Visiblement déçue de s’être fait damer le pion par Bernard Drainville et le PQ 2.0, la Coalition Avenir Québec s’affaire de nouveau à occuper le terrain identitaire. Celui bêché initialement par Hérouxville. Arrosé depuis, quasi-quotidiennement, par MBC et ses apôtres. De la névrose obsessionnelle, dirait Freud. Le MOI. Le NOUS. L’AUTRE. Répétez en boucle jusqu’à épuisement. Tannés? Ajoutez une petite réflexion de Zemmour (un genre d’Éric Duhaime ayant déjà lu un livre), histoire de faire comprendre que le débat transcende les frontières. Rien de plus normal, ainsi donc, que d’affirmer qui NOUS sommes. Par exemple en abaissant le nombre d’immigrants, nous dit MBC. Son lectorat, nombreux, applaudit. Un attentat apparemment islamiste? Preuve de l’échec du multiculturalisme. Que l’islamophobie est un leurre. Ramenons la Charte des valeurs. Le lectorat, nostalgique d’une époque pure-laine ironiquement jamais définie dans le temps, applaudit davantage. Le Québec se diviserait ainsi en deux blocs : le NOUS et l’AUTRE. Qui forme le premier, au fait? Pas clair. Mais peu importe.
Le chroniqueur a droit à ses opinions, évidemment. Liberté d’expression, pierre d’assise de la démocratie. Ce qui inquiète, toutefois, tient à la récupération politique de la relance identitaire, parfois xénophobique, ambiante. Particulièrement en ce contexte délicat, où le festival de l’amalgame sévit. Où 20% des répondants à un sondage du Journal de Montréal s’affichent ouvertement racistes. Gains électoraux à l’horizon, la tentation est parfois forte pour le politicien de style PME (petite ou moyenne envergure).
Si d’aucuns qualifiaient déjà François Legault de la sorte, l’étiquette se veut, depuis les dernières semaines, davantage pertinente.
Initialement par son appui aux municipalités interdisant, de manière parfaitement inconstitutionnelle, tout lieu de culte musulman sur leur territoire.
Ensuite par sa proposition de créer un poste d’inspecteur aux valeurs québécoises. Oui. Et le job du bougre? Délivrer (ou plutôt refuser) un permis de conformité à tout imam-wannabe souhaitant prêcher dans une mosquée près de chez vous. L’objet de la mesure s’inspirant du régime saoudien, appelons ça de l’ironie.
Et pourquoi s’arrêter en si bon chemin? « [la CAQ propose] la création d’un certificat d’accompagnement transitoire d’une durée de trois ans. Au bout de cette période, les immigrants devraient être évalués sur leur niveau de connaissance du français, leur connaissance de l’histoire et des valeurs de la société québécoise et la démarche qu’ils ont entreprise vers l’employabilité.»
Rappelons que cette proposition, comme les autres précitées, d’ailleurs, vient du même Legault qui souhaitait enrayer les fusillades à la Charlie Hebdo en faisant appel à des personnages fictifs : (quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/07/fusillade-de-charlie-hebdo-francois-legault-en-appelle-a-carrie-mathison-de-homeland).
Alors comme dirait l’autre, faut pas trop en demander. Sauf qu’il s’agit d’un chef de parti, deuxième opposition officielle. La mesure en question pourrait ainsi, éventuellement, prendre forme à travers la voie législative. Alors quelques réflexions, en vrac, s’imposent.
D’abord, seule la réussite d’un test permettra à l’immigrant de devenir « officiellement » québécois. Premier problème, celui du partage des compétences. Vrai que l’immigration se veut une juridiction partagée entre le fédéral et les provinces. Particulièrement pour le Québec, lequel possède, en vertu d’une entente administrative asymétrique, le droit de « choisir » ses immigrants à même le bassin de ceux présélectionnés par Ottawa. Bémol majeur : la compétence en matière de citoyenneté, c’est-à-dire qui se qualifie ou non afin d’obtenir celle-ci, relève du fédéral. Cette exigence supplémentaire de Québec aurait vraisemblablement pour effet d’empiéter sur ladite juridiction.
