Girl Talk / photo: Guillaume D. Cyr
Quelques mots à propos de Girl Talk avant qu’on en reparle plus longuement demain.
J’en reviens encore tout chose. Partout en sortant, des sourires gros comme ça barraient les visages de ceux qui avaient dansé, hurlé, sauté, fait la vague et convulsé comme un troupeau de bêtes jovialement sauvages au son des bouchées de hits que Gregg Gillis alias Girl Talk mâche puis recrache.
Autour de ce fou furieux qui se lance dans la foule et gueule dans son micro, une scène comble de danseurs issus des spectateurs, des ballons de plage, des souffleurs à feuilles convertis en propulseurs à papier cul, des confettis, mais surtout des bombes musicales, et un public aussi enthousiaste que mixte, allant du hipster branchou au coco pas de cheveu avec une chaîne dans le cou. Et tout ce monde là communiait au même autel, celui du génie de la refonte musicale.
Merci au Festival. C’était juste… parfait. Un des meilleurs partys auxquels j’ai assisté dans ma vie. Vraiment.
Demain, on reparle de Sean Paul (ordinaire) et plus longuement de Girl Talk, mais là les amis, dodo. Et en passant, merci de nous lire.
Il y a de ses jours où, à force d'essayer d'en faire trop, on finit par tourner en rond… détrempée
J’ai eu peur de la pluie, mais fichtre que j’aurais aimé être là.