L'annonceur vient d'appeler Carla sur scène. Ou est-ce Cindy? Betty? Ou Alicia? Tout le monde s'en fiche.
Petit lundi déprimant aux danseuses: une douzaine de clients matent distraitement une jeune femme qui se déhanche sans conviction au rythme d'un rap informe. Derrière elle, surplombant le grand miroir qui fait toute la largeur de la scène, un éventail de néons roses et mauves clignote nerveusement. De chaque côté du plancher, des poteaux de chrome paraissent servir de balises à une chorégraphie sans vigueur, sans charme sinon celui du corps blanc et lisse qui se dénude lentement.
Un mètre plus bas, une douzaine de clients sirotent une bière hors de prix tandis que presque autant d'effeuilleuses butinent de table en table, essaimant leurs charmes. Sans trop de succès.
Dans le lot, pas une Roumaine. Pas de Tchèque, de Slovaque ou de Hongroise non plus. Quand je demande à Alicia, une grande fille au regard las, si elle a déjà rencontré des danseuses qui venaient d'ailleurs, des étrangères, elle me répond: "Oui, de Montréal." Bon…
Alicia, comme toutes ses collègues interrogées ce soir-là, n'est pas au courant du scandale entourant la ministre de l'Immigration Judy Sgro et le programme fédéral qui a permis à un millier d'effeuilleuses européennes de venir exercer leurs talents dans le plusse meilleur pays du monde.
Elle sait encore moins que la ministre a argué que c'est la pénurie de danseuses compétentes qui motivait cette migration de masse. La citation me vaut simplement une moue dégoûtée. Sans plus.
Et n'est-ce pas la réaction que nous devrions nous aussi avoir devant cette connerie pourtant monumentale?
Parenthèse.
Les Européennes de l'Est doivent se sentir parfaitement à l'aise dans ce genre d'endroit. Comme à la maison. Quand je dis cela, je parle essentiellement du décor, de l'esthétique. Dans les bars de danseuses, on retrouve tout le clinquant, le rococo, le kitsch et le rose nanane de l'Est qui voudrait passer à l'Ouest. La grenouille qui explose en répandant le mauvais goût d'avoir voulu se faire grosse kétaine comme le bœuf.
Fin de la parenthèse.
Je soupçonne le monde de beaucoup s'exciter avec cette histoire parce qu'il s'agit de danseuses. Parce qu'il s'agit de cul et que même si le cul est partout de nos jours, il dérange encore.
J'ai l'impression que ce programme à la con et toutes les apparentes magouilles qui puent dans cette histoire n'auraient normalement pas franchi le seuil des trois questions à la Chambre des communes.
Mais là, il y a le cul. Il y a les danseuses. Il y a le désir payant qui révolte les bien-pensants.
Il y a le cul qui réveille la bonne morale, et donc les conservateurs qui déchirent leurs chemises, comme s'ils participaient eux aussi à un grand concours d'effeuillage public visant à exposer non pas leurs charmes, mais la désormais proverbiale malhonnêteté des libéraux fédéraux.
Et qu'en est-il de cette pénurie d'effeuilleuses compétentes qui servait d'argument de défense à la ministre Sgro?
Selon Betty, qui pratique le métier depuis 10 ans dans plusieurs villes du Canada, il ne manque pas de jolies filles compétentes souhaitant "danser" au Québec. Elles seraient même trop nombreuses pour la demande de l'avis de quelques-unes de ses collègues qui considèrent le marché passablement saturé.
"Sauf qu'en Ontario, par exemple, je comprends que les propriétaires de clubs veuillent engager des filles de l'extérieur…"
Ah oui, pourquoi? Elle sont moches, les danseuses ontariennes?
"Ben mettons qu'elles sont un peu en retard sur nous", répond Betty, laissant entendre que d'un point de vue "esthétique du corps", les exotiques madames à l'ouest de Gatineau ne prendraient pas leur métier au sérieux comme le font les Québécoises. Évitons les détails…
"Quand je vais là-bas, c'est la folie. C'est comme s'ils n'avaient jamais vu ça", me dit fièrement Betty, exposant sa peau bronzée, tendue sur des muscles et une poitrine saillante qui font baver les hommes d'un océan à l'autre.
Nous en concluons, Betty et moi, que ce sont des danseuses québécoises plutôt que roumaines qu'il faudrait envoyer dans l'ouest du Canada où le manque se fait sentir.
D'autant que chez les libéraux fédéraux, la chose pourrait prendre les airs d'une nouvelle campagne pour l'unité canadienne. Et tant qu'à faire scandale, autant en provoquer un qui serve leurs idéaux.
Imaginez les strip-teaseuses québécoises pour le fédéralisme, toutes nues coast to coast.
Imaginez le cul qui vend déjà n'importe quoi, pourquoi pas un pays.
Imaginez Stéphane Dion en recruteur coincé et essayez seulement de ne pas mourir de rire.
Lorsque je pense à ces gens, qui dansent dénudés pour le plaisir des autres, il m’est difficile de ne pas penser au monde la drogue et de la prostitution qui les guette. Des conséquences parfois très lourdes à un plaisir qui semble pourtant anodin et léger. Il m’est inconcevable d’encourager le phénomène, tant par ma présence que mes discours.
De plus, la lourdeur du contexte m’écrase plus qu’il ne m’excite.
Le pouvoir accordé au client, souvent abusif, dans un monde sans inhibition, me désole. L’abus de pouvoir sur l’autre ne fait pas partie de mes valeurs, préférant les relations réciproques et égalitaires. Percevoir quelqu’un comme un objet me dépasse, en oubliant son monde intérieur et ses rêves, accepterait-on d’être traité de la même façon?
Tant mieux si des gens peuvent être heureux dans ce milieu. Les possibilités de travail sont différentes pour chacun, mais nous n’avons rarement qu’un seul choix, à moins d’être dans un très mauvais pétrin.
Il est sans doute vrai que ce scandale n’aurait jamais été mis au grand jour s’il n’avait pas traité de pratiques sexuelles. Cependant, il met bien en valeur les relations entre les politiciens et ceux qui contribuent à leur caisse électorale.
Le directeur général des élections (des érections ?) aura beau faire appliquer sa Loi, les contributeurs aux caisses de partis attendront toujours en retour d’ascenceur en échange de leur argent. C’est le principe qu’il faut dénoncer et pas le fait que ce soit des danseuses, des immigrantes, des travailleurs de la construction ou des artistes peintre.
J’ai bien ri en entendant cette nouvelle!
Comme prétexte de la ministre, les danseuses sont en demande!!! Tout de même, il ne faut pas exagérer!
Si on fait venir des femmes d’ailleurs pour aller danser dans des bars, n’est pas là de ridiculiser le Canada? Belle façon de percevoir les femmes au Québec!
Voyons donc, faire rentrer des femmes par le biais d’un programme fédéral…. pour le métier de danseuse nue….tout un métier!! On voit nos métiers qui sont en demande!
Je n’aime pas les bars de danseuses. Pourquoi? Je trouve que les femmes qui choisissent de danser ne se respectent pas du tout! Oh! ça l’air bien payant! mais il me semble qu’il y a bien d’autres métiers mieux que ça? non?
Je me disais aussi, jusqu’ou le gouvernement à un contrôle sur ses programmes qu’il a?
