Tadam! Chronique hygiénique, un peu de n'importe quoi en attendant d'aller patauger dans les algues bleues et autres cyanobactéries. On en profite pour mettre quelques trucs au clair et répondre au courrier. Le grand ménage avant les vacances, quoi. <p> <p>TWIP-TWEEP! – Il plane chez ma mère le chant d'un oiseau moqueur qui, entre tous les sons de la banlieue, a choisi d'imiter celui que fait la voiture d'un de mes frères quand il en désactive le système d'alarme. Twip-tweep! Twip-tweep! <p>Il plane aussi chez ma mère cette question que lui posent depuis un moment ses voisins, amis, la famille et les connaissances, question qu'elle me transmet, un peu gênée: vas-tu écrire un roman?<p>La question m'indispose d'autant plus qu'elle sous-tend un compliment: t'écris bien. Et je suis nul avec les compliments. Remarquez, c'est très gentil, flagornez tant que vous voulez, mais ne vous étonnez pas non plus si je dis merci du bout des lèvres, baisse le regard et change de sujet dans la seconde. <p>Et à propos de mes chroniques, à la pièce, je n'ai rien à dire. Pour moi, c'est un boulot. Une job. Comme un type qui pose des planchers de bois flottant. Tous les mardis, j'écris, en essayant de ne pas laisser trop de craques dans vos têtes. Les mots sont là, c'est vrai, les idées aussi, peut-être, mais je n'invente rien. Au mieux, je recycle.<p>Un peu comme l'oiseau moqueur: twip-tweep le système d'éducation! Twip-tweep le racisme! Twip-tweep la bêtise humaine! <p>Bon, vrai que parfois, je la joue plus poétique. Je boursoufle le style un peu. Mais ça demeure une chronique. Pour un roman, c'est pas pareil. Faut autre chose que du style, contrairement à ce qu'ont l'air de croire plusieurs éditeurs québécois. Ça prend une histoire à raconter (autre que la mienne, <i>dull</i> à mort), puis du souffle, beaucoup de souffle. Et je n'en ai que pour crier après la télé, courir (pas trop longtemps), rouler (pas trop vite), ou tirer sur un pétard (pas trop fort). Les romans, c'est un raid, c'est un marathon, c'est un rave. La chronique, c'est une p'tite vite. C'est un clin d'oeil à une fille que tu ne connais pas dans la rue, c'est sans conséquence, ça ne passera pas à l'histoire, et si elle est nulle -la chronique -, au moins, tu n'y as pas consacré deux ans de ta vie. <p>Bref, si je ne souhaite pas écrire autre chose que des chroniques, c'est surtout par couardise. Et aussi parce qu'il n'y a pas de courrier du lecteur dans les romans. Quoique avec le vôtre, parfois, je pourrais certainement composer un recueil. Anthologie humoristique des lettres au chroniqueur qui sait qu'il tient dans ses mains le gros bout du bâton. Et n'hésite pas à abuser de sa position. <p>Aux abris. Twip-tweep!<p> <p>SEXE FÉMININ – Fortes réactions quant à l'utilisation du terme <i>traînée</i>, tel que j'en usais dans une très récente chronique pour désigner une fille qui a baisé à gauche et à droite. Plusieurs choses à dire à ce sujet. Primo: oui, je trouve injuste qu'une femme ne puisse pas jouir, si j'ose dire, de la même immunité qu'un homme en matière de dissolution sexuelle, et je ne justifierai pas ce préjugé en calquant le dialogue du film <i>Québec-Montréal</i> dans lequel un des personnages dit, grosso modo: c'est pas pareil pour la fille, vu que c'est elle qui reçoit, c'est plus impliquant… Deuzio: je ne m'excuserai pas d'avoir utilisé ce terme, parce que ce que je voulais exprimer, c'est justement le préjugé. Justement le fait que ça dérange les gars, en général, de savoir que la fille qu'ils aiment a couché avec tout plein de gars AVANT eux. Je ne l'invente pas, c'est comme ça, et on ne commencera pas à trafiquer la réalité pour faire plaisir à ceux qui voient toujours dans les mots une