C'est la vertu au service de l'exclusion. L'obsession de la santé qui flirte avec la maladie mentale. La manipulation de l'opinion publique déguisée en gros bon sens.
Car soyez certains d'une chose, les propriétaires d'immeubles qui souhaitent obtenir la permission d'interdire la location de logements à des fumeurs n'en ont rien à faire de votre bien-être. Vous pouvez vous gaver de bacon, ne jamais sortir de chez vous, regarder 90 heures de télé par semaine, boire des litres d'antigel, vous shooter au Windex et sniffer des kilomètres d'Ajax si cela vous chante, dans la mesure où vous n'endommagez pas leur propriété, payez rubis sur l'ongle et n'avez pas l'indécence de mourir d'une overdose dans votre appartement, vous n'entendrez jamais parler d'eux.
Remarquez, c'est très bien ainsi. On a assez d'une mère pour nous picorer la conscience.
Pourtant, quelques bienveillants propriétaires voudraient nous interdire de fumer chez eux – qui est un peu chez nous aussi quand même – arguant qu'il en va du bien des locataires des logements adjacents à ceux de fumeurs, ces pollueurs qui répandent leurs milliers de produits chimiques dans l'air que respirent leurs voisins.
Par où passe cet air vicié qui viendra vous ruiner la santé, demandez-vous? Mais il entre de partout, mes pauvres amis. Par-dessous la porte, par les fentes dans les murs, par les prises électriques, si on en croit les plus excités de la santé publique.
Petit bijou d'alarmisme de la part de ceux qui veulent notre bien, le texte d'opinion de Fernand Turcotte – professeur de médecine préventive à l'Université Laval – que publiait La Presse la semaine dernière (jeudi, 5 avril 2007, p. A29) est non seulement un véritable morceau d'anthologie de l'hystérie concernant la fumée secondaire, mais il est aussi le parfait exemple du mépris qu'entretiennent les hygiénistes sociaux concernant ce travers de leurs concitoyens.
"Il faut applaudir la clairvoyance des locateurs qui ont compris qu'arrive rapidement le moment où leurs locataires demanderont des logements protégés de la fumée tout comme ils exigent aujourd'hui que leur domicile soit exempt de coquerelles et autres vermines", conclut M. Turcotte.
Parenthèse préventive: vidons immédiatement le sujet de toute potentielle crise de rétention anale chez les médecins, mamans, mamans-médecins et autres preux défenseurs de l'intégrité morale et physique de leur prochain: fumer, c'est juste… mal. Ça pue, tu tousses comme un dératé, ton haleine sent le goddamned, t'as les dents jaunes, et si t'arrêtes pas, tu choperas sans doute le cancer du poumon dont t'as toutes les chances du monde de crever dans des conditions dégueulasses. Fumer est nocif, c'est entendu, fin de la parenthèse.
Mais de la vermine? Des coquerelles? Et pourquoi pas dire que les fumeurs ne sont pas autre chose que des rats? Des rats qui se retrouvent évidemment en plus grand nombre dans les milieux les plus pauvres, préciseront les doc Mailloux de ce monde, puisqu'ils y prolifèrent, se reproduisent, engendrent d'autres rongeurs qui toussent.
Et comme ils font bien du millage, on les retrouve même dans les quartiers huppés.
Comme chez ces amis que j'ai, Monsieur le Professeur, des gens tout ce qu'il y a de bien. Profession libérale tous les deux, beau couple, parents aimants, belle grande maison. Sauf qu'il leur arrive, certains soirs d'hiver, de fumer sous le ventilateur de la cuisinière quand leurs enfants dorment à l'étage du haut. Faut-il que j'appelle la DPJ tout de suite ou vous vous en chargez?
En fait, pour revenir à vos propos, il n'y a qu'une chose d'admirable dans cette demande de la part des propriétaires de logements, et c'est leur sens du timing.
Tous les proprios vous le diront, il n'y a pas grand-chose de pire que de tenter de louer un appartement qui était occupé par des fumeurs auparavant. Murs jaunis, tapis imprégnés de l'odeur de tabac froid, la chose est repoussante et éloigne de nombreux non-fumeurs de ces logements autrement attirants.
Le génie des proprios est d'avoir su profiter de cette potentielle faille du droit qu'opère l'opinion publique, celle qui applaudit à tout rompre chaque fois que l'on interdit l'accès aux fumeurs où que ce soit. Cette même opinion publique qui se contrecrisse des polluants que crachent les cheminées des usines juste derrière la maison pour la simple raison que, cette pollution-là, on n'en a pas encore fait un symbole.
La cigarette, elle, est une image puissante, on peut la voir, la désigner, la montrer du doigt. On en connaît parfaitement l'odeur, facilement identifiable.
Opportunistes, mais pas débiles du tout, les proprios savent jouer de cette intolérance, de cette corde devenue très sensible pour tenter d'équarrir les angles du droit à leur profit. Cons comme des manches, les ayatollahs de la santé publique sautent à pieds joints là-dedans et nous la jouent encore comme les insupportables curés qu'ils sont devenus.
Je précise, persiste et répète: cons comme des manches, puisqu'ils ont transformé la santé en morale, leurs études sur la fumée secondaire en religion, et qu'ils sont prêts à tout pour convertir le monde entier. Y compris à les priver d'un logement ou à les confiner aux quelques taudis où l'on consentira encore à les laisser fumer.
Des trous à rats, tiens.
Vous avez tort de comparer les fumeurs à des rats. Ils n’ont de leur laideur que leur obsessionnelle manie de fumer pour fumer. Ils deviennent prisonniers de leur vice puisque la cigarette est un vice, au même titre que la boisson, la drogue… rien de moins. Votre comparaison maladroite et inappropriée à la vermine la plus hideuse, ne sert absolument pas vos propos quelque peu outranciers, à l’égard des humains, puisque fumeurs et non-fumeurs font partie de cette même famille. Mais quand un vice personnel devient un problème de société et une atteinte quotidienne à la liberté d’autrui, nous sommes tous concernés, collectivement. Plus qu’un vice, la cigarette est devenue un fléau qui fait de nombreux ravages: cancer du poumon et toute autre complication de santé, par exemple. Devant cette menace constante, les non-fumeurs ne sont pas à l’abri et, ils doivent tout faire pour se protéger. Il n’y donc rien de surprenant que l’on assiste, à divers niveaux, à des mesures radicales et efficaces pour enrayer ce fléau: loi gouvernementale dans tous les espaces publiques et, même le projet de loi controversé des propriétaires de logements collectifs et condos, de restreindre l’accès aux fumeurs. Grand fléau, grands moyens! Mais là où vous avez un peu raison, c’est sur le caractère versatile et contradictoire de l’opinion publique. En défendant à la fois le droit des non fumeurs et le droit à l’inaction face à la pollution environnementale, l’opinion publique se fait l’avocat du diable, en toute malhonnêteté… la pollution atmosphérique est tout aussi nocive pour l’humain que la cigarette. Les deux combinées, une bombe à retardement!