N’est-ce pas là de voir, avec le scandale des commandites, comment notre gouvernement gère notre argent, dépenser dans des progammes louches!!!
C’est au peuple aussi de se réveiller et de faire quelque chose!!
Ne laissons pas ternir notre réputation pour ce genre de chose!
Il me semble Monsieur Desjardins qu’avec tout ce qui se passe dans l’actualité, votre chronique manque un peu de sérieux et de recherche.
J’imagine que la politique c’est un sujet lourd à la longue et qu’il faut parfois se distraire.
J’en conviens.
Quelle drôle de rêverie que d’imaginer les effeuilleuses québécoises à la sauvegarde du Canada! L’image est comique, elle fait sourire. Et voilà. Elle est passée, elle est mise de côté et oubliée. Parce que tout ça, comme le dit l’auteur de cet article, n’est que feu de paille. C’est même à la limite du ridicule. Et une perte de temps pour nos parlementaires que de se fondre en explications et en justifications. Pour ne pas ajouter à la perte de temps, j’arrêterai donc ma réaction ici!
À plusieurs reprises depuis quelques années, nous avons été témoins d’une multitude de reportages sur la prostitution et la « traite des blanches » dans les vieux pays de l’Est…
Et là, nous apprenons que pas mal de filles se retrouvent chez-nous???
Est-ce que c’est un programme pour les sortir de ce milieu et améliorer leurs sorts ou bien si le Canada est membre d’un quelconque réseau?
Si c’est pour les en sortir, c’est finalement pas mieux ici…
Autant être complètement con ou ministre pour croire cette ineptie, franchement importée des danseuses de l’étranger comme si nous n’avions pas les ressources naturelles nécessaires. Le ministre ou le con, selon plusieurs, devrait mettre l’accent sur les professions ou l’on manque cruellement de ressource comme les infirmières et les médecins. Tant qu’a se dévêtir, aussi bien que ce soit devant eux, au moins l’on me risque moins d’attraper de maladie
Être danseuse, c’est certainement un des métiers les plus convoités pour les femmes qui souhaitent améliorer leur condition. J’entends par là qu’une femme qui a un mari et des enfants, qui n’a pas ou peu d’instruction, y voit une solution afin de remédier à ce cercle vicieux qu’est la pauvreté. Mais les danseuses, ce sont aussi les étudiantes qui ont besoin de moyens financiers afin de payer leurs études parce ni leur parents ni le gouvernement (avec les coupures dans les bourses) ne sont en mesure de payer les droits de scolarité et le matériel nécessaire.
Être danseuse, pour plusieurs femmes, c’est garder sa dignité tout en vendant son corps; elle n’a pas à se prostituer. Bien sûr, il y a des hommes qui touchent plus que d’autres, il y en a certainement qui vont jusqu’à violer des danseuses; mais à la base la fille qui danse ne fait qu’émoustiller les hommes en étant rémunérées.
Beaucoup de personnes trouvent dans ce métier le moyen de pouvoir réaliser leurs rêves; acheter une maison, permettre d’économiser pour investir dans une compagnie… Mais bien sûr, ce métier n’est pas sans failles. Ce n’est pas un milieu facile, il n’est donc par surprenant que plusieurs femmes qui y allaient dans le but de réaliser un rêve se font corrompre, et entre dans l’univers de l’alcoolisme et de la toxicomanie. Cette dignité, qu’elles cherchaient à conserver en dansant plutôt qu’en se prostituant, elle la perde sous les paroles blessantes des clients et sous les regards de mépris que lui attribuent la société lorsqu’elle mentionne que son emploi est de danser nu.
En ce sens, les danseuses, je crois méritent un certain respect. Ce n’est pas toutes les femmes qui seraient prêtes à aller au-delà des tabous pour se sortir de leurs conditions. Plusieurs préfèrent crever de faim en travaillant au salaire minimum dans un magasin…mais certaines danseuses croient que seul cet emploi va permettre à leur enfant de s’élever dans la société, et ainsi de quitter la pauvreté!
L’affaire des danseuses est déjà dure à digérer-il faut l’admettre faire venir des danseuses quand on manque de médecins qualifiés! Bon ok des médecins c’est dur à trouvé des danseuses faciles. Mais ce qui surprend le plus c’est que la ministre de l’Immigration Judy Sgro est une vive défenderesse des droits de la femme au Canada. Ne sais telle pas madame la defendresse que les danseuses le fond souvent pour pouvoir payer leurs drogues et autre vice que plusieurs se prostitut dans les petites cabines aménagées à l’arrière de la salle? Ne sait-elle pas que pour une femme devoir faire des strip tease du genre pour un paquet de matcho incapable d’Assouvir leur libido c’est humiliant dégradant? Mais bon que voulez-vous c’est l’aberrante société ou nous vivons.
Ti-Paul Martin pourrait s’exclamer « le Canada est un pays multi-cul-turalisme ». Jean Charest pourrait glisser doucement son index dans ses boucles en savourant le bon fonctionnement du fédéral asymétrique. Ainsi, selon les caractéristiques et les besoins de chaque provinces, une distribution équitable des ressources artistiques. Cependant, quelques souverainistes pourraient récupérer ce fait et déclarer qu’il existe bel et bien une différence cul-turelle entre le Québec et le ROC. Et j’imagine, le président Chirac, dans une allo-cu-tion extérieur, exprimer avec ferveur « Vive les danseuses, vive les danseuses québécoises libres » C’est beau le Canada et la politique…..
J’ai soudain cette vision du bateau fédéral comme étant un immense abattoir. Aujourd’hui c’est au tour de Judy Sgro d’être sacrifiée, sous peu elle devrait être offerte en sacrifice, ainsi va la vie dans à l’abattoir fédéral. Les scandales se suivent, on choisit un ou une responsable et on se confond en excuses et en promesses de tout genre afin d’endormir ceux qui dorment déjà à poing fermé.
Aujourd’hui j’ai comme un trop plein de solitude. Je ne sait plus trop quoi penser, suis je le seul à concevoir que ce parti est vicié de l’intérieur avec comme seule chance de survie la loi de l’omerta et le silence de ses agneaux.
Oublions ici les charmantes demoiselles qui dansent aujourd’hui sous le ciel (plutôt clément) canadien. Oublions même Judy Sgro, même elle, mérite le bénéfice du doute. Honnêtement, on ne sacrifie jamais ceux qui connaissent la vérité en long et en large, on prends habituellement celui qui dit oui sans poser trop de question.
La ou j’en ai plus qu’assez c’est qu’ici on ne parle pas d’une ou deux demoiselles qui sont passées, on parle de centaines qui auront bénéficié de la générosité de notre bon gouvernement libéral et des sous que celui qui écrit ces lignes lui donne.
Non mais on arrête où côté scandales ???
Le gouvernement libéral nage dans la merde depuis un bon moment déjà alors chère opposition, vous attendez quoi exactement afin de déposer ce vôte de non-confiance tant attendu.
J’ose à peine imaginer l’argent dépensé afin de faire entrer ici ces charmantes demoiselles, ce n’est pas simplement ridicule c’est scandaleux. Les gens nagent dans la pauvreté, on coupe à blanc dans la culture, l’éducation décline, et on fait quoi….on importe des danseuses.
Mais ou sont donc ceux qui étaient au courant. Ça demande probablement une maitrise pour concevoir qu’un scandale se pointait ?
