Tout d'abord, je le fais rarement mais bon, je tiens à remercier les lecteurs et lectrices de ce blogue. C'est que vous avez été généreux en commentaires en ce qui concerne les deux derniers billets mais surtout, si je me fie à ceux que vous m'avez livré, vous êtes bien loin d'être des cons. Je ne l'ai jamais pensé mais là, j'ai la preuve que vous êtes allumés et ça, c'est tout un honneur! Et ça met légèrement de la pression…
Pour qu'un billet innocent à propos du come-back d'Éric Lapointe nous amène jusqu'à Bergman – merci madame Blouin 😉 – en passant par Gainsbourg, inutile de vous dire que ça prend un sacré lectorat de qualité. Même chose pour ce billet à propos des Invincibles où certains d'entre-vous avez vu un constat à propos de la génération X et Y. Vous êtes stimulants.
Disons que ça fait très différent du genre de débats qui sévissent souvent sur des blogues comme celui de Patrick Lagacé par exemple. Non pas que je pense que ce soit des tatas qui aliment son blogue mais je suis pas certain de vouloir prendre une journée de congé uniquement pour lire tous les commentaires d'un billet comme celui-ci. Et en plus, répondre à des individus portant des noms nébuleux comme bereshit ou grandmastersexay, je trouve ça un peu abstrait. Je préfère les Nancy.
Tout ça m'amène à me questionner au sujet du nombre de personnes qui peuvent passer sur le blogue de Patrick Lagacé. Non mais à 100 commentaires par billet, il faut croire que le nombre de lecteurs qui passent par ici à chaque jour doit équivaloir à une minute dans la vie cybernétique de Lagacé. Une chose est certaine, et vous allez me trouver tannant, mais au-moins, j'ai la minute de qualité.
Maintenant, terminons avec un truc qu'un ami et lecteur m'a envoyé hier. Il s'agit d'une des inventions les plus délirantes que j'aie vues depuis un sacré bout de temps. Je vous garantis que le prénom Carmen ne signifiera plus jamais la même chose dans votre esprit.
Le truc porte donc le nom de Carmen Steps. C'est une entreprise québécoise et je ne vous en dis pas plus. Ce vidéo vaut mille mots,
C'est fait? Alors, qu'en pensez-vous? Et votre chihuahua lui?
Je suis heureuse d’avoir découvert ce blogue. Je dois dire que j’aime beaucoup M. Lagacé, surtout quand il fait ses propres courriers du genou (comme dit un certain Pierre, la beauté des choses anodines. Hum..), mais il est vrai que souvent, son lectorat « actif » est … étonnant. Mais gardons-nous bien de généraliser, moi-même j’y ai déjà participé une fois 😉 avec plaisir.
NB
Ne craignez rien madame Blouin, moi-aussi j’ai déjà alimenté son blogue en commentaires. Et pour ma part, je m’en confesse, c’était souvent bien loin d’être pertinent…
Et tu lui écrivais sous quel nom ?
@ Daniel Labonté: dischié69. 😉 Sans farce, je garde ça pour moi. C’est mon jardin secret…
Héhé !
Me doutais bien que tu n’allais pas me le dire… Et je me taperai pas les centaines de commentaires de Lagacé, dans le but de trouver un quelconque indice.
Justement, parlant de Lagacé, coudon, y dors-tu ce gars-là ?
Pour en revenir à Carmen Steps, ce petit film a déclenché un grand flot de compassion pour les pauvres petits chihuahuas; sans farce je pourrais devenir le Dalai Lama des chihuahuas. Ça sera quoi la prochaine invention, des chiennes gonflables? Je crois en fait que ça existe déjà!!
Pour ce qui est de Lagacé, je ne suis jamais allé sur son blogue et merci encore Joël de considérer nos minces contributions littéraires, comme une qualité de lectorat. C’est pas parce qu’on est vieux et con que la culture, dans toute sa splendeur, nous échappe. Au contraire, quand on est vieux et con, on n’a que ça à faire! ( mis à part les vieux cons qui se retrouvent au centre d’achat pour se regarder mourir)
En fait, j’aime pas beaucoup Lagacé; y’a quelque chose de lui qui demeure insaisissable, et ses tournures de phrases me font penser à du McDo. Je ne sais vraiment pas pourquoi…
Mais je dois avouer que c’est un sacré sans coeur; demander au Dr Antonio Barrette aux Francs Tireurs, comment les gens pouvaient lui faire confiance parce qu’il était obèse, il fallait à la fois être couillu et sans génie!
C’est probablement cette très imagée dualité qui continue à m’échapper.