intention, et pas seulement le reflet de la réalité. Ici, celui d'un vieil atavisme. Tertio: non, pour répondre à ma plus charmante lectrice du bel âge, la fille n'a pas refilé le sida à mon ami, et non, ce n'était pas une prostituée de Limoilou. Misère…<p> <p>GUERRE, ÉPAIS – D'autres réactions, celles-là concernant l'histoire de ces restaurateurs afghans que l'on agonit d'insultes sous prétexte que leurs compatriotes tueraient nos soldats. Beaucoup d'indignation méritée, mais on me demande aussi: que pensez-vous des soldats qui partent là-bas? Sont-ce les héros que nous montrent les journaux? Je sais pas trop. Ils croient réellement au bien-fondé de la mission qu'ils s'en vont accomplir, et moi pas. Cela dit, je ne les vomis pas pour autant. Ceux qui me font tilter, par ailleurs, ce sont les mongols qui se présentent dans les bureaux de recrutement à Québec et, tel que rapporté dans le journal, demandent avec insistance s'ils pourront se rendre en Afghanistan une fois enrôlés… Ceux-là devraient s'acheter une console Xbox pour faire joujou, ou encore s'organiser une partie de paintball. Parce que là-bas, c'est pas des GI Joe, c'est pas Arnold, c'est pas Brute Willis. Et c'est pas juste construire des écoles non plus. Y a de la souffrance, de la haine, des balles qui sifflent, du monde qui meurt pour vrai. C'est la guerre, épais. <p> <p>POUÉSIE – Vrai que je ne suis pas très féru de poésie. Je connais moyennement mes classiques, fréquente quelques contemporains, mais rarement. Sauf que je sais reconnaître le talent quand il me saute dans la face. Comme ici, dans cette oeuvre de ma lectrice du bel âge favorite. Un peu fâchée d'avoir été ridiculisée il y a quelques semaines, elle conclut son florilège d'insultes à mon endroit par quelques vers qu'elle a visiblement repiqués à Denis Vanier: "Il se nomme David / Avec sa tête vide / Une face à fesser d'dans / Mais c'est pas surprenant / Une tête de hibou / Il vient de Limoilou…"<p>Avez-vous déjà songé à proposer vos textes à Natasha St-Pier ou Marie-Élaine Thibert? Me semble que ça fitte, non?<p> <p>TOUT SUR MOI – Toujours cette question que vous posez aux gens qui me connaissent. Il est comment Desjardins? Bête et méchant comme dans ses chroniques? Aussi insignifiant? Aussi colon? La réponse: mets-en! Et puis je bitche sans arrêt, c'est une seconde nature, mes amis n'en reviennent pas encore qu'on me paie pour le faire ici alors qu'eux y ont toujours eu droit gratuitement. Avec ces amis, d'ailleurs, le soir, je mène une existence complètement destroy si vous voulez tout savoir: je fume, je bois, je me fous à poil, debout sur le divan, et je de-de-de-de-danse dans ma tête.<p>Pis des fois, avant de me coucher, je fais twip-tweep!<p> <b></b><p>
Il fut un temps pas encore si lointain où l’on se devait d’aller à Paris pour écrire un roman. Puis le manque de talent ou je ne sais quoi d’autre, on en revenait en prétextant que l’inspiration n’était pas venue. Ce snobisme intellectuel doit être passé de mode puisque quelques québécois ont écrit de belles choses tout en restant ici au Québec ou à Montréal.
Existe-il une marche à suivre particulière pour trouver une bonne idée de roman? Le hic c’est que souvent pour ne pas dire toujours, c’est la maison d’édition qui prend les décisions. Il faut bien choisir la sienne si on veut pondre quelque chose. Parce que vous devrez vous battre bec et ongles pour parvenir jusqu’à l’enfantement. N’espérez pas la fortune ni la gloire à moins de vous prendre pour un Dan Brown! Admettons que votre sujet soit trouvé et qu’il est inusité. Vous vous emballez, vous vous privez de manger et de dormir bref vous vous faites du cinéma au cas où l’éditeur accepterait votre idée. Incertitude assurée.
