Fabuleuse expérience!
Ce sera la 19e saison de la Fabuleuse Histoire d'un Royaume, cet été. Louis Wauthier, directeur artistique, nous lance une invitation: il nous offre la chance de faire partie de la distribution de cette production à grand déploiement qui a eu des échos dans toute la province. Même avec les plus beaux effets spéciaux, le spectacle n'aurait pas une envergure comparable si ce n'était des 200 comédiens qui s'impliquent dans le projet chaque année. Bien sûr, le spectacle demande une bonne préparation et une organisation solide: être comédien pour la Fabuleuse, ce n'est certes pas des vacances au sens où on l'entend habituellement. On parle de 26 spectacles pendant l'été, sans compter les répétitions nécessaires… Par contre, c'est une occasion de partager une expérience hors du commun qui laissera une trace indélébile dans votre mémoire. C'est aussi un bon moyen, pour ceux qui ont la fibre saguenéenne, de faire vivre la mémoire de nos ancêtres, de faire connaître notre histoire. Les intéressés peuvent soumettre leur candidature sur le site Internet www.grandsspectacles.com.
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Donnez donc, dondaine!
Il peut peut-être sembler étrange qu'un journal culturel comme le Voir s'associe à un événement comme celui de la Grande Guignolée des médias. Parce qu'aveuglés par le faste des productions artistiques auxquelles certains d'entre nous ont la chance d'assister, nous oublions souvent tous ces autres artistes qui en arrachent. Il n'aura pas fallu beaucoup d'arguments pour me convaincre de participer à cette collecte. Tant par passion que pour le travail, il m'arrive de croiser le chemin d'artistes qui ne réussissent souvent que difficilement à arriver, à cause de leur vie artistique, un véritable don de soi. Rappelons que, selon le ministère de la Culture, 62 % des artistes sont considérés comme travailleurs autonomes et gagnent en moyenne 6000 $ de moins que les autres travailleurs autonomes du Québec. De plus, 45 % des artistes ont un revenu inférieur à 20 000 $. Lorsqu'il s'agit de mères de familles monoparentales, le constat est désastreux. Si plusieurs artistes se donnent corps et âme pour que le monde soit plus beau, il n'est pas nécessaire d'être un artiste pour avoir le cœur sur la main… Il suffit aujourd'hui d'ouvrir la fenêtre de la voiture et de donner, chacun selon sa capacité.
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Un rêve obsédant
Plusieurs amateurs d'art devraient se faire tirer l'oreille pour ne pas être allés faire leur tour, vendredi dernier, au vernissage où Audrey Fortin Rioux et Stéphane Munger ont présenté le résultat de leur résidence commune au centre d'artiste Le Lobe, Songes anonymes. Avec un dossier solide et une réflexion mûrie autour du rêve, ils ont réussi à faire valoir leur travail et à intéresser le comité de sélection du Lobe grâce à la profondeur de leur réflexion et à l'importance de leurs préoccupations. Si le médium de la vidéo n'était pas choisi au début de leur réflexion, il s'est rapidement imposé: tout comme le rêve, le film impose des images à l'individu qui en est le spectateur impuissant et qui doit découvrir un sens à ce bombardement d'images dont il est la cible. La juxtaposition, la condensation et la déconstruction des images, rendues possibles grâce à l'installation vidéo, ont offert de multiples possibilités au travail sur le rêve par les deux artistes, qui n'en sont pas à leur premier projet de collaboration. L'exposition pourra être visitée jusqu'au 15 décembre.
La Grande Guignolée est quelque chose qui me tient à coeur et je suis toujours contente de donner pour faire du bien à ceux dans le besoin. C’est une grande collecte et tout le monde y participe. Je donne vraiment de tout et des bonnes et belles choses. Si ça peut aider quelqu’un qui en a vraiment de besoin et que ça libère mes tiroirs pourquoi pas!! C’est aussi une belle occasion pour les gens de se réunir et de faire une bonne action et j’espère qu’encore une fois cette années les gens seront généreux!!
Le temps des réjouissances c’est aussi le temps de démontrer aux autres que la vie peut aussi être belle. Qu’elle n’est pas juste remplie de désillusion, de pertes ou de cauchemars. Pour la majorité d’entre nous, le temps des fêtes est une occasion de se réunir, de festoyer autour d’une table bien garnie, mais pour certains autres, ce temps n’est qu’un affreux constat de la misère humaine.
Combien de gens seront privés de nourriture ce Noël au Québec? Beaucoup plus que l’on croit.
Nous devons revenir à des valeures beaucoup plus traditionnelles. Combien de fois avez vous entendu vos parents racontés des histoires épouventables concernant les pauvres qui vivaient près de chez eux?
Ouvrons nous les yeux, les pauvres existent encore. Sinon plus que dans le bon vieux temps. Une occasion nous aie donnée d’aidé les plus démunis, ne laissons pas passé cette chance de faire la différence pour une famille ce Noël, DONNONS !
