BloguesImpertinences

Brèves de cendrier

Juste pour rigoler, et pour témoigner de l'Histoire, voici quelques réactions du peuple fumeur glanées ici et là dans le grand fumoir, c'est-à-dire dehors. La frustration fait parfois fuser les traits d'esprit. Les vôtres sont les bienvenues.

On va tellement faire du bruit dans les rues que c'est les résidants qui vont finir par demander d'abolir la loi.

Y'a tellement de botches à terre que j'ai peur que le cancer du poumon augmente chez les itinérants.

Ils auraient dû laisser les débuts de semaine (dimanche soir, lundi, mardi et mercredi) fumeurs et les fins de semaines non-fumeurs. Au début de la semaine, c'est juste les vrais sorteux qui sortent dans les bars. Et les vrais sorteux fument.

Une place sur une terrasse, avec l'interdiction de fumer à l'intérieur, c'est rendu une rareté, même quand il ne fait pas si beau que ça. C'est comme une job steady : tu la lâches pas. En plus, par solidarité, on devrait se les passer entre fumeurs. Ils veulent qu'on fume dehors? Ben qu'ils restent en-dedans, y'aura plus une place de libre, dehors!

Dans le fond, ça fait mon affaire que les bars deviennent non-fumeurs. Je vais moins claquer d'argent à boire dans les bars.

Moi, je continue de fumer pour protester. Le jour où ils vont permettre les fumoirs, j'arrête !