<p><a href="http://www.voir.ca/blogs/popculture_mauricie/ac_pop_eclyps.jpg"><img src="http://www.voir.ca/blogs/popculture_mauricie/ac_pop_eclyps.jpg" border="0" alt="" /></a></p>
<p>Mon collègue Steve Proulx racontait récemment sur son blogue que les bonnes nouvelles pourraient désormais être obligatoires dans les médias en Roumanie. Une proposition votée à l'unanimité, le 25 juin, obligerait ces derniers à diffuser 50 % d'informations positives. Cette action aurait comme objectif de limiter les effets nocifs des infos négatives sur la santé et la vie des gens. Cette idée m'apparaît un peu saugrenue; comme s'il était possible (sans parfois tomber dans le ridicule!) de respecter ce pourcentage en tout temps. En tout cas, cela m'a donné envie de tenter l'expérience et de commenter positivement deux événements cette semaine. Qui sait, peut-être cela aura-t-il un bel impact sur votre santé? Comme on dit: ça ne coûte pas cher d'essayer!</p>
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<p><strong>Le FestiVoix chante juste</strong></p>
<p>Le FestiVoix s'est finalement terminé sur une note positive. Comparativement à l'an dernier, les ventes de passeports et de passeports journaliers ont fait un bond plus que significatif: elles ont presque doublé. Au lieu d'un déficit, l'événement accuse cette fois un budget équilibré avec un profit. Un succès dû en partie à la clémence de dame Nature, mais aussi à une clarification du concept (type de voix, identification par couleur, changement de nom du festival).Du temps de l'International de l'art vocal, il n'y avait aucune ligne directrice. Malgré les quelques bons coups, ça allait dans tous les sens. On peut donc dire que l'organisation a misé juste en optant pour une orientation plus familiale (dans le sens d'une programmation s'adressant à tous les groupes d'âge: des bambins aux personnes plus âgées). D'ailleurs, j'applaudis son initiative d'avoir offert aux festivaliers à mobilité réduite des navettes électriques se déplaçant d'un site à l'autre. </p>
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<p><strong>Du vrai</strong></p>
<p>C'était la première du coloré spectacle Eclyps la semaine dernière. Une soirée sous la pluie battante. Malgré cela, la magie de l'univers imaginé par Bryan Perro a opéré: le texte était toujours aussi simple et rigolo, les acrobates impressionnants et les effets spéciaux surprenants. Et comme dans toute bonne première, Robert Trudel en a profité pour faire un court discours à la fin de la représentation, soulignant le travail de tous les artisans du spectacle. Ça m'a beaucoup touchée. Allez savoir pourquoi, je suis toujours émue lorsque cet homme prend la parole… Peut-être parce que chaque fois, il promet de continuer à développer d'autres audacieux projets pour Shawinigan. Admettez que quand ce visionnaire parle, on y croit. Ça sonne toujours possible – en fait, je crois que le mot impossible est banni de son vocabulaire. Pourrait-on cloner cet homme? Ainsi, Shawinigan deviendrait sans doute un incroyable parc d'attractions!</p>
C’est bon pour le moral
Karine Gélinas