Deuxièmement, le test en question. Discrimination sur la base de la langue? Possiblement. Et surtout, encore une fois, d’une ironie parfaite, en cette ère où plusieurs futurs profs formés par nos universités peinent à réussir leurs examens en la matière.
Pour les connaissances en histoire, probablement aucune discrimination, mais disons qu’encore une fois, c’est à se demander si le NOUS peut donner de véritables leçons à l’AUTRE. Par exemple cette fois où une étudiante de droit constitutionnel m’interrompt, anxieuse : « monsieur, vous parlez de Meech sans arrêt, mais est-ce au moins possible de nous dire de qui vous parlez? ». « Je me souviens », comme devise? Pas certain.
Les fameuses valeurs québécoises, finalement. Une belle patente, construite de toute pièce par divers politiciens faisant leurs la maxime de Schmitt, soit que l’art de la politique relève de la capacité de se créer un ennemi. Alors voilà. Le NOUS québécois possède ses valeurs propres, lesquelles sont trop fréquemment refusées par l’AUTRE. À lui de s’y plier. Autrement, qu’il dégage. À quel problème d’intégration, scientifiquement documenté, faites-vous actuellement référence, au fait?
L’autre obstacle réside évidemment dans la capacité (ou plutôt l’incapacité) de définir lesdites valeurs. Normal, voire souhaitable. Le Québec se veut, n’en déplaise apparemment à plusieurs, une démocratie libérale. Ce qui amène, au-delà des paramètres établis par les Chartes des droits et libertés et le Code criminel, une claire autonomie au citoyen. Le droit de croire en ce qu’il souhaite, par exemple. Celui d’exprimer ses convictions et idéologies politiques, mêmes contraires à celles de la majorité. Pierre d’assise, disais-je, et non talon d’Achille, de la démocratie.
Votre test, M. Legault, est parfaitement subjectif. Bien au-delà des limites du raisonnable. Votre mesure sera éventuellement invalidée pour cause d’imprécision. Et c’est tant mieux. Parce que pour tout dire, à vous entendre depuis quelque temps, je suis assez convaincu d’une chose : un de nous deux se place en porte-à-faux des valeurs québécoises, si tant elles existaient.
Enfin, M. Legault, qu’arrive-t-il aux enfants de l’immigrant (question d’ailleurs : à partir de quand cesse-t-on d’être qualifié ainsi?) si celui-ci échoue à obtenir votre imprimatur? Parce que le bon sens est aussi tributaire de certains droits, je vous laisse ici sur le propos de Jean-François Gaudreault-Desbiens. Puisse ce dernier vous faire réfléchir lors de votre prochaine envie de patenter un nouveau cossin autant loufoque qu’inconstitutionnel :
« Les parents de certains de ces enfants – souvent d’origine chinoise, en fait – parlent un français très minimaliste, après 6-7 ans de résidence au Québec, parfois plus. Ils travaillent très, très fort, dans des emplois peu rémunérés ou dans des dépanneurs qu’ils ont acquis à la sueur de leur front, pour s’assurer que leurs enfants aient une belle vie, envers lesquels ils se montrent très exigeants. […] leurs enfants, eux, parlent français, lisent Astérix et écoutent les Argonautes à Télé-Québec, en plus de jouer au hockey et de soutenir les Canadiens de Montréal… Postulant qu’il serait possible, voire probable, que de tels immigrants ne réussiraient pas le critère de francisation que souhaiterait imposer la CAQ, on ferait quoi alors? On les met sur des bateaux avec leurs enfants…francisés? »
Twitter : @F_Berard
pardonnez mon ignorance : qui est ou qui sont » MBC et ses apôtres ‘ ?
merci
Qui sont : MBC et ses apôtres ?
merci
Mathieu Bock-Côté, j’imagine…
Bonjour Monsieur Bérard,
Vous considérez qu’il ne peut y avoir absolument aucun argument valide (et non xénophobe) pour vouloir abaisser le nombre d’immigrants arrivant chaque année au Québec? Ou que les questions identitaires, aussi complexes et parfois confuses qu’elles puissent être, sont des préoccupations risibles baignant généralement dans le racisme le plus crasse? Est-ce que ce sont les gens qui en discutent sur la place publique qui vous posent problème ou bien les questions d’identité elles-mêmes vous exaspèrent? Simple curiosité…..:)
Ce que je pense: ceux qui plaident pour la baisse des taux d’immigration ne sont pas nécessairement racistes, mais tous les racistes plaident pour la baisse des taux d’immigration.