C’est certain que les proprios ont tenté de mettre ça sur le dos de la santé des locataires pour faire passer leur loi, au lieu de dire la vérité. Mais franchement, connaissez-vous un politicien qui fait autrement. Personne ne donne la vraie vérité quand vient le temps de faire valoir son point en politique voyons.
Cependant, si j’avais un bloc et que je devais louer à des locataires, je demanderais qu’ils soient non-fumeur. Pas seulement parce que c’est difficile de louer après, car ça pue, ça jaunit, il faut repeinturer… mais parce que les gens qui fument, ils puent. Lorsqu’au travail je passe quelqu’un dans l’escalier roulant, et qu’il vient d’aller fumer dehors, il PUE. Son linge est infesté d’odeur et son haleine aussi, à moins qu’il n’ait pris une gomme ou une menthe après. Cela prend quelque temps avant que l’odeur disparaisse. ALors dans le couloir, d’un bloc, cela va sentir…
Pourquoi ne pas faire comme dans les hotels, il y a des chambres et des étages réservés aux fumeurs et d’autres aux non-fumeurs. Sûrement qu’il y a des proprios qui sont des fumeurs, alors eux peuvent accepter les fumeurs. Également, si ton bloc a plusieurs logements, il peut y en avoir quelques-uns pour les fumeurs et les autres non. Mais cela devrait se régler entre proprio et locataire, pas avec une loi, mais un choix, après discussion. Comme il y a des proprios qui ne veulent pas de locataires avec des animaux, et certains même iront à ne pas prendre ceux qui ont des enfants alors…
Malgré tout ce que peux invoquer les spécialistes de NOTRE santé, je crois qu’il est tout à fait inconcevable que quiconque exige un comportement précis dans un logement que je paie au prix du marché.
Si un proprio devait exiger que je ne fasse pas telle ou telle chose dans son immeuble, je me verrait dans l’obligation de poursuivre à la régie du logement pour demander une réduction du prix puisque l’on me met des restrictions quant à l’utilisation d’un espace privé…
Je suis un ex-fumeur depuis le 5 octobre 2005 et pour mon bien-être seulement, pour mourir un peu plus en santé tout simplement…
Et en terminant, les spécialistes de NOS santés devraient aussi vérifier la peinture sur les murs des appartements et des maisons…car même si elle est sèche, elle laisse transpirer des produits toxiques que les occupants respirent continuellement…ils y trouveraient peut-être là aussi une obligation…pour le propriétaire de ne pas y mettre n’importe laquelle des peintures qui est sur le marché…
Donc, poursuivez donc sur une réduction de prix plutôt que pour empêcher le proprio de vous interdire de fumer…
Après tout ce que nous savons aujourd’hui sur les effets de la cigarettes, tout ces morts qui trépassent en crachant du sang ; mais qui a encore le goût de fumer de cette merde?
La plupart des fumeurs sont comme les imbéciles qui roulent à cent miles à l’heure sur les autoroutes en zigzagant entre les voitures pleines de jeunes familles ; ce sont des crétins. Ils ne se soucis guère des autres et de leur bien-être, ils n’ont que faire de la santé ou même de la vie des autres. Seule leur petite personne est importante. Ils pourraient hypothéquer la vie de dizaine de gens… pfff! Ils en ont rien à foutre! Ce qui compte c’est de pouvoir en griller une partout où ils vont.
Combien de fois avez-vous vu un de ces fous fumer une bonne ‘zigoune’ dans une voiture, fenêtres relevées, avec ses enfants assis à l’arrière? Ben oui, encore en 2007, il y en a des masses! Quel est, à votre avis, le pourcentage de gens sur le bs qui fument? Combien de ces pauvres types prennent de notre argent durement gagné et préfèrent se payer un cartoon plutôt que d’acheter de la nourriture décente à ses enfants? Et bien, encore une fois, dites-vous qu’il y en a un paquet [un paquet, est bonne]!
Les fumeur se plaignent que les propriétaires de logements pourraient interdire la cigarette dans leurs appartements. Mais dans l’expression propriétaire de logements, il y a le mot propriétaire. Si vous tennez tant à fumer, payez-vous votre propre maison et emboucannez-vous! Et dites-vous qu’une vie à fumer représente une bonne mise de fond [une méchante bonne mise de fond] pour acheter une maison. Faque payez-vous dont un havre de paie et crevez-y en paix!
J’ai un chien [on s’entends-tu pour dire que mon chien de vingt livres est moins dangereux pour les autres que la cigarette], et bien de moins en moins de propriétaires acceptent de louer si vous possédez un animal de compagnie. Est-ce que je monte sur les barricades pour ça? C’est plate, certe, mais en tant que locataire, je l’accepte.
Je propose deux autres raisons pour être contre la cigarette. Le fumeur, par sa fumée secondaire, peut causer des problèmes de santé aux membres de sa famille, même si ces derniers ne fument pas et n’ont jamais fumé. Et pourtant, ils tentent de nous faire croire qu’ils respectent les non-fumeurs!
L’autre raison est que beaucoup d’incendies sont causés par des cigarettes de fumeurs qui se sont endormis avec ce tube de tabac allumé.
Devrait-on pour autant interdire aux locataires de fumer? Quels seraient les recours possibles contre ces mauvais locateurs? Les expulser? Un voisin qui fait jouer sa musique trop fort est-il vraiment plus acceptable qu’un voisin fumeur? N’y aurait-il pas d’autres motifs plus raisonnables de refuser de louer à quelqu’un?