J’écris cela parce que vous n’avez pas besoin de savoir écrire, vous ne faites que soumettre l’idée et quelqu’un d’autre le développe ou l’écrit à votre place. A ce stade-ci on peut se demander où est le réel talent de l’écriture, le style propre de son auteur? Notre amie Clémence à déjà dit dans un monologue: Parce qu’il faut s’organiser, autrement on se fait organiser. Et pour quels motifs UN roman peut-il devenir le rêve absolu de toute une vie?
Il faut surtout être bien muni pour affronter l’univers de l’édition. Si vous êtes tenace ou que vous savez vous défendre par votre combativité alors vous courez des chances qu’on vous découvre un de ces jours. Priez tous les saints plutôt que de vous vouez aux gémonies. Il doit exister un saint patron pour le métier d’écrivain.
Vous êtes jeune Monsieur Desjardins. Dans l’immédiat il est permis d’attendre ou d’espérer. Cela vous permettra de vous faire la main. Vos chroniques hebdomadaires sont rafraîchissantes, je les aime beaucoup.
Ah! Écrire un roman! Quelle drôle d’idée… J’ai des amis qui s’y sont engouffrés totalement. 2, 3, 5 ans parfois pour aboutir à une chose très ordinaire. Trop ordinaire! Pas publiés! Mais z’ont encore l’espoir. Ils y travaillent qu’y disent! Faut juste retravailler la fin… Et peut-être un peu tout le reste…
Alors, ils bossent dur pour pas grand chose! Et finissent par faire des piges ici et là… 30$, des fois 50$ du feuillet pour un truc sur l’anorexie chez les filles pré-pubertes de Victoriaville qui écoutent du AC/DC sur leur lit en épluchant leur nounours.
Et au bout, ils rêvent tous d’écrire des chroniques. Alors vous, mon cher Desjardins, pourquoi feriez-vous le trajet inverse? Vous n’en avez pas le goût? Grand bien vous fasse! Et surtout, grand bien me fasse! Moi non plus, je n’ai pas le goût que vous écriviez un roman! J’aime pas les romans. Si, quelques-uns quand-même! Mais très peu.
Ma nièce, qui vient de terminer un Bac en lettres a voulu que je lise son roman. Une brique… Un truc de 400 pages! Une histoire abracadabrante, un tas de personnages insipides, bref, c’est ma blonde qui l’a lu. Et qui lui a fait sa critique… En fait, elle a commencé par corriger les fautes de français et puis a posé quelques questions sur l’histoire, juste comme ça, pour essayer de comprendre, pour s’intéresser… Toutes ces choses que je ne voulais pas faire.
Alors, bravo pour ce roman que vous n’écrirez pas. Vous venez de me soulager… Parce que j’aurais bien fini par le lire votre foutu roman! Juste parce que c’est vous. Et que j’aime bien vos chroniques… Alors si vous nous le chroniquiez, ce roman?
L’aventure d’écrire offre évidemment bien des possibilités, dont les univers tranchés rencontrent souvent différents traits de personnalité. De la chronique aux échanges sociaux volumineux, à l’écriture d’un roman dans une bulle, le choix implique assurément des plumes qui s’opposent, de par leur contexte et leur vision à court ou à long terme. Le travail d’haleine d’écrire un roman, seul et isolé, afin de pondre une pensée mille fois réfléchie ne convient pas à tout le monde. Aimer la solitude oblige.
Pour ma part, malgré que rédiger un livre m’intéresse, la dimension sociale et la communication avec un public, me plaisent beaucoup plus de par la diversité et l’effervescence générée par un texte destiné au grand public, dans le but de faire réagir et d’animer une action sociale immédiate.