Merci de votre commentaire.
J’aimerais revenir sur cet aspect plus precisement.
« On les met sur des bateaux avec leurs enfants…francisés? » »
(1)
Je suis un peu surpris de cet appel
(a) a l’emotion d’une part
(b) mais en plus comme si c’était une nouveauté que du monde quitte alors que resident temporaire …
Le réel c’est que plein de monde au Canada et ailleurs dans le monde de gens qui ont des visa d’études, de travail, pour des contrats temporaires, pour séjour de 6 mois, 1 ans, 2 ans, 3 ans, 4 ans et qui après la durée du contrat, la durée des études quittent peut importe leur situation personnelle … et ca se fait sans trop de mal ters souvent …
Oui il y a des situations « injustes », oui ca peut etre difficile, deplaisant disons de devoir quitter alors qu’on pensait peut etre rester et qu’il y a du stress a faire une transition, mais c’est une situation que moi meme j’ai vécu et a plus d’une reprise et je reconnais que c’est un privilege de résider un état dont on n’est pas un citoyen et que les conditions d’acces a la citoyenneté sont aussi un privilege.
—
(2)
Mais ma surprise de cet appel a l’émotion est d’autant plus grande que dans le milieu universitaire c’est tres tres tres commun.
Des professeur qui ont fait des etudes pendants 4,5 ans ici ou la, qui ont fait 1 ou plusieurs stages postdoctoraux, qui ont eu des emplois de maniere temporaire ici ou la … qui doivent s’expatrier et puis le probleme du conjoint ou conjointe.
Ensuite des sabbatiques, des séjours de recherches, conferences ici ou la …
Et donc s’ il y a un endroit ou on devrait comprendre que beaucoup de gens resident de maniere temporaire et quitte ca devrait bien etre ce milieu la.
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(3)
Et puis pour répondre …
(a)
On envoie pas le monde sur des bateaux … le monde habituellement connaissent les dates pour leur recourt, la loi et ont déja prévu a l’avance un plan B ou C. C’est pas vrai que tu vois la fin du séjours arrive et que tu fais rien…
Tu commences des demarches pour un autre endroit, tu regardes la possibilité de devoir retourner dans ton pays ou tu as la citoyenneté.
(b)
Et puis un peu avant la date limite, devant la fin prochaine de leur durée de séjour , ils vont sur internet, une agence de voyage et bookent des billets pour le pays d’ou il provienne ou un autre s’ils ont fait les demarches pour satisfaire les condition d’entrée …
(c)
Le jour J , probablement febrile … le monde monte dans l’avion ( ce que beaucoup de québecois auront meme pas la chance de faire parce que trop pauvre) , se rappele souvernir ici et la et vont faire une ou deux escales et un moment donne le dernier avion atterit … that’s it that’s all …
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(4)
Ensuite commentaire de meme …
(a)
Le projet a ma connaissance concernerait les immigrants qu’on selectionne et non pas les reunions de familles ou refugié …
(b)
De maniere generales, les immigrants voyagent beaucoup ils sont peu etre retourné a plusieurs reprises dans leur pays d’origine, ils ont été ici ou la ou ils ont de la famille .
On parle comme si on deportait du monde démunis qui ont jamais pris l’avion et qu’on debarque dans un lieu x, y ou z … alors que c’est souvent des professionnels qui savent c’est quoi prendre l’avion, ils sont pas au dépourvu et retourne dans un pays qu’ils ont quitte il y a a peine 3 ans ….
(c)
Ils ont souvent de la famille ici et la …. en Australie, au Etats-Unis … et ont des ressources financieres leur permettant d’acheter des billets d’avions.
