Il y a une nouvelle mode au Québec: créer des commissions d'enquête dont le mandat est de ne PAS identifier les responsables, seulement d'expliquer ce qui s'est passé. C'est aussi fou qu'un procès où le juge ne ferait que le récit des faits, sans coupable.<p>C'est le cas de la commission Johnson sur le viaduc de la Concorde et du rapport de Me Bernard Grenier sur Option Canada – un organisme créé pour vendre l'option du Non avant et pendant le référendum d'octobre 1995.<p>Résultat dans le cas Grenier: le refus d'identifier ceux qui ont fait ou permis des dépenses illégales pendant le référendum soulève plus de questions qu'il ne donne de réponses. <p>Dans ce rapport, il y a trop de "peut-être" et de "bonne foi" présumée chez tout ce beau monde, que Grenier refuse de blâmer, se limitant à quelques "conclusions défavorables" ou "manques de vigilance". <p>Rien non plus sur le financement du "love-in" du 27 octobre 1995 où des milliers de Canadiens sont venus crier "We love you Kweebek!". <p>Selon le rapport Grenier, par le biais du Conseil pour l'unité canadienne et de Patrimoine Canada au fédéral, Option Canada aurait reçu près de 11 millions $, dont plus de 6 millions $ tout juste avant ou pendant la campagne référendaire.<p>Le rapport conclut pourtant que de tout ce magot, Option Canada n'aurait dépensé illégalement que 539 000 $ de fonds publics pendant la campagne. Ça laisse songeur.<p>En jouant aux trois petits singes qui n'ont rien vu, rien entendu et rien dit, on nous dit sans rire qu'à Ottawa et au Comité du Non au Québec, PERSONNE ne savait ce qui se passait. Vous croyez ça, vous, que tout ce monde pensait que l'argent qui leur pleuvait dessus tombait des arbres?<p>Quant aux dirigeants du PLQ, Grenier ne les blâme pas, disant que la "preuve relative" de ce qu'ils savaient est "empreinte de clair-obscur, voire de flou". C'est plutôt le rapport Grenier qui fait dans le flou.<p>Prenez l'exemple quelque peu farfelu de l'agente officielle du Comité du Non, qui devait vérifier et approuver toutes les dépenses. Grenier écrit tour à tour qu'il a "peine à croire" sa version, mais qu'il ne met "aucunement en doute" son intégrité, qu'il ne peut "conclure qu'elle a été volontairement fautive", mais qu'à son avis, elle s'est "fermé les yeux relativement aux dépenses acquittées par Option Canada en période référendaire"! Vous suivez? Faut-il en rire ou en pleurer? <p>Quant à l'ordonnance de non-divulgation de la preuve qu'on prolonge indéfiniment, elle est antidémocratique. Elle doit être levée pour donner accès à TOUTE la preuve. <p>Et que dire du fait qu'Option Canada a obtenu ses millions de Patrimoine Canada sous le faux prétexte de promouvoir les valeurs canadiennes? Ça s'appelle un détournement de fonds publics. <p>S'il existe des lois pour limiter les dépenses référendaires et électorales, c'est que l'argent, ça compte. L'argent achète l'influence et la visibilité. Ottawa n'a pas lésiné sur les dépenses avant, pendant et après 1980 et 1995 parce qu'on s'y sentait justifié de le faire pour "sauver" le Canada. <p>Comme l'a démontré la commission Gomery, l'affaire Option Canada n'est que la pointe de l'iceberg où les milieux politiques et d'affaires n'hésitent pas à faire pleuvoir les millions ici pour vendre le Canada. L'éthique ne pèse pas lourd quand un pays cherche à se préserver. <p>Un dernier point. Maintenant que le PQ ne s'engage plus à tenir de référendum, ces questions seraient-elles en train de devenir hypothétiques?<p><b>C'EST QUAND QU'IL S'EN VA, MAMAN, LE MONSIEUR?</b><p>Une question moins hypothétique est celle de l'avenir de Jean Charest. Je répète ce que je dis depuis une semaine: s'il y a un "deal" sur le budget, cela aura surtout été grâce aux députés et ministres libéraux qui, refusant de se rendre à l'abattoir le sourire aux lèvres, auront empêché leur patron de commettre l'irréparable. <p>S'il n'y a pas d'élections cet été, avec les résultats du 26 mars et après avoir cherché cette semaine à lancer ses troupes dans une élection suicidaire, des libéraux influents seront tentés de montrer discrètement la porte à Jean Charest d'ici l'automne. Mais s'il y a une élection, les électeurs pourraient faire ce boulot eux-mêmes. <p>L'histoire d'Option Canada rappelle aussi à quel point le référendum aura été une malédiction pour Charest. C'est le "Capitaine Canada" de 1995 que Jean Chrétien a forcé de quitter Ottawa en 1998 pour diriger le PLQ et se battre contre saint Lucien. <p>Et Chrétien de rire dans sa barbe: exit le chef du Parti conservateur! Le drame de Charest – pourtant pas un premier ministre pire que ses deux prédécesseurs -, c'est que la greffe n'a jamais pris ici, ni au PLQ, ni avec les Québécois. <p>Jean Charest est un politicien québécois de culture fédérale. C'est là qu'il est à son meilleur, c'est ce qu'il aime, c'est là qu'il est heureux. <p>Il est jeune et peut encore donner beaucoup à son pays. Souhaitons-lui de retrouver son vrai chemin.<p>
L’arrogance de Jean Charest qu’il soit Premier Ministre d’un gouvernement majoritaire ou minoritaire, est omniprésente et, est devenue intolérable pour la majorité des québécois. Son refus de négocier son budget avec les partis d’opposition est la preuve flagrante qu’il n’est plus capable de gouverner, en toute lucidité et efficacité. Impopulaire lors de son premier mandat, il n’a jamais pu renverser la vapeur pour se construire un bilan positif. Contrairement à ce que vous affirmez, Madame Legault, il n’est même plus capable d’être un leader sur la scène fédérale. Il a eu sa chance, dans le passé, au Parti Conservateur. Il est trop tard, pour lui, de reprendre un train qui se passera plus. Il s’accroche au peu de pouvoir qui lui reste comme un désespéré qui est en train de se noyer…Jean Charest est un politicien fini qui ne pourra même plus être élu dans son comté de Sherbrooke. Le parti libéral du Québec et Jean Charest, deux entités étrangères l’une vers l’autre. On est loin de l’héritage de Robert Bourassa qui lui, était un vrai politicien. Il doit démissionner, partir très vite avant qu’il détruise davantage les chances de son parti, pour une prochaine élection. A défaut, les partis d’opposition et l’électorat devront faire le sale boulot pour le sortir le plus vite possible, même si l’on doit retourner aux urnes dans des délais rapprochés. La situation avec Charest est devenue intenable. Le même constat pour sa Ministre des finances. Elle aussi doit partir…
On est fort sur les commissions d’enquête, menées par des juges à la retraîte, on accumule des tonnes de paperasses, les témoins ne se souviennent pas, ils divaquent à la barre, des mois ou des années plus tard, on a droit aux recommendations tièdes, vagues, alarmistes et apaisantes, camouflant les vrais coupables, lavant les sales réputations, et tout le monde est déçu, çà donne pas grand résultat comme les marches pour la paix en février à -30c, les manifestations contre la pollution en pleine canicule ou il faut sauver l’eau sous un orage printanier. Le 27 octobre 1995 100,000 canadiens provenant de toutes les provinces sont venus passer quelques heures à la Place du Canada dans l’ouest de Montréal, y-a-t-il quelqu’un qui a vérifié les aller-retours des départs des trains, autobus, avions, il y a bien quelqu’un qui a logé des réservations et payé ces déplacements déplacés à l’improvice sous prétexte d’amour, y-a-t-il eu des manifestants qui sont venus témoigner de leur frais de séjour et de déplacement, des sommes allouées pour boire et manger, pourquoi Shela Cops n’est pas plus locasse, à Patrimoine-Canada, elle distribuait des drapeaux et quoi d’autre? Je n’ai rien à écrire sur Jean Charest, mes déceptions frôlent l’épuisement, je fais partie des inconditionnels du rejet, quand j’y vois la face à la télé, j’entend Mitsou chanter « Bye bye mon cowboy »
Il y a longtemps que je regarde M. Charest aller et j’attends patiemment (ou impatiemment parfois) le jour où sa bévue sera celle qui fera déborder le vase. Enfin à ce moment quittera-t-il le navire pour retourner au fédéral comme il semble lui-même le souhaiter. Personnellement, je donnerais la chance à Mme Marois de montrer ce qu’elle peut faire comme premier ministre (en allant en élection cela pourrait arriver), bien que Mario Dumont aussi mérite sa place dans le siège du pilote, je trouve qu’il doit apprendre à co-piloter d’abord.
