Le FIFAM (Festival international du film d'aventure de Montréal) débarquera en ville le 10 novembre prochain pour présenter des conférences et six films lauréats des prix Adventura 2005. La conférence d'ouverture sera donnée par Maxime Jean, membre de la première équipe québécoise à avoir atteint le sommet de l'Everest et, plus récemment, du Cho Oyu, qui présente une conférence sur le thème Passion Himalaya. Un court Hommage aux aventuriers québécois de l'année 2005 suivra, retraçant les expéditions les plus marquantes de la dernière année. La soirée se poursuivra avec six films primés, en commençant par le prix Exploit Humain remis au film suisse Le Voyage intérieur de Mike Horn de Raphaël Blanc, où l'aventurier réalise le tour du cercle arctique, que ce soit à voile, à pied, en kayak, tracté par un cerf-volant ou à ski. De l'Espagne, The Other Face of K2 (photo) d'Oscar Cadiach – Prix du montage – suit une expédition catalane qui tente, au 50e anniversaire de sa première ascension, de refaire la route vers le sommet appelée "Magic Line". 
Ensuite, de la France, le meilleur court métrage extrême, Profondeur absolue (photo), de Loïc Leferme, montre ce champion du monde d'apnée en profondeur absolue battre le record du monde en atteignant la profondeur de -171 mètres. Finalement, toujours de la France, le Prix Thalassa, Oceans' Twenty: Au fil du Vendée Globe de Christian Deleau, jette une lumière sur cette course à voile solitaire, sans escale et sans assistance, où les plus rapides reviennent au bout de trois mois. Pour ceux qui ont le sens de l'aventure, dès 19 h au Théâtre du Musée canadien des civilisations. Renseignements: www.espaces.qc.ca
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Avis de recherche
Le Théâtre Tremplin est à la recherche de comédiens et comédiennes de tous les âges afin de compléter la distribution de Moé, j'viens du Nord, s'tie, une pièce d'André Paiement qui sera mise en scène par Jacynthe Dupont. Les rôles qui cherchent toujours preneurs dans la production de cette œuvre franco-ontarienne incontournable sont: Roger, sa copine Nicole, qui travaille comme serveuse (17 ou 18 ans), madame Simard (proprio du restaurant), un mineur, un client, le père de Roger (de 40 à 50 ans), Raymond et Marc (des amis de Roger, de 17 ou 18 ans), un chœur de trois chanteuses (serveuses) et un groupe de musique. Des auditions auront lieu du lundi au vendredi de 17 h à 21 h jusqu'au 8 novembre. Des rendez-vous doivent être fixés avec la metteure en scène au 561-4434 ou au 878-0656. Le Tremplin est également à la recherche de gens pour compléter l'équipe de production: communications, régie, direction de production, maquillages, éclairages, costumes, décor, accueil, etc. Les intéressés doivent joindre le directeur de production Guy Beauchamp au 827-5944. L'expérience est un atout, mais n'est pas nécessaire. www.theatretremplin.com
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Magnifiques, dépaysants et très informatifs; ces genres de documentaires, qu’offrent « Le Festival international du film d’aventure de Montréal », devraient être indispensables, mais surtout, à voir impérativement, par les petits comme par les plus grands. Il y a de quoi se régaler d’avance, qu’on on sait qu’un membre de la première équipe québécoise à avoir atteint le sommet de l’Everest y sera présente. Tout un privilége que d’avoir l’honneur de rencontrer Maxime Jean!
Que d’histoires et paysages que nul n’est prêt d’oublier de si tôt.
Lors du dernier festival Franco, malgré la petite foule qui s’en est régalé, un merveilleux spectacle-hommage à Paiement s’est déroulé devant nos yeux. On y faisait un retour sur sa musique surtout (après tout, il est un des membres fondateurs de CANO) mais aussi un retour sur son théâtre. Quatre comédiens venaient entrecouper les pièces musicales pour nous présenter des extraits de ce que Paiement a conçu au fil des années. Lavalléville était bien sûr l’un des extraits. Moé, j’viens du Nord, s’tie en était un autre. Les premières bases du théâtre franco-ontarien qui allaient permettre à ses habitants de se créer une culture mais surtout une culture dont ils seraient fiers.
Le festival des films d’aventure est un incontournable des films et documentaires d’aventure. On vit les expériences des grimpeurs et c’est incroyable. Le vide nous entoure et on souhaiterais y être pour de vrai… ce qui est pratiquemment le cas. Il ne faut pas manquer ce rendez-vous; l’ambiance de la salle est survoletée, on a les yeux grand ouvert, le poil hérissé et le goût de vivre l’aventure. Les plans de vue des montagnes et des vides engouffrants les grimpeurs ne peuvent faire autrement que de vous faire rêver à l’ascension d’un montagne.
Intensité, c’est ce qui résume le mieux le Festival international du film d’aventure de Montréal qui récidive cette année!
Explorer les confins de notre belle boule bleue qu’est la Terre, c’est ce que vous pourrez faire encore une fois avec la programmation du FIFAM 2005.
Les films présentés sortent vraiment du cadre avec lequel nous sommes habitués, mais ce n’est en rien un aspect négatif! C’est effectivement dans la forme et dans le fond que les films du FIFAM nous font voyager, explorer, découvrir et voir! Le FIFAM, c’est aussi se permettre de s’émerveiller devant le monde, la vie et le risque!
Très belle façon pour tous les gens qui n’osent pas prendre d’énormes risques de goûter l’adrénaline!
Dans un monde où la plupart des jeunes se cherchent un but dans la vie, je trouve que le FIFAM est une belle source de motivation. Montrer des hommes et des femmes de partout dans le monde qui réussissent des exploits par leur détermination et leur acharnement à aller au bout de leurs capacités physiques. Une inspiration au dépassement de soi au lieu de s’apitoyer sur son sort.