Quant aux femmes que l’on qualifie de ¨traînées¨, il devient difficile de comprendre que le pendant masculin de ce qualificatif, s’associe beaucoup plus à la popularité et à plaire qu’à la bassesse du geste. Une même action, dont le jugement social change dépendamment du sujet. Heureux pour les hommes et moins pour les femmes, les jugements sont parfois durs et injustes.
Ça sonne un peu mal, puis je m’écoute écrire et j’ai l’impression que je vais me mordre la langue…
C’est fou de voir à quel point David Desjardins sait faire mouche pour toucher le(s) nerf(s) de la société, et peut-être même pour en tirer profit, se servir d’une chronique pour faire une étude de marché : « O.K. les amis, aujourd’hui on va faire un sondage : si je vous dis que je veux écrire un roman, qui va le lire et qui ne le lira pas? ». Sinon, la chronique est bien intéressante, par les sujets abordés au moins…
Mais sauf que, ben j’pense… Encore un bémol : celui qui dit avoir de la difficulté à prendre les compliments étale un peu trop son ego – ou un simulacre d’ego. J’ai toujours trouvé que c’était trop facile de chiâler, moi qui ai le coeur sensible. C’est pour ça que je sens le besoin d’écrire un peu ma façon de penser. Pas pour étaler le mien, d’ego; simplement, c’est pour me souligner pour vous-même qu’en écrivant pour d’autres, on n’écrit plus pour soi, qu’on projète une image qui DOIT être autre et continue pourtant à évoquer ce « soi », ne serait-ce que pour se garder une p’tite gêne, une sorte d’intimité. Est-ce que c’est pour ça que cette chronique, c’est votre job et non vos trippes ?
J’avais pensé à vous donner un B- pour celle-ci, mais finalement, je me suis dit que je devais – encore – attendre la prochaine, ou la suivante, ou la suivante, ou l’autre… Puis, comme je suis impatient, je n’ai finalement pu me retenir.
Récemment, j’ai lu une réponse à un « courrier du lecteur » qui blastait la lectrice de se plaindre de la complaisance de l’éditorialiste : on lui suggérait de ne plus acheter ladite publication. N’est-ce pas triste, d’appeler le lectorat à communiquer ses réflexions, mais seulement si c’est pour encenser, pour enjoliver le produit ?
Sans rancune !
Merci. A+
Une chance qu’on les a!! Que ferions nous sans l’amour inconditionnel de nos plus grandes fans? Comment voulez-vous que les hommes ne soient pas nombril quand nous savons que notre mère nous trouve beau, grand, fort et talentueux??
Ben..simplement rester les pieds sur terre et être en mesure de faire la différence entre des compliments d’amour et des remarques objectives sur nos capacités? D’ailleurs la dessus M Desjardins en est même rendu à intèrpréter les propos sous entendus de sa mère comme un appel à ses capacités « cérébrales romanesques ». Vous avez peut-être raison? Mais vous êtes vous demandé si ce n’était pas par charité chrétienne qu’elle vous posait la question afin de vous éviter un flop monumental qui viendrait subjuguer votre embompointe assurance de vos chroniques? J’erre peut-être, mais il ne faut jamais oublier qu’il y a toujours deux côtés à une médaille.
Celà dit, je ne trouve pas que vos textes soient si sentencieux qu’ils méritent que vous preniez le temps de les expliquer ou surtout de vos excuser d’écrire de propos sensés et empreints de vérité. Cessons d’être timide d’avoir quelque chose à dire qui ne correspond pas à la pensée « judéo chrétienne quétaine Québecoise ». Je souhaite que vous poursuiviez vos choniques critiques afin de nous brasser un peu! Pis pour le roman, vous seul savez si vous possédez la capacité et la volonté. Ne comptez pas sur moi, pour jouer à la mère adoratrice! Bonne vacances M Desjardins.