(d)
Et by the way … on serait supris de voir quel montant il faut mettre dans un compte de banque pour avoir un visa x,y ou z ou faire des etudes a l’etranger ici et la …
On parle parfois de 5000, 10000, mais dans certains état ils faut mettre si on commence des etudes un gros gros gros montant dans un compte de banque ….
des montants que du monde verront jamais de leur vivant ….
Meme pour aller faire un sejour comme jeune en Angleterre avec Visa ( youth mobility scheme ) il faut mettre un paquet d’argent dans un compte ….
On peut tu arreter d’essayer de faire pleurer les quebecois sur le sort de monde drolement plus en moyen et preparer pour retourner ici ou la ….
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(5)
Mon point ….
On peut tu arreter de faire peur au monde ?
Au fait il s’adresse a qui ce texte la ….
En droit a l’UdM il doit bien y avoir beaucoup de gens pour comprendre comment ca fonctionne deja … beaucoup de gens sont sur des visa ou ont eu des visa … et le reel beaucoup savent c’est quoi quitter un endroit x,y ou z.
—-
(6)
(a)
Et puis pour la question des enfants je veux pas etre mechant mais n’importe qui qui va a l’etranger dans une situation temporaire est responsable de ses choix.
Au depart, c’est meme une question financiere et dans certains pays ou les soins sont couteux et ou il faut une assurance privé c’est un choix qu’on fait probablement pas si on est resident temporaire.
Parler donc a n’importe quel de vos collegues ou etudiants qui ont ete ou provienne de l’etranger c’est toute une decision de faire ce choix d’avoir des enfant quand on est resident temporaire … serieusement et je m’excuse a la fin on assume …
(b)
Je m’excuse meme a une echelle d’un citoyen ben ben ordinaire … les gens habituellement font justement ce choix en regard de leur proper stabilité.
Beaucoup de québecois attendant justement, la fin d’etude, travail permanent ou dans lequel on est plus etablit, d’avoir une maison ou un condo ….
(c)
Vous essayer de faire pleurer sur le sort de gens a qui on a donner le droit temporaire de resider d’avoir fait des enfants alors que les québecois eux reportent ce choix la dans beaucoup de cas parce que pas stable …
Je m’excuse mais qu’ils attendant donc le 3 ans si c’est si pénible …. ils seront pas les premier ni les derniers attendre des condition x,y ouz pour faire des flots.
(d)
Et by the way si on me dit que la premiere chose qu’un paquet d’immigrant font en etant resident temporaire c’est de faire des flot je m’excuse mais ca marque un manque de jugement et que le monde assume.
(e)
Beaucoup de quebecois qui vont a l’etranger reportent des projets … pour x ou y raisons … et vont faire pleurer personne avec ca.
en passant, l’autre jour, cette nouvelle dans un journal étudiant universitaire, vite évacuée de nos médias traditionnels…les statistiques nous révèlent( en attendant de nous apprendre, mais ça c’est plus long, au Québec), que parmi les immigrants, 41% des femmes, et 49% des hommes ont des diplômes d’études supérieures, contre seulement 19% chez les pure laine qui se grattent au sang la souche identitaire, depuis deux ans…
en passant…
* correction…chez quelqu’un qui déteste les pseudos mais qui a de la misère avec le clavier, parce qu’il a appris l’écriture à main avec plume à l’encre …mon vrai nom: Jean-Claude Bourbonnais…le O à la place du trait d’union, c’est out:-)
« que parmi les immigrants, 41% des femmes, et 49% des hommes ont des diplômes d’études supérieures, contre seulement 19% chez les pure laine qui se grattent au sang la souche identitaire, depuis deux ans…
en passant… »
(1)
(a)
Je pense que si tu veux faire une comparaison qui se tienne , tu devrais comparer notre cohorte d’immigrant avec la cohorte de Quebecois qui vont a l’etranger. Je peux te garantir qu’il y a une flopper de doctorat et postdoctorant chez les Quebecois qui vont a l’etranger … je pense qu’il y aurait de quoi render complexer ben des internautes.