Comme si se saoûler à mort ou sniffer ou se piquer serait plus acceptable pour un propriétaire! Comme si tenir une serre hydroponique pour la pousse de canabis était elle aussi acceptable pour le propriétaire.
J’ai beau dénoncer la cigarette et le comportement de certains fumeurs, mais essayons donc de réfléchir et d’agir intelligemment!
Au départ, je me suis sentie ambivalente face à cette potentielle interdiction de fumer dans des logements. Après tout, si les fumeurs ne peuvent plus fumer chez eux, où s’exécuteront-ils ? Je pense, entre autres, à mon beau-père qui, après plus de 50 ans de boucane, voudrait bien arrêter mais n’y arrive juste pas. Et puis, comme je vis moi-même dans une maison, le débat ne me concerne pas vraiment.
Mais d’un autre côté, j’aimerais vous raconter une anecdote. Il est interdit de fumer chez moi et tout mon entourage s’y plie. Récemment, je me suis absentée pour quelques jours, laissant la maison à mon fils. Au retour, je rentre chez moi. Je savais qu’il avait reçu un groupe d’amis en mon absence. Je fais donc un tour d’horizon pour constater avec satisfaction que tout est propre et en ordre. Mais un détail me turlupine. Ça pue !
Considérant mon absence, il avait autorisé deux copains fumeurs à s’exécuter chez-moi pendant le party. Il était convaincu que, deux jours plus tard, la fumée se serait totalement évaporée. Erreur !!!! J’ai eu beau ventiler toutes portes ouvertes au froid qui frappe encore, empuanter la cabane à grand renfort de lampe berger. Rien à faire. L’odeur a persisté pendant des jours. Imaginez donc si, en tant que locateur non fumeur, vous souhaiter habiter un lieu où l’on a fumé tant et plus pendant des années .. Beurk !!!!
Les crises des fumeurs me font rire. Si on ne veut pas de vous quelque part, pourquoi tant insister pour vouloir y aller? Si votre argent est trop emboucané pour un propriétaire, pourquoi ne pas aller en encourager un autre?
Si des propriétaires exigent que leurs locataires n’aient pas d’animaux, pourquoi ne pourraient-il pas exiger l’absence de fumer dans leur immeuble?
Et si les locataires potentiels sont effarouchés de cette exigence, et bien, qu’ils aillent donner leur loyer ailleurs ou qu’ils achètent leur immeuble et qu’ils l’endommagent de leur fumée comme bon leur semble!
Jusqu’où ira-t-on dans le contrôle du voisin/e, de l’ami/e, de l’amant/e ? Et du locataire tant qu’à y être!
Un locataire intelligent, il s’en trouve, j’en ai 3, savent que pour fumer ils doivent sortir dans le solarium l’hiver ou dehors en saison conviviale, sinon, ils le font sous la hotte de la cuisinière.
Ils le font pour la santé de leurs co-locataires, pour eux mêmes et pour le proprio qui habite sur leur tête. Et ils sont dans la trentaine. Bien éduqués les gars. Bien informés aussi des méfaits de cette drogue légale…
il y a aussi des individus qui roulent à 150 km/h sur des routes où la limite est 100. Que faire ? Augmenter les amendes pour les fous de la route et obliger les fumeurs à défrayer les frais de leurs maladies découlant de leur pratique ? Question.
Ho çà fait jaser « Les rats » de Desjardins, la fumée sort par les oreilles des mal-entendants des accomodements raisonnables, alors selon les nouveaux curés anti-tabac sans sacerdoce, les locataires devront cesser de fumer dans leur logement, selon une clause à cet effet dans les futurs baux, et les propriétaires d’immeubles locatifs, cigarette au bec vont éliminer les cendriers, bye bye la liberté, seuls les sans-abris ne seront pas importunés. Si on pousse cette logique illogique jusqu’à l’absurdité, la vente de condos devrait être assortie aux mêmes restrictions, le marché va s’en ressentir. Le seul côté positif que j’entrevois dans ces mesures restrictives, c’est que les gens vont peut-être moins déménagé, car là où ils habitent présentement ils ont des droits acquis, fumeurs ou non-fumeurs, avec droit de retention dans les lieux loués, un fumeur averti en vaut deux, il y aura toujours quelqu’un qui se fera fourrer dans l’immobilier, pensez à tous ceux qui ont acheté un bugalow où fut cultivée la marijuana. La vraie fumée qui tue, c’est celle provenant d’incendies sans détecteur. Je suis fumeur, souverainiste, j’irai un jour rejoindre René Lévesque, on en grillera ensemble et les purs, les irréductibles, les intolérants, allez vous recueuillir auprès de vos morts au cimetière, ils ont près d’eux une petite place pour vos cendres.
C’est vrai que la cigarette est devenue un symbole et que malgré la quantité toujours aussi grande de fumeurs on s’empresse de crier « arraut sur le baudet » chaque fois qu’il est question de fumée secondaire. Pourquoi la cigarette et pas les usines demandez-vous? Quand est-il de ces industries qui s’emploient à donner le cancer du poumon à la planète au grand complet? Rien où presque, tous simplement parce que la conscience n’arrive à rien sans l’expérience sentie; ce que les gens ne voient pas ne les affectent pas. On fait des répliques miniatures des cheminées d’usines, on vient les faires fumer dans la bouche du voisin, et toc, là ça sonne une cloche. Cessons donc de nous en prendre aux fumeurs et attaquons les vrais enjeux.
Est-ce à dire que dans quelques années devant « l’épidémie » d’obèses, on leur refusera l’accès à un logement sous prétexte qu’on ne pourra pas les évacuer par la porte advenant une situation d’urgence?
Est-ce à dire que les propriétaires de logements et de condos devront interdire l’utilisation des barbecues sur les balcons car la fumée est nocive? Et disons-le franchement, cette odeur, l’été, impossible de ne pas la sentir!
Est-ce à dire que tous les stationnements intérieurs devront être condamnés car il y a une concentration élévée de gaz toxiques dans un endroit somme toute confiné?
Est-ce à dire que les fumeurs sont devenus les pestiférés de notre siècle? Vite, ouvrons des ghettos! Mettons-les en quarantaine!
Dernièrement, quelqu’un m’a dit que je devais être d’accord avec cette proposition étant donné que je suis une ex-fumeuse et que nous sommes parmi les plus intolérants…Et vlan, voilà, comment une opinion publique se forge, par des jugements de valeur inclusifs.