Je m’en tiens trop souvent à l’édition montréalaise de Voir et j’oublie que vous avez aussi une chronique intéressante. Avec un deuxième degré qui me soulève. J’aimerais vous dire que le souffle que vous dites avoir court pourrait nous en priver. Mais là où votre clairvoyance vous guide c’est l’importance que vous accordez à la faculté d’inventer. L’originalité. C’est vrai qu’il en faut.
Sur 100 manuscrits reçus dans une année, l’équipe de lecture en retient 10 et l’éditeur quelques uns. Il y a aussi les écrivains renommés dont la province entière attend le prochain opus : les Laberge, Beauchemin, Tremblay, Soucy. Et tous ces autres qui vendent. Souvent avec l’aide d’un coach.
Amusez-vous à trouver une idée, la développer, trouver l’angle qui surprend et surtout travaillez bien votre dénouement. C’est le plus dur. Vous avez un style accrocheur, une voix qui ne manque pas d’audace, mais rares sont les auteurs qui publient avec succès un premier roman. Je veux dire qui ne va pas au pilonnage.
Surtout, tant qu’à être partie à donner des conseils comme si je détenais la clef du succès, voici de quoi faire réfléchir. Dans le numéro célébrant le 30e anniversaire de la revue littéraire Moebius la direction annonce l’abolition de sa section QV (cuvée), celle où tous les textes qui échappaient aux thèmes imposés étaient publiés.
«Depuis quelque temps, ces textes non sollicités sont encore plus nombreux et de moins en moins intéressants ; cette prolifération de textes est symptomatique du besoin évident des gens de s’exprimer, de raconter, de témoigner, de multiplier la copie. la revue ne peut qu’être qu’honorée, mais dans l’ensemble ces textes se ressemblent de plus en plus, ils sont portés par une même voix narrative, le plus souvent celle d’un récit de vie, un drame, une histoire de famille, sans grande originalité de style, sans nécessité, sans voix.»
L’originalité, je vous disais. J’espère que je n’arrive pas trop tard.
Entre, la crème solaire 45 UV. Le parasol, les gougounes brillantes à la mode, restera-t-il, assez de temps? Pourquoi donc déjà? Écrire un romam… Ou rester chroniqueur? Maintenant, que l’on possède, la clé d’interprétation du lexique! On comprendra, l’intérêt de l’oiseau moqueur, sur les principaux sujets : Sexe Féminin, Guerre Épais, Pouésie, Tout Sur Moi et Twip-Tweep!
Pourrons-nous, se permettre de temps à autre, de : «je de-de-de-de-de-de-de-danse dan ma tête», sans pour autant, voir le gros bout du bâton? Ou halluciner, sous le Tadam, d’une «chronique, un peu de n’importe quoi»? Et si jamais, vous deux chanteuses préférées sont prises : «Natasha St-Pier ou Marie-Élaine Thibert», n’hésitez surtout pas, à «bitcher vos lecteurs»! Cela, sert d’excellent mode de défoulement! Bonnes vacances…
Parfois, le besoin de vacances devient l’appel, de faire le plus grand nettoyage? On ne sait trop, à quoi vous voulez arriver? Faire un sondage? Dédramatiser, certaines de vos anciennes chroniques? Tenter, de bien nous faire comprendre, que vous détestez, la poésie? Ou simplement : «Chronique hygiénique, un peu de n’importe quoi en attendant d’aller patauger dans les algues bleues». Ce, qui expliquerait, que finalement, il n’y a rien à comprendre? Il semble, que le contenu de votre article, n’a pas assez de substance, pour vous en tenir rigueur. Et trop d’arrogance, pour être pris au sérieux? On est alors, entre deux chaises, donc directement par terre! Vous, vous dévoilez très rarement, mais cette fois-ci, c’est fait. Nous connaîtrons, quelque peu vos points faibles, et les plus forts…Mais encore là, qui peut se permettre, d’oser connaître la tactique, d’un chroniqueur? Après tout, n’est-ce pas votre rôle, de créer, des réactions? La preuve… Diantre, revenez-nous, en grande forme! N’ayez surtout pas peur, de secouer le cocotier, des faux-fuyants et des bien-pensants!!!