Alors le vote de non-confiance c’est pour quand selon vous ?
Tout le monde le dit, le Canada est un pays très convoité par les étrangers qui veulent émigrer et refaire leur vie. À cet effet, il y a une longue liste d’attente pour l’obtention d’un permis de séjour, sinon d’une citoyenneté, ici au Canada. Et c’est sans compter que dans cette même liste, il y a des réfugiés politiques aussi bien que des « sinistrés » économiques, si cela existe dans le jargon des fonctionnaires. Comme dirait l’autre, il y a en pour tout le monde.
Même pour les effeuilleuses!… Si l’un des critères d’admission est la pénurie d’employés dans certains secteurs, il appert que les demandeuses inscrites selon leurs habiletés « professionnelles » sont dûment qualifiées aux « yeux » de l’Immigration. Que les Québécoises soient en mesure de répondre à la demande du côté anglophone, cela rend la situation encore plus burlesque, il me semble. Quel heureux problème à résoudre pour nos fonctionnaires! Combler une demande à l’intérieur même de nos frontières au lieu d’ouvrir les frontières! Il ne suffirait que d’un autre programme de soutien à l’emploi en région?
Au-delà de l’esprit que l’on peut faire sur le sujet, il n’en reste pas moins que le Canada aurait intérêt à revoir ses critères d’admission à la citoyenneté. Quand on parle, par exemple, de pénurie de médecins ou de travailleurs qualifiés. Ou encore, cet exemple d’un résident temporaire dont le permis de séjour était échu non éligible au renouvellement (le printemps dernier) et qui s’est fait ramassé dans une église de Québec… Là, c’est un peu moins drôle…
Quand j’ai entendu cette nouvelle, un léger frisson m’a traversé le corps. Pas un frisson d’excitation à l’idée de la peau dénudée de ces danseuses exotiques, mais un frisson de peur.
Moi, ce qui me dérange dans cette histoire, c’est que nous savons tous que le milieu des danseuses nues n’est pas le milieu le plus sain. Drogue, prostitution et plein de petits rackets entourent cette industrie depuis toujours, ici comme ailleurs.
Alors quoi? Personne ne s’inquiette de qui fait venir ces filles là ici? Ne me dites pas que vous êtes tous assez naïfs pour croire que ces filles là sont libres comme l’air? Qu’elles viennent ici après avoir consulté des brochures leur vantant nos beaux bars de danseuses? Que personne ne cherche à les exploiter?
La mafia de l’est est solidement implantée dans notre beau pays. Elle s’y développe à une vitesse incroyable et contrôle déjà plusieurs secteurs criminels dont d’importants réseaux de prostitution. Ne me dites pas que personne n’a fait le lien entre ces réseaux et ces filles?
De nombreuses histoires courent sur ces filles qu’on fait venir ici pour en abuser et les exploiter. La langue étant un excellent moyen d’isoler des gens qui ne comprennent pas un traître mot d’anglais ou de français, les filles se retrouvent vite esclaves d’hommes sans scrupules qui les ont fait venir ici sous de faux prétextes qui n’ont rien à voir avec ce qu’elles vivront une fois rendues ici.
Cette histoire pue le scandale et la corruption. Il faut pousser plus loin les recherches et je suis certain qu’on trouvera dans l’entourage de la ministre des gens qui influencent sa décision. Qui sont-ils?
Moi, je ne crois pas du tout en ce manque d’effeuilleuses au pays. Mais je soupçonne que quelqu’un quelque part a trouvé un joli filon à exploiter et qu’on est en train de s’en faire passer une vite. J’aimerais pourtant bien me tromper mais…
Ce que la ministre Sgro ne nous dit pas c’est que ces stripteaseuse venues de Roumanie , de Hongrie ou autres pays de l’ex-URSS ont probablement promis dans le cadre des commandites de s’habiller d’un soutien gorge à l’emblême de l’unifolié et d’un string aux couleurs du Canada .
Comment ne pas réagir quand on voit des ministres se porter garant de danseuses nues , sous prétexte qu’on est en manque dans le plus beau et meilleur pays du monde , et qu’il y a des gens qui vivent depuis plusieurs mois dans une église pour ne pas être déportés vers leurs pays d’origine d’où ils seront certainement assassinés . Pourquoi alors ne pas proposer à ces réfugiées de se déshabiller et d’exhiber leurs rondeurs en se frottant après le poteau tout en espérant pouvoir vendre ses faveurs à ces clients esseulés qui veulent de la chair fraîche et abordable .
Paul ‘ le capitaine de bateaux , Martin aurait du congédier sa ministre et non prendre sa défense . Comment avoir une crédibilité pour un gouvernement qui au lieu de défendre notre territoire contre les projets de George W Bush se contente d’importer de la chair fraîche . Dans mon jeune temps on appelait çà ‘ la traite des blanches ‘ et c’était criminel .
Deux mille jambes et seins à l’air pour distraire les canadiens en manque d’excitations et de provocations, la solution faire venir des danseuses nues roumaines, slovaques et/ou tchèques, pas de bec, pas de chèque, ces femmes sont originaires de pays nordiques, rudes et froids, environ mille auraient été importées comme un genre d’échange commercial, la Ministre de l’Immigration a-t-elle déjà voyagé un peu, les danseuses sensuelles, aguichantes, passionnées et de classe, on les recrute en France, en Italie, au Brésil, à Puerto Rico, Acapulco ou santa Barbara. L’idée de vendre le pays en promenant nos effeuilleuses québécoises d’un océan à l’autre ferait du chemin, c’est farfelu, on a déjà la route trans-canadienne et le chemin de fer « bar en bar » le Canada. Non en retour des services offerts par ces filles de pays nordiques, on pourrait leur envoyer en tournée prolongée nos Michèle Richard, Chantale Paris, La famille Raiche, Bobby Haché, Joël Denis et les élèves de nos star académies pourraient manger à tous les jours, la roue manie de l’échange serait enchantée.
Les danseuses. La dernière fois que j’y suis allé, c’était avec un ami en 2001. La bière était en spécial. On avoir la paix. On voulait relaxer entre deux examens de fin de session. J’avais apporté un livre avec moi. Je me suis même du titre: « L’art Nazi ».
Dans un bar de danseuses, on peut regarder les femmes sans esprit de compétition avec les autres hommes, comme des chasseurs de tableau dans une galerie d’art. On peut tous regarder, mais pour y toucher il faut qu’on ait de l’argent. C’était tout un spectacle. De l’art, des chorégraphies comme on en voit dans Star Académie, à la Fureur ou encore dans Don Juan. Avec des danseuses de l’Europe de l’Est, ça fera un espace multiculturel… Pardonnez-moi pour mon humour sarcastique, mais je ne peux pas me retenir. Une semaine on critique le gouvernement (SRC=Société radio canada) d’avoir changé le nom de la chaîne culturelle et la semaine suivante on apprend que la ministre de l’immigration Judy Sgro (gouvernement canadien) a permis « à un millier d’effeuilleuses européennes de venir exercer leurs talents dans le plusse meilleur pays du monde. », citation de Desjardins.
Le problème au Québec, c’est le Canada. Le Canada n’en veut pas de Culture La preuve, si le Québec était un pays souverain, on l’aurait notre notre radio d’État et notre espace culturel. On pourrait exporter des danseuses Québécoises à Amsterdam si nous voulions, (il sont en avance là-bas), même envahir la Hollande comme on a envahi la France avec Notre-Dame de Paris.