Pour ce qui est des commissions pour faire la lumière sur les scandales, les hypocrisies, les mensonges, les tricheries, il ne faut pas rêver en couleur, ce sont tous des corrompus en politique, c’est ce que je pense. Tous, d’une façon ou d’une autre, déjouent le système, cachent quelque chose, font dévier ou détourner la règle. Peu de gens ont patte blanche dans cette sphère et c’est dommage. Quand on parle de discours de politicien, on sait que cela veut dire des paroles brodées pour réussir à ne rien dire, à rester flou, à ne rien dévoiler, à rester neutre. Tous ceux qui aboutissent en politique finissent par avoir ces discours. Même André Arthur a changé sa façon de parler lorsqu’il a été élu… c’est peu dire.
Ou bien le peuple est niais, ou bien les gens derrière tout ça sont de véritables génies du crime.
Ce cher monsieur Grenier donnait vraiment l’impression de quelqu’un qui a les couilles coincées dans un étau. Cela a coûté 2 millions pour ce faire dire que les dépenses furent de 539,00.00$ et qu’on ne sait pas qui sont les responsables dans toute cette magouille. De plus, la date limite pour de possibles poursuites est, comment dirais-je, passée date !
Tant qu’à y être, pourquoi ne pas donner l’absolution à Mom Boucher, doubler les salaires des dirigeants des grandes banques et élire Jean Chrétien en tant que pape.
Ca ne changera pas!
Au plus profond de moi même, je sais que toutes ces magouilles et tout ces détournements de fonds n’auront été qu’une arme de plus pour jouer dans l’assimilation des Québécois. Je ne comprendrai jamais les fédéralistes qui ne veulent pas ouvrir les yeux et qui maintiennent que le Québec se plaint le ventre plein. BORDEL! Nous ne voulons que ce qui nous revient: Une place de choix à l’intérieur d’un pays qui nous respecterait. Mais le problème est tellement vaste que cette place restera innocupée pour longtemps. Il est inconcevable de prétendre partager un pays quand les deux tiers de la population ne sont pas au courant de la magouille du fédéral. A bien y penser, le contraire serait étonnant!
Pendant que les deux protagonistes que l’actualité médiatique tire vers le devant de la scène, le PLQ et le PQ, les spectateurs ahuris ne peuvent tout de même pas s’empêcher de voir au complet l’image tronquée en zoom que leurs offrent leurs médias chéris. Cette image d’ensemble, ils la connaissent très bien pour y avoir tous joué à ce jeu déjà. C’est celle de ce jeu vidéo qui se nommait et qui s’appelle toujours Mario Bros, ce personnage qui n’en finissait plus de jouer aux montagnes russes pour tenter de dominer les obstacles. Et les traits qu’ils distinguent derrière les lignes un peu flouées par le temps, ce sont ceux du contour du visage de ce politicien qui n’en finit plus de tomber et de rebondir dans les sondages, soit celui de ce Mario Dumont qui joue à la politique depuis qu’il a appris à marcher.
Quant à Jean Charest qui se sait perdu et joue son va-tout avec son entêtement à se croire le choix majoritaire de la population, c’est à un autre jeu qu’il joue. Pour lui, c’est le jeu de la roulette russe qui le motive présentement. Je me suicide pour ne pas être lynché semble-t-il se dire et qui est le leitmotiv qui tapisse le fond de sa pensée. C’est tellement suicidaire qu’il n’a même pas pris la peine de contacter l’opposition officielle. À moins qu’il sache tellement à quel point les galipettes de Mario qui se meurt du désir de déclencher des élections maintenant, avant que les prédictions de scénario qui le font immanquablement redescendre après un bond, empêchent ce dernier de remettre un tant soit peu plus tard le prochain rendez-vous électoral, de peur de le manquer.
Pour en finir avec ces jeux adolescents, il nous faudra nous résigner à le mettre à l’épreuve de la réalité cet adolescent attardé quitte à l’endurer le temps d’un court mandat minoritaire ou d’un bref mandat majoritaire. Allons donc en élection s’il le faut. Nous pourrons ensuite passer aux choses sérieuses.
On nous prend carrément pour des valises…
Faire une enquête en évitant d’enquêter sur le coupable…
N’importe lequel des enquêteurs professionnels d’un quelconque corps policiers ferait cela et c’est la déontologie en ligne droite avant le congédiement…
Moi je me demande pourquoi il n’y a personne qui remet en question la validité du résultat du référendum si tout le monde sait qu’il y a eu malversation…Est-ce que ça veut dire qu’il peut y avoir de la fraude dans une élection et que malgré des preuves accablantes il n’y aurait rien à faire? Méchant beau système…
En terminant, fausses sont les négos du PQ et des Libéraux…et je souhaiterais tellement de nouvelles élections. Il me semble que Charest parti et Marois dans le portrait…que la plupart des élus de l’ADQ perdrait un peu de leur lustre…
On n’est pas surpris qu’il n’y ait pas de coupable. Au Québec, on fait des commissions pour enrichir les amis. On dépense plus d’argent pour la commissions qu’on va en chercher dans les conclusions. Dans le fond, une commission est un scandale permis. De plus on ne trouve pas de coupable. C’est ça le Québec. Regardez les médias prendre en pitié une mère qui a brassé son enfant quitte à le rendre démuni pour le reste de sa vie et qui reçoit une peine dans la société. Ca n’a pas de bon sens. Au Québec, on a peur de pointer du doigt au cas où des événements semblables arriveraient dans notre famille. Pour moi, cette mère n’est pas digne d’être mère. En conclusion, je dis que les commissions sont là pour dépenser l’argent du peuple et enrichir les amis des partis et que les lois ne sont pas assez sévères pour empêcher la magouille par en dessous car il n’y aura jamais de coupable.
