Silence, on vaccine : La maladie du vaccin
Cinéma

Silence, on vaccine : La maladie du vaccin

Certaines recherches indiquent que la vaccination serait responsable de maladies graves, dont l’autisme et la sclérose en plaques, chez certaines personnes prédisposées à réagir négativement aux composantes des vaccins. Dans le documentaire Silence, on vaccine, la cinéaste Lina B. Moreco expose les risques des pratiques actuelles de vaccination.

Voir: Comment l’idée de réaliser ce documentaire vous est-elle venue?

Lina B. Moreco: "C’est en réalisant mon film précédent, Médecine sous influence, qui traitait de l’acharnement thérapeutique en pédiatrie, que j’ai pris connaissance de ce dossier. Lors de mes recherches, je rencontrais beaucoup de parents qui me parlaient de problèmes liés à la vaccination de leurs enfants. J’ai rencontré un enfant à Québec, par exemple, qui a perdu tous ses acquis après avoir été vacciné. Je ne connaissais pas du tout ce dossier, mais j’ai promis aux parents de fouiller le sujet."

Beaucoup considèrent cette polémique comme une fabulation de la part de parents hystériques…

"Et pourtant il y a un lien clair entre la vaccination et certaines maladies. J’ai rencontré des scientifiques qui étudient le système immunitaire du cerveau et dont les travaux apportent un élément d’explication. Le docteur Wakefield, un Britannique exilé aux États-Unis, témoigne d’un lien entre les troubles intestinaux de certains enfants et une perte de facultés mentales."

Vous n’êtes par contre la vaccination en tant que telle, mais contre certains éléments qui composent les vaccins. C’est-à-dire?

"Pour la majorité des gens, les vaccins sont inoffensifs. Mais pour rendre les vaccins plus efficaces, on y ajoute des ingrédients, comme le mercure, qui peuvent avoir un impact nocif sur la santé. Le problème, c’est que les gouvernements et l’industrie pharmaceutique tentent de nier le lien de causalité entre la vaccination et ces effets négatifs. On ne soigne pas les gens qui souffrent de ces effets secondaires parce qu’ils sont rares. Il n’y a donc pas de protocole pour traiter les séquelles de la vaccination."

Y a-t-il des pays où des mesures ont été prises pour limiter les effets secondaires de la vaccination?

"Partout on nie l’existence du problème. Pourtant, en France, en 1995, lorsque le gouvernement a vacciné 33 millions de personnes contre l’hépatite B, il y a eu des milliers de cas de personnes qui ont souffert des effets secondaires. Le gouvernement a donc été forcé d’arrêter les vaccinations, malgré la pression considérable de l’OMS, qui a dénoncé cette décision de l’État français."

Pourquoi, selon vous, existe-t-il si peu d’études sur le sujet?

"Le gouvernement et l’industrie pharmaceutique ne sont pas portés au financement d’études négatives. Pourtant, des études existent, dont une, récente, de l’Institut américain de médecine, qui décrit un lien causal entre la vaccination et des effets secondaires. Mais la pression des lobbies est très forte. L’industrie du vaccin rapporte des milliards."

Les séances de 19 h à la Cinérobothèque de l’ONF seront suivies d’échanges avec la réalisatrice, du 30 janvier au 12 février.