Vidéaste recherché(e) :
Ce qu’il y a de bien avec Vidéaste recherché(e), c’est que ça rejoint tout le monde. Ceux qui ne participent pas au concours peuvent toujours visionner les ouvres retenues et faire de belles découvertes. Dans le cadre de sa 8e édition, qui se déroulera du 12 au 14 novembre prochains, l’événement propose, en plus de ses traditionnels volets en compétition et hors-concours, une toute nouvelle sélection internationale. Ce soupçon d’exotisme est le fruit d’une collaboration avec le Festival d’art vidéo de Casablanca au Maroc.
Des 84 ouvres reçues cette année, 25 ont été retenues. Douze d’entre elles sont en compétition et seront diffusées à la salle de l’Institut, le 14 novembre. Deux sélections hors-concours, présentées les 12 et 13 novembre, réuniront par ailleurs les autres productions. Quant à la programmation marocaine, elle comprend, entre autres, le film Dé-Visage de Kenza Benjelloun et Ahmed Rachidy, deux vidéastes de la relève marocaine qui seront présents lors de la projection (le 13 novembre).
Les ouvres choisies proviennent d’un peu partout à travers le Québec et sont très diversifiées: du documentaire à la fiction, en passant par le drame, le vidéo d’art, l’humour, la science-fiction et, même, l’animation (Le temps de monter sept ciels de Marc Dubois et C’est en revenant du Congo de Francis Desharnais). Enfin, Quapla’!, le nouveau film de Jean-François Rivard, récipiendaire du Prix du jury et du Prix du public de la dernière édition de Vidéaste recherché(e), sera projeté lors de la soirée d’ouverture (le 12).
Du 12 au 14 novembre
En différents lieux