Personnellement ,je trouve que le budget n’est pas si mauvais que cela. Je ne crois pas que le gouvernement tombera ou que Jean Charest ne sera plus en place à Noël.
Cette fameuse expression illustre bien non seulement notre société québecoise mais l’ensemble de l’Amérique du Nord.
Le tout vient à mon avis de cette vague des années 90 dont le livre fameux ‘Looking out for number one’. En d’autres mots, il faut s’aimer soi-même avant d’aimer les autres. Concept pas mauvais en soi mais comme toute idéalogie a connu des dérapages.
De cette tendance s’est dévellopé notre société utilitaire et mercantile, centré sur L’individu. Évidemment pour performer dans ce genre de milieu, il faut écraser les autres et s’arranger pour ne jamais accepter de reproches.
C’est le cas de l’enquete sur la C. Difficile à St-Hyacinthe, du rapport Gomery, du viaduc et évidemment Option Canada. Nos jeunes contrevenants blament leurs parents, les joueurs professionnels blâment les médias quand ils se font prendre. Bref il ne faut pas accepter ses responsabilités, il faut juste déplacer le problème. Jean Charest est un expert dans le domaine. Il se moque du public en blanchissant son parti de tout blâme alors qu’il était membre du comité en charge de ce ‘love in!’ de 1995.
On demande à nos enfants de ne pas mentir, d’être responsable de leurs gestes. Bel exemple qu’on leur donne!!!
Le fait qu’on ne trouve pas de coupables, mais seulement des causes (causes divines, causes naturelles, aucun humain n’a commis d’erreur?) ressemble à ce qui se passe dans les procès criminels. Le temps passé en prison avant d’être reconnu coupable compte pour le double. Que vous ayiez volé ou tué plusieurs personnes, les peines sont concurrentes et non cumulatives. Les fraudeurs vont rarement (ou jamais) en prison. Les récidivistes de l’alcool au volant passent moins d’un an en prison. Avec des peines aussi peu sévères, comment voulez-vous que les gens puissent vouloir réellement se repentir et changer?
Le lien avec les commissions d’enquête? Si on est aussi bonasse avec des criminels qui ont fraudé, tué, volé, violé, pourquoi ne le serait-on pas avec des dirigeants d’entreprises, des dirigeants politiques? Dans tous les cas, il semble qu’il faut donner le bénéfice du doute (à répétition), qu’il faut croire à leur fausse naïveté, leur fausse candeur. Au Québec, comme au Canada, tout le mone il est beau, tout le monde il est gentil. Et on tente de nous faire croire que c’est encore vrai en ce début du XXIe siècle. Et nous sommes encore assez stupides pour le croire! Quand le respect des individus deviendra-t-il une valeur assez importante pour donner des peines de prison assez sévères, trouver les véritables coupables de fraude chez les dirigeants et les faire payer, par amendes ou peines de prisons? Il semble que ce ne soit pas demain la veille!
J’aime bien parler de politique!
Mais présentement je crois que j’assiste à une scène de théâtre! Et oui!
Jean Charest, il est même pas capable de se tenir debout! Et au dernière élection, est-ce qu’on peut dire qu’il a eu pas mal peur à son siège! On la su à la toute fin!
Si on retourne en élection… beaucoup de monde ne croiront plus à la politique!
Pauline Marrois.. hum… je ne suis pas si sur! Oui je serais bien contente que se soit une femme, mais je ne la vois pas encore première ministre! Elle a pris sa place trop facilement, elle est revenu sans livrer de bataille… on l’a défait… quand elle était contre Boisclair! Mérite -t-elle vraiment sa place? C’est à voir!
Mario Dumont, il est encore bien trop fragile pour gouverner le pays… il va falloir qu’il se pratique un peu en oppossion! Mais je vois en lui un futur premier ministre!
Je suis bien d’accord avec vous pour dire que Charest serait bien à Ottawa!
La prochaine fois qu’on va venir me dire « We love you Kweebek ! », je vais répondre : je m’aime et ça me suffit !!!
Qui votera pour les Libéraux du Québec, avec ou sans Jean Charest comme chef, aux prochaines élections ??? Pas une majorité de francophones et pas moi. je vote ADQ depuis que ce parti existe et c’est pas maintenant que je vais reculer.
En fait…
J’ai pas le droit de le dire mais je vais le dire quand même. Le dernier référendum, celui d’octobre 1995, a été perdu par le camp du oui et c’est à la fois l’argent et le vote ethnique qui a fait la différence !!!
Toute la différence ??? Bien sûr que non !!! Mais, c’est un fait, les francophones avaient majoritairement voté oui et les autres majoritairement non.
Je ne cherche pas à dire que les uns votent bien et les autres pas, je dis simplement que ce n’est pas en faisant semblant que tout va bien et que tout est harmonieux au Québec, que nous allons avancer dans la bonne direction, pour le mieux-être de l’ensemble des citoyens.
Je ne pense pas que nous devrions tous penser pareil, tous être pareil et tous parler la même langue, tous avoir la même religion, pour bien se comprendre et bien vivre ensemble. Toutefois, au risque de me répéter, je pense que de taire certaines vérités ne sera jamais la bonne façon d’améliorer notre société.
Jacques Parizeau, diplômé en économie de la London School of Economics (à Londres), avait bien raison. Même s’il est vrai de dire que si 10% de francophone ayant voté non, avaient aussi voté oui, le référendum n’aurait pas été une amère défaite.
Alors, pour ceux qui disent que c’est la faute à personne, je dis que c’est parfois vrai, sauf quand c’est la faute à quelqu’un !!!
Vive le Québec
C’est bien beau les enquêtes sur ci ou ça sauf qu’au bout du compte on revient toujours à la case départ.Pourquoi?? Parce que personne n’est jamais coupable, ce n’est jamais la faute à personne et en plus c’est toujours de notre poche que sort l’argent pour payer les enquêtes. Pour ce qui est du comité du non ou on a découvert qu’il y avait eu 500,000 de dépensé frauduleusement combien pensez vous que cette enquête nous as couté??Alors moi les enquêtes je trouves que c’est du temps et surtout notre argent qui est perdu!!
la nouvelle mode est de faire des commissions d’enquête sur tout, fraude au gouvernement, tragédie routière petite ou grande toutes y passe .faut trouver des coupable ou la cause qui à causer l’accident même si on la sait déjà .on dirait qui faut absolument payer des gens pour qu’eux nous disent enfin ce qu’on savait déjà toutes avant cette comision ou refuse de nous les dévoiler .
dans le fond on paye dans le vide parce que sa ne sert à rien ces commisions c’est juste payer pour nous faire affirmer ce qu’on sait déjà .
Mario Dumont avait averti publiquement Jean Charest pendant la campagne électorale qu’il voterait contre son budget s’il retournait la cagnotte de Stephen Harper en baisses d’impôt. Une fois de plus, M. Charest a montré non seulement son mépris de la démocratie mais aussi son arrogance en rajoutant son petit 200 millions aux 700 millions du fédéral. L’ADQ, pas plus fin, annonce après l’élection qu’il s’opposera de toute façon au budget parce que c’est son rôle de le faire. Franchement, quel amateurisme! Ils ont réussi à se peinturer dans le coin en un temps record. Le PQ pour sa part ne peut pas voter un budget aussi à droite. Car si certains d’entre nous sont tentés par la baisse d’impôt, n’oublions pas qu’avant d’obtenir des montants substantiels, il faut avoir gagné beaucoup de milliers de dollars. Et que pour la plupart d’entre nous ça ne vaudra pas plus que de l’argent Canadien Tire. À ce prix là, ce n’est pas cher payé pour se débarrasser d’un dictateur potentiel. Évidemment, si le gouvernement chute, le blâme sera jeté sur le PQ et les maudits séparatistes. Il va falloir que Mario Dumont se salisse les mains pour nous prouver qu’il a la trempe d’un premier Ministre.
