Regardons les faits froidement: le PQ tient par un fil. Son 28 % à l'élection est un désastre. Selon le dernier CROP, il a rechuté à 23 % pendant que l'ADQ poursuit son ascension. <p>Ça n'a rien de personnel. Le constat crève les yeux: la décision d'André Boisclair de rester est irresponsable. Comme le chantait Charles Aznavour: "<i>Il faut savoir quitter la table / Lorsque l'amour est desservi / Sans s'accrocher, l'air pitoyable / Mais partir sans faire de bruit</i>". <p>(Et avant qu'on ne crie au scandale, réclamant que les "méchants" journalistes cessent de "s'acharner" sur Boisclair, prenez ma parole d'honneur: rien de ce qui s'écrit dans les journaux ne peut arriver à la cheville de la dureté de ce que beaucoup de péquistes pensent et disent de leur chef actuel.) <p>Dans les circonstances, la suggestion d'attendre à septembre 2008 pour tenir un congrès, changer le programme et soumettre le chef à un vote de confiance, c'est trop peu, trop tard.<p>Il est inconcevable que, dans un état aussi vulnérable, avec un caucus divisé, une base démobilisée, des finances catastrophiques – alors qu'une élection peut se produire n'importe quand -, le PQ se paye le luxe d'attendre 18 mois avant de bouger. <p>C'est comme si vous appreniez que vous avez une tumeur maligne, mais que vous décidiez d'attendre un an et demi avant de voir si vous avez le bon médecin et de choisir vos traitements. Ça s'appellerait un suicide.<p><b>UN VRAI CONGRÈS</b><p>Une solution possible: faire tout en même temps, et ce, d'ici la fin de l'année. Ce qui veut dire que pour le bien de son parti, et non le sien, Boisclair doit convoquer une course à la direction. S'il veut quitter, ou s'y présenter pour confronter ses "nouvelles orientations" à celles d'autres candidats, il sera libre de le faire. <p>Mais attention. Une VRAIE course se terminant sur un vrai congrès, avec des délégués élus dans chaque comté par les membres. Pas un concours de vente de cartes, comme en 2005, qui s'est terminé par un vote téléphonique où même des chiens et des plantes vertes ont pu voter. <p>L'urgence et la gravité de la situation exigent aussi l'obligation pour chaque candidat, contrairement à 2005, de mettre sur table son programme, sa vision, ce qu'il a dans le ventre, et d'en débattre. Les péquistes feront ainsi d'une pierre deux coups: choisir le chef qui défend la vision pour laquelle ils veulent se battre. <p>S'ils élisent un autonomiste, ils l'auront fait les yeux ouverts et assumeront les conséquences. S'ils préfèrent un souverainiste, ce sera aussi leur choix. Une chose est certaine: le programme et le chef ne peuvent plus être dissociés. Ils doivent venir en <i>package deal</i>. <p>Ou ce parti choisit quelqu'un qui s'engage à faire du pouvoir un outil de réalisation de la souveraineté – avec un référendum ou autrement. Ou il se transforme en succursale de l'ADQ. L'important, c'est qu'il puisse choisir, et non qu'il demeure l'otage du chef actuel pendant une année aussi cruciale.<p><b>LES PEDDLEURS</b><p>C'est fascinant comme les crises au PQ réveillent toujours les "peddleurs" de l'affirmation nationale*. <p>Depuis le 26 mars, les peddleurs grouillent et scribouillent un peu partout. Ils sont faciles à reconnaître. Ce sont ceux qui disent: "Ce n'est pas le temps de soulever la question du leadership, il faut changer le programme AVANT." <p>Leur objectif: garder Boisclair juste assez longtemps pour qu'il ramène le PQ à l'affirmation nationale – ce qui rencontre sa propre vision d'un "nouveau" PQ. Cela, évidemment, provoquerait un schisme, lequel purgerait le PQ de ce qu'on appelle les "purs et durs", mais qui, dans les faits, sont des membres ordinaires et honnêtes, qui se sont joints à ce parti pour la souveraineté, pas autre chose. <p>Un PQ nouveau, tout gentil, lavé de son péché originel, enfin sortable devant la visite, libre de gouverner en paix sans se faire achaler par une option compliquée. Du moins, c'est le fantasme des peddleurs.<p>Pourtant, plus le PQ s'éloigne de sa raison d'être, plus ses appuis baissent. C'est une tendance lourde depuis 1996. Aujourd'hui, le PQ est à 23 % et la souveraineté à 42 % – un fossé de 19 %. Ce sont les souverainistes qui sont orphelins de parti. Pas les autonomistes. Ils ont l'ADQ.<p>Ce qu'ils ne voient pas, les peddleurs, c'est qu'avec un PQ vidé de son essence, ils seront les prochains à tomber et les derniers à éteindre la lumière avant de fermer la porte derrière eux. Leur rêve d'affirmation nationale est porté par Mario. Qui voudra d'un perroquet de l'ADQ? <p>Il ne faut pas prendre les gens pour des valises. Si les Québécois ont le choix entre l'autonomisme de Mario et une souveraineté diluée dans le "un jour, peut-être, et en attendant, réformons le Canada", ils choisiront Mario.<p>(*Doctrine de Pierre-Marc Johnson, chef du PQ de 1985 à 1987, semblable à l'autonomisme de Mario Dumont, selon laquelle le Québec peut s'émanciper sans se séparer.)<b></b><p>
Ce n’est pas surprenant de constater que rien ne va plus au PQ, depuis les dernières élections. le phénomène Mario Dumont est pratiquement étranger à tout celà. Le PQ s’est sabordé lui-même, en toute connaissance de cause. L’élection d’André Boisclair, au détriment de Madame Marois, a empiré les évènements qui étaient déjà au plus bas, avec l’échec de Landry, en 2003. Depuis cette date, le parti entame sa chute vers le néant et le bateau coule à pic….que Boisclair reste ou parte, le vrai destructeur du parti a été Bernard Landry, avec cette façon rigide et antipathique qu’il avait de gouverner et de mettre de l’avant son parti. Pour le peuple, cette image peu reluisante d’un homme politique et d’un parti, peut nuire et détruire à jamais. André Boisclair a hérité d’un parti moribond et son enthousiasme et dynamisme devenaient épée dans l’eau… Les dés sont jetés pour le PQ. Il est en phase terminale et la mort est proche. Un remède miracle immédiat, comme le laisse sous-entendre Josée Legault, est possible avec la recréation d’un nouveau parti avec un autre chef. Une illusoire prophétie!
André Boisclair doit être vraiment perdu dans sa tête. Il veut continué son petit « power trip » de chef de parti mais la baloune est tellement dégonflé qu’il ne reste plus beaucoup d’air dedans. Les sondages baissent de plus en plus pour le PQ et ils devront réagir assé vite parce que la bande à Mario Dumont va tout rafflé aux prochaines élections.
Qui remplacerait Boiclair? Il y a quatre noms possible selon moi. François Legault , Gilles Duceppe , Bernard Landry ou Pierre Curzy. Monsieur Legault dit que sa famille passe avant le pouvoir. Duceppe lui rêve de revenir à Québec mais le « timing » ne joue pas en sa faveur. Landry tant qu’à moi , on ne regarde pas en arrière et Pierre Curzy n’est pas prêt. Quelle est la meilleure solution?
