Jean-Nicolas Verreault : Coup double
Cinéma

Jean-Nicolas Verreault : Coup double

Difficile de le rater. Grand, baraqué, blond, et plutôt à l’aise devant la caméra, Jean-Nicolas Verreault est parachuté dans les deux films québécois les plus attendus de la rentrée : Maelström et Hochelaga

Difficile de le rater. Grand, baraqué, blond, et plutôt à l’aise devant la caméra, Jean-Nicolas Verreault est parachuté dans les deux films québécois les plus attendus de la rentrée: Maelström, de Denis Villeneuve et Hochelaga, de Michel Jetté. Dans le premier, il est amoureux et se nomme Évian; dans le second, c’est un fort en gueule qui met son nez partout, d’où le nom de Nose. Et quand il entre en scène, il prend toute la place…
Arrivé de nulle part? Pas vraiment. Après une formation à l’École nationale de théâtre, Verreault a fait quelques essais remarqués sur les planches: Voyage au bout de la nuit, par Wajdi Mouawad; Je suis un homme mort, d’Yvan Bienvenue et Lorenzaccio par Claude Poissant. On l’a aussi vu au petit écran, notamment dans Le Pollock, L’Ombre de l’épervier, Fortier et Chartrand et Simonne.