Qu’entend-on lorsqu’on dit cette expression « action juste »? La justesse de l’action englobe la considération des fins poursuivies par le sujet j’imagine? Elle présuppose que, celles-ci une fois admises, la justesse de l’action consiste dans le fait d’agir en lieu et connaissance même en enfreignant les lois s’il le faut, eu égard aux fins explicitement admises par le sujet?
Dans le cas d’Option Canada, les dirigeants avaient probablement l’impression de faire ce qui est juste, même en enfreignant la loi référendaire. De plus, en refusant l’accès à ses livres, le gouvernement fédéral se rend coupable par coutumance d’avoir été complice d’actes illégaux, mais justifiés… Comme le relate ce matin Michel David dans le Devoir, même Robert Ghiz maintenant premier ministre de L’IPE a voté plus ou moins légalement alors qu’il était étudiant à Lennoxville en 1995. Ce geste est considéré de façon patriotique bien plus qu’illégal!
Alors admettons qu’il y ait faute, il devient normal que des accusations soient portées, que des sanctions au sens légal soient émises, c’est tout de même un rapport d’un (ex) juge auquel nous avons affaire! Là n’est pas la question à mon avis.
En effet, j’ai la malheureuse impression que les souverainistes se servent ici de la loi pour expliquer leur défaite de 1995, alors que celle-ci n’est qu’une régulation de surface, elle n’atteint jamais les causes. Multiplier les recours aux lois, c’est démissionner de nos responsabilités en demandant à la société de répondre aux questions à notre place, sans jamais nous les poser. On se décharge comme ça de nos responsabilités en se référant à la cours suprême; d’autres exemples sont aussi probant comme le droit à l’avortement, le droit au suicide assisté etc.
Lorsqu’il s’agit d’un problème politique, il n’y a pas de solutions autres que politiques. Se lamenter d’un référendum volé ne fera pas avancer la cause, sachons-le…
Qui veut-on duper et mystifier ? Qui va croire les rapports Gomery, Grenier et autres
enquêteurs qui ont des mandats très limités ? Qui en fait, ont le mains liées!
Nous savons tous que les Charest, Chrétiens, Johnson, ainsi que tous les sbires d’Option
Canada et du CUC (Conseil pour l’unité CANADIAN) Savaient et approuvaient tout ce qui
se tramais depuis le début des années 90.
Combien de millions a coûté le «Love-in» 3 jours avant le référendum? Combien de certificats de citoyenneté ont été émis a des émigrants nouvellement arrivés?
Combien et a quel coût les millions de chiffons rouges?
COMBIEN…..COMBIEN…..COMBIEN……ETC, ETC, ETC;………????????
Puisque M. Charest est un vrai fédéraliste et qu’il plaît dans le ROC pourquoi les bonzes du PLC ne poussent-ils pas M.Dion vers la sortie et le remplacent par M. Charest dont l’avenir à Québec est nul?
Si le scénario Boisclair-Marois est bon, celui de Dion-Charest aurait aussi bien des chances de réussir.
La réalité, parfois dépasse la fiction et c’est fort heureux ainsi.
Avec Option Canada, comme avec les commandites au préalable, on s’en prend aux grosses têtes. Mais pas aux têtes dirigeantes. On s’assure de bien protéger nos politiciens, qui commencent à nous démontrer qu’ils ne dirigent pas grand chose. Parce qu’à chaque fois qu’on cherche à savoir d’où se sont prises les décisions, ils pointent toujours plus bas dans l’échelle. Comme quoi, ils sont des politiciens de façade.
Ces commissions, c’est un peu comme faire une descente dans une piquerie de quartier. Tout le monde se plaint, les gens n’en reviennent pas que de telles personnes vivent dans leur quartier. On arrête les brigands, on s’indigne de ce qu’ils vendent de la drogue à nos enfants et on continue. On sait très bien que, dès le lendemain, un autre brigand prendra la relève de la distribution et le coup de filet aura créé une belle distraction. On ne touche pas aux têtes qui dirigent le tout. On ne s’assure pas que les choses changent. On met un sparadrap sur la situation actuelle.
Loin de moi l’idée de tomber dans un cynisme bas et accuser les politiciens de voleur. Mais dans notre façon de faire actuelle, nous ne faisons que repousser un problème qui va se représenter de nouveau. Voilà pourquoi l’intérêt est moins élevé face à Option Canada qu’aux commandites. On a appris que la justice va nous offrir quelques hauts gradés qu’on salira sur la place publique. Mais on sait aussi que les grands caïds s’en sortent sans égratignure.
Ces commissions ne parviennent pas à changer les cultures qui s’installent. Pour que de tels événements ne se reproduisent plus, il faut que les fautifs savent que de tels gestes entraîneront des conséquences fâcheuses. Mais, pour l’instant, si j’étais politicien, je m’assurerais d’avoir un pion (haut placé et intelligent) qui puisse prendre les coups à ma place. Et surtout, je commencerais tout de suite à pratiquer mon visage de surprise innoncente. Après tout, les méchants, ce sont toujours les autres.
Quelle est cette mode justement de sortir un juge de sa retraite pour lui donner le mandat d’enquêter? Que font nos juges? Que font nos polices? Que font ceux qui ont justement comme mandat d’assurer la sécurité et le respect des lois de notre belle nation? C’est gros comme un stade d’olympique, Les milliers de « Canadians » qui sont venus envahir le centre ville en nous implorant de rester parce qu’ils nous aiment, ces gens ne sont pas tombés du ciel par enchantement. Si ces dépenses d’avions, de lunch et de p’tits drapeaux n’ont pas étés comptabilisés, c’est que la loi électorale du a été violée! Me Grenier a beau dire qu’il n’avait pas le mandat d’enquêter le Fédéral, cette excuse n’est qu’un prétexte pour camoufler des informations au public. Si un violeur était d’origine ontarienne et qu’il aurait violé une petite Québécoise, aurions l’impossibilité d’enquêter sur lui parce qu’il est d’une autre juridiction?
La loi Québécoise a été violé, si nous avons déboursé 2 millions pour enquêter sur une vaste fraude électorale qui a influencé le vote, je crois que comme citoyens, nous méritons d’obtenir toute les réponses à nos questions. Le délit s’est produit en sol Québécois n’est-ce pas? Pourquoi as-t-on déjudiciarisé cette enquête? Pourquoi est-ce que la Sûreté du Québec n’as pas enquêté? Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi a-t-on attendu que de délais de prescription de 5 ans soit franchi pour enquêter?
Ce délai de 5 ans, c’est justement pour protéger ces fraudeurs en cravates qui ont le mandat de gérer notre belle province. Nos politiciens sont redevables car nous les avons élus. Ne cherchez plus pourquoi la population perd confiances en ses représentants, Pourquoi ce cynisme grandissant envers les politiciens???