Les sondages peuvent changés très vite en politique , mais je crois que cette tendance va se maintenir si boisclairs reste en poste.
Le PQ, comme le PLQ et le PLC (comme tout les autres partis finalement) ont énormément de difficultés à admettre leurs erreurs. C’est dommage, car faire preuve d’un d’humilité leur ferait grand bien, ainsi qu’aux électeurs.
Ils auraient très bien pu choisir Pauline Marois, mais son air hautain lui a fait beaucoup de tort. Et il est très difficile pour le peuple de s’identifier à André Boisclair. N’en déplaise aux biens pensants, comment un parent peut-il s’identifier à un chef de parti qui est dans l’impossibilité d’élever une famille. Les militants ont choisi un chef »YUPPY » pour une majorité qui est tout le contraire. Et je doute que Gilles Duceppe soit l’homme de la situation. Pierre Curzi ou Bernard Drainville peut-être ?
Maintenant que les élections sont passées depuis plusieurs semaines, que la poussière retombe et que nos yeux se replacent devant les trous faudrait peut-être que l’on attendent et laissent venir les évènements…
Il y en a marre des analyses et des prédictions politiques comme s’il fallait passer son temps à essayer de tout prévoir pour ne pas être surpris ou tout simplement pouvoir se targuer de l’avoir dit avant les autres.
Me semble qu’il y a une tonne de journaux, sites Internet et autres médiums qui jasent politique…alors pourquoi ne pas leur laisser la place et garder la culture en premier plan ici?
L’autre jour je voyais en gros titre qu’il y avait de plus en plus d’espèces en voie de disparition ou menacées d’extinction . Je m’attendais à ce que ‘le souverainiste pur et dur’ y soit mentionné au même titre que la Paruline à ailes dorées .
Je suis assez âgé pour avoir connu des partis politiques qui sont aujourd’hui dans les livres d’histoire . L’Union Nationale qui a régné durant la grande noirceur , le Parti Créditiste de Réal Caouette et même le Equality Party qui défendait les anglophones .
C’est un peu ce qui risque d’arriver avec le Parti Québécois parce que le bon peuple , incluant ceux qui ont voté pour le PQ , sont souvent prêt à donner une autre chance au Canada et c’est justement le créneau qui va être exploité par Mario Dumont .
Les sondages le prouvent . On ne sait pas vraiement où l’on s’en va et on ne sait plus vraiement ce que l’on veut . Normalemenr le Parti Conservateur devrait être en hausse vu que l’ADQ est le rejeton . Mais non , le bon peuple soutient encore le Bloc et bien sûr les Libéraux en espérant que Justin Trudeau soit premier ministre en 2017 .
La seule solution , suicidaire , soit qu’un congrès ait lieu rapidement au PQ et que l’option souverainiste soit mise de l’avant et advienne que pourra .
Nous disons vouloir un pays. Mais si on veut un pays, il nous faut un leader fort*. Mais il semble, selon les sondages, que les Québécois préfèrent une victime comme chef de parti plutôt qu’une personne qui propose des idées. Je sais que j’ai déjà parlé de cela dans un autre commentaire pour une autre chronique (il y a quelques mois), mais rappelez-vous que les membres ont voté pour le chef qui aurait le plus de chance de battre Jean Charest selon les sondages.
Et ces sondages donnant le gouvernail au Parti Québécois se sont déroulés quand les « méchants » journalistes ont osé fouillé dans le passé ministériel d’André Boisclair alors qu’il aurait consommé de la cocaïne. Et les sondés (combien étaients-ils? étaient-ils assez nombreux pour représenter l’opinion d’une grande partie de la population?) ont décidé d’appuyer une « victime » des journalistes plutôt que d’appuyer une personne qui avait des idées pour faire avancer le Québec.
Et si ces sondés étaient représentatifs de la population? Je serais déçu de nous. Cela signifierait que les Québécois préfèrent le rôle de la victime plutôt que de se prendre en main. C’est vrai qu’il est plus facile et plus confortable de laisser les autres choisir à notre place et de chialer quand ça ne fait pas notre affaire.
Se prendre en main signifie de prendre des risques et de se tromper. Si on se trompe, on ne peut blâmer d’autres que soi-même: c’est inconfortable. Mais prendre des risques, ça veut aussi dire qu’on peut réussir et ainsi être fier de soi.
Quel genre de peuple voulons-nous être? Quel genre de leader voulons-nous?
*(Dans ce commentaire, à moins de parler d’une personne en particulier, le genre masculin est neutre)
Oui le mal est bien installé, les métastases sont répandues et nous sommes proches de la phase terminale. André Boisclair refuse d’y voir clair. Il est temps qu’ils se réunissent, qu’ils se pognent aux cheveux s’il le faut, et des têtes chevelues il y en a la-dedans, mais qu’ils acceptent une ligne de conduite digne du parti. Reculer l’échéance du congrès nuit à tout le monde. La solution n’est pas simple et beaucoup perdront des plumes sauf que le chef et le parti doivent être indissociables. Voulons-nous continuer d’être le Parti Québécois avec la souveraineté en tête ou voulons-nous autre chose, mais quoi ? Ma plus grande peine n’est pas tant de voir Boisclair péricliter, je savais qu’il n’était pas l’homme de la situation, mais c’est de voir Mario Dumont, ses idées de droite et ses membres improvisés, monter dans la cote d’amour des Québécois. Je ne suis plus souverainiste mais je ne serai jamais adéquiste, plutôt virer solidaire teintée de vert.
Il faudrait peut-être que madame Legault commence à s’apercevoir que chroniquer
dans « Voir » est beaucoup plus difficile que de boulechiter dans « The Gazette » ou chez
Christiane Charette…
Depuis son entrée dans NOTRE hebdo,madame s’imagine qu’elle va s’imposer en y
allant d’une suite ininterrompue d’excommunications,de délires futuristes et d’élucubrations
tonitruantes qui évacuent dans leurs jugements ex cathédra toute espèce de considération
pour l’intelligence du lecteur,de son esprit critique…
J’aime bien me faire bousculer,mais je ne supporte pas qu’on me prenne pour un imbécile.
Madame Legault ne réfléchit pas,elle décrète.Et c’est totalement ridicule.
Aller suggerer au P.Q. de « tout faire en même temps » alors que ce parti accuse un
retard de 20 ans sur l’évolution politique du Québec,du Canada et du reste de la
planète,c’est comme demander à un athlète qui vient de se casser une jambe d’aller illico
courir un marathon.
« Les péquistes déçus » qui jettent le blâme sur Boisclair sont les mêmes qui ont « démissionné » Lévesque en ’85.Je ne leur accorde aucune crédibilité et je pense même
que le P.Q.,avec Boisclair comme chef,se doit de les extirper au plus vite de ce parti politique.
Le vrai »cancer »,il est là et il récidive,à chaque nouveau chef,depuis 20ans.
A la toute fin de la campagne électorale,Boisclair disait encore qu’il voulait faire un référendum le plus tôt possible,car il croyait encore la victoire possible.Comme moi.
Le verdict du 26 mars fut impitoyable.La souveraineté,peut-être,mais pas avec le P.Q.,
tel qu’il est aujourd’hui.
Boisclair,qui ne se prend pas pour le messie,a été assez lucide pour comprendre que le problème du P.Q. dépasse largement sa personne et a ramené au coeur du P.Q. une
vertu intellectuelle capitale,absente depuis vingt ans chez ce parti:LE DOUTE.
