BloguesFestival d'été de Québec

KISS: c’est du vintage

Le solo de Gene valait le coup. Toujours pareil, rien n'a changé. Il sort la hache (basse), c'est verdâtre autour de lui, le sang se met à couler de sa bouche et puis le voilà parti vers les cieux. Paul s'est donné son moment de gloire lui aussi, avec une autre randonnée en altitude (question de connecter avec le public). Le feu a craché, les feux d'artifice ont explosé et Detroit Rock City nous a baptisés.