En passant, pour revenir à la réalité, un article sur le site web de la BBC avait pour titre le 1er décembre: « US President George W Bush has held talks with Canadian Prime Minister Paul Martin in which the two leaders agreed to work together to fight terrorism ». C’est drôle q’ici ce n’est pas ce qui ressort de la visite de Bush. Il suffit de lire les journaux québécois aujourd’hui pour se rendre compte à quel point nous vivons dans un monde manipulé et où la propagande fait foi.
Un fait surprenant est survenu au cours de ma vie de cégépienne. Prenant des nouvelles d’une amie du secondaire, j’ai appris qu’après avoir été monteuse de lignes pour Hydro, elle a décidé de danser. Un vrai choix. Elle aime ça. Elle provient d’un milieu aisé avec un père mou et une mère folle (comme plusieurs d’entre nous dailleurs). Bien plus que de réussir ses études au secondaire, elle performait. Jolie, sociable, drôle. Mon amie fait aujourd’hui des shows où elle est reconnue pour s’enforcer plus de 4 dildos en même temps au même endroit (sic). Elle aime ça et ça paye bien. Son chum n’a pas de problème avec ça. Elle consomme peu.
Ordinairement, j’aurais dit que si la main d’oeuvre est dite « de meilleure qualité » en Europe de l’Ouest dans ce domaine, c’est parce qu’elle sont davantage dans la misère que nous et aussi très motivée à s’en sortir, peu importe par où. Mais non, je ne peux pas dire ça.
Je ne peux pas vraiment dire qu’il y a abus. Je ne peux pas dire que tout est involontaire et résultat de circonstances décevantes. Comme le gouvernement, je peux seulement dire que de nouvelles immigrantes arrivent. Bienvenue au pays de la tolérance!
C’est vraiment effarant de voir que le gouvernement puisse créer de tels programmes. Je suis d’accord avec M. Desjardins pour dire que cette histoire a pris plus de place qu’elle n’aurait peut-être dûe car il s’agit de cul. Mais quand même, ça démontre bien à quel point notre argent est mal géré par le gouvernement. À part ça, pourquoi un programme spécial pour des danseuses « exotiques »? Même si, aus dires de certains, ce type de main-d’oeuvre se fait rare, pourquoi le gouvernement doit-t-il s’en mêler? Est-ce qu’il s’en mêle pour tout autre pénurie de main-d’oeuvre? Je ne crois pas; alors, pourquoi pour les danseuses? Est-ce parce que certains membres du dit gouvernement auraient des intérêts, sinon financiers, du moins visuels, dans certains de ces bars qui ont bénificier de l’apport de personnel féminin roumain? En tout cas, qu’il s’agisse de cul ou pas, cette histoire sent mauvais, ceci étant dit sans vouloir faire de jeu de mots. Ce n’est probablement que la pointe de l’iceberg en ce qui concerne les programmes farfelus ou inutiles, qui coûtent aux contribuables des fortunes, probablement pour satisfaire certains « amis » du parti. Il serait grand temps que le ménage soit fait dans toute ces idioties. On arrêterait peut-être alors de nous casser les oreilles avec les craintes de retour des déficits, et on pourrait mettre cet argent à la bonne place, c’est-à-dire dans les endroits où il serait vraiment utile au peuple, et pas seulement à quelques provilégiés.
Que l’industrie des clubs de danse à 10$ investisse de son argent pour inviter des filles des pays de l’Est à venir performer au Canada, on s’en sacre. Que l’argent des contribuables soit utilisé à ces fins, c’est une autre histoire; que des fonctionnaires, des services gouvernementaux facilitent les tours de passe-passe, ça aussi, c’est une autre histoire. Et si ces jeunes femmes sont traitées comme du bétail plus ou moins captif « d’organisateurs-voyagistes » sans scrupules, c’est condamnable.
Quelle ironie d’apprendre l’existence de ce « programme » gouvernemental (qui dit programme dit financement) quelques semaines après avoir pris connaissance de la lettre des 32 Joe (chronique des grandes gueules), cette troupe de danse qui a cruellement souffert d’un manque de ressources au cours de sa tournée mondiale. C’est fou comme l’argent est là, mais pas dépensé à la bonne place. Il faut dire que certains ont des z’amis placés au bon endroit; des z’amis qui tirent sur les bonnes ficelles.
Non, le scandale n’est pas dans le métier pratiqué; il est dans l’idée qu’on veut nous faire croire que l’industrie de la danse à 10$ a besoin d’aide des deniers publiques pour prospérer. Il ne faudrait surtout pas jouer à l’autruche et faire semblant d’ignorerquel est le genre de « club social » qui gère l’ensemble de cette industrie. Hein?
Cette attitude des Ontariens face aux attributs sexuels de la femme québécoise me fait penser à l’attrait des Américains sudistes devant le corps des femmes noires de leur région. Derrière ces applaudissements nourris, lancés à une danseuse d’une autre condition que celle de la classe dominante, il y a un petit quelque chose de colonisateur. Ici c’est l’argent, là c’est la culture ou l’origine ethnique. Vous vous souvenez des Français et des Belges qui allaient vivre en Afrique? Une des premières façons de se familiariser avec les us et coutumes du peuple était de se « faire une négresse ». C’était, à une certaine époque, une sorte de rite de passage. Pour avoir travaillé sur des navires de la marine marchande en compagnie de Canadiens anglophones, je me souviens qu’ils avaient, au sujet des femmes québécoises, des expressions dénotant qu’ils les considéraient comme une « excellente affaire ». Complexe de Lord Durham face à Marie Chapdelaine? Sans doute!
Aujourd’hui, l’esclavage a été aboli pour être remplacé par une nouvelle forme de domination: celle du fric. Pas étonnant que les « effeuilleuses venant des pays de l’Est » soient si courtisées… Et le charme n’y est rien puisqu’il n’y a pas de préférence physique dans tout cela. Cette excitation tient en trois syllabes: Power Trip.
Hé bien on aura tout vu! Des architectes, des ingénieurs et des médecins francophones qui immigrent mais qui ne peuvent pas exercer au Canada parce que les Ordres sont trop restrictifs, des réfugiés qu’on renvoie se faire lapider chez eux, des meurtriers qui vont se chercher des diplômes en prison, etc.
Bon, alors, moi, vous savez, les effeuilleuses russes… On le savait, mais là, ça prouve juste une bonne fois pour toutes que nos élus n’ont qu’une chose en tête et ce n’est surtout pas le bien commun!!!
À croire qu’un «diplôme» de danseuse, c’est le seul diplôme qui soit automatiquement reconnu au Canada!
À la bonne vôtre!
…et on aurait trouver la chose très drôle. Bon!l`Ontario a toujours été un endroit froid et vous vous surprenez que les danseuses le sont aussi..c`est leur nature that`s it! Au Québec notre tempérament latin fait de nous tous un peuple chaud,accueillant bon bref!nos girls le sont aussi et elles pourraient bousculer les moeurs des anglos de l`ouest c`est certain.Mais la Roumaine, son seul but est de quitter une vie misérable pour recommencer içi quelque chose de neuf et faire du fric en masse pour finir par s`en sortir.S`en sort-elle avec ces subventions,non parce que c`est versé au pompon qui a le club et qui contribue à la caisse électorale libérale.Stéphane Dion a l`obligation de faire du ménage dans ce dossier avec ou sans gants playtex!