Il y a peu de temps, je faisais un travail scolaire sur la musique de Noël et en me rendant dans différents magasins, j’ai constaté à quel point il y avait une quantité folle d’albums pour les Fêtes! Dans mon travail, je dénonçais surtout le fait qu’il y a beaucoup trop d’oeuvres musicales sur le marché en lien avec la neige et le papa Noël et surtout qu’on y accorde beaucoup trop d’importance (il n’y a qu’à penser à Fédéric de Grandpré et son « Martini pour Noël » qui ont remporté un Félix dans la catégorie album jazz de l’année au grand dam de Joel Miller et des autres Michel Donato). Ma conclusion à la fin de ce travail était celle-ci : c’est drôle à quel point les gens aiment entendre encore et encore les mêmes classiques, mais qu’au moment où on ramène le phénomène de la pauvreté, c’est l’Horreur pour eux! Pas encore!
Mais en lisant l’article de Jean-François Caron, un autre point de vue s’impose. Ces artistes qui produisent des albums de Noël ne sont pas toujours très fortunés et ils ont besoin d’être encouragés eux aussi…
C’est donc aux consommateurs de faire la différence entre la qualité musicale d’un jeune artiste dans le besoin et le phénomène commercial qui nous encourage à la surconsommation.
Je trouve que la Fabuleuse histoire d’un Royaume est une programation extraordinaire et je rêve d’en faire partie depuis que j’ai vu le spectacle il y a déja 10 ans et encore plus particuliairement depuis que j’ai suivi des cours avec les Faradole il y a cinq ans. Je trouve dommage que tout premierement tout le spectacle se déroule à La Baie et ce n’est pas accessible pour tous. Je n’ai pas les moyens de m’y rendre et je ne suis pas la seule. Bien sur vous me direz qu’il y a toujours moyens de s’arrenger mais le covoiturage n’est pas toujours la meilleure solution. Si la personne tombe malade ou quoi que ce soit on se retrouve une fois de plus sans moyen. Ce n’est pas non plus evident pour un étudiant qui voit les vacances comme seul moyen de financement pour ses études. C’est dommage j’avoue. Il ne faudrait pas que ce fabuleux spectacle qu’est la Fabuleuse s’éteigne mais…
Pour ce qui est de la Guignolée, je suis fière des résultats que notre région a apporté. Ma famille n’a jamais vécu avec beaucoup d’argent et l’entraide c’est tellement important. J’aimerais continuer a encourager les gens a donner…pas seulement de l’argent ou des denrées mais aussi du temps. Noël, c’est magique et permettons a chaque famille du Québec à le rendre aussi magique que pour nous!
Et oui de nos jours, les pauvres existent encore et bien souvent ils sont tout près de nous… Pourquoi ne pas donner à la Guignolée pour aider les autres et essayer de donner un peu de réconfort à ceux qui n’en ont pas….
Nous on a le privilège de manger tous les jours et de dormir dans un lit bien douillet et que dire de ceux qui n’ont rien de tout ça….. Moi je trouve qu’il y a un temps dans l’année ou il faut penser un peu plus aux autres et c’est bien à Noel….. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve qu’à cette occasion, on a le coeur rempli de joie et que l’on est plus généreux pour les autres…
Car je me dis que c’est Noel pour tout le monde et que chacun doit manger un bon repas et dormir dans un lit bien douillet et au chaud…..
Alors je souhaite que tout le monde soit généreux en ce temps de Noel et qu’il partage avec les plus démunis….. Je trouve que, quand on donne on a un sentiment de satisfaction personnelle et il me semble que l’on est plus heureux dans nos coeurs…
Alors je vous souhaite un Joyeux Noel à tous……
La guignolée est une occasion idéale pour les gens de donner un peu, à ceux qui sont moins fortunés. Oui c’est vrai qu’on est sollicité de partout durant cette période des fêtes, mais il faut penser seulement une minutes à tous ces achats qu’on fera. Au bout du compte, même si on donnait l’équivalent d’un seul cadeau de Noël de plus cette année, mais à la guignolée, pourquoi pas ? Nos enfants ne verrait pas la différence si on leur donne un cadeau de plus ou de moins. Mais ceux qui recevront leur part de la guignolée l’apprécieront beaucoup plus que nos enfants.
Que ce soit des denrées non périssable (pour ma part, je fais la razzia dans mon garde-manger, et je donne tout ce que j’ai en double, que ce soit le café, les soupes, les pâtes, le sucre, les mélanges à gâteau, tout y passe). Ça ne m’enlève pas grand chose et ça peut aider les autres. Les enfants eux, font le tour de tous les jouets, livres qu’il ne veulent plus et qui sont encore très bons et on les offres aux pompiers qui les redistribuent. Et lorsqu’il a une cueillette de dons en argent, je m’assure de toujours avoir donner quelque chose. Je donne peu, mais je donne à tous les endroits qu’ils en demandent. C’est peu, vous me direz, mais si chaque personne fait une peu, ça donnera beaucoup.
J’ai vraiment aimé cette présentation, les jeux d’éclairage étaient épatants. Nous étions plongés dans un atmosphere du rêve avec des projections partout au tour de nous, une trame sonore adapté nous laisse s’emporter dans l’expo. Bien joué Audrey et Stéphane!
La Grande Guignolée des médias qui ramassent des denrées non périssables et de l’argent pour aider les pauvres à passer un temps des fêtes un peu plus agréable et heureux a tenu sa collecte annuelle. Et, elle a connu encore un grand succès cette année. Pas étonnant quand on sait l’impact qu’ont ceux-ci dans la société. On n’a qu’à penser à des émissions comme Tout le monde en parle (le conteur Fred Fortin est plus en demande que j’amais depuis son passage) et Star Académie (tous les artistes vendent plus de disques après leur apparition).