C'est quand même capoté. Je viens de battre mon record personnel de commentaires reçus sur un seul billet de blogue. Et à mon grand bonheur, tout est bien qui finit bien. Des ténèbres, est surgie la lumière.
Je n'aurais jamais pensé que le sujet de ce billet allait créer une telle tumulte et ce que je trouve le plus ennuyant dans tout ça, c'est que dans un monde idéal, il y aurait toujours autant d'action ici. À l'image d'une personne âgée qui passe l'année à attendre qu'on lui rende visite, je me sens comme celle-ci après Noël.
Si je pouvais mettre la main sur la recette parfaite pour créer un semblant de polémique sept jours sur sept… N'est pas Richard Martineau qui le veut bien.
Mais bon, changement de sujet radical, vous souvenez-vous de ce qu'annonçait fièrement la chaîne de télé Musique Plus il y a quelques mois? En effet, celle-ci voulait revenir à sa vocation d'origine et renouer avec un public avide de musique, plus particulièrement les 20 à 35 ans.
Je commence sérieusement à penser que j'ai été victime d'hallucinations car, en prenant compte de leur programmation automnale, j'ai un curieux feeling de déjà-vu. Juste pour rire, voyons voir ce que nous offre la chaîne ce soir:
Snoop et sa meute, Danse ou crève, etc. J'écris etc. car ça deviendrait très lourd. Méchant changement comme le dirait VRAK TV.
En voilà une façon de « créer un semblant de polémique », tout de même! Couper net le billet au beau milieu d’une phrase… Original, c’est sûr. Mais une recette à oublier, si je peux me permettre de donner mon avis (note: je peux me le permettre; et si vous en doutez, allez au billet précédent).
N’empêche que je serais malgré tout étonné que la coupure inattendue dans le billet soit intentionnelle. Il s’agit plus probablement d’une affaire de dépanneur à Chicoutimi (note: voir les billets précédents « Aimer une agace » et « À lire et à délire – ainsi que mes commentaires afférents, une fois sur place). Parce qu’à Chicoutimi, aller au dépanneur n’est pas une mince affaire comme ailleurs en Amérique du Nord. Il faut s’y précipiter dès qu’on y pense, avant qu’il ne soit trop tard.
Voilà donc ce qui a dû se produire: le chroniqueur s’est soudainement rappelé d’un achat urgent à faire au dépanneur et nous a, du coup, plaqué là. Mais ne vous en faites pas, au pire il va revenir un peu après 23h., heure à laquelle Chicoutimi ferme.
D’ici là, vous pourriez peut-être aller vous mettre le nez dans les billets déjà terminés. On y trouve ici et là des trucs pas mal. Bon, toute cette histoire de dépanneur me fait penser que je dois moi-même y aller. Alors, autant y aller maintenant, même si je pourrais y aller plus tard, à minuit ou à 3h du matin, par exemple…
M. Perrier je vous seconde !
Non mais, que se passe-t-il sur ce blogue ?
M. Martel s’y prend drôlement bien pour susciter notre réaction : par un billet pathétiquement absurde (voir le précédent) et par celui-ci qui coupe court dans le suspence…
Mais on veut savoir ce qui s’est passé. Ou a-t-il bien pu aller pour nous laisser ainsi en plan ?!
En espérant qu’il (M. Martel) n’a pas été kidnappé par ces gens de Musique Plus qui ne voulait pas que la bonne nouvelle sur la nouvelle programmation soit répandue…
À suivre ?!….
Une histoire de dépanneur, vous croyez ? Oups, trop tard pour que j’aille acheter du lait.
Bon, à cette heure-ci, Chicoutimi ferme. On verra bien s’il revient…
Mais n’allez tout de même pas mettre des idées dans la tête de ces lunatiques de Musique Plus, Madame Morrisseau… Surtout pas juste au moment où il commencait à y avoir un peu d’action de ce côté!
Sinon, nous devrons nous résigner à aller à secouer (pour son propre bien, naturellement) un autre blogue. Non, non, il va revenir. Peut-être éteint-on toutes les lumières à Chicoutimi au moment où on ferme la ville (à 23h). Ce qui pourrait alors rendre le retour de chez le dépanneur un peu laborieux, voire même périlleux si on ne fait pas très attention.
Attendons encore un peu, il va revenir. De toute façon, il n’y plus rien à faire là-bas, à cette heure-ci.
Chers lecteurs et chères lectrices, je tiens à vous rassurer, je n’ai pas été kidnappé. Il se trouve que j’ai voulu sauvegarder ce billet sans le publier afin de le peaufiner mais voilà, cette option ne fonctionne pas vraisemblablement.
J’ai donc eu l’air d’un vrai freak mais comme le dit mon père, on a souvent l’air de ce qu’on est. Voilà donc le billet avec la finale qui est, soit dit en passant, nullement spectaculaire.
Mais bon, j’ai crée une autre mini-polémique sans le vouloir. Wow!
C’est ta journée polémique, cher collègue…!
Juste pour rassurer tes lecteurs, ce serait bien que nous leur disions que les pigistes de notre trempe survivent généralement au fatidique 23h des dépanneurs. Évidemment, on peut survivre encore un peu plus longtemps si on se garoche parmi la faune du centre-ville de Chicoutimi juste avant la l’extinction des feux pour se payer une bière ou deux (oui, on a encore de la grosse, ici…), mais plusieurs d’entre nous ont aussi cette capacité de planifier qui permet de prendre un verre entre copains au-delà du couvre-feu.
Je bois à ces rencontres faites sur ton blogue. Puissiez-vous continuer d’alimenter la culture par vos commentaires de fin de soirée…
D’accord, M. Martel, vous êtes revenu et êtes donc habilement parvenu à échapper aux kidnappeurs qui rôdaient sans doute aux alentours du dépanneur. Parfait. N’empêche que ça nous fait de belles jambes, à nous, que le billet coupé soit à présent complet!
Pour quel genre d’ahuris va-t-on nous prendre, Madame Morrisseau et moi maintenant, hum? Nos commentaires qui précèdent votre retour ne reposent à présent sur rien! En nous enlevant le billet coupé, vous nous coupez l’herbe sous le pied, rien de moins. Vous y avez réfléchi un instant?
Vous n’auriez pas pu vous laisser kidnapper quelques heures? Ou, encore, vous égarer dans l’obscurité en revenant de chez le dépanneur à la fermeture de la ville? Non? Une autre fois peut-être, alors? Soit.
Après tout, une fois n’est pas coutume et vous ne pouviez pas vous douter qu’un billet bien coupé vaut parfois mieux qu’un billet entier. Ne dit-on pas d’ailleurs qu’il n’y a rien comme une bonne coupe? De cheveux, de vêtement, de boeuf, nommez-les!
Mais n’allez pas vous mettre martel en tête pour si peu, tout de même. Ce ne seront certainement pas les occasions futures qui manqueront pour que vous nous arriviez avec d’autres billets à problème.
Et cela nous fera toujours plaisir de vous le signaler…
Effectivement Jean-François, nous avons une capacité de survie assez particulière et une prédisposition hors du commun pour l’organisation de rendez-vous alcoolisés après 23h00. Même un show de Leonard Cohen qui semble s’éterniser ne peut nous en empêcher.
En effet monsieur Perrier, je crois être le roi des billets à problèmes. Ne vous en faites surtout pas avec ça. 😉
Salut Martel…