Et non, au grand jamais, ne serai-je en faveur de telles situations qui traitent des humains comme des citoyens de deuxième classe.
Y’a tout de même un bout de harceler continuellement les mêmes personnes ! Ils ne sont que 22% de la population et on leur accâble tous les maux du monde . D’accord que la fumée de cigarette est désagréable , que l’odeur corporelle et les dents jaunes ne sont pas ce qu’il y a de plus attirant mais faut-il les persécuter pour autant ? Est-ce qu’un propriétaire n’aimerait pas mieux louer sonappartement à un fumeur qui le paie à chaque mois ou à un inconscient non-fumeur qui ne paie jamais . Ils sont chez-eux tout de même . Faut-il qu’ils se cachent pour fumer dans leur propre maison ? Faut pas virer fou !
Je considère que ces derniers ont fait des efforts plus que louable en acceptant d’aller se faire geler le derrière dehors en plein hiver pour nous empêcher de se faire boucaner . C’est une grande marque de respect . Non ils n’étaient pas content mais ils ont avalé leur pilule et tout le monde serait supposé être heureux . Bien non ! Des intolérants trouvent le moyen de chialer quand ils sortent dehors et que ça sent un peu la cigarette . Vas-tu falloir les emprisonner ou les bannir de la ville ? On n’a qu’à regarder les fumées d’usine qui polluent partout , est-ce qu’on en fait un drame ? On devrait peut-être . De grands pas ont été réalisé depuis quelques années , le nombre de fumeurs a diminué considérablement . Quand j’invite un ami qui fume , je n,ai même pas besoin de lui demander , il va fumer dehors par lui-même . Ils nous respectent alors pourquoi ne faisons-nous pas de même ?
Pas pire pour les rats, mais que recherchent les proprios, des non-fumeur ou de bons payeurs. Poser la question c’est y répondre, mais ceux-ci vont arguer que cela sali, que ca coute plus cher de peinture quand il arrive de nouveaux locataire, fait chier il sont obliger de fournir la peinture. Non c’est une mode, non une obligation d’être non fumeur, car la société des non-fumeurs représente environ 70% de la population, alors c’est IN. Quand a moi, quand je loue un appart, ce qui m’interesse, c’est le cout, la localisation et en autant qu’il n’y a pas de bébites je peut vivre avec.
Mais qui est ce fameux Malbrough ???
Et si Malbrough était ce locataire qui veut pouvoir fumer chez lui ?
En principe, j’ai rien contre, mais il est vrai que je ne suis pas un propriétaire, c’est vrai qu’ils ont des arguments !!!
Il y a plusieurs façon de voir ça, d’analyser la question. Il y a d’abord la liberté de tous et chacun. Malheureusement, je ne suis pas libre d’avoir un chien chez moi, je suis locataire et les chiens ne sont pas les bienvenus dans l’immeuble où j’habite. Les propriétaires ne veulent pas me permettre de profiter des bienfaits de la zoothérapie. C’est écrit dans le bail que j’ai accepté de signer : pas de chiens.
Je ne suis pas certain, mais je pense que j’ai le droit d’avoir des serpents dans un vivarium. J’en ai pas, j’aime pas les serpents et si je ne me trompe pas les serpents mangent les rats.
Par ailleurs, mon employeur me permet de porter des jeans, j’apprécie cette liberté que je n’aurais pas si je travaillais pour un grand nombre d’employeurs. Toutefois, je n’ai pas la liberté de me teindre les cheveux en bleu ou toutes autres couleurs de mon choix. Si c’est blond, roux, noir ou brun ça va, sinon il y aurait de graves conséquences.
Ce que je veux dire c’est que la liberté, c’est plus relatif qu’absolu !!!
Je chantais donc :
«Malbrough s’en va en guerre
Mironton mironton mirontaine
Malbrough s’en va en guerre
Nul sait quand reviendra
Nul sait quand reviendra (bis)
Ah oui… euh… j’ai presque oublier de conclure : «Malbrough ne revient pas»
Je disais donc qu’il y a plusieurs façon de voir ça, d’analyser la question. Fumer ou ne pas fumer quand on est locataire ? Est-ce une question de droits et libertés ??? Je dis simplement que cette question ne me laisse pas indifférent même si je n’ai jamais fumé quoi que ce soit de ma vie… J’avoue que trop de lois c’est comme pas assez !!!
Et si les propriétaires décidaient d’interdire les cris quand un(e) locataire a un orgasme ??? Non mais ça dérange !!!
Une solution toute simple pour les logements fumeur: Si tu veux fumer tu t’engages à refaire la peinture en blanc et à nettoyer les tapis. Le problème pour un proprio si on veux être empathique c’est justement de louer l’appart après…
Pensez-y, c’est une business aussi, comme un restaurant, son gagne pain. Si javais des logements et que je devais payer un gars 3 jours à 20$ de l’heure pour me refaire des murs blanc et donner un apparence adéquate…
Je suis un fumeur, ça me déplait à l’occasion de ne pas pouvoir fumer ou je veux, mais en gros j’appréci ne pas sentir la boucane à plein nez lorsque je reviens d’un bar, j’ai les yeux moins rougis et il me semble que mes lendemain de veille sont plus doux. Au resto quand je mange je ne fume pas et j’aime bien que les gens autour en fassent autant.
Peut-être qu’ils nous ont lavé le cerveau depuis une dizaine d’année avec la fumée secondaire mais il y a surement plus de bon que de mauvais.
Il y a des gens qui se demandent pourquoi les fumeurs non plus le droit de fumer dans les bars. Certains trouvent ca injuste pour eux alors imaginez lorsque des propriétaires leur disent qu’ils ne peuvent plus fumer chez eux… ils grimpent dans les rideaux en moins de deux. Mais si des lois interdisent la cigarette dans des endroits comme dans les restaurants, les bars, les bureaux et les écoles c’est qu’il y a plusieurs raisons valables et nous les connaissons tous très bien. Fumer ou pas c’est un choix, quand on fume on décide de mettre sa vie en danger d’une certaine façon. Par contre, la personne à côté de nous qui reçoit la fumée secondaire emmanent de notre cigarette n’a peut-être pas fait le même choix que nous. La fumée secondaire est aussi dangereuse sinon plus que celle que le fumeur émane alors je crois que les lois qui protègent les non-fumeurs de ceux qui polluent l’air sans se soucier des autres sont très bonnes. Si quelqu’un veut fumer à tout prix il devra le faire dans un fumoir réservé à cet effet ou à l’extérieur à plus de neuf mètres des portes. Si il vit en appartement il devra aussi le faire dehors car un appartement demeure un lieu public ou se promène des enfants, des femmes enceintes, des personnes souffrant d’asthme ou simplement des gens qui ne veulent pas sentir la puanteur de la cigarette. Il est normal que ces gens qui choisissent la santé soit la priorité. En passant, si certains fumeurs cessaient de s’acheter des cigarettes ils auraient peut-être les moyens de se payer une maison ou dû moins une nouvelle peinture pour mettre sur leurs murs.