Honnêtété, intégrité et loyauté sont malheureusement des mots qui n’ont plus aucun sens dans ce parlement ou l’ont parlent et l’ont ments.
Pourquoi acheter des votes quand on peut en louer?
C’est du moins ce que affirmait M. Trudeau lors du référendum de 1980. On a donc dépensé, selon certains, 25 millions, sans état d’âme. C’était pour une bonne cause, vous comprenez…
En 1995, la même logique s’applique pour la même cause : le Fédéral est au dessus des lois provinciales. De quoi je me mêle? Il n’est pas nécessaire de nommer qui que ce soit, nous savons tous qu’il s’agit du Parti Libéral fédéral avec sa succursale provinciale.
Cette enquête était parfaitement inutile. Les grands principes d’intervention du Fédéral étaient connus de tous. Le nom des acteurs du moment n’ajoute rien à la question. C’est gens-là étaient sans scrupules et sont toujours convaincus d’avoir bien agi.
La prochaine fois, si prochaine fois il y a, ne jouons pas les vierges offensées, mais soyons au contraire résignés à voir le Fédéral bafouer nos lois qui visaient à égaliser les chances des participants, selon des principes bien établies dans les sociétés avancées et civilisées, et, posons une question d’une limpidité aveuglante de façon à couper l’herbe sous le pied de tous nos adversaires, comme ils ont pu et su le faire en 1995. Il est important que les leçons apprises portent fruits et nous aident à décrocher la victoire par une très grande marge qui enlève toute idée de contestation à l’opposition.
Continuons le combat!
Nous pouvons demander le départ de M. Charest autant que nous le voulons, mais il a été démocratiquement élu même s’il l’a été dans une position extrêmement précaire. Nous l’avons collectivement élu, et ce, malgré la flagrante division des sièges de l’Assemblée nationale.
Dans une autre optique, l’argent dépensé illégalement par Option Canada ne représente que la pointe du glacier. En effet, cette somme me fait réfléchir. Quel montant est-il dépensé annuellement sans que toutes les précautions soient prises? Combien d’argent les fonctionnaires des agences du gouvernement accordent-ils à des projets voués à l’avortement? De ces montants, combien sont dépensés totalement légalement? Bref, les sommes que les universités et que les hôpitaux réclament se cachent peut-être dans l’argent dilapidé!
Nous sommes dignes de la chanson »Les affaires étranges » d’Alexandre Belliard!
Trop de commissions? Souvenez-vous que M. Dumont en veut une pour les soins offerts aux personnes âgées.
Remarquez dans les prochaines semaines combien de fois les mots »responsabilité » et »responsable » reviendront dans les discours…
Désolant.
À mon avis personne ne doute qu’il y ait eu magouillage lors du dernier référendum. Il est évident que des montants n’ont pas été comptabilisés et que les « défendeurs » d’un Canada uni n’ont pas respecté la loi référendaire du Québec.
L’objectif d’une commission d’enquête est de fouiller un dossier, d’interroger les acteurs de l’évènement, et de rendre un rapport le plus objectif possible.
Il est, oui, frustrant de voir que les principaux fautifs ne seront pas pointés du doigt. Il est, oui, fâchant de voir que l’on ne saura jamais toute la vérité, mais.
Il ne faut pas oublié qu’il y a pire qu’un coupable en liberté, il y a un innocent qui est « brûlé » sur la place publique.
Ok! 50% des gens qui se sont présentés à la commission ont mentis, donc 50% disaient la vérité. Je préfère une commission qui ne blâme pas assez, qu’une qui blâme trop.
Sous une échelle différente, rappelons-nous des jugements gratuits fait à Québec lors de l’enquête sur la prostitution juvénile.
On en vient à croire, dans la population, que lorsque quelqu’un n’est pas reconnu coupable c’est seulement parce qu’on a pas réussit à le coincer.
Notre système judiciaire juge qu’il faut prouver la faute avant de condamner.
Qu’on parle du Bloc Québécois à Ottawa ou des commissions d’enquête portant sur le viaduc Concorde ou sur le scandale des commandites, la raison d’être de ces entités est de donner une voix aux citoyens pour le représenter. Le citoyen continue à vaquer à ses occupations et il croise les doigts en espérant que ceux à qui il délègue ses pouvoirs s’acquitteront honorablement de leurs fonctions.
On ne choisit pas ceux qui forment les commissions d’enquête mais on a choisi Gilles Duceppe pour nous représenter à Ottawa. Toutefois, monsieur Duceppe aura beau aboyer autant qu’il voudra, Harper continuera à suivre son agenda sans vraiment trop s’en faire. Avec Duceppe à Ottawa, on a au moins l’impression que les demandes du Québec sont entendues d’Ottawa.
Dans les faits, Duceppe a un pouvoir limité du fait qu’il est conscient que s’il renverse le gouvernement et qu’il provoque de nouvelles élections, il pourrait bien se retrouver avec encore moins de députés en chambre dans le prochain gouvernement car de plus en plus de gens s’interrogent sur sa pertinence à Ottawa. Mais quel autre parti représenterait mieux les intérêts du Québec?
La situation est différente au Québec. Charest agit cavalièrement, comme s’il était majoritaire. Croit-il vraiment pouvoir former un gouvernement majoritaire s’il devait nous replonger en élections? Les Québécois ont décerné une pénalité pour mauvaise conduite au parti libéral en le plaçant minoritaire. Monsieur Charest n’a encore rien compris, apparemment. Il ne fait qu’à sa tête.
On ne peut malheureusement pas mettre en prison tous ceux qui nous fraudent, qui nous volent, qui font de la sous-traitance irresponsable, qui bâclent ce pour quoi ils sont payés avec les fonds publics. Les prisons sont pleines. La peine de mort pour les récidivistes? Ca libèrerait des places mais ça serait mal vu par Amnesty International. Une prison pour les fraudeurs en complet? Guère mieux, ils échangeraient des trucs avec un Lacroix.
Je regarde la situation politique du Québec actuellement et j’en viens à une conclusion. Jean Charest restera chef du Parti Libéral du Québec et Premier-Ministre du Québec pour encore un bon moment. Peu importe nos couleurs politique, on s’apperçoit que la politique dans la Belle-Province n’a jamais connu un temps de crise pire qu’aujourd’hui. La population a besoin de changement mais il n’y a rien d’autre de meilleur ou même de bon. Le PLC a fait de nombreuses erreurs c’est vrai mais le Parti Québécois bat tout les records dans cette catégorie, nous n’avons qu’à regarder le choix de leur dernier chef. Une bonne majorité des gens ne veulent plus entendre parlé de l’idée d’indépendance qui a connu ses moments de gloire dans les années 1970. Le PQ aujourd’hui n’est plus utile, c’est un Parti qui nuie au deux autres qui essaient de faire avancé la situation dans lequel est notre Québec. Le parti de Mario Dumont, l’ADQ a connu de bons moments récemment mais c’est un jeune parti inexpérimenté qui connait des moments de gloire à cause de la déconfiture des vieux partis. Si l’Action Démocratique du Québec prend un jour le pouvoir, ce sera un gouvernement minoritaire qui sera renversé après au maximum deux ans car il n’y a dans cette équipe aucun gros nom et surtout aucune personne vraiment expérimenté en politique. Qu’on le veuille ou non pour qu’un parti soit fort il nous faut quelque membre qui on passé leur vie a travaillé en politique comme ce fut le cas pour Jean Charest et certains membres du PLQ.