Moi aussi,indépendantiste dur,je doute.
Et je me fais traiter de vire-capot,comme Boisclair,et par Lysianne Gagnon,
en plus!
Un P.Q qui doute,enfin,yes sir!
Les péquistes sont plus méchants que les journalistes? Et si je vous disais que c’est carrément de la faute de Boisclair si on a perdu le poste de premier ministre qui revenait au parti? On l’a perdu aux mains de l’adq, voilà. Les voteurs ont eu tellement peur de l’avoir comme chef d’état qu’on a voté massivement pour son opposant.
Pourquoi est-ce que les péquistes sont si méchants envers Boisclair? Parce qu’à cause de lui, on a encore perdu la chance de s’établir comme nation, et ce, pour quelques années à venir! Parce qu’il faudra encore se battre et cogner du coude, faire sa place, voir et assister à la mort lente de notre langue et notre culture… Parce qu’à cause de lui, le peuple a perdu la foi. Parce que le pq a perdu son sérieux. Ce Boisclair, il n’a pas de flamme, il n’a pas de passion, son regard est vide… À cause de lui, le Québec a prit le tournant de la famille, et non de la culture. Moi j’en ai pas d’enfants et j’aurai jamais de congés de maternité. Mais je commence à mieux parler l’anglais que ma langue natale, à quel point es-ce que c’est normal?
Les mères et les pères de famille, le savent-il que la moitié du Canada nous haït? Ne voyagent-ils pas, ils ne se sont jamais fait appelé de fu**ing french… ?? Ne savent-ils pas que la Loi sur les langues officielles est encore rejetée par 15% des députés, au fédéral? C’est 46 députés, ça, qui représentent 46 circonscriptions. Peut-être que le peuple le sait, ça. Et ils savnet que Boisclair, ce n’est pas un chef. Et c’est tout à fait normal de vouloir un chef à la tête de son pays. On a besoin de quelqu’un qui va se battre, qui va crier, qui va postillonner, qui va se fâcher, qui va jurer qu’il se laissera pas faire… On a besoin d’être défendus avec force, on veut se sentir en confiance avec lui, bon. On est un peuple insécure et on a besion d’un héro. Boisclair, il a l’air fatigué, pas convaincu, déprimé
Bush a le même symptôme… Il veulent juste pas partir…
Dans un contexte aussi difficile ou les hommes sont de plus en plus intéressés au monde dans lequel ils vivent, les parties politiques doivent êtres de plus en plus près des gens, de leur réalité.
André Boiclair est certes un homme intelligent mais sa proximité avec les gens fait sans doute défaut. En le regardant parler à la foule, on a cette impression qu’il recherche le pouvoir plus qu’il veut aider la cause du Québec. Le fait qu’il reste au pouvoir avec des résultats qui sont sans doute la réponse d’un désaccord avec l’homme plutôt qu’avec les objectifs du parti ne me laisse point perplexe. Comment un parti peut perdre si vite l’appui des citoyens quant aucun événement n’est garant de cette chute. La réponse vous la connaissez bien!
M.Boiclair devrait avoir une remise en question importante. Un chef de partie doit rallier ces membres et pour l’instant nous avons plus l’impression que les membres supporte leur chef sans vraiment y croire, sans vraiment connaître la raison de se ralliement.
Pour ma part, j’ai compris le besoin de pouvoir d’André Boiclair dès le visionnement du débat des chefs. Je voyais un homme arrogant, coupant sans cesse la parole aux autres chefs de partie. Bref j’ai vu un homme que je n’inviterais certainement pas à ma table et qui ne m’inspire qu’une forme de respect obligatoire.
L’homme est la raison du changement de cap des québécois vers le fédéralisme. Personne ne souhaite un Québec libre ou le chef décide seul et ou la cause devient moins importante que les gains personnels.
Il est temps de passer à autre chose …. Déjà.
Il ne faut pas croire les oiseaux de malheur qui croient chanter déjà aux obsèques du partie québécois. Le parti a bien sûr du travail devant lui, mais je ne croit aucunement qu’il disparraîtra de la carte. Tout au plus, il sera plus absent qu’il ne l’a jamais été depuis sa fondation. Le parti québécois doit se remettre en question. Mais nous savons tous que le nationalisme québécois n’est pas prêt de mourir. Attention à tous ceux, qui a Ottawa jubilent dans les chaumières. La question reviendra d’elle-même au cours des débats dans les années à venir. Nous sommes fait de ce nationalisme. L’ADQ semble se montré capable de remplacer le PQ au bâton, mais tous se trompent. J’attends du PQ plus qu’un projet de pays, je voudrais un projet de société qui rejoigne tous les québécois. Il faut cesser de vouloir gouverner à tout prix. Prenons un temps d’arrêt pour rebâtir une coalition. Recommençons tout !
Non, non, je ne suis pas Bernard Landry ;)
Il faut faire table rase pour mieux remettre la table. Je n’ai pas voté PQ, moi qui vote souverainiste depuis que j,ai le droit de vote. Je ne veux pas d’André Boisclair comme chef et tant qu’il sera là, je demeurerai sourde au parti. C’est simple: plein de péquistes sont comme moi. Juste pour ça…il devrait partir. Oui, bien sûr, le chef ne fera jamais l’unanimité, mais les erreurs passées d’André Boisclair ne disparaîtront jamais de son curriculum et je ne parle pas ici uniquement de ses expériences de drogue.
Élire un ou une nouvelle chef(fe), rédiger un programme de développement de la souveraineté ( culture incluse) et repartir à neuf.
On revient toujours avec les trois dernières semaines de campagne en disant: Boisclair a été très bon! Ben oui…mais trois semaines ne rachètent pas un an de gaffes.
Tabula rasa! ou on passe à autre chose.
Non, mais réveillez-vous! Le fossoyeur attend…
On a fait l’expérience du jeunot tout beau mais sans contenu, sans racines. Ou plutôt, ils ont fait, parce que moi, j’ai repris ma carte du PQ pour voter contre lors de la course à la chefferie.
Il va falloir, oui, choisir un nouveau chef, mais aussi mettre du contenu au programme et cesser de se tirer dans le pied avec les échéances d’un referendum hypothétique ou coulé dans le béton. On fera un referendum quand il le faudra. Point à la ligne. Pas plus que l’on peut imposer la démocratie en Irak ou en Afghanistan, on ne peut décider quand les québécois/québécoises seront prêts à décider de leur indépendance politique.
Pour l’instant, il y a une grande priorité à laquelle il faut s’atteler, sauver la planète des attaques multiples et barbares que NOUS lui assénons à profusion.
L’essence à 2$ le litre ce ne serait pas mauvais, à condition que le 1$ de plus aille dans un fonds de recherche pour trouver des alternatives à cette ressource que nous dilapidons sans remord, que nous brûlons sans tenir compte des méfaits que la chose engendre dans lla BIOSPHÈRE.
La souveraineté est la solution des problèmes des années 70. Si elle était si bénéfique et si pertinente, elle serait déjà faite.
Hélas, tout comme il y aura toujours entre 10 et 20% de la population qui vote NPD sachant très bien qu’il ne sera jamais au pouvoir, il y aura aussi le même pourcentage qui votera pour un parti indépendantiste au Québec.
