La Fleur du mal : Sans épines
Claude Chabrol signe son cinquante-quatrième film. Il ne fait donc rien de nouveau, il fignole. Avec La Fleur du mal, il vient de trouver une autre pièce, comme un collectionneur. On pense qu’il en a déjà plein des comme ça en boutique, mais non: il y a une nuance, une avenue, un détail qu’il n’avait pas encore découvert. Et ça valait la peine, même si l’objet n’est pas fantastique.