The Princess and the Frog : Brève cinéma 2009-12-17
Alors que son rêve d’être propriétaire de son propre restaurant s’évanouit, Tiana (Anika Noni Rose) rencontre une grenouille snobinarde (Bruno Campos) qui lui réclame un baiser afin de retrouver sa forme humaine. Quand Tiana, qui n’est assurément pas une princesse, colle ses lèvres sur celles du prince Naveen, c’est elle-même qui se retrouve transformée en petit amphibien tout vert. S’il est vrai que ce film s’inscrira dans l’histoire sociopolitique du cinéma comme étant la première oeuvre d’animation de Disney à mettre en scène une héroïne afro-américaine, il est également vrai qu’il ne fera date que pour cette seule raison. C’est entendu, le sceau de la "qualité Disney" est bien estampé sur l’emballage extérieur du produit. C’est cependant par les personnalités empruntées des personnages, de même que par l’attitude béatement moralisatrice de l’ensemble, que s’émousse, finalement, ce nouveau film des réalisateurs d’Aladdin, Ron Clements et John Musker.
Il y a un an déjà mes neveux avaient vu le films avec ma soeur et ils l’avaient adoré. Pour moi qui était plutôt curieux, je voulait voir ce film depuis un bon moment déjà, il fallait que je me sent prêt et les vacances de Noël sont parfaite pour cela. Encore une autre histoire de princesse, cette fois-ci c’est une jeune fille noire qui rêve d’ouvrir sont restaurant et non de rencontrer le beau prince charmant. Une partie du film, Tiana passe plus de temps à le sauver des rigeurs de la vie que danser et chanter. Bien sûr il y a une petite moral Disneyienne mais que voulez-vous on ne peut pas tout avoir. Les décors sont très beaux et j’ai passé un bon moment à le regarder. Ma cote ***. Pour les nostalgiques revoyez vos bons vieux classique de Disney.