Mme Legault a en partie raison. Revenir à l’affirmation nationale serait la fin rapide du PQ car l’ADQ occupe déjà ce terrain. Mais là où elle se trompe c’est de penser qu’en revenant à l’indépendance-le-plus-tôt-possible, le parti irait chercher le supposé 42% de favorables à ce projet.
Il y a trop de concurrence. Les QS avec 5-10 % sont forcément indépendantistes car ils savent que leur rêve utopique n’a aucune chance de se réaliser à l’intérieur du Canada, donc vive le Québec libre…du capitalisme! Les verts aussi rongent en partie dans la même talle péquiste, un autre 5-10 % perdu au PQ.
Comme le PQ a toujours été une coalition supposément temporaire afin de réaliser l’indépendance, ne sentant ni urgence ni mouvement populaire, la coalition s’est effritée avec le temps. Après quarante ans de lutte, l’adjectif temporaire est difficilement applicable en politique.
Cette orientation condamnerait le PQ au statu de tiers parti tout comme le NPD fédéral. Il conserverait son statu de parti officiel et pourra au mieux influencer certains débats et se limiterait aux victoires morales, comme le NPD le fait depuis 50 ans.Mais au moins il restera dans l’échiquier politique et donnera toujours espoir aux boomers vieilissants que leur rêve de jeunesse vit encore.
Pour les autres, un retour à la politique gauche-droite-verte, sans toujours entremêler le débat national existentiel, pourra enfin nous libérer d’une autre contrainte à notre développement économique qui prend de plus en plus de retard vis-à-vis nos voisins.
André Boisclair est toujours en poste, chef du PQ, il a ainsi doublé le mécontentement.
Il est même surprenant que le PQ puisse obtenir 23 % au «dernier CROP» !!!
S’il y avait de nouveau une élection aujourd’hui, je ne crois pas que le PQ obtiendrait 23% du vote. Même ceux qui croient au PQ, même ceux qui croient à l’indépendance future du Québec, ne croient pas que le PQ est prêt à former un gouvernement.
L’heure est grave et plus le temps passe, plus il risque d’être trop tard pour bien préparer la prochaine élection !!! Il faut le dire haut et fort !!!
Pour le PQ, il est vraiment très important que cette élection arrive le plus tard possible. Mais qui peut dire avec certitude que ce sera le cas ??? Est-ce que les adversaires politiques vont laisser au PQ tout le temps nécessaire pour se rebâtir une crédibilité ???
Au lendemain de la dernière élection, on croyait le parti libéral plus faible que jamais, mais ce qui certain maintenant c’est que le PQ n’en profite pas du tout !!!
Ne pas bouger dans les 18 mois prochains mois, c’est de la folie pure et simple. Ne pas bouger dans les 3 prochains mois, c’est une erreur stratégique qui risque de coûter cher et de faire grand plaisir à l’ADQ et au PLQ.
J’ai rien contre les chiens et les plantes vertes, j’ai rien contre les partisans du chef actuel (ils ont le droit de croire qu’ils ont un bon chef), mais en réalité si André Boisclair ne fait pas ses valises dès maintenant, le PQ risque de perdre ce qu’il lui reste de crédibilité.
Vous désirez faire un petit pari ? Quitte ou double ???
On dira ce qu’on voudra, on supputera les chances de l’un et des autres, on reformulera les mêmes intentions et mêmes buts dans un « nouveau » programme, on votera par téléphone ou en personne, soit ! Mais il y a une chose que le PQ ne peut tout simplement pas se permettre pour les années difficiles qui s’annoncent : mettre Gilles Duceppe à sa tête. Les masochistes, s’abstenir. Merci !
Il est bien tentant de faire une équation entre le pourcentage d’appuis à la souveraineté (42 %) d’une part et les 23 % que recueille actuellement le PQ plus le nombre d’appuis qui lui échappent en raison du leadership contesté d’André Boisclair d’autre part. Selon cette mathématique, le PQ échapperait 19 % de ses appuis en raison de ce chef mal-aimé, ce qu’il obtiendrait ipso facto en désignant un autre chef, quel qu’il soit, ce qui le conduirait tout de go vers un gouvernement majoritaire. L’arithmétique est séduisante, mais est-elle bien réaliste ? Probablement pas.
S’il y a une part incontestable de récupération de cette marge d’appuis que récolterait un nouveau chef en ne commettant pas les mêmes que celui auquel il succéderait, il n’est pas acquis qu’il en ferait le plein, quel qu’il soit.
Il ne faut pas oublier que le projet de l’indépendance est un projet de société aussi. Le présenter comme une notion ontologique ne peut pas faire l’unanimité. Les supporters du parti québécois ne sont pas tous heideguerriens comme ceux qui pensent que la seule manière de l’être au monde pour établir son identité est de s’en remettre à des chefs qui lui feront participer à l’Histoire, à la totalité des signifiants d’un seul coup. Il a aussi besoin bien souvent de connaître quels seront les paramètres de société qui lui feront participer, lui sujet concret, à ce tout plus significatifs. Il y a bien sûr des valeurs de base comme celle de la langue qui sont implicites dans le projet ontologique, mais cette vérité, combien sont capables de la connaître concrètement s’ils habitent en dehors des zones urbaines où son existence est journellement remise en cause ? Bien peu il est vrai.
Il faudra que le chef actuel du PQ laisse sa place, mais il ne faudrait pas s’imaginer pour autant que tout soit dit de ce fait.
Bien sûr que Boisclair a fait des déclarations malheureuses, qu’il n’a pas beaucoup de charisme et qu’il commet sans doute une erreur en tenant à demeurer chef, mais de là à dire qu’il est le seul responsable des résultats médiocres obtenus par son parti le 26 mars, il y a une limite. Boisclair a fait quand même une bonne campagne et il a réagi avec courage aux propos haineux tenus contre lui (j’aurais bien aimé voir comment Charest et Dumont s’en seraient sortis s’ils avaient été dans sa situation !). Cependant, Boisclair est aussi chef d’un parti souvent impossible à diriger, un parti où les querelles entre le différentes factions sont courantes, un parti où les dissidents (surtout les purs et durs) n’hésitent pas à dénoncer publiquement leur chef dès qu’ils sont insatisfaits de lui. C’est sans doute celle mentalité qui a lassé beaucoup d’électeurs, qui ont pourtant un attachement profond au PQ, et qui les a incité à donner leur vote à d’autres partis, même à l’ADQ dont le concept d’autonomie provinciale est une coquille vide. Les membres du Parti Québécois doivent cesser de s’engueuler constamment et arrêter de traiter leurs chefs comme ils l’ont fait jusqu’ici. S’ils y parviennent, ils retrouveront leurs appuis. Quant à la direction du parti, si certains pensent faire mieux que Boisclair, qu’ils se fassent connaître au plus vite et réclament un congrès au plus vite. On verra bien !
Pourquoi refuse-t-il de se rendre à l’évidence: Boisclair n’est pas bienvenu dans le PQ. De un le PQ a besoin d’un homme politique avec un charisme extraordinaire pour espérer remonter la pente et de deux, Boisclair n’a rien d’un leader politique. Même au pouvoir du plus grand Parti conquis par le peuple, il n’arriverait pas à garder sa place dans le coeur des gens. Y’en a qui l’ont, y’en a qui l’ont pas. Bien lui il ne l’a pas, c’est tout. C’est comme un joueur d’hockey de 4e ligne: on en a besoin lorsqu’on mène déjà histoire de laisser le temps aux batteries des meilleurs de se recharger.