Alors même si Jean Charest n’est pas à ses heures de gloire, il sait qu’il est en bonne position pour gouverner la Province et que ces adversaires on tout comme son Parti des problèmes mais comme son Parti a plus d’expérience, de leader et de notoriété il restera et gagnera encore que ce soit cet été ou dans quelque années.
Moi qui croyait qu’en France, on était franchement dingue, voilà que dans la Belle Province ( et le Canada en général ), on prétend concourir pour l’ Oscar de la démence ubuesque !…
C’est devenu une phrase célèbre chez les libéraux tant au provincial qu’au fédéral. On s’en sert à toutes les sauces. Que cela soit pour des commandites, la construction d’un viaduc, des dépenses référendaires tout le monde s’est passé le mot.
Les politiciens et ceux qui gravitent autour et ont profité de leur largesse sont soudain prit d’un mal que l’on nomme « amnésie ».
Drôle qu’ils se souviennent de se voter des augmentations, des retraites en or, de transféré des fonds aux banques et compagnies d’assurance qui en ont déjà plein les poches. Qu’ils se souviennent de nous augmenter le coût de l’électricité, du transport en commun, d’installer des parcomètres hyper payants, de mettre des péages, d’augmenter notre coût de la vie en augmentant un peu partout où cela leur est possible.
Mais pour justifier des abus et du gaspillage oups! j’ai glissé, euh ma mémoire a glissé, je glisserai peut-être aussi aux prochaines élections!
Pourquoi dépenser des millions de dollars pour faire des commissions si on ne peut pas identifier publiquement les coupables MÊME et SURTOUT s’il s’agit d’une personalité publique comme le premier ministre Jean Charest. La population est en droit de savoir où va l’argent qu’elle donne au gouvernement. De plus, Jean Charest serait bien plus crédible à Ottawa avec son fédéralisme évident.
Ça y est, on a trouvé..! La société distincte, la différence, la poignée dans le dos qu’on a tous collectivement… On peut nous emplir de n’importe quoi, nous faire croire les pires inepties, nous jeter de la poudre aux yeux.
Après avoir regardé Les Bougons, imaginez encore l’honnêteté de nos dirigeants reste la meilleure joke, le rève d’une vie…
Désabusé? Mettez-en…
Écoeuré? Plus que çà…
Qu’est-ce qu’on doit faire? Tourner la page? Fermer les yeux? Pardonner? Non, non,non…
Se la fermer, et continuer de payer…
Que d’argent de gaspiller pour tenter de trouver des coupables qui demeurent, finalement, dans l’anonymat! Les commissions d’enquête donnent bonne conscience, permettent de calmer la grogne de la population et, généralement, n’ajoutent pas vraiment d’eau au moulin. L’argent des contribuables coule comme de l’eau et se perd dans le ruisseau bien gonflé des joueurs repêchés pour siéger sur les commissions d’enquête. Il est important de démasquer ceux qui se remplissent les poches avec notre argent, mais de là à dépenser parfois plus que le montant détourné… il y a une limite. Plusieurs secteurs de notre société ont un criant besoin d’argent. Et si nous prenions l’argent utilisé « afin de ne pas trouver de coupable » et le placions là où ça compte… il me semble que la vie serait un peu plus douce.
Effectivement Josée, même présenté comme un pétard mouillé à une tarte comme moi qui ne connaît rien en chiffres, d’apprendre qu’Option Canada a eu six briques juste avant le référendum et pour avoir assisté de visu au débarquement de dizaines de milliers d’anglos surgis de nulle part, la veille de ce vote si décisif pour les Québécois en 1995, tout ça m’apparaît, douze ans après encore, comme une méga-magouille bien orchestrée digne de Machiavel.
Même si je suis moi-même une importée , voyant la carte des résultats référendaires , je ne pouvait qu’approuver papa Rizeau et sa déclaration, même si un peu flambée au scotch du dépit. Je me souviens de ce soir-là où j’enseignais à Montréal et où je suivais en paralèlle le scores à la télé et après la jubilation des chiffres de l’est, la débâcle avec Montréal m’a sciée. Comme beaucoup de francos d’ici, j’ai pleuré de dépit et de rage, et me souviens encore du silence de mort qui règnait sur le plateau cette nuit-là, pathétique!
Je suis devenue souverainiste en vivant ici, par imprégnation, par déduction et à force d’observer l’actualité et j’ai appuyé le PQ jusqu’à Bouchard et sa sortie cavalière. Après ça, les gaffes et les chefs complaisants, orgueilleux ou téteux, se sont suivis jusqu’à récemment et j’ai décroché, préférant suivre le chant autrement plus inspirant de Mme David. Pauline saura-t-elle raviver la dernière flamme des coeurs de patriotes qui sommeillent en bien des québécois ou est-ce-que bientôt, pour de bon, le fric et les ethniques (souvent plus mal informés qu’autre chose …) comprommettront -ils à jamais les chances de distinction du peuple québécois, une nation résolument distincte des autres nations d’Amérique du Nord, mais hélas si facile à faire ramper pour les bidous,la peudo-sécurité, devant un falot finaud anglo, un plouc arriviste de l’est ou un avocaillon transfuge des Cantons. Pauvre Québec, qu’as-tu fait de ton honneur?
Au Québec, on aura beau mettre de l`argent en orthopédagogie et dans le système de santé, les vrais besoins sont dabord et avant tout dans le soutien aux familles.
C`est de la prévention qu`il faut faire auprès des parents et des enfants d`âge préscolaire. Il faut faire en sorte que les parents puissent avoir les moyens de s`occuper eux-même de leur progéniture à la maison dans la petite enfance.
Présentement , comment se fait-il que personne ne se demande pourquoi on se retrouve avec autant d`enfants hyperactifs, ayant des troubles envahissants du développement ou présentant des personnalités autistiques? Pas étonnants que les parents craquent, que les médeçins ne savent plus quoi faire avec ces familles dépassées ou que les enseignants doivent faire de l`enseignement individualisé quand ce n`est pas de l`enseignement spécialisé pour enfant en difficulté.
À quand une véritable politique familiale?????
Parfaitement, d’accord avec vous, Madame Legault. «C’est la faute à personne», car il y a un gigantesque trou noir, dans la tête de bien des gens. Nous l’avons tous constaté, durant la Commission d’Enquête du scandale des commandites, le vol du référendum d’octobre 1995 (dont, Monsieur, Parizeau avait l’audace, de dénoncer) et combien d’autres, du même genre? Or, on peut tout même s’interroger : comment se fait-il, que Jean Charest a-t-il été élu? Avons-nous tous, un vide de mémoire? Bien sûr, que non! Puisque minoritaire, mais combien dictatorial? De toute manière, il n’a rien à perdre. Alors, il use d’abus de pouvoir, et se veut le reflet de l’âme d’un peuple? «C’est quand qu’il s’en va, maman, le monsieur»? Bientôt. Mais, pour l’instant, à quoi serviraient de nouvelles élections? Les statistiques démontrent, qu’il y aurait encore un gouvernement minoritaire, de toute façon. Changer du, «blanc bonnet au bonnet blanc», n’avancera pas, la cause de personne. La meilleure arme, est encore la patience, de les laisser s’enfoncer, (du moins pour une année), et de ne surtout pas oublier, à qui nous avons vraiment affaire. Pour l’instant, personne ne pourrait se prononcer, sur un nouveau scénario. Car, de ces temps-ci, en politique tout change à vitesse, où même les journalistes, font la relèvent de l’analyse de chaque journée. Donc, tout peut devenir possible.
