Le Blogue des Pelleteurs
Mise au monde en 1987 par le poète et médecin Francis Pelletier, la maison d'édition de Nicolet Les Pelleteurs de nuages multiplie les projets. À la fois une boutique de cadeaux, une cyberboutique et un lieu d'exposition, elle ajoute maintenant une nouvelle corde à son arc. Afin d'échanger des idées avec la population, elle a créé à la fin du mois de décembre dernier un blogue sur son site Internet, une sorte de cadeau de Noël: www.lespelleteursdenuages.com/blog. Ainsi, elle invite les passionnés des arts et de la culture à réagir à de mini-chroniques qui traitent de sujets aussi divers que le coût réel de l'art et les questions sans réponse. Actuellement en période d'ajustement, elle attend les commentaires des internautes pour peaufiner sa nouvelle création et la rendre la plus vivante possible.
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En voiture!
Après un temps d'arrêt de plusieurs mois, la compagnie de théâtre L'Eskabel reprend ses activités. Dès le 15 janvier, elle tient de nouvelles représentations du Transsibérien de Blaise Cendrars, une œuvre que Jacques Crête porte seul. La pièce raconte le périple de l'écrivain français à bord du train mythique reliant Moscou à Vladivostok alors qu'il était adolescent. S'il voyait cette création comme un testament le printemps dernier, le metteur en scène de renom, mû par un nouveau souffle, se sent d'attaque pour d'autres projets artistiques. Ainsi, en plus des soirées dédiées au Transsibérien (tous les samedis jusqu'au 19 février), Crête prépare, entre autres, une nouvelle tragédie grecque, qui devrait être présentée au printemps, et des lectures publiques de textes dramatiques de jeunes auteurs. soleille.net/leskabel/
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Gâteries du Musée
Le Musée québécois de culture populaire de Trois-Rivières commence l'année 2005 du bon pied. En plus de sa programmation ordinaire, il continue d'organiser ses concerts lunchs, ses dimanches-Musée en famille ainsi que ses canapés-conférences. Le vendredi 7 janvier, il présente gratuitement sur l'heure du dîner un concert des élèves de la classe de piano de Denise Trudel, du Conservatoire de musique de Trois-Rivières, qui interprètent des œuvres de Robert Schumann. Deux jours plus tard, soit le 9 janvier à 14 h, le Musée tient son activité Décore-moi un gâteau!, qui consiste en une visite commentée de l'exposition Comme du bonbon et en un atelier de décoration de gâteaux avec une pâtissière. Finalement, le mercredi 12 janvier, il propose une conférence sur le monde du thé. Durant celle-ci, une dégustation de différents thés et de leurs accompagnements typiques (scones, biscottis, petits sandwichs, etc.) est prévue. D'autres événements spéciaux suivront au cours des prochains mois. www.culturepop.qc.ca
Le Musée de Culture Populaire de Trois-Rivières, esr surprenant et très dynamique !
Il organise des activités originales et variées.
Du concert-lunch aux canapés-conférence, les idées ne manquent pas .
L’atelier¨décores-moi un gâteau¨, avec une pâtissière d’expérience, doit être passionnant !
J’aimerais être à la porte voisine de ce musée, pour y déguster un petit thé vert et des biscottis à l’italienne .
Laissons-nous gâter !
Je salue les initiatives que déploie le Musée québécois de culture populaire de Trois-Rivières pour attirer une clientèle croissante et diversifiée. En effet, en élargissant ses activités à la musique et à l’art culinaire (!!!) les responsables de ce Musée font preuve d’ouverture d’esprit et ils nous prouvent qu’ils ont compris que la survie de leurs bébés passe par ce genre de nouveautés.
Les Musées doivent souvent faire face à des préjugés défavorables fasse au public en général et aux jeunes en particulier pour qui ces lieux sont souvent signe d’ennui et de vieilleries inintéressantes. Mais en organisant des activités connexes, il y aura peut-être moyen de faire comprendre aux gens que modernité et amusement peuvent aussi rimer avec Musées.
Pour avoir connu son oeuvre partiellement tout à fait par hasard, je puis dire que Francis Pelletier est vraiment un homme et un artiste hors normes, qui ne cesse de croquer dans la vie et ses plaisirs les plus élémentaires. Amusant et poète du quotidien jusqu’au bout des ongles, il pellette les nuages avec une simplicité et une philosophie tout ce qu’il y a de plus sincères. Il se décrit d’ailleurs, sur ce nouveau blogue sympathique, en ces mots inspirés:
« Médecin à temps partiel. Pelleteur de nuages à temps couvert. Docteur, le jour. Sorcier mots doux, la nuit. Attoucheur d’âmes. Photographe, poète et conteur, j’aime faire rimer beauté et simplicité. Je lève mon verbe à ta santé. Tchin! tchin! »
On souhaite bien du succès à ce blogue charmant et tout autant à Francis Pelletier dans ses futurs projets, qu’ils soient médicaux, poétiques ou musicaux, comme ce fut le cas en 2004 au Théâtre Belcourt de Baie-du-Febvre. Vivement des entrées régulières sur ce site ensoleillé.
