Un peu plus d'un mois après sa parution, L'Échec du matériel de Daniel Bélanger s'est vendu à plus de 50 000 copies. Le chanteur investira le Métropolis quatre soirs au mois d'octobre (les 10, 11, 12 et 13) pour présenter son tout nouveau spectacle. Les billets sont en vente depuis samedi dernier sur le réseau Ticketpro (514 908-9090 ou 1 866 908-9090, www.ticketpro.ca) et à la billetterie du Spectrum, au 318, rue Sainte-Catherine Ouest.
Daniel Bélanger sait se faire attendre,quelques années après rêver mieux il nous revient avec cet excellent album l »échec du matériel.Dès la première écoute j’ai été sous le charme, c’est vrai que je suis vendue d’avance à Daniel Bélanger et j’irai le voir en spectacle en octobre même si je trouves qu’il se laisse pas mal désirer!!!
Quand je pense au nombre incroyable de jazzman d’un calibre au moins équivalent à celui de Bélanger en pop qui se produisent pour des « cover charge » de 5, 10, 15, parfois 20 dollars.
Bélanger est excellent. certes, mais 55$ le billet, si je me fie au site, c’est assez exorbitant pour un quartet ou quintet de pop, non ? Les guitares sont en or ?
J’avais déjà en mains les deux premiers albums de Daniel Bélanger que j’ai écouté en boucles pendant plusieurs mois.
J’ai acheté un peu à l’aveuglette son dernier album, et je suis très déçue. Décidemment, je n’aime pas la tangeante qu’il a pris. Je peux quand même dire que c’est un album de très grande qualité, mais le style ne me convient pas…
Dommage, car j’ai vu ses deux premiers spectacles et je l’avais bien aimé, il est très sympathique sur scène.
Daniel Bélanger est possiblement un artiste évoluant hors temps. D’une autre époque ou de toutes à la fois. Alors que la tendance est à la quantité, sa manière à lui, c’est la qualité. Et la qualité, ça se fait attendre. Le produit vite assemblé, vite consommé, vite jeté, ça ne rejoint pas ses critères.
Ce qui a pour résultat que Daniel Bélanger ne s’avère pas un artiste prolifique. Calme et discret, plutôt. Les fans impatients se doivent de respecter cette approche, de ne pas brusquer ce qu’il serait inconvenant de brusquer au risque d’y perdre au change. Quelques bons millésimes vaudront toujours mieux que des caisses de piquette.
Daniel Bélanger, c’est de la grande cuvée, pour laquelle il sied toujours d’y mettre le temps et le prix.
Voilà, une chronique réconfortante. Car, malgré tous les critiques négatives sur lui, ses admirateurs, font la preuve du contraire. Vendre, 50, 000 copies en un mois, il faut tout même le faire! Bien sûr, il n’est peut-être pas extraverti, comme plusieurs de ses confrères. Mais, il n’en demeure pas moins, un excellent composeur. Un véritable parolier, sans jamais tomber, dans la facilité, commerciale ou pas. D’ailleurs, pour les billets, en question, il n’en reste pratiquement plus. Et pour la dernière journée encore? «L’échec du matériel» est une autre perle, à ajouter à notre collection, du plus beau collier de bijou, que l’on garde précieusement, dans un écrin bien spécial.
Tout le monde aime ou déteste Daniel Bélanger, mais ce qui semble faire l’unanimité, c’est qu’il est un être d’exception. A entendre sa musique, on a l’impression qu’il a fait un voyage inter-planétaire et qu’il est revenu avec des idées que seul lui peut transposer sur un album toujours pas facile à décoder. On adore!
Seulement un petit hic, pour tout les grands amateurs de Daniel Bélanger, tel que moi, il y a-t-il quelqu’un qui peut m’expliquer pourquoi son prochain spectacle que j’attend depuis plusieurs années (je ne suis pas le seul), coûte environ 50$. Il me semble que c’est cher un petit peu. Où c’est moi qui ne voit pas que le génie en lui se paye.
La plume de Daniel Belanger explore des avenues de la poesie que nul artiste quebecois n’avait foulé. Il n’est pas si différent et pourtant il n’est pas fait de la meme substance que les autres.
Comment dire!
Lors de son passage a l’émission de Guy A. Lepage, il ne fut pas tres charismatique. Cela n’enleve rien aux multiples talents de ce brillant artiste.
Son dernier album, constat des travers de notre triste monde, projecte une vision plutot assombrie de l’univers qui nous entoure.
Sans contredit, il affiche la discrétion d’un poete des temps modernes et sa poésie unique transcende le temps.
Bien sur, il y eut Deflaboxe.
Et puis apres …
Bref, un dernier album, encore une fois, a l’image de Daniel Belanger.
Un album surprenant qui destabilise par sa musique et son propos.
Visonnaire de notre futur et temoin de notre quotidien
Allons donc. Belanger, c’est tout cela a la fois et même un tant soit plus.