The Devil in the Holy Water : Un bon petit diable
En 1997, Joe Balass a réalisé Nana, George et moi, un excellent essai documentaire où, sans aucun narcissisme, le jeune cinéaste se plaçait entre sa grand-mère juive irakienne et un vieux Britannique gai, dandy provocateur, confrontant avec humour deux visions du monde. Dans The Devil in the Holy Water, il reprend, avec un peu moins de bonheur, cette construction bicéphale.