Vraiment notre parti Québéçois s’en trouve atteint et, dans une quasi léthargie !…
Monsieur Boisclair, je comprends votre engouement de vouloir persister à la tête du parti mais, s’entêter, n’aide aucune cause !…
Le parti ne s’en trouve que meurtri et divisé!…
Je comprends votre bon vouloir mais, il vous manque une certaine assurance…de grâce, laissez votre place car, pour le futur un référendum sera très difficile!…
Enfin, le parti devrait tourner la page et renouveller son image, ses idées. Vraiment, le PQ devrait bouger un peu plus ! attendre 2008 … pourquoi remettre à demain ce qu’on peut faire aujourd’hui ? Boisclair est tombé: le roi est mort, vive le roi ! N’est-ce pas ça la devise ? Le PQ a vraiment besoin d’un nouveau capitaine pour remettre du vent dans les voiles de son parti sinon le bateau va couler ! Aux élections, les québécois ont parlé : ils veulent du sang neuf! Des idées neuves, du vrai changement, et, vraiment, le PQ devrait comprendre que si plusieurs on changé leur fusil d’épaule en votant ADQ c’est que Mario Dumont avec le cran d’un leader, peut-être que le PQ devrait s’en inspirer ! On sent que Dumont est un passionné, on sent sa rage, qu’il est prêt au combat. Qu’en-est-il de Boisclair ?
Monsieur Boisclair n’a pas le choix; tôt ou tard, il devra poser la question de son leadership. Le PQ a subi sa pire défaite depuis 1973. Le projet de l’indépendance reste l’article no. 1 du Parti Québécois. Il rallie encore des millions de personnes. Il faut cependant trouver un leader rassembleur et renouveler certains éléments du programme en attendant que le projet autonomiste de Dumont s’écrase contre le ROC (reste du Canada).
Le PQ n’a pas senti le désarroi des classes moyennes, leur appauvrissement au cours des dernières années. Le projet social-démocrate du PQ doit inclure des mesures concrètes pour aider les classes moyennes. La paupérisation a touché de plein front les familles qui habitent dans le 450. Des bastions reconnus imprenables ont basculé vers l’ADQ. Par exemple: permettre aux familles d’avoir accès aux garderies, c’est bien beau; mais beaucoup de jeunes parents veulent des enfants qu’ils ne seront pas obligés d’amener à la garderie à 6 mois. Nous pouvons être social-démocrates, tout en aidant ces parents à concilier travail et famille. Les accommodement raisonnables sont une autre réalité qu’il faut regarde, le discours communautaire n’est peut-être pas celui qui convient à un peuple conscient de sa fragilité en terre d’Amérique.
Être moderne ne veut pas nécessairement dire être progressif.
Le PQ doit tendre la main aux forces de gauche qui militent ailleurs. La droite et le centre-droit sont occupés par d’autres partis. Il faut redonner de l’espoir et singer le discours libéral n’apporte rien. Il est certain que les médias contrôlés par le patronat y verront un retour vers ce qu’ils appellent de façon méprisable la « go-gauche ». Tout ce qui se rapporte à un questionnement sur la répartition de plus plus inégalitaire de la richesse serait de l’ordre d’une go-gauche coupée de la réalité. Je préfère cette option à une pop-droite (populiste) qui surfe sur la vague en mettant de l’avant des slogans souvent vides de sens.
Qu’André Boisclair demeure ou non le Chef du PQ ne change pas grand chose à se qui va se passer dans les prochaines années au Québec. Avec 28% des voix, le PQ est maintenu vivant artificiellement à cause de ces Baby Boomer qui n’arrivent pas à comprendre que le projet souverainiste est arrivé au même stade que leur carrière: Le temps de la retraite!
L’option souverainiste est malheureusement une histoire du passé. Une belle idée, la plus belle, la plus grande, la plus noble, la plus mal représentée par les politiciens qui se devaient d’être plus imaginatifs et moins élitistes.
La ferveur de l’ADQ aux dernières élections est l’indicateur indéniable que le PQ n’est plus le parti des nationalistes. Ceux qui ont défendu la nation québécoise lorsqu’est venu le temps de défendre nos idées, nos valeurs et notre histoire, c’est l’ADQ. Quand Mario Dumont s’est insurgé contre les accommodements « Raisonnables » qui remettaient en cause les valeures des Québécois: Le PQ rêvait d’un référendum.
Ce qui m’attriste le plus avec la mort éventuelle du PQ, c’est ce que les Landry, Marois et Parizeau et finalement Boisclair, sont les artisans de sa descente aux enferts. René Lesvesque avait bâti un parti pour et par le peuple, ses successeurs l’ont trasformé en parti d’élites et de parvenus syndicalistes qui ont regardés les Québecois de haut avec un tel mépris, que seule sa disparition aura pour effet de corriger cette arrogance.
Aujourd’hui le PQ pleure car il est le second parti d’opposition et que ses moyens financiers seront moindre. Cette situation délicate ne fait que rendre justice à une élite prétentieuse qui se croyait tout permis.
Le PQ n’est pas une obligation. Porter le nom de Parti Québécois ne signifie plus rien, sauf un jeu de mots pour semer la confusion.
Faut pas se le cacher Monsieur Boisclair est sur le bord du précipice et ses heures de chef sont comptés. C’est dommage mais au moins il aura essayé mais cela n’a pas bien fonctionné pour lui. Moi je pensais que pour être chef de parti il fallait être une personne exemplaire, une personne que les gens voudraient ressembler, une personne avec des belles valeurs morales. Mais moi je ne veux pas ressembler à André Boisclair et je ne veux pas que mes enfants ressemblent à lui.
Avec Monsieur Landry c’était différent, un bon père de famille, un bon mari, un bon fils, un bon monsieur. Mais il faut aussi laissé sa place à la relève quand c’est le temps.
Monsieur Dumont représente ce que les gens souhaite comme premier ministre mais il n’est pas dans le bon parti et il n’a pas les mêmes orientations. C’est un bel homme, bon père de famille, bon mari, bien éduqué mais il n’est pas dans la bonne gang. Si monsieur Dumont était à la tête du parti Québécois et qu’il croyait un peu plus que le Québec à des droits et doit se faire respecter et bien il aurait gagné les élections 2007.
Mais Monsieur Boisclair s’est essayé et maintenant il devrait passer le flambeau avant que le parti le fasse pour lui. Vaut mieux se retirer pendant qu’on a encore un peu la cote que de se faire sortir par le fond de culotte et ne plus valoir grand chose après.
Évidemment, André Boisclair n’a pas su raviver la flamme souverainiste et maintenir l’ardeur des Péquistes. L’identification des électeurs n’est pas venue, l’orientation sexuelle aidant probablement, l’opération charme du jeune candidat n’a pas fonctionné comme il l’aurait aimée.
Quant à la guillotine qui l’attend, puisqu’il semble que l’échec électoral soit mal venu et qu’il en soit responsable, la mérite-t-il vraiment ? Quel chef pourrait faire mieux, le nombre de candidat n’afflue pas et la relève du parti ne semble pas évidente. On tend la perche à Duceppe, mais ses déclarations publiques le démontrnt très peu enclin à changer de cap.