Je ne suis pas une personne fumeuse, mais mon chum l’est et je ne vois pas comment un propriétaire pourrait lui interdire de fumer dans l’appartement. Si moi ça ne me dérange pas, je ne vois pas en quoi ça regarde une autre personne qui ne vit même pas ici. Il faut laisser le monde vivre et cesser de leur interdire toutes sortes de choses farfelues, parce que ça n’a juste plus de sens. On exagère et je comprend les fumeurs de monter aux barricades pour ça. Tant mieux si les gens ne peuvent plus fumer dans les restaurants et les bars, mais il faut au moins les laisser vivre chez eux.
Bien plus désagréable que l’odeur de cigarettes est celle de cuisson des sauces épicées, de grillades au diverses marinades ou de ragoût à feu doux. L’odeur de graillon traverse les murs et les couvre d’une pellicule tout aussi malpropre que celle de la fumée de cigarette. Les proprios empêchent-ils pour autant leurs locataires de cuisiner ?
Que je suis donc contente d’avoir cessé de fumer ! À cause de ma santé, mais aussi parce qu’avec les interdictions actuelles, je n’éprouverais plus aucun plaisir. Les fumeurs seraient devenus nos pires ennemis. Moi, j’en ai pitié. Pas quand ils me boucanent dans la face cependant. Mais la plupart sortent volontairement à l’extérieur pour en griller une. En hiver, j’ouvre une fenêtre ou le ventilateur. Mais de là à refuser de louer ? Ça ne nous a jamais traversé l’esprit lorsqu’on était propriétaire mon mari et moi. Ce serait du feu dont j’avais le plus peur. Mais comme j’ai vécu des années avec des ados qui allumaient des chandelles, faisaient brûler de l’encens et ne fumaient pas que du tabac, je suis assez tolérante.
Toutefois, une chose est certaine, l’odeur de cigarette pue. Je le constate depuis que j’ai cessé de fumer. Toutes les semaines je nage, et l’odeur de cigarettes imprègne tellement le corps que je peux facilement distinguer les personnes qui fument, non seulement dans le vestiaire, mais je peux même les sentir en faisant mes longueurs dans la piscine lorsqu’elles passent à mes côtés. L’eau ne parvient pas à diluer l’odeur.
En tout cas, si j’étais fumeuse, payer un loyer et me faire interdire de fumer, je me sentirais aussi «rejetct» que lorsqu’on refusait de me louer avec trois enfants en bas âge.
La pollution industrielle et la pollution automobile, ça n’interpelle pas les proprios et les non fumeurs ? Pour les immeubles à logements, je trouve intéressante la suggestion d’une intervenante de réserver un étage fumeur comme dans certain hôtels.
L’intolérance est une petite boule de neige placée au sommet de la montagne de notre égocentrisme. Quand on lui donne une légère impulsion, elle se met à dévaler la pente de notre indifférence et devient de plus en plus grosse, s’enrichissant de toute cette belle neige que nous lui fournissons. Puis elle s’emballe. Allant de plus en plus vite, devenant de plus en plus grosse, jusqu’à ce qu’elle se fracasse en bout de piste, ne laissant que des morceaux éclatés, éparpillés, inertes.Toutes les formes d’intolérances naissent d’un conflit entre les notions de vie privée et de vie publique. Quand on oppose ces deux dimensions fondamentales de notre organisation sociale, on allume le feu de l’intolérance.
Quand le domaine privé veut s’imposer dans le domaine public, l’intolérance s’affirme comme ce fut le cas dans l’histoire des accomodements raisonables. Dans cette histoire, on a vu comment l’espace public a réagi fortement quand des événements qu’on considère comme faisant partie de la vie privée (pratiques religieuses, rites culturels, etc.) ont tenté de s’inscrire dans l’espace public. Les citoyens se sont spontanément portés à la défense de l’espace public, exigeant que ces pratiques retournent à l’espace privé. Si vous voulez prier, faites ça chez-vous!
Il en est de même quand l’espace public (l’État ou n’importe quel groupe d’intérêts) s’immisce dans la vie privée. Quand l’État veut proscrire l’usage du tabac, il est en droit de le faire en se limitant toutefois aux espaces publics. S’il essaie de régir l’espace privé, on doit l’en empêcher.
Quand ce sont des groupes d’intérêts comme les regroupements de propriétaires d’immeubles qui viennent y mettre leurs grosses mains sales, on doit les sortir de là à coups de pied au cul. Si dans l’espace public on ne veut plus des fumeurs, on leurs dit allez faire ça chez-vous! Mais si du même coup on les vire de chez-eux, on nie leur droit à la vie privée. Sommes-nous en train d’assister à la fin du domaine privé?
Allons monsieur Desjardins, vous êtes de mauvaise foi ici. Votre texte sent la boucane.Il y a, certes, une vague anti-fumée, mais elle fait partie de la même vague pro-écolo, pro-environnement, pro-santé. Fumer, c’est mauvais pour la santé. On est tous d’accord. Vous voulez fumer quand même, pas d’ problème. Vous voulez fumer partout? Oups! Là, y’a un bogue. Si je suis propriétaire et que je suis sensible à l’environnement, il va de soi que je préférerai un locateur non-fumeur. De là à le traquer jour et nuit pour savoir s’il fume, non. Mais de plus en plus de gens, (l’avez-vous remarqué?) se soucient de leur environnement personnel et comme il n’y a plus que 22% d’irréductibles, l’autre 78% est en droit de demander un logement qui ne sent pas le fond de cendrier. Oui, il y a beaucoup de geste qu’on peut poser pour l’environnement. Ça commence d’abord par notre environnement personnel.
