Il m'a pogné un trip hier de demander à tous les Joël Martel sur Facebook de devenir mes amis. À l'heure actuelle, j'ai maintenant trois Joel Martel comme amis. Après avoir analysé les photos que ceux-ci avaient publié sur leur Facebook, j'en suis venu à une conclusion plutôt troublante: que l'on vive en Alaska, en France ou au Québec, les Joel Martel semblent tous avoir en commun un goût pour la fête.
Ça doit avoir un rapport avec les aptonymes. Là, je vous imagine après avoir lu la dernière phrase et je suis sûr qu'il y en a deux ou trois d'entre-vous qui se sont dits: "Mais mon dieu, ce Joël Martel est un vrai bouillon de culture". Eh ben! non. Ne vous laissez jamais berner par la magie de Google.
Pour ceux et celles qui l'ignorent, un aptonyme est un nom prédestiné souvent associé à un métier ou à une occupation. À ce sujet, je vous suggère fortement d'aller visiter cette page qui m'a décroché un sourire. Bon, j'avoue que faire la fête n'est pas un métier et que Martel n'a rien à voir avec ça mais qui sait? Peut-être qu'un jour on dira d'un gros party que c'était toute qu'un martel.
Enfin, s'il y a une chose dont je suis certain, c'est que je ne partage pas la passion que le Joel Martel de la vidéo qui suit entretient pour les 360 en Yamaha Wolverine 350. En tout cas, à voir la fin de la vidéo et la description de celle-ci où l'on raconte que ce Joel Martel fait des 360 dans la bouette autant que sur la glace, il n'y aucun doute que ce gars-là est un bon bougre. On est comme ça nous-autres…
Ahahahahahaha
Je suis moi même devenu amis de quelques Charles Laplante sur MySpace, il y a quelques années…Mais a part trouver ça drôle on avait pas vraiment d’atomes crochus…
Aahhahahhahahhahahh! Je meurs de rire!
Je trouve l’idée vraiment bonne, mais je ne trouve malheureusement aucune autre Yansie Gagné. Cela a été l’occasion rêvée de me dire que j’étais unique…
Personnellement, même si je trouvais d’autre Steve Boudrias sur le net, je ne m’en fais pas trop, j’ai changé de nom de famille deux fois et si j’étais une femme, j’en aurais un autre au moment où je vous parle puisque je suis marié en ce moment.
Quoique, si on cherche bien, j’ai bel et bien voler le nom de ma femme pour créer un collectif d’auteurs libres en m’improvisant éditeur et directeur littéraire d’un magazine qui n’existe même pas encore.
C’est fou ce que le virtuel rejoint parfois l’oeuvre de Fernando Pesoa…
Bienvenue dans la révolution intranquille du Québec portuguais sans le savoir.