Le « pipi – caca – poil » scandalise et « traumatise » beaucoup plus une population qu’une bonne vieille histoire de déséquilibre fiscal, de compétences transversales ou de course à la chefferie. On l’a bien vu et on le voit toujours dans notre monde radiophonique ou du showbusiness. Ça frappe l’imagination car ces histoires trempent leurs orteils dans la mare de notre intimité, de nos moments que l’on garde privés. Dur dur d’imaginer des chiffres, des taux, des théories ou des opinions avec des seins et des fesses. D’autant plus que les boules pis le cul sont un terrain fertile pour les jeux de mots et l’esprit débonnaire; ça fait de la bonne copie. Vous venez de me le démontrer, M. Desjardins, me bidonnant vivement à vous lire.
L’esprit rabelaisien digéré, il est troublant de constater que le Canada recrute de jeunes nubiles dans les pays de l’est pour occuper les scènes des Lady MaryAnn de tout acabit. Certes, ces jeunes femmes font assurément rouler une partie de notre économie. Mais lorsque je constate d’ailleurs qu’un peu partout au Canada, dans ce plusss meilleur pays au monde, il y a des centaines de réfugiés politiques, d’immigrants en attente et de personnes sans statut officiel, avec leur famille, qui patientent après le gouvernement pour officiellement « entrer » au pays, cloitrés dans des sous-sols d’église, dans des organisations caritatives ou chez de bons samaritains, on peut penser au cas Cherfi à Québec, sacré dewors à grands coups dans le cul par la police, ou aux Ayoub à Montréal qui vivent une dizaine dans un garde-robe par peur d’expulsion, et bien, ça me met en boule !! Et ses gens en attente pourraient entièrement participer à notre économie, la faire rouler autant que la danseuse roumaine.
Certes, les gouvernements qui se succèdent commettent souvent des erreurs et des betises. Mais les Libéraux, autant à Ottawa qu’à Québec, sont champions, encore une fois et pour toujours, de la connerie !!
Mme Sgro, une p’tite danse à 20 $ avec ça ?
J’aimerais que Judy Sgro me dise quelle substance elle ingère, car s’il en reste, je suis acheteuse!
Cette même ministre qui a demandé aux églises de ne plus accepter d’accueillir dans leurs murs des sans-papiers pourchassés par un système sans coeur et sans états d’âme se fait maintenant la bienfaitrice des danseuses nues.
Comment, pourquoi, selon quelle logique refuse-t-on à des familles en danger dans leur pays de pouvoir rester au Canada tout en ouvrant la porte à d’autres sous des prétextes on ne peut plus futiles? Vite, il y a une pénurie de danseuses! Quel drame humain!
Comment, pourquoi, selon quelle logique des gens souvent qualifiés sont-ils obligés de se terrer pendant des mois dans un sous-sol pendant que des immigrées « légales » iront se trémousser le popotin pour le plaisir de quelques désoeuvrés?
On manque de médecins, on manque d’infirmières, on manque de scientifiques, mais qui fait-on entrer par la grande porte, pendant que nos diplômés foutent le camp par la sortie de secours pour fuir à toutes jambes ce pays dirigé par des crétins? Des danseuses! C’est vrai que c’est un besoin essentiel sans lequel notre société ne saurait survivre!
Nous devrions aussi faire entrer un contingent de clowns, d’avaleurs de feu, de diseuses de bonne aventure, de ramoneurs et de récapeurs de pneus! On n’est jamais trop prudent…
Comment, pourquoi, selon quelle logique le bon peuple canadien réussit-il toujours à élire des politiciens dont l’incompétence et la sottise n’ont d’égales que la corruption?
Car ce n’est pas uniquement d’une histoire de cul ou de morale dont on parle ici. C’est avant tout d’une histoire de gros bon sens.
Que dire de tant de verbiages sur les fameuses importations d’effeuilleuses? D’une part je suis estomaqué! Nous savons toutes et tous que la sexualité est apparue en même temps que la civilisation. Elle y restera encore et sera toujours autour de nous! Soit qu’on la rejette du revers de la main ou que l’on y participe, Mais une chose est sur, rare sont les indifférents!
Par contre, je dois avouer que de profiter de programmes gouvernementaux dans le but d’élargir nos horizons en matière d’effeuillage me laisse perplexe! Est-ce possible que ces sous auraient pu servir à autre chose?
Pour se qui est du métier, écoutez, de nos jours ce n’est pas seulement le sexe féminin qui se dandine devant la populace! Les hommes cherchent également à compétionner!
C’est peut-être le manque d’intérêt des danseuses de l’Ontario qui a stimulé Mme la Ministre a faire ce geste médiatisé? Il faut dire que l’Ontario est le château fort de la couleur rouge au pouvoir actuellement.
Quoi que, je me suis bien bidonné d’imaginer M. Dion dans ce genre de sphère d’activité ! Je crois que notre ami Info man en aurait fait ses choux gras!!!!!
Comme le dit ce vieux proverbe, « il n’y a pas de sot métiers, mais seulement de sottes personnes »!!!
Un deux cha cha cha, trois quatre cha cha cha………
Heureusement, je ne suis pas le seul a dire que le monde dans lequel nous vivons est de plus en plus complexe. Les communications nous rapprochent comme jamais dans l’humanité, ce qui fait de la planète un gros village.
Aussi, jamais dans l’histoire de nos démocraties avons nous eu plus de gestionnaires politiques que maintenant, parce que pour ce qui est des idéologies, il n’y en a plus… On vote pour des politiciens qui parlent de trucs très concrets, pistes cyclables, financement des hôpitaux, etc. Ceux qui voudront faire des débats d’idées n’auront pas de visibilité de toutes façons, on les traitera d’irresponsables, ou je ne sais quoi.
Néanmoins, lorsqu’on lit les rubriques scientifiques où l’on découvre que tel biologiste manipule les gènes comme Frankenstein, on se rend compte combien le progrès scientifique et l’expertise technologique suivent une logique où la rentabilité et le profit sont rois. Et s’ils étaient simplement remplacés par des valeurs aussi anecdotiques que l’éthique, le respect de la nature, la sécurité, la santé le bien être et ce que la religion appelle le Bien?
Je ne devrais pas avoir a écrire ces lignes sur ce sites. Parce que ces tâches sont du domaine politique. On ne peut laisser personne d’autre s’en occuper.
Et une ligne directrice en immigration s’impose aussi d’elle même. La morale devrait dicter la conduite de nos politi-chiens, faire venir ces demoiselles au Canada parce qu’elles sont abusées dans leur pays, ostracisées par le pouvoir ou je ne sais quoi. Pas parce qu’elles ont des qualités au niveau de la poitrine, ou parce qu’elles ont un beau postérieur.
Un peu de courage s’impose ici a l’assemblée, et le respect ne se mérite pas en faisant venir de la chaire fraiche d’un pays défavorisé. C’est carrément dégradant de penser ou agir en ce sens. Et c’est pas mieux que de l’esclavagisme…
Après les médecins, les infirmières, les profs d’université, voilà qu’il faut combler le manque de « main d’oeuvre » de l’industrie de la danse à 5…..Est-ce que la pénurie de danseuses est comparable ou attribuable à la fuite des cerveaux vers nos voisins du sud? Un peu moins de culture pour plus de cash?