Votre texte est aussi hystérique que celui de M.Turcotte.
La cigarette tue! C’est connu et personne ne peut dire le contraire. Alors que les gouvernements partent en guerrre contre la cigarette, ils récoltent plusieurs centaines de millions de $$$ en taxes pour financer ses services publiques. Rapellez-vous la saga des cigarettes de contrebandes, le gouvernements perdait des millions de $$$ par années et ce, simplement à cause de la contrebande de cigarettes.
Les gouvernements sont hypocrites comme des danseuses qui disent qu’elles ne dansent que pour se payer des études universitaires. D’une main, nos élus sont heureux de récolter cette argent et de l’autre, ils disent qu’ils veulent mettre fin au tabagisme pour fermer la gueule des anti-tabac.
Pour ma part, je suis un non fumeur et mon père, qui fume depuis l’âge de 14 ans, m’a toussé dans les oreilles durant toute ma jeunesse. Je ne trouve rien d’attrayant à fumer la cigarette et je n’ai aucun mérite, je n’ai jamais fumé sur une base régulière. Mais l’inquisition contre les fumeurs commence réellement à me taper sur les nerfs.
Fumer c’est dangeureux? Oui
Alors pourquoi nos gouvernements si intéressés par notre santé n’interdisent tout simplement pas la production, la vente et la consommation de la cigarette, du cigare et de la pipe?
Qu’ils arrêtent de se payer des publicités contre la cigarette et qu’ils prennent leur responsabilités mais surtout, qu’ils cessent de jouer aux hypocrites.
C’est bizarre comme nos vices sont payants pour les gouvernements; Les casino et les lotteries et le jeu pathalogique. La SAQ et l’alcoolisme, et finalement la cigarette et des revenus qui sembles plus important que nos poumons.
Les gouvernement veulent notre bien, et ils sont toujours là pour mettre la main dessus.
On pourrait tous devenir millionnaires si, tous ensemble, on brevetait la cigarette sans fumée. Je suis d’une nature tolérante. Malgré cela, le fait est que la fumée est nocive – jusqu’à quel point, je l’ignore… les effets sont-ils temporaires, permanents ?
Mon compagnon – avec lequel je en vis pas – fume. Lorsqu’il m’arrive de passer deux jours chez lui, vous pouvez être assurés que je retourne chez moi avec les sinus ensanglantés, même si, à travers ces deux jours, nous passons quand même du temps au grand air. Ce fait m’inquiète mais je vis avec et jamais je ne dirai à mon copain de ne pas fumer chez lui. Et je ne lui dirai pas non plus, les effets que « sa » fumée a sur moi. Il fait – et ce sans que je lui demande – de gros efforts quand il est chez moi, ne fume jamais dans mon appartement, même en hiver, il met son manteau et va fumer sur le balcon, même si je lui dis de rester dedans. Il semble que pour certains, il soit plus facile d’arrêter que pour d’autres, enfin, je ne sais trop, n’ayant jamais fumé. Mon compagnon est un homme très intelligent et qui n’a pas besoin de se faire dire par moi ou par quiconque qu’il se fait du tort. Il le sait déjà. Le seul hic dans toute la question : si seulement la fumée pouvait ne pas aller plus loin que ses poumons à lui.
La liberté, commence et/ou s’arrête, au moment où elle brime, quelqu’un d’autre, n’est-ce pas? Alors, je me demande, à qui la fumée va-t-elle donc tant déranger, si on est chez soi? Bien sûr, je n’oserai pas invoquer, toutes les sacro-saintes raisons, pour cesser d’inhaler, la douce, la très douce cigarette dans vos poumons. Cela a déjà été fait!!! Cependant, on peut s’interroger sur ce que la, «Régis des Loyers» pourrait répondre, ou encore ce que : «Corpiq» aurait à dire? Jusqu’ici, je ne connais aucune loi, interdisant de se carboniser soi-même, les deux poumons à volonté? Je crois, ce que serait un précédent, que qu’inclure une telle clause, à un bail de location. Cependant, soyons au ras des pâquerettes. En cas d’incendie, qui paie les dommages??? On vous dira que cela dépend? Si, cela est un logement, ou des appartements. Eh bien je pense, qu’il encore possible, d’avoir une entente à l’amiable. Pourquoi pas dire, des accommodements très raisonnables, n’est-ce pas à la mode, de ces temps-ci? Donc, tout est bel et bien écrit, et bel et bien signé des deux côtés (locataire et propriétaire) : «NON-RESPONSABLE, EN CAS D’INCENDIE. ET PEINTURE NON COMPRISE»! Voilà, c’est simple comme tout, avec de la bonne volonté!
Comme le dirait avec justesse le Sieur de La Palisse, pour qu’il y ait de la fumée, il faut qu’il y ait du feu. Et ce feu, ce furent d’abord des pratiques commerciales ayant pignon sur rues qui l’allumèrent, soit ces compagnies de fabrication de cigarettes qui y trouvèrent leur compte, jusqu’à ce que la lecture des comptes publics fasse ressortir dans la colonne des passifs tous les frais de santé occasionnés aux fumeurs et par des fumeurs. Il n’y avait pas là la découverte d’une vertu cardinale, mais la simple manifestation de la promotion des intérêts des pouvoirs publics épaulés en cela par ceux des intérêts corporatifs des employeurs qui savent que des travailleurs en meilleure santé sont susceptibles de générer plus de profits. Telles sont les moteurs de la santé publique, hier comme aujourd’hui. Tels sont aussi les ressorts de la politique, du moins pour ceux qui savent la décoder à leur profit.
La politique des propriétaires de logements s’inscrit-elle aussi de plain-pied dans cette logique des intérêts. Moins de fumeurs, c’est aussi pour eux plus de profits. Sauf qu’il y a une contradiction que ces propriétaires de logements ne peuvent pas dépasser puisqu’elle fait partie intégrante de leur statut et qui est celle qu’ils accaparent à titre privé un champ qui est éminemment social et qui est celui du logement ! Leur logique pourrait donc être retournée contre eux dans la mesure ou la location de taudis ou de logements insalubres sont des obstacles dans l’atteinte d’une meilleure santé publique.
