OLGA À CANNES JOUR IIIISSSHHH.
Oui bon ben on perd la notion du temps. Je suis de retour, j’pense que
j’ai dû vendre mes deux reins, je file drôle. Et j’ai réalisé que j’ai
pas pris d’assurance voyage. Living on the edge.
Avant hier ou vlà 8 ans, on a fêté au château des boules
transparentes, le carré à Dolan et la pisse dans le ventilo. J’ai pas
réussi à voir le film, mais à ce qu’on dit c’est excellent et à chier.
Le lendemain, on a macérololé dans le off-souper sodec. Y’avait des
histoires qui se racontent mal devant le président Allemagne. Des
cuillères pas propres, des « reach around », (qui consiste à aimer son
prochain derrière comme devant, méthode enseignée jadis par les singes
bonobos.), pis des français mal à l’aise et des coups de poings dans
les macarons. Au party colombien, on se rappelle surtout de MEJ crie
« empêche-moi de danser », après « empêche-moi de dormir » quelques heures
plus tôt. Là y mouille et on braille en line-up. Et on braille dans
les films. Et on braille en se rappelant qu’on s’aime. Cannes, c’est
ridicule. Même les petits chiens sont pas ben dans leur jacket de
jeans. J’ai hâte au party psychanalytics & friends au stand suédois.
Et je me dois de faire une exception à la règle de ne pas parler
d’affaires sérieuses… Amour de et à Haneke.
Les tops niaiseries entendues à Câââââânnes récemment:
« C’est toi la palme douce » (ref à une citation au Saguenay qui parlait
de crème glacée et mascarpone)
« Make sure the right people get the cocks »
« La galanterie, c’est tellement une valise »
« Reach around is common courtesy »
« J’ai chié dundun »
Demain, spécial vendeux de tapis et BS de luxe.
-30- (lol)
Olga