En fait ce qui m’interpelle c’est plutôt le besoin à combler. Si je tente une réflexion sur les causes, je m’imagine que les filles du Canada ont décidé d’arrêter de se dévêtir pour quelques dollars. Tant mieux. Mais la demande semble encore forte, donc la gente masculine, elle, n’évoluerait pas?
Ne devrait-on pas en profiter pour diminuer le nombre de clubs qui offrent ce genre de spectacle pour dans un premier augmenter les critères d’élégance de ces endroits, et dans un deuxième diminuer les rentrées d’argent du crime organisé?
Combien de clubs de danseurs pour femme connaissez-vous? 2 peut-être 3 à Montréal, pour plus d’une centaine de clubs de danseuses pour hommes. Est-ce que, à l’instar de la ligue nationale de hockey, on ne dilue pas le produit en ayant trop « d »équipes »? Ne devrait-on pas assouplir ces lois et ces réglements absurdes, qui limitent l’embauche des nouveaux immigrants, afin de ne pas les envoyer vers une industrie non rentable pour l’économie?
J’ai du mal à croire que les immigrantes des pays de l’est et d’ailleurs rêvent de venir se retrouver dans un sous-sol de bloc d’appartement pour retirer leur string sur de la musique techno.
Enfin si vraiment la demande est si forte dans l’ouest Canadien, ne devrions pas déléguer nos belles Québecoises pour qu’elles fassent la promotion de la séparation du moment qu’elles reviennent parmi nous?
Cela se passait sur la rive sud de Montréal. La `danseuse` venait de Laval. Son mari l’avait plaquée. Elle s’est retrouvée dans son bungalow avec deux enfants. -J’aimais déjà les étrangères quand j’étais un tout petit enfant ( Big mouth Léo Ferré). Elle était châtain clair, mais se définissait comme blonde. Tu peux vérifier. Tiens, regarde mon pubis. C’était blond en effet. Au moins jaune paille. Pas tout à fait comme les blés à la moisson. Je me demande encore, je me demanderai toujours comment ces femmes se laissent faire peloter par des inconnus. Apparemment, c’est du travail. Les Québécoises excellent en ce domaine. Il semble que les Américains du Nord préfèrent les Québécoises, car ces contacts ne les émeuvent pas et aussi les fait jouir. Parfois, elles ont leurs chums qui surveillent tout. Sont-ils jaloux? Une femme ne se partage pas, même pas pour des dollars. C’est du moins mon avis. C’est comme une brosse à dents. Ma grand-mère est morte en chantant des chansons paillardes. D’autres, québécoises, avec une brosse à dents.
Vive la libération sexuelle. Il me semble qu’une toute petite chose a échappé aux femmes. À trop baiser avec des inconnus, elles banalisent le sexe. Elles tuent l’homme en moi.
J’ai été portier pendant quelques années dans des bars de danseuses et j’ai toujours entendu le même refrain. Je fait ça pour payer mes études, je ne connais juste ça, bla..bla..bla!
Quand tu es « capable » de faire 1000$ à 2000$ par soir, ça ne te tente pas d’aller travailler ailleurs pour gagner beaucoup moins et pour des conditions qui pour elles seraient pires…
Il faut aussi bien démystifier tous les types de danseuses. Ce ne sont pas tous des filles « faciles » comme bien des gens le pensent. Il y en a qui ne se drogues pas, ne boivent pas etc. Elles font leur petits train-train et c’est tout!
Ce n’est pas parce que tu danses que tu es une mauvaise personne. La preuve! Je crois qu’il existe autant de politiciens véreux que de « mauvaises » danseuses…!
Laissons les préjugés de coté et à chacun son métier!
Le gouvernement se fout effrontément de nous en gobant plusieurs millions de nos dollars dans le scandale des commandites. Il achète de surcroit les vieilles bébelles de l’Angleterre pour faire plaisir à ce cher voisin Bush qui demande à notre oncle Martin, que dis-je ?, lui ordonne plutôt de graisser ainsi les poches de l’État de son plus grand allié, mister Blair.
Les scandales pleuvent, et qu’est-ce qu’on en retient ? Le cas des effeuilleuses ! Le cul, encore et toujours le cul ! Si nous mettions autant d’ardeur à gueuler sur le fait qu’on ne sait toujours pas la vérité sur le scandale des commandites plutôt que de nous attarder sur le cas de quelques belles et de taper de toutes nos forces sur la tête d’une ministre qui a finalement fait bien moins de mal que beaucoup d’autres, peut-être en arriverions-nous à nous faire davantage respecter par ce gouvernement qui nous manipule en sachant fort bien qu’on aboiera un peu en découvrant ses pratiques frauduleuses, mais que jamais on ne le mordra.
Franchement, n’y a t-il pas dans les malversations de notre gouvernement actuel des raisons plus importantes de s’offusquer que celle de quelques danseuses nues ? J’en viens presque à croire que c’est le gouvernement lui-même qui a balancé l’affaire des danseuses aux médias pour détourner l’attention du peuple canadien de scandales pires encore dont on ne parle même plus !
On trempe dans une mer de scandales liés au gouvernement Martin ou au précédent gouvernement de Jean Chrétien dans lequel Martin occupait un poste de la plus haute importance. Et on encaisse sans rien dire ! Et ça continue ! Et plutôt que de faire entendre nos voix pour pousser ceux qui nous gouvernent à faire la lumière sur l’affaire des commandites, on s’époumonne pour quelques danseuses à poil ! Pourrait-on revenir à nos premiers moutons au lieu de s’égarer ainsi comme des brebis ?
Ôtez le flafla, les lumières, les « tounes » ringardes et racoleuse. Enlevez les « messieurs » imaginant être le centre du monde en dépensant des fortunes pour attirer le sourire d’une « artiste » de club et vous retrouverez l’origine du charme humain.
La danse a toujours existé depuis la nuit des temps. Elle tourne autour du brasier, elle précède la noce, elle est un rite de passage à l’âge adulte pour certains peuples. Elle est ainsi, avant tout, un médium de séduction. Le mouvement de l’autre attise plus les phéromones que toutes les paroles des chansons de la planète. Lorsque ce mouvement est rythmé et destiné à l’autre, il devient charme comme lorsque le paon étale ses avantageuse plumes.
C’est simplement dénaturé et mercantile dans un contexte de bar de danseuses.
En passant, je suis bien d’accord, car malgré mon discours je demeure un homme. Les québécoises sont difficile à battre en la matière.
C’est drôle, comme je n’avais pas entendu parler de ce scandale, j’ai cru que l’auteur avait tourné son article à saveur de danse à 10 $ pour parler originalement des médecins étrangers qui aimeraient pratiquer au Canada!
Après tout, le Québec est bien en manque de médecins mais refuse d’admettre bien des médecins étrangers dans ses rangs. Ceux-ci se tournent alors vers d’autres provinces, où les règles sont un peu moins strictes pour accepter leur aide. comme si notre qualité de médecine était meilleure qu’ailleurs au Canada.
Dans la plupart des programmes contingentés, on limite le nombre de candidats parce que le marché est saturé. La logique devrait s’appliquer aussi pour le programme de médecine mais c’est plutôt un manque de ressources qui est à la source de cette limite.