L’Eskabel et Jacques Crête reprendront enfin du service dans les semaines qui vont suivre. Il était temps. On commençait à se demander s’ils contribueraient à la certaine effervescence de la saison théâtrale 2004-2005 en Mauricie, bouillonnement dû, entre autres choses, à la réouverture de la Maison de la Culture et aux grandes oeuvres présentées sur nos scènes par les professionnels (dont « Zone » de Marcel Dubé cet automne et « La Tempête » de Shakespeare ce printemps). Ayant manqué le train l’an dernier, je compte bien faire un tour sur la rue Bureau afin de me familiariser avec ce « Transsibérien » de Blaise Cendrars, dans une mise en scène des « anciennes Troyennes » Chantal Désilets et Carole Neill. À ce que je me souvienne, on avait dit grand bien au printemps dernier de cette sobre production où Jacques Crête renfile ses chaussettes de comédien, seul en gare. Un rendez-vous qui sent la dernière chance.
Allons maintenant prendre le thé et se délecter les yeux de sucreries au Musée !
Super le site des pelleteurs! C’est ce que j’aime de Voir; on nous apporte des découvertes fantastiques autant en musique qu’en théâtre qu’au cinéma! Saluons ce site mis sur pied par Francis Pelletier, vraiment un des très beaux sites que nous avons au Québec! Un site qui fait place à l’amour de la langue française, qui y est écrite sans fautes! Et que dire de la poésie que l’on retrouve dans chaque phrase! Je souhaite que ce site se développe autant que faire se peut et nous apporte le plaisir des mots au fil des ans et d’autres belles découvertes!
Cette maison d’édition invite les gens à réagir à des chroniques sur l’art par le truchement d’internet. Comme quoi la bonne idée du journal VOIR commence à faire des petits dans la province. Si seulement il avait été possible d’obtenir un brevet ($$$) pour ce concept.
Le Musée québécois de culture populaire de Trois-Rivières commence à faire jaser pas mal de monde en plus de faire déplacer plein de curieux des grandes villes du Québec. Vraiment!
Après avoir revamper ses vieux quartiers, il y a de cela une dizaine d’années, les Trifluviens ont su relever le défi de créer tout un circuit touristique et culturel qui en intéressera plus d’un. Et c’est chose réussie avec notamment cet architectural musée comme station.
Au programme, on alterne entre présentation de collections diverses et activités thématiques qui savent rivaliser les unes avec les autres. On y passe de nombreuses heures pour le plaisir de la bonne cause. Y’en a pour touts les goûts : des plus connaisseurs jusqu’aux jeunes découvreurs, des plus jeunes aux plus vieux.
Il faut également surveiller les expositions d’envergure internationale qui s’y tiennent à l’occasion et qui proviennent de célèbres musées européens. De nombreux voyagistes ont fait le détour exprès pour Rodin, l’an dernier. J’ai bien hâte de connaître la surprise de l’été. La programmation se fera sans doute aussi séduisante afin de conquérir à nouveau tout ce public.
Il n’y a pas si longtemps, musée voulait dire un ensemble d’exposition de pièces artistiques, ou autres, devant lesquelles les gens défilent dans une atmosphère plutôt silencieuse et révérencieuse. Il existe naturellement encore de ce type de musée, et une certaine catégorie de la population les fréquentent encore régulièrement. Mais pour la grande majorité des gens, ça manque un peu d’intérêt, ou du moins d’action. Et c’est pourquoi, certains musée ont de la difficulté à attirer un public suffisant pour pourvoir justifier leur existence. Il faut donc que la vocation de plusieurs musées change, pour ajouter un côté plus intéractif, plus populiste à leurs évènements. Et c’est ce que fait de brillante façon le Musée québécois de culture populaire de Trois-Rivière. D’ailleurs, son nom l’indique sans équivoque; c’est un musée de la culture populaire, donc pour toute la population, et pas seulement pour une élite plus versée dans les arts de haut niveau. D’ailleurs, les activités qu’il nous propose s’addressent à tout le monde, et incitent les gens à participer. Un musée se veut le reflet de notre culture, et la culture, pour la majorité des gens, c’est ce que l’on vit au quotidien. Alors un musée qui s’en tient à ce principe ne peut que réussir à intéresser cette même population…
Francis Pelletier, je ne connais personne qui ne pourrait aimer ce poète, cet homme si qualifié..n’oublions pas non plus que c’est un raconteur tellement intétessant.
j’ai tellement aimé profité de ce talent en 2004 au théatre Belcourt à Baie du Fève lors de notre passage..
je suis heureuse de voir que le musée de trois rivière va de l’avant avec des choses rafraichissante ca fait différent car souvent les musée sont plutôt visité par des gens de 40 ans et plus… mais là je crois qu’ils rejoindront un public plus jeune en plus..
Je trouve formidable de voir comment les musées ont su se renouveller et comment ils réussissent à faire disparaître l’image austère qu’ils avaient par le passé. Jadis les musées étaient réservés à une clientèle très sélective, plutôt âgée et un peu « snob ». Aujourd’hui les musées s’adressent à toute les catégories d’âge, sans égard aux classes sociales et les activités offertes sont tellement variées. Qui aurait pu dire qu’un jour on allait décorer un gâteau dans un musée?
Bravo aux différents musées pour l’audace dont ils savent faire preuve car je pense sincérement qu’il était temps que les musée redeviennent propriété de tout le monde. Les musées d’aujourd’hui nous offrent une grande variété, sans pour autant avoir perdu leur but premier et ils ne cessent de faire découvrir l’art dans son sens le plus large.
Les musées ont fait preuve de beaucoup d’imagination pour attirer leur clientèle, il ne nous reste qu’à les encourager et à nous y rendre régulièrement pour y découvrir toutes sortes de merveilles