Quand ça va mal, ça va mal. Charest ne sort pas glorieux avec son budget finalement accepté, il reste en selle, mais pour combien de temps? Dumont n’a pas brillé par sa présence lors de la dernière semaine, il a préféré rester silencieux, peut-il parce qu’il ne savait trop que faire. Le parti québécois, sans chef officiel, le petit troisième, est celui qui a su tirer son épingle du jeu. Bravo!
Ce ne serait vraiment pas le temps d’aller en élection… Il faut laisser le temps à Pauline de prendre les rênes de son parti. Et peut-être au parti libéral d’en choisir un autre. Tant qu’à Mario, il faudra qu’un jour il cesse de parler et de dénigrer les vieux partis, comme il les appelle, et qu’il passe à l’action.
Attendez, messieurs, mesdames, avant de dépenser tous les millions que coûte une élection. Préparez-vous, renforcez-vous, planifiez, pensez, réfléchissez. On a besoin de vrais leaders, pas de pantins qui passent d’un parti à l’autre, qui changent d’idée à tout bout de champ. Ce qu’il nous faut, ce sont des vrai dirigeants capables d’écouter les autres, de travailler ensemble pour le bien de tous. Pas des gens aux égos surdimensionnés, qui ne pensent qu’à leur petite gloire personnelle.
Oui il est décourageant de voir cette commissiion d’enquête avec une vedette avocate habile qui veut faire sa marque et un commissaire a qui on a donner une belle job, oui l’absurdité de cette histoire on connaîtra seulement les bobos de ce viaduc de Laval, car les vrais impliqués dans cette épisode sont les contracteurs et leurs magouilles, on a construit beaucoup de projets, viaduc, ponts, routes sans savoir au juste les compétences de ceux qui les ont faits… ça va loin ces histoires surtout dans les années 1960 à 1980, on peut parler de corruptions, de fraudes, du non respect au niveau des matériaux tout ça sous les yeux des inspecteurs et des syndicats… demander pourquoi qu’on vit des drames… Madame Legault à la place de faire une commission qui va coûter des milions on aura dû construire de nouveau le viaduc et la dédier à la mémoire des victimes car cette commisssion n’aura aucune conséquence légale, juste de comprendre quoi au juste qu’il y a eu des erreurs et encore des erreurs , oui cette une farce monumentale de la part du Gouvernement Charest, et ça va avec la politique Libérale, de faire croire au monde qu’on fait les choses en votre intérêt (INC) , Bon je suis fatigué et j’espère qu’un politicien aura le courage de faire un gros ménage ça sufit les mensonges et les niaiseries, car ça devient une vrai blage de ce qui se passe dans notre société, Bonne journée,
Existe-t-il encore des gens pour croire en la sincérité de nos dirigeants ? Si oui, ou bien ils sont aveugles, ou bien ils sont complètement idiots. C’est le gouvernement qui nomme les juges ! Ceux-ci mangent dans la main de leur généreux bienfaiteur. Les juges devraient être nommés par la population. Ils seraient peut-être plus impartials ou plus tranchants dans leur recommandations et/ou conclusions. Même chose pour les commissions d’enquête. Il ne faut pas se surprendre… L’empire occidental achève…
Combien de voix on été volées des vieilles dames habitant dans Westmount ? Le côté OUI a triché également ! ! ! !
Il est bien là le problème. Mais une commission d’enquête ce n’est pas rien. Ça donne l’impression que la chose est prise au sérieux et que le gouvernement prend ses responsabilités. En fait ce n’est que de la poudre aux yeux. Comme un petit rien tout neuf emballé de papiers d’or avec une multitude de guirlandes plus fantaisistes les unes que les autres. C’est aussi comme un coup d’épée dans l’eau donné si mollement que d’attraper un poison ainsi serait illusoire et les rares fois qu’ils réussissent à en attraper soyez certains qu’ils ne s’agit que de tout petit poisson, jamais au grand jamais les gros.
C’est une vraie farce qui malheureusement ne fait rire que ceux qui s’en sortent aussi facilement. Certains ont même l’odieux après coup de se péter les bretelles publiquement en clamant haut et fort qu’il ne s’agissait là que d’un pétard mouillé.
C’est vraiment triste pour la population car en plus de se faire voler 540 milles dollars elle doit débourser une couple de millions pour un si piètre résultat. Révoltant et aberrant.
C’est fou comme vous aimez interpréter les faits selon votre grille de lecture. Ainsi, quand vous n’aimez pas les conclusions d’une enquête, vous prétendez que « le mandat est de ne pas identifier les responsables ».
Vous serait-il venu à l’esprit que, pour identifier des coupables, il faut avoir des preuves ? Eh oui, nous vivons dans une société démocratique. La présomption d’innocence existe. On peut avoir des soupçons, mais sans preuves, on ne peut pas détruire des vies et des réputations, surtout pas pour des motifs politiques.
Vous vous gardez bien d’en parler, mais c’est exactement ce qui s’est produit aussi dans l’affaire des bulletins de vote favorables au « non » rejetés sans raisons valables lors du même référendum de 1995. Plus de 5000 dans Chomedey et des centaines d’autres ailleurs. Le directeur général des élections a poursuivi les scrutateurs, mais ils n’ont pas été condamnés par la Cour du Québec. Est-ce que la Cour du Québec avait pour mandat de ne pas identifier les responsables ? Bien sûr que non. La présomption d’innocence a joué.
C’est bien de dénoncer les dépenses inadmissibles du clan du non. Mais avez-vous aussi dénoncé les dépenses à même les fonds publics qui ont été encourues par le Parti Québécois juste avant le référendum pour promouvoir son option ? Les études soi-disant objectives prétendant que la souveraineté était plus avantageuse que le statu quo, de même que les États généraux sur la souveraineté, ont été très dispendieux et financés par l’argent de tous les contribuables. Était-ce illégal ? Non. Mais ce n’était pas éthique. Vous me répondriez probablement que l’éthique, on s’en fout, quand on travaille pour la bonne Cause.
Bizarre comme certaines personnes peuvent manquer de mémoire. À se demander comment ils on pû réussir à obtenir le poste qu’il ont, ou qu’ils avaient à l’époque, avec si peu de mémoire. Et comme le mentionne cet article, c’est jamais la faute de personne. « C’est pas moi qui était responsable, c’était untel… » de dire l’un, « Ce n’était pas moi », de rétorquer untel, « c’était la responsabilité des ingénieurs / entrepreneurs / contremaître / alouette… ».
Et pendant ce temps, on dépense des millions à faire des enquêtes qui n’aboutieront à rien, qui n’identifieront aucune responsable, et qui, en bout de compte, ne serviront probablement à rien. Ce qui m’étonne dans tout ça, c’est le manque de rigueur avec lequel les travaux ont été exécutés à l’époque, ou du moins la difficulté qu’on a aujourd’hui à démontrer cette rigueur. Avant d’entreprendre un ouvrage comme un viaduc, les plans devraient être approuvés par des personnes compétentes, les entrepreneurs devraient respecter ces plans, et des inspecteurs devraient régulièrement vérifier que les travaux sont exécuter de façon conformes.
