Le débat pancanadien au sujet du mariage des gais qui fait manchette ces derniers temps jette de l’ombre sur un sujet d’une importance encore plus grande: le mariage des Guy.
Le saviez-vous, les gens se présentant sous le prénom Guy, ou ayant Guy dans leur prénom (exemple: Jean-Guy), peuvent se marier en toute quiétude depuis des décennies au Québec et au Canada!
Mais s’est-on déjà penché sur les conséquences de ce phénomène sur notre société? Le prénom Guy est incontestablement un prénom affreux et défiant les Saintes Écritures. Or, y a-t-il quelque chose de plus sacré et plein de signification que le prénom d’une personne? Les gens dont le prénom est Guy sont tachés depuis leur baptême, du péché commis par les parents ayant choisi de leur donné un prénom aussi laid. Ainsi, aussitôt que l’eau bénite leur a ruisselé sur le front, ils deviennent des émules de Satan, pressés de se venger de par le monde d’avoir été prénommés d’aussi horrible façon.
En grandissant, l’enfant-Guy, déjà marqué par le fer rouge des ténèbres, est la cible de ses pairs écoliers et de leurs calembours. On le ridiculise en le surnommant "Guy-gnol" ou bien "Guy-doune". La haine de l’homme ne fait que grandir en lui. Guy se rend bien vite compte qu’il est différent des autres et c’est pour cette raison qu’il décide de répandre le mal.
Réfléchissez, y a-t-il un Guy présent dans la Bible? Non. Demandez à Mgr Turcotte, écrivez au pape… Connaissez-vous un seul prêtre s’appelant Guy? Non plus.
Pensez aux Guy que vous connaissez: Guy Bertrand, baptisé l’avocat du diable, par les nationalistes, Jean-Guy Tremblay, batteur de femmes notoire…
Je sais, certains me diront: "Et Guy Lafleur?" Sérieusement, laisseriez-vous votre fille fréquenter un homme dont le surnom est le Démon blond? De même Guy Mongrain, sous ses allures de bon vivant dévoué au difficile métier de nous aider à nous lever du bon pied, ne fait que perturber notre esprit avec ses jeux de mots démoniaques qui nous écartent de la concentration que requiert une journée de travail digne de ce nom. Et qu’est donc devenue la culture sur notre belle télévision d’État lorsque Guy Cloutier a pris le contrôle du vendredi soir?! Rien de moins qu’un culte satanique où des femmes débauchées entonnant des chants maudits exhibaient leur nombril devant des mâles avides.
Aucune âme féminine ne devrait s’unir par les liens sacrés du mariage et, par la bande, se laisser ensemencer par ces créatures diaboliques souillées par un prénom du diable. Car le Guy peut être un mâle très prolifique. Le Guy classique est en constante recherche d’une partenaire, sortant plusieurs soirs par semaine, dans les bars de "sguy-doo". La société québécoise et canadienne ne peut permettre que les Guy s’unissent et se reproduisent; déjà, le nombre de Guy augmente sans cesse.
Dites-le à votre député, écrivez au premier ministre: Non au mariage des Guy! Mettons fin au péché! Pensons à nos enfants.