Depuis René Lévesque, dont le charisme soulevait les foules et attisait la flamme identitaire québécoise, peu de chefs de ce parti ont su conserver cette attitude fière et manifeste de solidariser le Québec et de lui redonner ses véritables racines. La voix du peuple s’est atténuée depuis et les électeurs paraissent beaucoup plus enclins à l’économie qu’à la nécessité de se réunir en famille politique, bien distincte. Boisclair aura tenté sa chance, on sent quand-même très bien son envie du pouvoir, mais son bras n’a pas été brandi assez haut pour être remarqué et reconnu, comme le maître d’un nouveau Québec fort et prêt à tout.
Dommage que nous ne puissions avoir des élus qui nous représentent vraiment! Notre choix est souvent celui-ci : on vote pour telle personne ou pour tel partie parce qu’il est un peu moins pire que les autres. Les résultats ne peuvent qu’être décevants… Alors on cherche ce qui pourrait marcher, on change de chef? on change de projet? on invente ? (et on devient autonomiste…)
Que faut-il faire pour avoir des vrais chefs? Il doit bien y avoir de bons leaders en puissance qui se cachent quelque part. S’il vous plaît, sortez de vos cachettes. On pourra enfin s’unir pour que le Québec prospère, voter POUR des personnes et des partis qui savent où ils vont et qui sont à notre écoute.
Il est permis de rêver…
Je ne suis pas membre du parti québecois, mais si j’avais pu voter lors de l’investiture du chef de ce parti, j’aurais pour une raison un peu floue opté pour ce type. Cette raison un peu floue, c’est l’image qu’il projetait de gars intelligent, à la rhétorique peu commune comme on avait tous constaté avec plaisir en le voyant entre autre à l’émission de Guy A. Lepage la première fois, mais sans connaitre vraiment ce dont il est capable.
Enthousiaste, je m’était dit que ça y était, Boisclair évacuait tout ce côté cérébral et un brin hermétique qu’évoquait Landry et même Parizeau pour être facile d’approche, et pourrait être enfin cet être qui ferait réaliser l’article 1 du parti duquel il serait chef!
Néanmoins, à la première occasion de s’affirmer, André Boisclair choisit de laisser 500 000 fonctionnaires et futurs électeurs se faire imposer une convention collective de 6 ans et il s’en prend à Jean Charest pour la nomination d’un délégué général à Paris. Ce premier combat manqué a quant à moi marqué beaucoup plus que les quelques lignes qu’il a pu reniflé cette carrière politique désormais manquée. Il m’achevait ainsi que plusieurs autres quelques semaines plus tard avec sa ridicule déclaration contre Gesca et son opposition à la hausse des tarifs d’électricité de 5.3%.
C’en était fait, la paranoïa et la démagogie chez le même homme politique ne sont gages de rien de positif.
De ma petite expérience des sciences politiques, je retiens que ceux qui durent arrivent probablement à concilier leur intérêt personnel avec celui des gens de leur comté. Ceux qui peuvent en plus s’affirmer en ligne avec le leitmotiv de leur parti sont habiles et font de belles carrières. Celui qui a assez d’empathie pour saisir l’état d’esprit d’un peuple, assez d’intelligence pour faire les bons gestes et assez de leadership pour amener tout le monde à sa suite, celui-là est un chef d’état.
André n’est rien de tout cela, mais il n’est pourtant pas le seul…
Je suis terriblement décue du PQ. Au dernières élections, c’était la première fois que j’hésitais de donner mon vote à mon parti fétiche, j’ai hésité entre le PQ et l’ADQ jusqu’à la veille des élections, mais je suis revenue sur ma voie habituelle.
C’est que j’ai tellement peu de confiance en monsieur Boisclair, c’est un mou qui n’est même pas capable d’assumer ses gestes, il n ecroit même pas assez pour tenir à ses paroles. un chef doit respirer la confiance, pas seulement le paraitre. Être un chef ce n’est pas uniquement détenir un titre, c’est un rôle qui ne s’apprend pas, qui demande certaines qualités innées, qui échappe à Monsieur Boisclair. Je suis une souverainiste qui croit en moi et qui croit surtout en nous, je pense que le Québec est trop explosif, qu’il va dans tous les sens et que nous avons besoin d’avoir un projet commun rassembleur. C’est bien beau l’immigration, ca apporte beaucoup de diversité, seulement à chaque année le sentiment d’union se dissou, nous devons expliquer à ces nouveaux arrivants qui nous sommes et ce que nous voulons, nous devons leur expliquer notre rêve et notre ambition et les convaincre de nous supporter et de nous aider. Je suis consciente qu’il y en a quelques-uns qui nous appuis, mais c’est une faible minorité. Certain vont déjà lever la voie contre ce que je viens de dire, mais je parle en tant qu’étudiante à l’Uqam, qui discute régulièrement avec ses collègues issus de pays étrangers et ces jeunes ne se sentent pas concernés, car leur préoccupations se tournent vers leur pays d’origine et non pas le nôtre. Nous avons donc besoin d’un bon chef pour sensibiliser et inclure la majorité à notre cause et André Boisclair ne semble pas avoir les qualités recquises. Il n’a pas l’étincelle dans ses yeux ni le magnétisme et encore moins les idées qui se rapproche des esprits « indépendant » comme le mien.
Boisclair n’est pas la personne qu’il faut pour faire grandir le PQ.
Mais il faut savoir avouer la réalité!
Je crois que le probleme n’est pas si facile à résoudre parce que le peuple a besoin de vrai coup de main. Le probleme est beaucoup plus grave qu’on l’imagine et il va falloir que tout le monde mette la main à la pâte pour en venir à boutte.
De plus en plus on a besoin de changement et NON le même BLABLA qui ne cesse de se répêté…
En tous cas, je suis persuadée que ce dont on a besoin est un changement fédéral, provincial jusquà être global dans plusieurs situation?
Merci Josée pour vos commentaire si véridicte.
Le Parti Québécois traverse présentement une crise, et ce sous bien des points de vue. Tout d’abord, le leadership contesté d’André Boiclair. Ensuite, l’option indépendantiste qui est remise en question par bien des membres du parti. Alors, quel est la solution si ce parti veut demeurer un parti de premier plan dans le portrait politique du Québec? La pire chose à faire est de se précipiter vers une solution qui ne résoudra rien à plus long terme. Les esprits sont présentement échauffés par la déconfiture des dernières élections, et certains ne réfléchissent plus clairement et sont prêt à n’importe quoi, en autant que ce soit un changement, pour se calmer. Je crois qu’ils devraient commencer par laisser retomber la poussière et faire un examen de conscience avant de prendre des décisions qui seront regrettées plus tard. Peut-être que la solution est de remplacer André Boisclair (certains voient Gilles Duceppe à la tête du parti mais personnellement je ne crois absolument pas qu’il serait mieux que Boisclair; ça risquerait d’empirer encore plus les choses). Ou peut-être que la solution est de redéfinir la raison d’être du PQ. Mais quoiqu’il en soit, il faut prendre les décisions à tête reposer et en pleine connaissance des répercussions que ces décision peuvent avoir. Et qu’il y ait consensus parmie tout les membres du parti. Car lorsqu’on ne s’entends pas entre nous, comment voulez-vous convaincre les autres?