Si seulement on était honnête, le collège des médecins refuserait les médecins étrangers non pas pour leur supposé manque de compétence mais parce qu’on manque de fonds pour payer plus de médecins.
Enfin bref, vous ne pensez pas que les effeuilleuses et les médecins ont bien des points communs dans ce cas-ci?. tout comme leur salaire, qui est bien étonnant dans les deux cas!
La ministre Sgro doit certainement regretter que son comparse Alphonso Galiano ne soit plus là. Elle aurait pu tenter de lui faire porter le chapeau à lui tout seul et tenter de le faire passer pour la seule cheville ouvrière dans ces opérations démagogiques destinées à acheter les sympathies des québécois pour le fédéralisme à défaut de ne pouvoir les séduire autrement, lequel aurait pu se décharger sur la présence de fonctionnaires corrompus dont les menée arrivistes seraient la seule cause de leur soumission, lesquels à leur tour auraient prétendu que seules les maisons spécialisées en communication auraient été en cause. Dans ce cas de figure, la chaîne des responsabilités se serait arrêtée au même endroit que dans le scandale des commandites pour que l’on ne puisse pas voir que la suite de cette chaîne remonte en ligne directe vers le parti et le gouvernement au pouvoir qui peut de la sorte regarnir sa caisse électorale et arroser au passage les bienfaiteurs qui lui permettent de l’emporter aux élections, soit tous ces organisateurs véreux qui vivent grassement en parasitant ce systèmes de patronnage. Nous aurions pu alors découvrir que la trajectoire de retour de cette chaîne de commandement ne s’arrête jamais dans le bureau d’un seul ministre puisqu’elle implique au premier chef tout le parti politique des gouvernements et que les lobbyistes la font remonter jusqu’à celui du premier de ses ministres, et non d’un seul d’entre eux. Nous aurions aussi pu remarquer que dans cette chaîne de bons offices, le rouge libéral côtoie joyeusement le bleu conservateur et que tout ce beau monde se retrouve entre eux aux mêmes soupers bénéfices, le temps de changer la couleur du chapeu au vestiaire. Présenter cette histoire comme une histoire de cul, c’est la présenter cul par-dessus tête.
Décidément, la politique me semble comme à l’habitude, mêlée à différentes magouilles. Le Québécois, cette fois-ci, lui il se rince l’oeil. Pour une fois il aura l’impression que ses taxes et impôts qu’il aura payé ( en trop bien entendu) aura servi à quelque chose: ILLUSION.
Illusion, car des taxes et impôts il faudra en payer encore beaucoup plus pour réparer toutes les erreurs politiques passées et à venir. Prenons par exemple 2 beaux cas: le scandale des commandites et Monsieur notre Premier Ministres qui débarque tous ses dollars aux Bahamas pour ne pas payer les impôt qu’il devrait et que les contribuables devront encore une fois payé.
Dans ce dossier comme dans bien d’autres, le Canada est tellement un beau pays que toute la planète souhaite habiter ici. Dans ce cas-ci, les filles arrivent, pas de formation ni de diplôme, alors pas d’autres choix que de danser et de se montrer les fesses pour gagner leur croute. Si elles vivaient de l’aide sociale, Qu’aurions nous fait avec elles?
Elles gagnent leur vie d’accord, mais ne paie toujours pas les impôts appropriés et en plus, nos politiciens accordent à tous ces immigrant la citoyenneté canadienne.
Mais on es tu bien au Canada! Devrais-je dire plutôt Ooooooooooo Canadaaaaa Terre de nos dansseuses…..
J’admets que cette histoire a pris toute une proportion exagérée parce qu’il s’agit de danseuses. Qu’en serait-il si cela avait concerné un autre corps d’emploi? On n’en aurait probablement même pas entendu parler. Il y a des journalistes qui recherchent absolument le scandale afin de remplir les journaux de leurs employeurs, et celui-là avait un potentiel explosif.
N’empêche que c’est vraiment insultant d’apprendre que les jeunes filles québécoises ne sont pas considérées assez compétentes pour être danseuses. Qu’est-ce que cela prend vraiment pour être une strip-teaseuse au Canada. Cela ne doit certainement pas demander un bacc. Il suffit pour la jeune fille de se brasser le derrière dans des tenues affriolantes devant des messieurs pas tellement distingués. Vraiment pas besoin d’un gros diplôme ou de compétences extraordinaires pour faire cela. Pourquoi, dans ce cas, avoir besoin d’aller chercher absolument des roumaines pour accomplir de telles bassesses.
En tout cas, danseuses ou pas, cette histoire est un véritable scandale et une bénédiction pour les journalistes en manque de sensations fortes.
Je ne comprends pas en quoi cette nouvelle est tellement plus révoltante que toutes les décisions politiques prises chaque jour. Quand on prend le temps de s’arrêter sur ce qui se passe réellement dans les sphères où se trouve le pouvoir, on réalise que des drames se jouent tous les jours.
Quand il est question de cul, les sensibilités se réveillent. Par contre, des millions de canadiens ont voté pour Paul Martin même si on a prouvé qu’il a contourné l’impôt de son propre pays. On part à la chasse aux assistés sociaux alors que des compagnies font des milliards en évasions fiscales et le gouvernement cautionne des projets qui feront des torts irréparables è l’environnement.
Pour toutes ces raisons, j’ai de la difficulté à croire aux gens qui sont censés me représenter. Ce qu’on dit dans cet article ne me surprend pas. Je suis désolée que cette situation existe, mais je crois qu’il y a bien plus grave!
La façon dont agit le gouvernement fédéral est plutôt stupide. On refuse des pesonnes qualifiées dont on a grandement besoin, on manque de professionels de la santé, on veut plus de francophone au Québec et on accepte des belles danseuses Sexy… Je suis 100% d’accord que nos belles québécoises peuvent faire le travail… Et se mettre dans l’embarras alors que l’on retourne des imigrants qui sont ici depuis quelque fois 5 ans, qu’ils sont intégrés, qu’ils travaillent… ça me dépasse. Ça profite à qui au gouvernement de faire venir des danseuses ? Sont-ils leurs « Bouncers ». Je ne comprends plus rien…
Vous ne comprenez pas l’intérêt d’amener des roumaines pour danser dans les bars de strip-teaseuse? C’est pourtant simple, le gouvernement a besoin d’immigrants, le gouvernement veut qu’ils s’intègrent à notre culture… Vous ne voyez pas où je veux en venir? Souvent, les immigrants lorsqu’ils arrivent au pays, seulement l’homme s’intègre au marché du travail alors que la femme bénéficie du pension de l’aide sociale. Le but est ainsi d’inciter les femmes à aller sur le marché du travail, et comme elles n’ont aucun diplôme, aucune qualification, strip-teaseuse est la façon qu’elles ont de gagner leur vie. Pour l’État, il est plus avantageux que les immigrantes soient danseuses qu’elles bénéficient de l’aide sociale ou qu’elles s’inscrivent à des cours pour atteindre une compétence. C’est une question d’astuce gouvernementale.
Bonsoir M. Desjardins,
Mme Sgro a d’abord affirmé que ses motivations pour soutenir la jeune effeuilleuse étaient humanitaires.
Puis, quelques jours plus tard, selon ce que j’ai lu, elle a évoqué une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée pour justifier son favoritisme.
