Une femme de ménage : Lavage programmé
Le fantasme ordinaire est coriace. Sa longévité le rend même sympathique. On parle d’amours ancillaires, de chair jeune et fraîche qui redonne vie au vieux barbon désabusé. Les plus gentils diront que telle est la loi des contraires qui s’attirent; les plus cyniques diront que c’est normal, c’est Claude Berri qui a fait le film. Une femme de ménage ne mérite pas qu’on se fâche: c’est gentil et tendre, simplement fait, pas difficile à digérer, voire à oublier.