Depuis que André Boisclair a été nommé chef du parti Québécois l’an dernier, c’est la chute aux enfers pour ce parti. Le PQ a connu ses heures de gloire dans les années 70 avec le charismatique René Lévesque. Celui-ci avait convaincu une grande partie de la population de devenir souverain. L’idée semblait bonne en 1970 mais a bien aujourd’hui les gens regardent cela et s’apperçoit que ce n’était pas une priorité. L’indépendance du Québec n’aurais rien changé du tout à la situation du peuple québécois, tout serais resté pareil ou tout aurait empiré. Certains souverainistes ont changés de cap il y a quelque années et pour d’autres c’est l’arrivée de ce nouveau chef qui a été la goute qui a fait débordé le vase. Le PQ était un Parti mal vu par certain et le fait d’avoir un chef si peut charismatique et tellement hautain n’aura pas aider. Cela et le fait que le PLQ et son chef aient commis des tonnes d’erreurs ont aider l’ADQ et Mario Dumont a faire une ascension vers le Parlement. C’est en fait la seule chose qui peut expliquer qu’un Parti aussi mal formé que l’ADQ ait réussi a obtenir autant de sièges au Parlement. Autrement dit on veut du changement et on vote pour le moins pire. À Ottawa, des membres du Bloc Québécois veulent quitter leur parti pour sauver la face, ils réalisent que l’idée de souveraineté n’est plus actuelle et n’est plus une priorité pour le peuple. Ils se rendent aussi compte qu’ils n’ont appart cela aucun autre point pertinent à amener. Selon plusieurs personnes, il ne reste que quelque années à ces deux partis et le prochain chef du PQ devra être extraordinaire pour que le rêve impossible continu… et ce ne sera pas Pierre Curzi ni Bernard Drainville qui serons en mesure d’accomplir cette mission !
Quel triste réalité. On est pas choté de politiciens. On les regarde se ridiculiser. Le quel dira la plus grosse connerie à l’autre. Moi, je voulais entendre des idées. Avoir la surprise qu’un de la gagne se démarquerait.
Voila plus d’un mois que l,élection est terminée et les débats de conneries continuent. Je voudrais tellement que les gens m’entendent… Il me semble qu’avec un peu d,aide etquelques grands penseurs, comme moi, on pourait monter un parti à l’écoute des gens, dire les vrais affaires et être réaliste.
Je demanderais juste 4 ans. $ ans pour des changement concrets. Je me metterais des ouats dans les oreilles pour filtrer les conneries des autres partis. Je n’aurais pas de temps à perdre. Mon québec est malade et nos vieillards vont avoir besoin de nous et d’être en sécurité. Je voucrais telleemnt leur donner ce qu’ils nous ont donné. Au début du siecle, ils nous ont fait un pays à coup de pioche et à la sueur de leur front. Nos grands-mères etnos mères ont peuplé notre Québec à coup de bible et avec peu d’amour. J’aimerais tellement vous ainer comme vous nous avez aimer.
Il est le temps que quelqu’un mette ses culotes. Si les gens pourraient arrêter de regarder mon corps blesser et écouter mon message de paix et d,avenir. Je voudrais faire un grand ménage et donner une terre propre à mon fils et à tous vos enfants.
André Boisclair est sur le chemin du calvaire. Il s’impose des souffrances inutiles. Que gagne-t-il à combattre son destin? Allez, tu es retiré, retourne au banc, prochain frappeur. Comme Gilles Duceppe est un amateur de baseball, c’est à son tour de venir au marbre. Cognera-t-il la longue balle, recevra-t-il une passe gratuite pour le premier but ou ira-t-il lui aussi s’asseoir au banc après sa présence? Allez, play ball !!!
Les péquistes avaient le choix entre l’expérience et la nouveauté. Ils ont choisi la nouveauté. Cela dit, ce n’est pas le chef qui est responsable de tous les maux d’Israël, comme on disait dans le temps. Le parti lui même est grandement responsable de tous les maux qui l’accable. Cette salade d’orientations tenue en place par la mayonnaise souverainiste ne semble pas vivable. Il est temps de reviser les positions et de présenter à l’électorat un parti monolithique, amaigri, certes, mais plus crédible, et surtout plus respectable.
Ce parti est une vraie foire d’empoigne où le chaos est monnaie courrante, la norme. Le chaos conduit éventuellement à quelque chose de concret, dans la nature. Mais au PQ, cela semble un état permanent sans espoir de floraison, d’aboutissement, sauf la mort de ce phénomène passager.
Quel spectacle désolant.
Ça me fait toujours rire de voir les journalistes pas capables d’assumer ou de ne pas connaître leur force ou leur poids. C’est eux les messagers, qui en plus de nos jours ne se contentent plus d’être objectif, mais critique et juge les nouvelles et vous venez me dire que vous n’avez pas d’influence sur la population. Vous me prenez pour une plante verte ou quoi. (S’il vous plaît n’oublier pas de venir m’arroser demain.)
Pour ce qui est du Parti Québécois avec tout le salissage qui a eu, ça va être dur de réparer les choses, alors j’aurais préféré que le caucus se tienne beaucoup plus tôt, afin de savoir où le parti s’en va.
Alors qu’il était censé incarner le renouveau du PQ, André Boisclair, s’il persiste à demeurer en poste, risque plutôt de devenir le fossoyeur du parti. En cela, je suis en parfait accord avec Josée Legault, les sondages en font d’ailleurs clairement la démonstration. Toutefois, considérant l’historique du PQ, je ne peux pas dire que le sort qui sera tout prochainement réservé à André Boisclair soit surprenant. Le PQ consomme ses chefs à un rythme incroyable ! Boisclair ne sera donc que le dernier en liste, car la question qui se pose n’est plus de savoir si ce dernier partira, mais quand il le fera…
Pour le bien du parti, je considère que Boisclair devrait quitter suffisamment tôt pour permettre à son successeur d’entrer en fonction avec une marge de manouvre acceptable pour préparer les prochaines élections de manière adéquate.
Cependant, la déchéance de Boisclair ne me semble pas totalement attribuable aux qualités intrinsèques de l’homme qu’il est. C’est le parti dans son ensemble qui doit revoir son mode de fonctionnement s’il désire donner les coudées franches à son chef. Ce dernier ne devra pas subir un programme, mais le porter, ce que Boisclair n’aura manifestement jamais réussi à faire, le programme du parti ayant été choisi avant lui, il tenta de s’y coller. Le tout semblait si peu naturel que jamais Boisclair ne sembla incarner le PQ.
Il ne reste plus qu’à espérer que les souverainistes écoutent la sage recommandation de Gilles Duceppe et qu’ils cessent de s’écorcher sur la place publique. Il en va de l’unité du mouvement qui doit maintenant composer avec l’autonomisme de l’ADQ, ce qui n’a rien de bien réjouissant quant à la possibilité pour le PQ d’attirer à lui les nationalistes mous. Aussi, un vote d’insatisfaction à l’égard du parti Libéral ne passe plus nécessairement par le PQ, ce que nous démontrèrent clairement le résultat des dernières élections.
L’heure est donc plus grave que jamais pour le parti fondé par René Lévesque.
