

Where the Money Is : Petite coupure
On ne peut pas dire que Paul Newman soit désagréable à regarder, même septuagénaire. Il y a même de plus en plus de détails à fouiller dans ce visage, dans le nombre de rides, dans cette démarche de cow-boy, dans le langage de ces mains aux ongles toujours rongés. Dans ces yeux, il n’y a plus grand-chose, le bleu s’étant atténué.