois/
On retrouve toutes les LOIS et CIRCONSTANCES qui détruisent l’homme Québécois moderne!
Vraiment le féminisme a apporté beaucoup de bonnes choses….dont la redéfinition des rôles trop sclérosés !
Mais il a été beaucoup trop loin !
LE PARTY EST TERMINÉ…Les hommes et femmes qui veulent la VRAIE égalité doivent se lever et dénoncer toutes les exagérations….
Sinon la prochaine génération de femme (C’est déjà commencé) va se retrouver seul ou devant des hommes complètement démolis….
Terminé le blablabla….
Je me demande M. Desjardins, ce qu’a bien pu provoquer ce texte. Vous êtes vous fait récemment dumper là vous aussi, faites vous partie du clan de Ken à présent?
Ça ressemble à une crise de nerfs légère mais qui n’en a pas au moins une dans sa vie. Il est vrai par contre que ce n’est pas donné à tous de le faire sur la place publique. Si les femmes ne savent pas ce qu’elle veulent, force m’est d’avouer qu’il en est de même pour les hommes.
De plus en plus de femmes sont autonomes. Elles n’ont plus besoin d’un homme pour justifier leur présence en société. Elles sont. Du fait je crois bien que c’est cela qui déplaise tant aux hommes. Ce n’est pas tant ce qu’on leur demande d’être qui dérange les hommes qu’eux à trouver où ils « fit » dans tout ça. C,est vrai qu’on a tenté de vous convertir au rose, puis à l’inverse mais je crois que nous avons compris que c’est maintenant à votre tour de trouver la place qui vous revient dans la société d’aujourd’hui. En tous cas, moi je ne m’impose plus.