Ils n’ont donc pas en principe à enfoncer un clou dont la logique pourrait bien servir à les enfoncer à leur tour si nous la prenions au pied de la lettre.
La propagande négative à l’égard de la cigarette ne cesse de s’accroître. Comme si les personnes qui fument, seraient devenus des dangers publics et la seule cause des problèmes de santé. De cette manière, le gouvernement semble protecteur de la santé publique et permet ainsi à la population de croire que tout est sous contrôle et que rien ne peut plus leur arriver, par une forme de désinformation, en mettant le focus sur l’action posée au détriment du reste. On camoufle ainsi toutes les autres sources polluantes et on espère les oublier à jamais.
Si tout le monde s’arrêtait à tout ce qui peut nuire à leur santé, la cigarette ne serait probablement pas en tête de liste. Mais la croyance sait calmer l’esprit et nous rassurer dans nos choix de vie. Tant mieux si cette attitude vous permet une tranquilité d’esprit.
Quant aux appartements imposés non-fumeurs, la liberté me semble grandement affectée, n’étant plus maître de sa demeure, son seul refuge. Mais notre société tolérante qui accepte tout, à l’exception des fumeurs, devrait probablement devenir encline à cette pratique. Bien hâte de voir quelle sera la prochaine clientèle visée, puisqu’elle viendra sûrement. On en reparlera à ce moment.
Je ne comprends pas que des gens en 2007 fument encore et ne comprendre pas que cela est nocif pour eux et les autres. Je suis moi-même un ancien fumeur et j’ai cessé cette mauvaise manie, dieux merci après la naissance de mon première enfant.
Je peux comprendre facilement les propriétaires qui sont obligés de déboursée des frais supplémentaire pour faire nettoyer les tapis qui sentent la mort et payer aussi pour repeindre entièrement ces appartements transformés entièrement en cendrier par leurs locataires.
Mais d’un autres coté jusqu’ou le bras du gouvernement s’arrêtera devrons nous arrêter de pété , de faire du BBQ, je crois que si les gens veulent empesté leur appartement devrons tout simplement le nettoyer avant de partir comme toutes personnes qui savent vivre et qui doit quitter un appartement !
Et bien moi, je suis d’accord avec le fait qu’on ait pas le droit de fumer dans certains immeubles locatifs. Mais tout dépend de la façon dont c’est fait. Un propriétaire ne peut pas, du jour au lendemain, décider d’interdire la cigarette dans son immeuble. Il devrait y avoir consultation avec les locataires en place, et si tout le monde est d’accord, alors on déclare l’immeuble sans fumée, et tout nouveau locataire saura à quoi s’attendre avant de louer. Et si tout le monde n’est pas d’accord, alors les locataires existants pourraient conserver ce droit, mais les nouveaux locataires n’auraient pas le droit de fumer dans l’immeuble. Si c’est bien fait, ça ne dérangera personne. Car au delà des considération sur la fumée secondaire, la cigarette, c’est désagréable, ça pue, et on aura beau dire que les gens fument dans leur logement, mais il y a les corridors, les entrées et les aires communes.
Et le gouvernement a bien décidé d’interdire la fumée dans tout ses immeubles. Alors pourquoi un propriétaire n’en aurait pas le droit lui aussi, encore là si c’est fait de façon civile. Mais le problème principal, c’est l’application d’un tel règlement. Si c’étais propriétaire d’un immeuble, je ne suis pas certain que je voudrais m’embarquer dans une telle galère car que faire si un locataire ne respecte pas les règlements? Et sera-t-il obliger de jouer au détective pour tenter de trouver ceux qui ne respectent pas le règlements?
Pour ma part, je suis extrêmement content de m’être débarassé de cet habitude infernale. Et plus on va mettre des restrictions pour les fumeurs, de plus en plus décideront de faire comme moi, et d’écraser pour de bon…
Avant de me moquer gentiment, je tiens à dire que je suis d’accord avec Desjardins sur le côté insultant de se faire qualifier de coquerelles ou de vermine… La guerre, c’est laid. Les injures y sont basses. MAIS… Toutes ces protestations… on dirait une bande d’ados ! Parents, interdisons les piercing, les tatouages, la drogue à la maison, la baise à la maison, de rentrer après 11h00… et nous aurons assurément la guerre. Voyons ! C’est un droit fondamental de se massacrer le corps à 15 ans et de risquer une mst, un bébé-surprise ou une peine d’amour !
Je vis dans un carré d’immeubles aux logements hors de prix, à Ste-Foy. Loin du »trou à rats ». Population dans la vingtaine surtout, quelques trentenaires. Un ou deux cheveu blanc. Or, il n’y a pas (encore) de réglement anti-fumée, mais oh surprise ! les gens ont pris l’habitude d’aller fumer dehors. Je vous le jure ça m’a frappée cet hiver. Des frimousses enfumées un peu partout sur les balcons. Ils n’avaient pas l’air malheureux. Moi, mes parents ne m’ont jamais imposé d’heure de rentrée, et je n’ai jamais dépassé 11h00 avant 18 ans. Le gros bon sens et l’appréciation de la souplesse. Et… ce qui est permis est moins fascinant ? Pour ma part je rêve d’un monde sans fumée, je suis très incommodée par l’odeur nauséabonde de la cigarette, et le fait d’aller fumer dehors n’arrange en rien mon problème ! La fumée passe encore plus directement dans mon salon ! Il n’y a pas de solution en dehors de l’achat d’une maison, et ce réglement, bien qu’épargnant l’intérieur, n’empêchera pas la fumée de dehors de s’infiltrer dans nos narines. Donc, la solution semble être des »immeubles verts », comme le dit F.G. Je ne m’inquiète pas pour le confort des fumeurs : de bons samaritains ($$) s’offriront pour leur construire de beaux apparts, puisant dans le portefeuille de la révolte.
En terminant, j’ai une amie blonde, 5 et 9 po, belle, jeune… elle fume. Attentat à la beauté que cette odeur. Je ne comprendrai jamais !
Je m’imagine mal le propriétaire de la famille Bougon tenter de les empêcher de fumer ou de boire de la bière en se levant le matin .
Sauf que je m’aperçois , lors de mes marches quotidiennes , que plusieurs personnes ont adopté leur balcon comme fumoir et ce même si il fait moins trente ou qu’il pleut . On entend tousser , on lève les yeux et on voit la madame qui en grille une en vitesse ou encore des adolescents , cellulaire à l’oreille et cigarette en bouche qui ont quitté la x-box le temps d’en fumer une .