Il y a ceux qui pensent que la promesse de faire un référendum a été un poids que Boisclair a « traîné » tout au long de sa campagne et qu’il serait temps d’agir pour éliminer les « purs et durs » qui représentent un frein à la prise de pouvoir;je pense personnellement qu’au contraire,les problèmes du PQ ont justement commencés avec la tiédeur de ses objectifs et son intention de se ramener au centre pour ratisser plus large.Le projet mobilisateur de la souveraineté des années 70 (on veut un pays!) a fait place à de la politicaillerie de basse-cour,chacun cherchant à faire reconnaître ses priorités au dépens de l’essentiel.
Cette division de plus en plus évidente des membres du PQ a provoqué la naissance de l’ADQ (à droite toute!) et de Québec solidaire (à gauche toute!).La souveraineté est devenue accessoire et les moyens ont supplanté la fin…
En tant que peuple,nous tournons en rond mais malheureusement pas autour de la souveraineté et je commence à croire que nous ne méritons pas un pays.Notre lâcheté,nos veuleries et nos dissenssions internes qui n’en finissent plus,nous éloignent un peu plus chaque jour d’un dessein qui devrait nous remplir de fierté au lieu d’être un bâton qui empêche la roue de tourner.
Boisclair va chercher à se maintenir en poste coûte que coûte même sachant qu’il peut conduire le parti à l’implosion et si cela arrive,les mous se réfugieront dans le centre mou de l’ADQ,les purs et durs dans Québec Solidaire et les autres dans le néant de l’abstention…
Madame Legault,
Je suis la moindre de vos interventions à la télé avec attention. J’admire le fait que vous soyez capable de décrire la situation du PQ telle qu’elle est.
C’est rare ça au Québec.
Bon travail!
C’est fini …..je n’y crois plus dans ce parti qui m’a déçu au fil des ans par son manque de constance , par sa gestion malsaine des finances publics. Et avec André Boisclair à la tête de ce parti voilà la goûte d’eau qui fait débordé le vase.
C’est le plus insignifiant chef que j’ai jamais vu. Nullement réfléchi , suceptible , hautain et de plus il est incapable d’unir ce parti déjà bien effiloché. Sa seul qualité c’est d’être élégant……..et dites moi ça sert à quoi ???
Le parti divisé comme il est en ce moment a besoin d’un miracle pour se relever et je ne crois pas que ce miracle s’appelle Gilles Duceppe ………le miracle serait qu’il revienne d’entre les morts , ce cher René mais encore je n’y crois plus.
Et après ? Maintenant que sont satisfaits tous ceux qui croyaient que Boisclair était le responsable de la défaite du parti, on peut se demander ce qu’il adviendra de ce dernier. Y a-t-il une seule personne capable de faire renaître notre croyance en la souveraineté ? Est-ce encore possible d’imaginer notre province devenu pays, faire face, tout seul, à la mondialisation ?
J’ai donné ,pendant de nombreuses années, mon vote au parti québécois. À la dernière élection, comme bon nombre d’électeurs, j’ai opté pour l’ADQ. Dumont nous a convaincus qu’il pouvait défendre nos intérêts tout en restant dans le Canada. Nous allons donc lui offrir la possibilité de faire ses preuves.
Cependant, si Dumont ne réussit pas à tenir ses promesses, nous allons l’éliminer bien plus vite que Boisclair. Comme ce dernier a pu le constater, la victoire peut être de bien courte durée.
Cela risque de décevoir (et sûrement d’enrager) les séparatistes purs et durs, mais peut-être que la PQ à passer sa date d’expiration. Faire l’indépendance dans le Canada des années 70, ça faisait peut-être du sens… Mais trente ans plus tard, tous à bien changer.
Selon moi, le PQ n’a plus sa place dans un Québec moderne.
M. Boisclair ne voulais pas de vote de confiance dans son parti, car il s’avait qu’il aurait été défait. Après cette défaite cuisante de son parti, sa popularité ne valait plus grand chose. Le PQ avait atteind le plus bas pourcentage de vote et fini troisième. Il a finalement été obliger de démissionner car la pression à l’interne était beaucoup trop forte.
C’est maintenant fait! Au moment où j’écris ces lignes, Boisclair a remis sa démission. Est-ce un soulagement pour le PQ? Non! On se souvient de la très longue et démoralisante course à la chefferie qui a mené à l’élection de Boisclair et qui, sommes toutes, n’aura servi strictement à rien!
Ce parti est rongé par un mal profond et, honnêtement, je crois qu’il est mieux de laisser mourir le malade et d’espérer une ré-incarnation dans un nouveau parti qui, lui, saura promouvoir la souveraineté correctement.
Le principal vice, au PQ, présentement, c’est qu’on y prône la cause souverainiste en même temps que des idées de gauche. Boisclair s’est présenté comme un candidat ayant des tendances à droite et cela en aura choqué plusieurs. Malheureusement, partout dans les pays occidntaux, la tendance est à droite, la France étant le dernier exemple en liste. Et tant que la souveraineté sera associée aux idéaux de gauche, elle ne fonctionnera pas.
On peut esprérer qu’un parti naitra un jour qui sera pro-souveraineté mais en même temps pro-capitaliste. Ainsi, on pourra démontrer la rentabilité économique de l’indépendance et, de ce fait, convaincre le peuple de sa finalité positive.
Entre temps, il ne reste plus qu’à attendre la mort du PQ, qui ne saurait tarder…
Comme vous l’avez dit, le problème se situe au niveau du choix du chef, exception faite de Jacques Parizeau les chefs qui ont succédé à René Lévesque n’avit pas comme but ultime l’indépendance du Québec.
Combien de temps consacré à la promotion de l’idée d’indépendance depuis la première élection du PQ si on fait abstractio des référendums. Très peu, à mon avis , si onpense à l’importance de la question.
Le choix qui reste à venir est encore édulcorée par le peu d’empressement qu’on mit les député du PQ a vouloir défendre cet idéal envers et contre les instances du parti qui la mettait sous le boisseau.
C’est pourquoi ça nous prendrait quelqu’un qui de par ses actions a toujours fait la promotion de la souveraineté nonobstant les décisions des éteignoirs de la souveraineté. Plus particulièrement quelqu’un qui a été dans cette machine qui n’est qu’à la recherche du pouvoir pour pouvoir.
Ce défi vous intéresse-t-il , Madame Legault? Vous répondriez aux critères qui rassurerait les membres militants du PQ et, certainementque plusieurs qui ont quitté reviendraient pour vous.
Malheureusement , Un certain René Lévesque n’est plus. Et il n’y en aura aucun comme lui. Je n’ai pas connu Mr. René. Je le connais assez pour dire que c’est un grand homme et il le sera toujours à mes yeux.
Hier, André Boiclair à quitté le PQ. Il faut arrêter de renvoyé un Chef qui vient d’arriver. Je ne comprend pas! Cela fait à peut près 2 ans que Boiclair est renter comme chef. Et BANG il est déjà parti. Il va falloir arrêter de changer de chef comme sa. Je crois que le problème du PQ est un manque d’un vrai leader. C’est très dommage a dire et je suis contre ce-ci : vu qu’il a pris de la cocaïne et qu’il soit homo-sexuel. Bien il a été juger par des gens qui justement n’ont pas un bon jugement . C’est très malheureux de voir des personnes de toute âge pensé encore que d’être homosexuel est un défaut…
Bref arrêter de chialer après les erreurs de nos Chef il faut être patient.
Félix un futur « voteux« qui prendra soin de bien le faire. Car chialer et avoir mal voté c’est comme ne pas l’avoir fait…