La 26e édition des RENDEZ-VOUS DU CINÉMA QUÉBÉCOIS se termine en fin de semaine, il reste encore de nombreux films à voir!
Au programme en fin de semaine, les courts métrages de Greg Nowak, Sophie Dupuis, Martine Asselin, Kim St-Pierre, Sébastien Godron, Yan Lanouette-Turgeon, Malcom Sutherland, Dominic Étienne Simard, Nelson Hendricks, Donnigan Cumming et plus encore.
C'est aussi l'occasion de voir sur grand écran le TOP TEN des courts métrages des années 2000!
"Quote" du catalogue: Depuis le début des années 2000, on assiste à un véritable essor du court métrage québécois. L’arrivée d’outils numériques souples et performants a grandement contribué à démocratiser la production de courts métrages et à voir émerger tout un courant du DIY, dont la manifestation la plus spectaculaire au Québec est sans aucun doute le phénomène Kino. Résultat, la production annuelle de courts métrages est passé de 75 en 2000, à 175 en 2008! Non seulement la production a-t-elle augmenté de 133%, mais les événements et plates-formes de diffusion consacrés au film court se sont multipliés (Regard sur le court métrage au Saguenay, Prends ça court!, Silence, on court, Festivals du court métrage de Victoriaville, etc.). Mais au-delà de ces considérations statistiques, c’est toute une nouvelle génération de jeunes cinéastes québécois qui a émergé depuis huit ans. Jamais dans l’histoire du cinéma québécois, n’y aura-t-il eu dans le court métrage autant de voix fortes et diversifiées. Devant ce phénomène, les Rendez-vous du cinéma québécois, en s’inspirant du Toronto International Film Festival, ont eu l’idée de proposer à quelques programmateurs de courts de déterminer une liste de dix meilleurs courts métrages québécois des années 2000.
Donc le samedi à 17h15: Killing Time de Tara Johns, Dust Bowl Ha! Ha! de Sébastien Pilote, Léo de Nicolas Roy, Le Rouge au sol de Maxime Giroux et Une Chapelle blanche de Simon Lavoie.
Dimanche à 17h15: Snooze de Stéphane Lafleur, OiO de Simon Goulet, Radio de Patrick Boivin, Déformation personnelle de Jean-François Asselin et Noel Blank de Jean-François Rivard.