

Un rideau de bouquins, O-vive, Après la pluie…
					
											Mélissa Proulx
																					
																				
				
			
Un rideau de bouquins
Après une heureuse incursion du côté de Gatineau, Les Bouquinistes du Saint-Laurent déménagent maintenant du côté d’Ottawa, le long du canal Rideau, près des écluses. Ainsi, du 26 au 29 août, les boîtes vertes s’ouvriront sur le monde de la littérature avec des ouvrages récents et moins récents. Des activités sont également au programme: le vendredi 26 août, la romancière, géographe et ingénieure Michèle Laframboise propose à 18 h 30 la conférence La Crème glacée littéraire, un bouquet de saveurs. Le samedi 27 août, Madeleine Royer chante les Poètes français d’hier et d’aujourd’hui à différentes reprises durant la journée et la soirée. Le même jour, la romancière, essayiste et poète Marguerite Anderson offre quant à elle Plaisir d’écrire, plaisir de lire dès 17 h, la poète Lise Careau offre des extraits de son cd-livre Il y a à 17 h 30 et la conteuse et auteure Danièle Vallée propose Histoires vécues dans l’autobus, des lectures à partir de son œuvre Le Deux. Le dimanche 28, le groupe Gadjo Swing présentera à 15 h son jazz swing des années 30-40 amalgamé à des chansons aux couleurs manouches, l’auteur féru d’histoire Yves Breton offrira un exposé intitulé Du majestueux Saint-Laurent à la grande histoire de l’Outaouais à 17 h 30 et le professeur titulaire au Département des lettres françaises de l’Université d’Ottawa, Patrick Imbert, proposera Par la séduction du déplacement, rejoindre les Amériques mondialisées pour nous écrivains francophones à 18 h. Finalement, le lundi 29, le journaliste égyptien Jean Mohsen Fahmy donnera la conférence Le Roman historique, mémoire des peuples, archives de l’humanité à 17 h 30, alors que l’auteur, éditeur et comédien Marc Scott présentera Légendes autochtones outaouaises à 18 h. Renseignements: www.lesbouquinistes.org.
ooo
O-vive
 Les 26, 27 et 28 août prochains, la rivière  Gatineau sera à l’honneur dans le cadre du Festival d’eau-vive  de la Haute-Gatineau, présenté par la Fédération québécoise du  canot et du kayak. Ainsi, l’invitation est lancée aux adeptes  de canot, de kayak et de rafting qui désirent descendre la  Gatineau. Rappelons que ce festival a été fondé en 1997 par  Jasmin Lefebvre et Alain Bonin, en réaction au projet de  construction de barrages par un producteur privé d’électricité.  La concrétisation de ce projet aurait pour effet d’inonder et  de régulariser artificiellement le débit de la rivière en plus  de restreindre les accès à ses plages et à ses panoramas. Le  duo a donc développé le potentiel récréotouristique de cette  rivière et de sa région, et le Festival accueille depuis des  centaines d’adeptes venant de partout dans le monde. En 2002,  le comédien québécois Roy Dupuis devenait le parrain de la  rivière afin de la protéger des différents dangers la menaçant.  Des descentes sur la rivière Désert et la rivière de l’Aigle  sont également prévues pour les familles ou encore les moins  téméraires. Des activités sur terre prendront aussi place  durant les trois jours. Renseignements: www.gatineau.org.
Les 26, 27 et 28 août prochains, la rivière  Gatineau sera à l’honneur dans le cadre du Festival d’eau-vive  de la Haute-Gatineau, présenté par la Fédération québécoise du  canot et du kayak. Ainsi, l’invitation est lancée aux adeptes  de canot, de kayak et de rafting qui désirent descendre la  Gatineau. Rappelons que ce festival a été fondé en 1997 par  Jasmin Lefebvre et Alain Bonin, en réaction au projet de  construction de barrages par un producteur privé d’électricité.  La concrétisation de ce projet aurait pour effet d’inonder et  de régulariser artificiellement le débit de la rivière en plus  de restreindre les accès à ses plages et à ses panoramas. Le  duo a donc développé le potentiel récréotouristique de cette  rivière et de sa région, et le Festival accueille depuis des  centaines d’adeptes venant de partout dans le monde. En 2002,  le comédien québécois Roy Dupuis devenait le parrain de la  rivière afin de la protéger des différents dangers la menaçant.  Des descentes sur la rivière Désert et la rivière de l’Aigle  sont également prévues pour les familles ou encore les moins  téméraires. Des activités sur terre prendront aussi place  durant les trois jours. Renseignements: www.gatineau.org.
ooo
Après la pluie…
 À l’issue du concours de courts métrages du  Festival Images et Lieux (FIL) de la Vallée-de-la-Gatineau à  Maniwaki, Catherine Veaux-Logeat a remporté le  Prix Gilles-Carle, qui lui a valu une bourse de 3000 $, soit la  plus importante attribuée à la relève au Canada pour le court  métrage. Son film En attendant la pluie (photo) a été  choisi parmi huit autres productions et a également retenu  l’attention du public puisque la jeune cinéaste a aussi  remporté le Prix Coup de cœur du public de 500 $. Son film de  23 minutes met en scène Hélène, une octogénaire bourguignonne  amoureuse de la campagne qui continue de travailler sur sa  ferme malgré la chaleur pendant la canicule de 2003. Au fil de  ses souvenirs racontés, elle garde espoir que la pluie viendra  un jour. Les autres films à thématique rurale en compétition  étaient: La Plaie de David Paré et  Guillaume Perreault, Les Cravatiers en  fleurs de Benjamin Gueguen, Iles  de Stéphane Lahoud, Revolvert de  Paul-Antoine Martel, Marc  Jacob et Éric St-Laurent, Noir en  hommes d’Alexandre Gibault, La  Mi-Carême chez William à Fidèle de Sylvio  Bénard et Homme de souche de Bobby  Beshro. Renseignements: www.imagesetlieux.com.
À l’issue du concours de courts métrages du  Festival Images et Lieux (FIL) de la Vallée-de-la-Gatineau à  Maniwaki, Catherine Veaux-Logeat a remporté le  Prix Gilles-Carle, qui lui a valu une bourse de 3000 $, soit la  plus importante attribuée à la relève au Canada pour le court  métrage. Son film En attendant la pluie (photo) a été  choisi parmi huit autres productions et a également retenu  l’attention du public puisque la jeune cinéaste a aussi  remporté le Prix Coup de cœur du public de 500 $. Son film de  23 minutes met en scène Hélène, une octogénaire bourguignonne  amoureuse de la campagne qui continue de travailler sur sa  ferme malgré la chaleur pendant la canicule de 2003. Au fil de  ses souvenirs racontés, elle garde espoir que la pluie viendra  un jour. Les autres films à thématique rurale en compétition  étaient: La Plaie de David Paré et  Guillaume Perreault, Les Cravatiers en  fleurs de Benjamin Gueguen, Iles  de Stéphane Lahoud, Revolvert de  Paul-Antoine Martel, Marc  Jacob et Éric St-Laurent, Noir en  hommes d’Alexandre Gibault, La  Mi-Carême chez William à Fidèle de Sylvio  Bénard et Homme de souche de Bobby  Beshro. Renseignements: www.imagesetlieux.com.