C’est groS (désolé, je n’ai pu m’en empêcher) ce que la madame nous raconte-là. Tellement que c’est à se demander qui lui souffle ces réponses à l’oreille ?
Bon dieu que nous sommes gouvernés par des imbéciles ! Et bon dieu que ces imbéciles sont conseillés par d’autres imbéciles !! Et …
»Ah ta gueule bonhomme! » que je me dis.
Parce que si à la fin on apprend que la jeune fille n’était effeuilleuse que parce qu’elle épamprait des vignes, je ne saurai plus où la mettre, ma gueule…
Allez Mme Parrish, calmez-vous et dites-nous donc un peu svp.
Si ce n’est pas n’importe quoi, vous devriez trouver oreille attentive.
Je n’ai vraiment pas compris quel sujet était traité dans cet article?! Celui du fait que les danseuses nues québécoises soient plus « performantes » que celles de l’ouest canadien? Que les danseuses de l’Europe de l’Est soient rentrées au pays par « pénurie de danseuses compétentes au Canada ». Que les danseuses Ontariennes aient moins « d’initiative » que les Québécoises de Gatineau? .
Mais, quel qu’en soit le sujet à être traité je pense que de GÉNÉRALISER les choses n’aide pas toujours la cause.
Nous lisons, une fois de plus, des idées stéréotypées sur les femmes québécoises, je trouve cela dommage car tout cela me semble être des idées générales qui semblent être rapidement fondées. Ce que j’aime encore moins, c’est le ton employé qui semble dire que les femmes québécoises sont plus « faciles » et cela ne donne pas une très belle image sur toutes les femmes, de TOUS les niveaux au Québec !!!
De toutes les façons, cette histoire de danseuses nues existe dans toutes les grandes villes du monde entier (pas seulement chez nous) !!! L’idée serait de réglementer un peu plus les passes droits faites par les Ministres au dépend de nos impôts!!! Sinon à part ça, qu’elles fassent bien ce qu’elles veulent, les danseuses nues, qui sont PAYÉES à se trémousser le postérieur !
Après tout, QUI Suis-je POUR LES JUGER?
Quand j’ai enttendu cette nouvelle très inattendue. Je ne me suis pas sentie très bien. Pourquoi ? Parce que des danseuses nues viennent ici. Tout le monde le sait que dans se domaine il y a de la drogue et surtout de la prostitution. Oui, il y a beaucoup de femmes qui vivent avec ce métier mais je ne crois pas que en les faisant venir ici leur condition va s’améliorer. Bien sur les danseuses mérite le respect comme tout être vivant mais sincèrement, qu’on est entrain de sans faire passer une. Peut -être que je me trompe mais cette histoire à un coté très étrange.
J’imagine seulement la tête des gens qui ont découvert le fait et celle de Madame Sgro, couchée aux côtés de son mari cherchant les façons de se sortir de ce bordel. Tout à coup, éclair de génie! Elle n’a qu’à affirmer qu’il manque de danseuses compétentes au Canada… j’ai bien ri! Elle aurait pu trouver mieux!
Comment est-elle au courant des talents des effeuilleuses canadiennes? Se fie-t-elle aux commentaires des clients, des propriétaires ou a-t-elle expérimenté elle-même le savoir-faire artistique de ces gracieuses danseuses? A-t-elle une grille de compétence? Talent, chorégraphie, choix de la musique, qualité particulière, charisme, attributs physiques, regard, on fait une moyenne et on donne une note sur 10? Où sont les auditions pour faire les meilleurs choix? Il ne faut tout de même pas faire venir celles qui ont moins de virtuosité rythmique que les nôtres.
Entrevues, CV, lettre de demande d’emploi, tout est mis en place pour choisir le gratin roumain de la gambille anatomique. Poste recherché: technicienne en orchésographie in naturalibus. Offre d’emploi: danseuse à 10. Bof! Tant qu’à vivre dans un 1 1/2 à Bucarest et se faire payer en lei pour poser sur internet, aussi bien s’inventer une fonction de spécialiste en charmes pour quitter ce trou perdu… et voilà le danger.
Ces femmes peuvent être à la merci d’un propriétaire scabreux dont les valeurs morales ressemblent à la propreté de ses toilettes, c’est-à-dire qu’elles laissent à désirer. Quels sont les véritables recours pour celles qui se font abuser… pour celles qui sont rapidement passées de danseuses sur papier à putes dans la rue? Ce n’est pas un excès de pudibonderie, c’est la triste réalité. Se faire passer ce sapin sous le nez est une honte… croyez-vous vraiment que l’on ait un besoin assez criant dans le domaine du strip-tease pour faire venir de la chair fraîches «des Uropes»… la ministre risque de devoir nous convaincre qu’elle est franchement naïve…
Je ne trouve pas ce programme fédéral si aberrant que cela. Il faudrait commencer par être honnête et avouer que du cul, il va toujours y en avoir dans notre vie. Ce n’est pas en fermant les yeux sur cela qu’il va arrêter d’avoir des danseuses au pays. Oui, je trouve ça un peu dommage que des gens partent de leur pays en viennent à occuper cela comme emploi. Sauf que je pense qu’à la base le programme était là pour n’importe quel type d’emploi et c’est la demande qui a occasionnée la situation. Je ne pense pas que cela était pour faire plaisir aux amis des fédéraux ou à quelqu’un d’autre. Il reste qu’il faudrait quand même corriger le tir selon moi.
Dans les pays occidentaux, il existe tout un racket entourant le traffic de filles en provenance des pays de l’Est. Ce qui inquiète dans cette affaire, c’est bien davantage ce qui adviendra d’elles, une fois arrivées au Canada.
Rien a reprocher a ces filles, sinon leur naiveté. Le plus souvent, elles se retrouvent entre les mains de réseaux bien organisés. J’aimerais savoir ou elles aboutiront. Des danseuses, l’Ontario pourrait en exporter du Québec, elle l’a toujours fait. C’est pas ça le ces filles expatriées et les liens entres les organisations interlopes et le monde politique.
Quant au sort réservé aux danseuses, lorsque les boites sont bien tenues, il n’est peut-être pas pire que le sort réservé a bien des travailleurs immigrés.
Pour quoi faire venir des danseuses d’ailleurs? C’est pas comme si les proprios de bars de danseuses n’ont pas les moyens pour recruter ou quoi que ce soit. Ce n’est pas non plus comme si il y avait une pénurie d’infirmières, c’est des danseuses!
Que l’on fasse venir au pays des professionnelles de l’industrie du sexe, je n’ai pas de problème avec ça. Mais qu’on le fasse avec l’argent des contribuables, ça, ça m’enrage! On n’a pas besoin de donner toujours plus d’argent à ceux qui en ont déjà, c’est-à-dire les proprios des bars de danseuses qui vont pouvoir engager de la main d’oeuvre à rabais.
Et en plus, une ministre fédérale gaspille notre argent et le temps qui devrait être dévolu à la discussion des divers projets de lois, et autres questions d’importance nationale à essayer de garder son poste, c’est là qu’on retrouve le scandale. Faite qu’elle démissionne au plus crisse et qu’on dilapide notre argent dans des secteurs plus criant et qu’on pose plus de question au gouvernement dans la Chambre des communes à propos de la caisse de l’assurance-emploi.