(b)
Mais si tu veux comparer la population en generale du Quebec compare donc avec la population en generale (pas juste ceux qui partent ) des endroits ou on recoit de l’immigration et je peux te garantir qu’on est plus scolariser au Quebec que la majorite des pays ou on recoit du monde …. et que les Quebecois purlaine on pas a se sentir inferieur a quiconque …
(c)
Au final, je sais pas ce que c’est supposer prouver dans la mesure ou on fait une selection des immigrants et qu’on s’attend a une plus grande scolarisation. On dirait qu’on essaie de faire un recours a l’emotion un peu poche ou comme purlaine on devrait feeler cheap de quelque chose … alors que les Quebecois sont dans les peuples les plus scolariser et que Montreal est une belle ville universitaire. Dans certains domaines on tire quelque chose de tres interessant de la proximite geographique de l’udm, McGill, concordia et uqam. C’est pas vrai qu’il y a cet equivalent dans beaucoup de ville dans le monde.
(2)
On s’entendrait probablement que faire un doctorat a la TELUQ ou a McGill ou UdM c’est pas vraiment equivalent …
La variabilite a l’echelle du monde est beaucoup plus grande, et on va etre franc …. les etudes universitaires tout dependant des domaines ne sont pas equivalentes dans le monde, des universites sont plus exigentes que d’autres et nos universites qui sont dans le contexte nord americain sont plus exigentes que beaucoup d’universites dans le monde.
Quelqu’un qui est dans le milieu universitaire voit des gens avec differents cursus, qui viennent de different endroits … et peut voir les lacunes … des carences et que le soi disant diplome c’est pas toute …
Je peux garantir que des gens de certains pays que j’ai vu pour faire un doctorat en science sont tres tres tres peu independant … moins independant par exemple qu’un etudiant purlaine quebecois d’ete du baccalaureat qui fait un stage de recherche. J’ai vu des gens de l’etranger pourtant avec diplome … qui plutot que d’etre fixer sur le portrait general, comprehension plus profonde, sont tres tres fixer sur les petites taches et sont a demander a quelqu’un quoi faire ensuite … ce qui pour etre franc ne sont pas des qualites pour un chercheur.
(3)
Personne n’a eu des gens de l’etranger dans leur milieu d’etude ou de travail …. c’est pas vrai que c’est toute des histoires de reussite profesionnelle et je pense que le taux de chomage plus eleve reflete ca aussi.
Meme dans des shops le monde sont capable de voir qu’il y a du monde qui parfois sont pas tres debrouillard … pour utiliser d’autres mots que ceux que eux utiliserait ….
C’est pas bon chic bon genre de le dire …
Mais le reel c’est ca .
(4)
C »est bien beau ceux qui evoquent des diplomes et des diplomes mais dans la vie des diplomes c’est pas tout c’est tout le baggage de vie et profesionnel et qualites professionnelles et c’est pas vrai que sur une job toutes les experiences de vie et professionelle sont equivalentes.
Et il y a du monde qui peuvent difficiement s’implanter je pense que ca prend du monde qui choississent au dela du diplome … qui dans certains cas vaut pas le papier sur lequel il est ecrit ….
Voir un etudiant de doctorat de l’etranger bucher sur un concept que des etudiants verrait en 1ere annee de baccalaureat … ca remet ben des diplomes en perspective …
@ Ian
bla, bla,bla;
en repassant, c’est clair, le pseudo chez un blogueur, c’est l’équivalent d’une burqa chez la musulmane…cacher son identité…that’s it, mon ami…peu importe les raisons, exotiques ou autres… pourquoi, alors? peu importe, le pseudo fausse le rapport social, n’a ni chair ni os derrière, contrairement à la burqa de la musulmane, et me porte à penser (j’ai l’imagination tordue, allez) que ta prose est en réalité écrite par quelqu’un d’autre…bye!
Ian : bla, bla, bla anonymes,,,OUF
Merci de m’avoir répondu. 🙂
Chose que j’avais oublié d’écrire tout à l’heure……
Vous avez entièrement raison: ce genre d’idées attirent les indésirables. Mais ce ne sont pas que des indésirables qui sont attirés par ce genre d’idées, pour reprendre votre formule…
L’Américain dit : » He’s fast on the draw !! »
Le Québécois dit : « Il tourne les coins ronds . »
L’Italien dit : » qui va fort va a la morte ,’
Le Français dit : ‘ merde, alors ! ‘