Il y a quelques mois, je participais à un article de mon collègue et rédacteur en chef Jean-François Caron intitulé Les claques de Bush.
Je me rappelle encore de ce matin où, après avoir fumé trois cigarettes
et bu un café, je décidai de prendre un petit quatre minutes afin de
partager mes coups de gueule de l'année. Je me rappelle aussi l'effet
de surprise ressenti alors qu'en ouvrant le journal, je découvrai que
mes coups de gueule avaient tous été publiés dans leur intégralité.
Les
semaines ont passé et mis à part quelques personnes ivres à la
recherche d'un sujet de conversation, ces coups de gueule m'ont paru
s'être envolés dans les méandres du néant. Et voilà qu'il y a quelques
jours, celle que j'avais baptisée chaleureusement la comédienne de
Sorel me revient là-dessus et m'avoue que mes mots lui avaient fait de
la peine.
Tenant compte du fait que ses propos auxquels je
faisais référence dans mes coups de gueule avaient été malicieusement
recueillis lors d'une innocente conversation pendant un vernissage, je
l'avoue, l'exercice était purement chien et sournois. Que puis-je faire
de plus que de m'en excuser? Alors voilà, je m'excuse publiquement.
Maintenant
vous savez tous que chaque minute passée en ma compagnie, quelque soit
le contexte, est susceptible d'aboutir dans un texte. Comme je n'ai pas
fait mes études en journalisme, je suis souvent mal à l'aise avec le
titre de journaliste. Je préfère me présenter comme un reporter de
guerre. Sauf qu'ici, les zones de guerre ne sont bombardés que par la
banalité. Les fusils sont des propos souvent futiles et les courageux
médecins de la Croix-Rouge sont ceux qui nous servent à boire derrière
les bars. Les attentats terroristes ne sont perpétrés que par des
kamikazes sans envergure et la portée de leurs gestes se limitent à
eux-mêmes.
Nous vivons dans une drôle de guerre. Nous sommes à
la fois les tortionnaires et les victimes. Toujours sur le terrain mais
jamais en danger de mort. À part quand la gratte passe…
Entre on est trop gentil et on est arbitrairement mesquin. Un bel équilibre se cré. Je suis touché. Mais, pour l’amour sincère de la communication dans le milieu Ku-Kule-turel, Pore Flavore, restont critique. Et surtout, dévellopons ensemble l’analyse qui manque si souvent à l’appel dans les médias. Je veux pu savoir ce que vous aimez ou ce que vous aimez pas. Je veux comprendre comment. Pas savoir pourquoi. Plus de questions et moins de réponse. Et je n’envois pas de flèches aux deux Mes-cieux VOIR SAG-LAC. Vous êtes talentueux, intelligents et sans doute humbles Vous vous en sortez assez bien en mode survie. Le $$$, toujours l’ostie de $$$$$. Mais pour notre professionalisation et notre épanouissement artistique, est-ce qu’on pourrait, SVP, avoir des papiers alternatifs et plus recherchés, des portraits un peu plus complets, des rencontres avec des œuvres plus significatives et l’accès aux idées que génèrent ces personnes si talentueuses. Il y a une richesse de porteur de sens et d’expérience dans ce petit bassin halluciner. Je veux entendre, lire, rencontrer la pensé de nos grands artistes. Carl Bouchard, Jean-Jules Soucy, Guylaine Rivard, Denis Tremblay, Guy Blackburn, Cindy Dumais etc, etc, etc. Du papier criss, un auteur sur du papier. Fuck les blogs ou tout le monde parle, même moi, fuck FMH. Je sais que je me répète mais, FUCK la Kulture, y’a trop de gens cools et pas assez d’idées s’tie!
Je crois que j’ai encore oublier de prendre mon médicament moi là?
Peace quand même
FMH
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Moi, je me souviens très bien de tes propos et si quelqu’un dans ce bas monde, même à Sorel s’est senti blessé, ben c’est parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse.
Personnellement, le type q
Scène 1, prise 2
Si ton commentaire a blessé quelqu’un même à Sorel, c’est probablement parce que ça faisait du sens, comme le dirait si bien Karine Vanasse. Personnellement j’ai été hanté par l’image du con qui a pitché une bouteille de bière sur la scène pendant un spectacle, et ce sont des gestes pour lesquels, il n’y aucune excuse. Au contraire, il faut le répréter jusqu’au jour où l’imbécile se reconnaîtra, bien entendu s’il sait lire…