Rise of the Planet of the Apes : Ave César!
Né dans un laboratoire de recherche sur la maladie d’Alzheimer puis élevé par un scientifique (James Franco, fade), Caesar (formidable Andy Serkis) est arraché à son foyer pour être enfermé dans un chenil pour primates tenu par de vilains propriétaires (Brian Cox et Tom Felton, d’aucune subtilité). Dès lors, l’attachant chimpanzé fomente une révolution. Partant d’une prémisse rappelant l’émouvant documentaire Project Nim de James Marsh, Rise of the Planet of the Apes, de Rupert Wyatt, s’avère un palpitant film d’action aux accents apocalyptiques – ah! l’affrontement final sur le Golden Gate! Certes, les personnages ont leurs intentions inscrites sur le front, le récit ne pèche pas par excès de subtilité, mais les singes sont si troublants de réalisme qu’on rêve d’une nouvelle adaptation du roman de Pierre Boulle.
Il y a longtemps j’avais lu le roman de Pierre Boule qui étais mille fois mieux que toute les adaptions cinématographique. On dirait que l’évolution doit avoir une explication dans celle-ci c’est de créer un produit pharmaceutique en vue de guérir la maladie d’Alzheimer. Will Rodman (James Franco qui joue beaucoup du sourcil) veut guérir son père Charles Rodman (John Lithgow juste) atteint de ce mal. Un jour une mère chimpanzée a fait le bordel dans leur laboratoire, peut de temps après ils découvrent un petit. C’est alors qu’il va vivre chez les Rodman. Le film est long par moment mais les effets spéciaux de César sont superbe. En mon humble avis ce film est inutile pour comprendre La planète des singes liser le livre et vous vérer. Ma cote **. Bonne lecture !