Vous avez bien raison de d’écrire qu’il y en a qui vont applaudir à chaque défaite des fumeurs , mais il ne faut pas exagérer en espérant qu’un jour il y aura ‘une loi’ pour empêcher de fumer à domicile . Imaginons la scène : je ne vous loue pas mon quatre et demi parce que vous êtes des noirs mais parce que vous fumez . Je sais qu’il n’est pas drôle d’être un propriétaire aujourd’hui devant tous ces cas de mauvais payeurs , de cultivateurs de marijuana ou d’éleveurs de coquerelles , mais on ne peut pas empêcher le monde de vivre ou alors interdisons carrément la cigarette et construisons des prisons-centres de désintoxication où nous pourrions envoyer ces délinquants accro à la boucane .
Il y a une multitude de façons de gérer notre petite toxicomaine quotidienne. Chacun la sienne. Toutefois, quand tu es un ti-cul, tu n’as pas le choix. Tu manges ce qu’on te sert dans ton assiette, tu respires la boucane que tes parents recrache. Tu as bien beau dire que ça pue, ils vont continuer à ta recracher dans la face leur fumée de cigarette. Tu te dit qu’il faut que tu fasses ton temps et entre temps, tu commences à fumer. OK, c’est bien le fun de tripper, de se foutre du lendemain matin, de vivre à fond l’intensité d’une soirée, sans limite, le moins de contraintes possible, d’être au-dessus de tout s’imaginant qu’on est invincible. Mais il est possible qu’on pogne un mur, BANG, et que notre corps ne soit plus capable de suivre notre trippe. Ich, dure réalité. Il frappe fort ton héritage culturel. Désintoxication s’impose si tu veux rester en vie. Pas facile de changer ses vielles habitudes copiées sur ses parents, sur une mentalité qui souffle les biensfaits de la drogue. Moi aussi moi aussi j’en veux! Tu te cherches. À un moment donné, tu as envie de te battre pour rester en vie, tu es écoeuré de t’autodétruire. Dans ton logement, tes parents ne sont plus là pour te fumer dans la face. Mais il y a les voisins… Ça sent la fumée chez nous, ça pue. C’est dégeulasse, je veux déménager. Il me faut une maison. Impossible, le coût de l’immobilier n’a pas d’allure. Encore une fois, faut que fasse mon temps, le temps de rammasser de l’argent pour acheter une qualité d’air, pour acheter mon droit à la vie. Alors le mouvement vers l’interdiction de fumer est démocratiquement équilibré par la demande de gens qui veulent se lever en forme le matin. Les proprios ne sont pas justes des gens qui pense à l’argent, les requêtes sont réelles, il y a injustice. Même si on a pas assez d’argent pour avoir une maison, ça serait le fun d’avoir la chance, enfin, de vivre dans un endroit sans fumée.
Mon point de vue sur le sujet c’est que si tu habites dans un duplex, un triplex et que tu as ton entré personnel tu peux faire ce que tu veux.
Par contre quand tu habites dans un édifice à plusieurs logement comme chez nous ily en a onze et bien je comprend car ce sont les locataires non-fumeurs qui en ont marre de respirer la cigarette des autres. Si les fumeurs étaient tous respectueux et ne fumeraient pas dans les aires communes il n’y en aurait pas de problême.
Mais comme ce n’est pas le cas et bien c’est cela qui arrive et des fumeurs respectueux vont payer pour les non-resptueux. Chez nous c’est le cas car dans l’entrée on sent la fumée, dans la salle de lavage il y a des mégots de cigarette, dans les escaliers il y a des mégots et l’odeur imprégné dans les murs, sur la pelouse c’est un vrai cendrier et quen tu t’assois sur ton balcon tu peux recevoir soit de la cendre ou bien un mégot. Pourtant ces gens se disent très respectueux.
Mais faut pas oublié aussi l’augmentation des risques de mettre le feu avec une cigarette et que le reste des locataires se retrouvent sur le pavé sans être assuré. Les propriétaires vont peut-être payé moins cher d’assurance et ce pourrait être la même chose pour les locataires.
Pour lancer ce nouveau projet il devrait y avoir une réduction de loyer pour les non-fumeurs qui ne fument pas et qu’ils ne veulent pas que les gens fument dans leur appartement. Pour certains ce pourrait être un incitatif pour arrêter de fumer, pour économiser et pour avoir plus de choix de logements.
Pour ce qui est des rats et des coquerelles, quand vous avez un logement vacant dans votre édifice et que vous vous batter contre les bébittes et que le proprio ne veut rien faire et bien faite des pancartes et affiché-les dans les aires communes avant que les visiteurs arrivent, le proprio va se dépêcher à faire désinfecter. Une amie l’a fait et et maintenant elle ne cohabite plus avec des bébittes.
Je suis outrée de voir à quel point l`intolérance dans notre province est rendue pathétique au point de dénoncer ceux qui fument chez eux. Au nom de qui et de quoi ces biens-pensants veulent-ils interdire le droit de fumer à qui que ce soit? On a décrié Maurice Duplessis avec raison mais bien des années plus tard, on fait à peine commencer à se rendre compte que la religion est un cancer social, alors permettez-moi de douter que l`intolérence, l`abstinence totale, la répression et la discriminatiion soient des façons de faire qu`il faille valoriser et encourager.
Ce n`est pas la première fois que des propriétaires fassent preuve évidente d`abus de pouvoir mais là , avec cette histoire de cigarette, cette fois, ils sont, à mon avis allés trop loin au point d`en être pathétiques.
Je ne me le cache pas, je suis d’accord avec ça. Les propriétaires sont propriétaires donc ils font ce qu’ils veulent en étant que ça soit raisonnable. Fumer n’est pas raisonnable donc on peut l’interdire.
Et le respect du fumeur dans tous ça me direz vous ? Ce respect est aussi valide pour les non-fumeurs et je n’ai pas à gober ce que les autres rejettent.
Et oui, il y a de nombreuses autres sources de pollution. On a commencé par la cigarette, et il fallait bien commencer quelque part. Ce n’est qu’un début et notre qualité de vie ne sera que meilleur après cela.