Mais quand arrive la commission, il n’y a plus de responsables, tout le monde se relance la balle. N’y a-t-il personne qui ait signé les plans, les rapports d’inspections? Si oui, ce sont eux les responsables, non?
En tout cas, à voir comment ça marche quand on tente d’expliquer pourquoi un viaduc s’est effondré, c’est à avoir peur de traverser un autre viaduc (par en dessous ou par dessus) pour le restant de notre vie…
La seule chose que j’ai à dire sur les commissions d’enquêtes , c’est qu’on gaspille des fonds publics pour absolument rien.
Les hôpitaux ont besoin de ces argents. Les personnes agées qui manque de soin en on également besoin. Les écoles sauraient quoi faire avec cet argent-là.
Les commissions d’enquêtes sont comme les études pour le méga-hôpital du centre ville. Quelques 100 millions plus tard , toujours rien.
Le scandale des commandites , rien non plus.
Au Québec , on aime ça payé pour rien. On devrait faire un comission d’enquête sur le pourquoi de cette réalité.
Ni la version souverainste ni la version fédéraliste ne correspond tout à fait à la réalité.
Référendum 1980:
– version souverainiste: le NON l’a emporté grâce à une immense campagne de peur, surtout vis-à-vis des aînés qui ont eu peur de perdre leurs pensions. Trudeau a fait des fausses promesses en laissant croire qu’un NON apporterait de changements profonds, il a menti.
-version fédéraliste: les Québécois ne voulaient surtout pas voter pour une république à bananes et ont tacitement approuvé le rapatriement de la constitution car leurs élus ont voté pour, seuls les séparatisses chialent.
-la réalité: les souverainistes ont sous estimé l’attachement profond au Canada d’une majorité de Québécois et les fédéralistes ont cru que le problème constitutionnel était réglé pour mille ans.
Référendum 1995:
-version souverainiste: immense tricherie fédéraliste on a littéralement volé le pays du Québec.
-version fédéraliste: les Québécois ont réaffirmé leur foi inébranlable dans le Canada malgré une campagne de désinformation et une question malhonnête
-la réalité: ça joue dur en politique, d’autant plus que les enjeux étaient capitaux, les deux côtés ont étiré la vérité et ont dépensé plus qu’ils n’en avaient droit. Les québécois sont divisés 50-50 sur la souveraineté-association, on ne sait pas comment ils voteraient sur l’indépendance, les sondages laissent croire que l’indépendance pure n’est pas trop vendeur. Un jour le Canada devra accueillir le nationalisme québécois à bras ouverts alors que les Québécois devront reprendre leur place de leadership social, culturel et économique.
Assez de se crier des bêtises, à quand une vision réaliste et non partisane de l’avenir? J’ai hâte que nos gouvernements arrêtent d’enquêter sur le passé et commencent à gouverner le présent afin de préparer l’avenir.
L’argent qui a été utilisé pour promouvoir le non est l’argent de nos impôts. Il devrait servir à promouvoir la démocratie pas à biaiser un référendum. Plusieurs personnes disent que cette histoire date de trop longtemps et qu’elle n’a plus d’importance. Faux; absolument faux. Si on ne fait rien, si on ne prosteste pas, ça va recommencer dès les permières lueurs d’un autre référendum. Le fait de savoir que ça a marché, que personne n’a été puni est une belle stimulation pour une autre manipulation. Au contraire, il faut jeter la lumière sur cela.
Pour Jean Charest, cet individu-là est tellement étrange, il a survécu à ses propres maladresses, à la grogne généralisée du Québec qu’il pourrait aussi survivre à l’automne. En fait, ce sont les Québécois qui sont étranges…
Ce qui me fait rire de Ms. Legault, c’est qu’elle est très bonne pour caler le PQ et le (B)BQ dans le VOIR, mais qu’en réalité c’est une péquiste aveugle qui est vendue à l’idée de la séparation du Québec.
Qu’elle cesse d’avoir peur de Jean Charest et de souhaiter qu’il retourne au fédéral. Avouons que c’est le seul chef politique au Québec qui fait preuve de cohérence ! La jalousie te mènera nulle part ma chère !
Les frais astronomiques dépensés pour les campagnes électorales ont toujours existées. La majorité des politiciens abusent directement ou indirectement de leur privilèges. Je suis quasiment persuadée qu’il sera toujours très difficile de contrôler tout cela et qu’ils y aura toujours certains qui abuseront du système plus que d’autres. Bien entendu, je ne dis pas de rien faire, loin de là. Je dis tout simplement qu’il sera extrêmement difficile de contrôler les folies passagères de nos charmants hauts fonctionnaires et politiciens qui ont souvent comme seule idée en tête de remporter des élections en oubliant très souvent de respecter les citoyens qui auront voté pour eux. Bref, rien de nouveau sous le soleil!!!
Il ne faut compter que sur nous. La publication du Rapport Grenier en est une autre preuve. Avec cette patate chaude qui se refroidissait rapidement, il fallait un enterrement de première classe. Comme avec l’ex-juge Gomery, on utilise un magistrat retraité pour entendre la cause, comme si justice et droit rime à l’unisson.
Le poisson nage péniblement au milieu des paperasses et des commandites toxiques. Après beaucoup de temps, on tire la ligne et on se retrouve avec un poisson mort, déjà pourri.
Le pêcheur a payé le gros prix pour capturer les grosses truites mais au bout du compte, il se retrouve avec un « méné » mort et puant. L’excursion de pêche dans les eaux fédérales a coûté un bras.
Toute cette affaire est une fable qui doit nous donner un leçon : les gros poissons ne se pêchent pas avec une petite ligne fédérale. C’est un tournoi de pêche pour les « gogos ». Occupons-nous de nos affaires. Rien ne viendra du fédéral et de ses supporteurs.
Les indépendantistes doivent se cracher dans les mains et ne pas s’attendre que les fédéralistes vont leur donner sur un plateau d’argent la victoire. Si le Canada existe, c’est la faute à personne. C’était écrit dans le ciel, c’est maintenant à nous de faire l’histoire.
Je ne crois pas en la naiveté du peuple, dans le dossier d’Options Canada. Même si le juge, lui, n’a pas eu le courage d’aller au bout de l’enquête (et on peut bien se demander pourquoi!!!) pendant ce temps, avec les commentaires des journalistes et de monsieur tout le monde sur les lignes ouvertes, il est clair que les gens se sont déjà faits leur propre idée, probablement pas si loin de la vérité que ça: les gouvernements ont abusé le peuple. Et lorsque viendra le temps de s’exprimer sur le nom du prochain premier ministre ou d’un éventuel référendum, ils n’oublieront pas ce qu’ils ont entendu lors de ce débat.
Concernant Charest, il est nettement en sursis. Son arrogance, qu’il nous avait promis de faire disparaitre, est toujours présente et sa façon de gérer sa crise du budget le prouve bien. Un premier ministre minoritaire doit faire preuve de modestie et de retenue. Charest ne l’a pas saisi et il a plongé le Québec dans une crise politique inutile et surtout, inefficace. Peut-être aura-t-il enfin compris ce que signifie montrer moins d’arrogance. Sinon, de toute façon, la porte sera proche!